NF2 2025/2026 POULE C
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basketbreton
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NF2 2025/2026 POULE C
TREGUEUX LANGUEUX BASKET CÔTÉS DARMOR
AL COQUELLES
ACLPAB CALAIS
DOUVRES BASKET CDN
USO MONDEVILLE 2
ANGERS UFAB ESPOIRS
LANDERNEAU HB ESPOIRS
CHARTRES BASKET ESPOIRS
RENNES AVENIR
USM SARAN
GARS BOUAYE BASKET
AL COQUELLES
ACLPAB CALAIS
DOUVRES BASKET CDN
USO MONDEVILLE 2
ANGERS UFAB ESPOIRS
LANDERNEAU HB ESPOIRS
CHARTRES BASKET ESPOIRS
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GARS BOUAYE BASKET
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mapoule
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
Bouaye toujours présent malgré plusieurs saisons à descendre sportivement… merci les dépôts de bilan des étages supérieurs 
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basketbreton
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
Bouaye devrait être en haut de tableau cette année en compagnie de Calais qui a fort recruté (ancienne intérieure de Douvres Séné à ACLPAB). Coquelles également qui conserve son effectif et la même bien agrémenté.
Derrière ça sera la bataille entre le champion de NF3 Saran qui a renouveler son effectif, Tregueux (sans nouvelles du club), Rennes et Mondeville.
1 seule descente dans cette poule.
Derrière ça sera la bataille entre le champion de NF3 Saran qui a renouveler son effectif, Tregueux (sans nouvelles du club), Rennes et Mondeville.
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mapoule
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
Vu la faiblesse de la poule rarement vu depuis des années, Bouaye peut effectivement jouer le haut de tableaubasketbreton a écrit : ↑jeu. 07 août 2025 0:09 Bouaye devrait être en haut de tableau cette année en compagnie de Calais qui a fort recruté (ancienne intérieure de Douvres Séné à ACLPAB). Coquelles également qui conserve son effectif et la même bien agrémenté.
Derrière ça sera la bataille entre le champion de NF3 Saran qui a renouveler son effectif, Tregueux (sans nouvelles du club), Rennes et Mondeville.
1 seule descente dans cette poule.
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
ACLPAB Calais sera le favori avec son effectif et le budget qui va avec. Le club est prêt pour la N1.
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
OF
Basket. Nationale 2 féminine : Agnès Fébrissy présente les recrues du Douvres BCN
Nommée à la tête du Douvres BCN le 3 mai 2025, Agnès Fébrissy prépare son équipe pour la saison 2025-2026 en Nationale 2, la quatrième division du basket féminin. Malgré de nombreux départs dans l’effectif et sans poste 5, l’équipe n’est pas pour autant affaiblie, au contraire, d’après la coach.
Agnès Fébrissy est la nouvelle entraîneuse du Douvres BCN.
C’est un défi de taille à relever pour Agnès Fébrissy, arrivée à la tête des féminines du Douvres BCN le 3 mai 2025. Au terme de la saison 2024-2025, Marion Hamel, Clarisse Sahun, Khady Sène et Erwana Youbi Kamdem ont décidé de quitter la formation douvraise. Orpheline de quatre joueuses majeures, l’ancienne coach de l’Avenir de Rennes n’est pas inquiète pour autant. « Le recrutement est terminé depuis le 4 juillet, l’effectif sera au complet, assure la tacticienne de 51 ans. On a cherché des profils de joueuses plutôt défensives, mais capables de déclencher des contre-attaques rapides et toniques. »
Parmi les joueuses ayant joué la saison dernière, seules Eva Guelle, Carla Madelaine, Jade Cattenoy et Kémélya Ahmed sont restées. Dans une division où les clubs n’ont le droit qu’à trois mutées, les recrutements pouvaient s’apparenter à un casse-tête. Toutefois, Agnès Fébrissy a trouvé la solution en piochant dans l’équipe réserve. « Caroline Seigneurie et Gnilane Omnes vont être intégrées à l’équipe 1, annonce l’entraîneuse. Elles vont être renforcées en plus par l’arrivée de Marie Lebastard, une poste 1 de 18 ans qui évoluait à l’USO Mondeville et d’Amélia Moukoko, une poste 4 de Dijon. »
« Je suis là pour le long terme et j’espère que les filles feront pareil »
Les nouvelles recrues ainsi que les vétéranes de l’équipe ont toutes une certaine polyvalence leur permettant d’évoluer à différents postes sur le terrain. En revanche, pas de poste 5 en vue. « Ce n’est pas un problème en soi, on n’est pas forcément obligé d’avoir de pivot en N2, explique la Bretonne. Je cherchais à la base une meneuse expérimentée, mais on a recruté Marie (Lebastard). Malgré son jeune âge, elle apprendra sur le tas et sera performante. »
Outre le recrutement estival, les attentes sont grandes pour la saison à venir. Les Douvraises ont terminé deuxièmes de leur poule de Nationale 2 en 2024-2025, de quoi rêver d’une possible montée en troisième division. « Les filles connaissent le niveau de la N2. Si on travaille bien, on peut marquer des points, avec la montée en bonus. Le temps que l’équipe se mette en place, les matches allers seront peut-être plus compliqués que les matchs retour, mais le principal sera de construire un projet commun et de mettre à profit cette saison pour la suite. »
Agnès Fébrissy, qui a passé plus de 30 ans à l’Avenir de Rennes, où elle a joué sous les ordres d’Hervé Coudray en Ligue féminine, compte s’inscrire dans la durée. « Que la saison se passe bien ou mal, je ne compte pas faire un an seulement et partir, assure l’ancienne entraîneuse des U13 du CBC. Je veux construire une équipe fidèle, je suis là pour le long terme et j’espère que les filles feront pareil. »
Soyez le premier à commenter l’article !
Coïncidence du rapprochement régional entre équipes de Nationale 2, Agnès Fébrissy aura de fortes chances de coacher contre son ancien club, l’Avenir de Rennes. « Ce sera intéressant, car des filles que j’ai formées y jouent encore. Mais pour les Douvraises, le principal sera surtout de jouer pour son plaisir et celui du public dans l’année. Elles devront monter en puissance tout le long et répondre ainsi à mes attentes », conclut-elle.
L’effectif 2025-2026 du Douvres BCN
Poste 1 : Marie Lebastard, Gnilane Omnes ; Poste 2 : Carla Madelaine ; Poste 2-3 : Caroline Seigneurie, Jade Cattenoy ; Poste 3-4 : Kemelya Ahmed ; Poste 4 : Eva Guelle, Amélia Moukoko.
L’arrivée de deux nouvelles recrues sera officiellement annoncée d’ici la fin du mois de juillet.
Basket. Nationale 2 féminine : Agnès Fébrissy présente les recrues du Douvres BCN
Nommée à la tête du Douvres BCN le 3 mai 2025, Agnès Fébrissy prépare son équipe pour la saison 2025-2026 en Nationale 2, la quatrième division du basket féminin. Malgré de nombreux départs dans l’effectif et sans poste 5, l’équipe n’est pas pour autant affaiblie, au contraire, d’après la coach.
Agnès Fébrissy est la nouvelle entraîneuse du Douvres BCN.
C’est un défi de taille à relever pour Agnès Fébrissy, arrivée à la tête des féminines du Douvres BCN le 3 mai 2025. Au terme de la saison 2024-2025, Marion Hamel, Clarisse Sahun, Khady Sène et Erwana Youbi Kamdem ont décidé de quitter la formation douvraise. Orpheline de quatre joueuses majeures, l’ancienne coach de l’Avenir de Rennes n’est pas inquiète pour autant. « Le recrutement est terminé depuis le 4 juillet, l’effectif sera au complet, assure la tacticienne de 51 ans. On a cherché des profils de joueuses plutôt défensives, mais capables de déclencher des contre-attaques rapides et toniques. »
Parmi les joueuses ayant joué la saison dernière, seules Eva Guelle, Carla Madelaine, Jade Cattenoy et Kémélya Ahmed sont restées. Dans une division où les clubs n’ont le droit qu’à trois mutées, les recrutements pouvaient s’apparenter à un casse-tête. Toutefois, Agnès Fébrissy a trouvé la solution en piochant dans l’équipe réserve. « Caroline Seigneurie et Gnilane Omnes vont être intégrées à l’équipe 1, annonce l’entraîneuse. Elles vont être renforcées en plus par l’arrivée de Marie Lebastard, une poste 1 de 18 ans qui évoluait à l’USO Mondeville et d’Amélia Moukoko, une poste 4 de Dijon. »
« Je suis là pour le long terme et j’espère que les filles feront pareil »
Les nouvelles recrues ainsi que les vétéranes de l’équipe ont toutes une certaine polyvalence leur permettant d’évoluer à différents postes sur le terrain. En revanche, pas de poste 5 en vue. « Ce n’est pas un problème en soi, on n’est pas forcément obligé d’avoir de pivot en N2, explique la Bretonne. Je cherchais à la base une meneuse expérimentée, mais on a recruté Marie (Lebastard). Malgré son jeune âge, elle apprendra sur le tas et sera performante. »
Outre le recrutement estival, les attentes sont grandes pour la saison à venir. Les Douvraises ont terminé deuxièmes de leur poule de Nationale 2 en 2024-2025, de quoi rêver d’une possible montée en troisième division. « Les filles connaissent le niveau de la N2. Si on travaille bien, on peut marquer des points, avec la montée en bonus. Le temps que l’équipe se mette en place, les matches allers seront peut-être plus compliqués que les matchs retour, mais le principal sera de construire un projet commun et de mettre à profit cette saison pour la suite. »
Agnès Fébrissy, qui a passé plus de 30 ans à l’Avenir de Rennes, où elle a joué sous les ordres d’Hervé Coudray en Ligue féminine, compte s’inscrire dans la durée. « Que la saison se passe bien ou mal, je ne compte pas faire un an seulement et partir, assure l’ancienne entraîneuse des U13 du CBC. Je veux construire une équipe fidèle, je suis là pour le long terme et j’espère que les filles feront pareil. »
Soyez le premier à commenter l’article !
Coïncidence du rapprochement régional entre équipes de Nationale 2, Agnès Fébrissy aura de fortes chances de coacher contre son ancien club, l’Avenir de Rennes. « Ce sera intéressant, car des filles que j’ai formées y jouent encore. Mais pour les Douvraises, le principal sera surtout de jouer pour son plaisir et celui du public dans l’année. Elles devront monter en puissance tout le long et répondre ainsi à mes attentes », conclut-elle.
L’effectif 2025-2026 du Douvres BCN
Poste 1 : Marie Lebastard, Gnilane Omnes ; Poste 2 : Carla Madelaine ; Poste 2-3 : Caroline Seigneurie, Jade Cattenoy ; Poste 3-4 : Kemelya Ahmed ; Poste 4 : Eva Guelle, Amélia Moukoko.
L’arrivée de deux nouvelles recrues sera officiellement annoncée d’ici la fin du mois de juillet.
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
TELEGRAMME
NF2 : Trégueux-Langueux en « mode rouleau compresseur » pour la saison 2025-2026
Après une saison dernière compliquée avec un maintien arraché la dernière journée, le Trégueux Langueux Basket Armor 22 (Nationale 2 féminine) a réalisé un mercato pensé pour un tout autre objectif : le podium.
Pour accompagner la virevoltante Ève Lonné (à gauche), le Trégueux Langueux Basket Armor 22 a décidé de densifier son intérieur sur ce mercato avec des recrutements de taille.
NF2. Trégueux-Langueux
Le 11 août dernier, le Trégueux Langueux Basket Armor 22 (Nationale 2 féminine) a repris le chemin des parquets avec l’intention de faire une meilleure saison en Nationale 2 féminine que la précédente dans une poule C de onze équipes (douze habituellement), où il y aura une seule équipe à monter et une seule à descendre.
Le TLBA compte sur son noyau dur
« L’an dernier, nous avons manqué de stabilité, que ce soit dans les émotions comme dans l’effectif, nous avons donc dû faire appel à nos anciennes qui ont bien dépanné », rappelle l’entraîneur Goulven Broudic. C’est pourquoi, le fameux « noyau dur » du TLBA sera bien là à la reprise du championnat, à savoir la capitaine Carole Guiet, accompagnée de sa vieille garde composée notamment de Léa Sionneau ou encore Caroline Lamoine.
Arrivée l’année dernière, la virevoltante Ève Lonné, reste au club. « Je pense qu’elle sera plus à l’aise sur cette deuxième saison et montrera son niveau réel », a ajouté son coach.
Trois recrues de taille
Pour épauler la meneuse et consorts, le club a vu les choses en grand.
« On a axé le recrutement sur l’intérieur. On accueille Morgane Tolo, une "poste 5" de 22 ans, qui jouait à Abidjan en première division ivoirienne, fait 1m90 et est internationale ivoirienne. Avec elle, on a signé une de ses partenaires en sélection, Djefarima Diawara, une "poste 4/3" qui mesure 1m 80 et qui sort de deux saisons en Nationale 1 avec La Glacerie. Enfin, arrive une deuxième joueuse d’expérience, Aicha Mara, une "poste 3" d’1m80, âgée de 28 ans et qui arrive de l’AS Monaco. Équipe avec laquelle elle a goûté à la NF1 comme la NF2. »
En sus, la jeune Yanna Larmet (17 ans) rejoint définitivement le groupe, tout en continuant de jouer et de s’entraîner avec la PNF.
« En plus de leur taille, ce sont des joueuses d’attitude qui ont des aptitudes athlétiques. On espère montrer de l’agressivité et fonctionner en mode rouleau compresseur. »
Être sur le podium
Côté départs, si l’on peut considérer que Marème Diop était déjà partie, s’y ajoutent Valérie Labbé et Aïssata Faye qui arrêtent le basket définitivement, tandis qu’Awa Broudic jouera exclusivement avec la réserve. Enfin, Léa Kanouté rejoint Sarran (NF2).
Sur les objectifs, Goulven Broudic ne fait pas de langue de bois. « Le maintien, on l’a joué l’année dernière par la force des choses. Cette année, l’objectif c’est d’être sur le podium. » Mais pour cela, les Costarmoricaines devront réussir une « phase aller » salée, durant laquelle elles ne joueront que trois matchs sur dix à la maison.
« Si l’on sort de cette première moitié de championnat en bonne position, la phase retour serait plus simple, puisque l’on jouera sept rencontres à la maison. On l’a vu l’année dernière, sur les quatre derniers matchs, les trois qui se sont déroulés à domicile nous ont aidé à nous sauver. Espérons que le public nous apporte autant cette année, mais pas pour jouer la même place… »
Effectif du TLBA :
Ève Lonné (poste 1, 160 cm, née en 2003), Margot Simon (poste 1, 166 cm, née en 1998), Léa Sionneau (poste 2, 175 cm, née en 1995), Yanna Larmet (poste 2, 170 cm, née en 2008), Caroline Lamoine (poste 3, 177 cm, née en 1992), Aïcha Mara (poste 3, 180 cm, née 1996), Carole Guiet (poste 4, 175 cm, née 1987), Djefarima Diawara (poste 3/4, 180 cm, née 1994) et Morgane Tolo (poste 5, 190 cm, née en 2001).
NF2 : Trégueux-Langueux en « mode rouleau compresseur » pour la saison 2025-2026
Après une saison dernière compliquée avec un maintien arraché la dernière journée, le Trégueux Langueux Basket Armor 22 (Nationale 2 féminine) a réalisé un mercato pensé pour un tout autre objectif : le podium.
Pour accompagner la virevoltante Ève Lonné (à gauche), le Trégueux Langueux Basket Armor 22 a décidé de densifier son intérieur sur ce mercato avec des recrutements de taille.
NF2. Trégueux-Langueux
Le 11 août dernier, le Trégueux Langueux Basket Armor 22 (Nationale 2 féminine) a repris le chemin des parquets avec l’intention de faire une meilleure saison en Nationale 2 féminine que la précédente dans une poule C de onze équipes (douze habituellement), où il y aura une seule équipe à monter et une seule à descendre.
Le TLBA compte sur son noyau dur
« L’an dernier, nous avons manqué de stabilité, que ce soit dans les émotions comme dans l’effectif, nous avons donc dû faire appel à nos anciennes qui ont bien dépanné », rappelle l’entraîneur Goulven Broudic. C’est pourquoi, le fameux « noyau dur » du TLBA sera bien là à la reprise du championnat, à savoir la capitaine Carole Guiet, accompagnée de sa vieille garde composée notamment de Léa Sionneau ou encore Caroline Lamoine.
Arrivée l’année dernière, la virevoltante Ève Lonné, reste au club. « Je pense qu’elle sera plus à l’aise sur cette deuxième saison et montrera son niveau réel », a ajouté son coach.
Trois recrues de taille
Pour épauler la meneuse et consorts, le club a vu les choses en grand.
« On a axé le recrutement sur l’intérieur. On accueille Morgane Tolo, une "poste 5" de 22 ans, qui jouait à Abidjan en première division ivoirienne, fait 1m90 et est internationale ivoirienne. Avec elle, on a signé une de ses partenaires en sélection, Djefarima Diawara, une "poste 4/3" qui mesure 1m 80 et qui sort de deux saisons en Nationale 1 avec La Glacerie. Enfin, arrive une deuxième joueuse d’expérience, Aicha Mara, une "poste 3" d’1m80, âgée de 28 ans et qui arrive de l’AS Monaco. Équipe avec laquelle elle a goûté à la NF1 comme la NF2. »
En sus, la jeune Yanna Larmet (17 ans) rejoint définitivement le groupe, tout en continuant de jouer et de s’entraîner avec la PNF.
« En plus de leur taille, ce sont des joueuses d’attitude qui ont des aptitudes athlétiques. On espère montrer de l’agressivité et fonctionner en mode rouleau compresseur. »
Être sur le podium
Côté départs, si l’on peut considérer que Marème Diop était déjà partie, s’y ajoutent Valérie Labbé et Aïssata Faye qui arrêtent le basket définitivement, tandis qu’Awa Broudic jouera exclusivement avec la réserve. Enfin, Léa Kanouté rejoint Sarran (NF2).
Sur les objectifs, Goulven Broudic ne fait pas de langue de bois. « Le maintien, on l’a joué l’année dernière par la force des choses. Cette année, l’objectif c’est d’être sur le podium. » Mais pour cela, les Costarmoricaines devront réussir une « phase aller » salée, durant laquelle elles ne joueront que trois matchs sur dix à la maison.
« Si l’on sort de cette première moitié de championnat en bonne position, la phase retour serait plus simple, puisque l’on jouera sept rencontres à la maison. On l’a vu l’année dernière, sur les quatre derniers matchs, les trois qui se sont déroulés à domicile nous ont aidé à nous sauver. Espérons que le public nous apporte autant cette année, mais pas pour jouer la même place… »
Effectif du TLBA :
Ève Lonné (poste 1, 160 cm, née en 2003), Margot Simon (poste 1, 166 cm, née en 1998), Léa Sionneau (poste 2, 175 cm, née en 1995), Yanna Larmet (poste 2, 170 cm, née en 2008), Caroline Lamoine (poste 3, 177 cm, née en 1992), Aïcha Mara (poste 3, 180 cm, née 1996), Carole Guiet (poste 4, 175 cm, née 1987), Djefarima Diawara (poste 3/4, 180 cm, née 1994) et Morgane Tolo (poste 5, 190 cm, née en 2001).
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
pourtant sous le coup d'un redressement judiciaire, le club de Trégueux s'avance comme l'épouvantail de cette poule C en concurrence avec l'ACLPAB Calais.
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
RENNES AVENIR 2025/2026
DEPARTS : Raveleau (CJF St Malo PNF), Djapo (Arret), Wattez (USM Saran N2), Roels ?
ARRIVEES : Ivala-Mendome (AS St Rogatien N3), Péchard (CPB Rennes N3), Confais (Carqueiranne N2)
EFFECTIF
Marie Confais poste 1, 1m70
Marion Gaudin poste 1, 1m68
Sarah Lépine poste 2, 1m77
Amandine Lebrun poste 2, 1m72
Vanina Jean poste 3/4 1m73
Alyssa Barthélémy poste 3, 1m78
Lyséa Pechard poste 5, 1m85
Faustine Vergnes poste 4, 1m76
Alexia Ivala poste 5, 1m84
Coach : Pierrick Le corre
Assistante : Charline Lareure
Objectif : Maintien
DEPARTS : Raveleau (CJF St Malo PNF), Djapo (Arret), Wattez (USM Saran N2), Roels ?
ARRIVEES : Ivala-Mendome (AS St Rogatien N3), Péchard (CPB Rennes N3), Confais (Carqueiranne N2)
EFFECTIF
Marie Confais poste 1, 1m70
Marion Gaudin poste 1, 1m68
Sarah Lépine poste 2, 1m77
Amandine Lebrun poste 2, 1m72
Vanina Jean poste 3/4 1m73
Alyssa Barthélémy poste 3, 1m78
Lyséa Pechard poste 5, 1m85
Faustine Vergnes poste 4, 1m76
Alexia Ivala poste 5, 1m84
Coach : Pierrick Le corre
Assistante : Charline Lareure
Objectif : Maintien
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
Pour moi les favoris en fonction de l'effectif annoncé sont calais et trégueux après on ne peux pas prévoir une saison
Pour le maintient c'est plus compliqué
Pour le maintient c'est plus compliqué
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
Amical : Rennes Avenir / Tregueux (incomplet) : 85/66 (39/31)
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basketbreton
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
NORD LITTORAL
Reprise à l’AL Coquelles avec le maintien comme ambition première
Maintenue en NF2 après une saison réussie, l’AL Coquelles repart avec un effectif remanié et des recrues déjà intégrées. Entre préparation studieuse, ambition mesurée et un calendrier corsé, le club vise d’abord un maintien rapide.
L’AL Coquelles ira à Angers en ouverture du championnat de NF2
Après une saison riche en émotions et faste en termes de résultats pour une équipe promue, l’AL Coquelles nourrit de saines ambitions à l’orée de la saison qui s’approche.
« La reprise s’est très bien passée. On est toujours content de retrouver la salle, le chemin du parquet. Ce n’est jamais évident, dans le sens où il faut réussir à se remettre en route. On a eu pas mal d’absentéisme, car des filles étaient encore un peu en vacances, d’autres travaillaient à droite à gauche en saisonnier. Cela fausse un petit peu notre départ, mais on arrive quand même à bosser. Et puis il faut bien reprendre un jour, donc voilà. Mais depuis le 19 août, on a réussi à récupérer l’effectif complet et total. Cela fait plaisir, et on avance, on travaille bien », avance Théo Drollet.
Des recrues très bien intégrées
« Cela se passe très bien. C’est quelque chose sur lequel nous avons travaillé. On voulait aussi se renforcer techniquement, mais on souhaitait que ce soient des filles qui correspondent à l’état d’esprit d’équipe du club. Ce n’est que le début, il n’y a pas encore eu de défaite officielle pour le moment et cela se passe très bien. C’est vraiment cool. Les recrues sont très sympas. Il y a une bonne dynamique entre anciennes et nouvelles. »
Une poule de championnat relevée
« On a quand même moyennement du recul, car c’est une poule de championnat qu’on connaît : c’est la même que l’an passé. Deux nouvelles équipes s’y ajoutent (Saran et Rennes). Je pense qu’il va falloir se méfier de Saran : c’est un promu, mais qui a été champion de France de N3 en battant Estaires de 19 points. Saran a gagné 27 matches consécutivement la saison passée et est restée invaincue. Si cette équipe a gardé son ossature, son noyau dur, et s’est bien renforcée, cela risque d’être une grosse cylindrée de NF2. »
Une salve de matches amicaux avant d’aborder le championnat
« En effet, nous avons au programme des équipes de NF3, NF1, etc. C’est un petit peu l’objectif. L’état d’esprit est bon. Maintenant, il faut qu’on arrive à travailler en situation réelle, et il est intéressant pour nous de jouer de telles équipes pour se mettre en rythme, en jambes. Cela doit nous permettre de travailler, de faire un truc sympa et de bosser sur des situations réelles. Ce sont des matches tests pour nous, même si cela reste dans le cadre de notre préparation. Peu importent les résultats, il ne faudra pas s’inquiéter. Il faudra réussir à se tester sur ces matches-là. Ces rencontres doivent surtout servir le collectif et permettre de se mettre en situation. Physiquement, je pense que les filles sont plutôt pas mal. »
Un effectif remanié
« Il y a eu pas mal de départs. On a un effectif de dix joueuses, avec quatre recrues. Automatiquement, il faut que la mayonnaise prenne en profondeur. Il faut arriver à mettre des choses en place, à se trouver, à travailler ensemble, à trouver des automatismes, des réflexes. Il n’y a rien de mieux que de jouer pour y parvenir. »
Le maintien, but recherché
« C’est toujours pareil, j’aurai toujours un petit peu le même fonctionnement et la même réflexion : je préfère rester humble. C’est compliqué de se projeter dans le sens où il y a la moitié de l’équipe qui a changé. Maintenant, je pense que nous avons une formation compétitive, très différente de celle de l’an passé. On va vraiment avoir une autre philosophie de jeu, un style très différent. C’est dur de se projeter, de faire des paris. Autant rester focalisé sur nous-mêmes, travailler correctement et camper sur notre mission : prendre match par match et en gagner un maximum. Le but est de se maintenir le plus rapidement possible. Après, si jamais on en a la possibilité, on jouera la plus belle des places possibles, et on réalisera le meilleur championnat qu’on puisse faire. »
Un début de championnat à l’extérieur
« Le 20 septembre, nous irons à Angers en ouverture du championnat. C’est un centre de formation, donc rebelote : c’est une équipe qui ne descendra pas, quel que soit son classement. C’est une belle écurie, mais il faut voir ce qui s’est passé dans ce club. Cependant, je m’attends à un match costaud. Derrière, nous recevrons Mondeville, puis nous irons à Douvres, avant de recevoir, pour le derby local, nos voisines de l’ACLPAB Calais. On a un gros début de calendrier, qui peut conditionner la suite de la compétition. Il va falloir qu’on soit concentré et qu’on prenne des victoires le plus rapidement possible, justement pour se sécuriser et se rassurer mentalement. »
Reprise à l’AL Coquelles avec le maintien comme ambition première
Maintenue en NF2 après une saison réussie, l’AL Coquelles repart avec un effectif remanié et des recrues déjà intégrées. Entre préparation studieuse, ambition mesurée et un calendrier corsé, le club vise d’abord un maintien rapide.
L’AL Coquelles ira à Angers en ouverture du championnat de NF2
Après une saison riche en émotions et faste en termes de résultats pour une équipe promue, l’AL Coquelles nourrit de saines ambitions à l’orée de la saison qui s’approche.
« La reprise s’est très bien passée. On est toujours content de retrouver la salle, le chemin du parquet. Ce n’est jamais évident, dans le sens où il faut réussir à se remettre en route. On a eu pas mal d’absentéisme, car des filles étaient encore un peu en vacances, d’autres travaillaient à droite à gauche en saisonnier. Cela fausse un petit peu notre départ, mais on arrive quand même à bosser. Et puis il faut bien reprendre un jour, donc voilà. Mais depuis le 19 août, on a réussi à récupérer l’effectif complet et total. Cela fait plaisir, et on avance, on travaille bien », avance Théo Drollet.
Des recrues très bien intégrées
« Cela se passe très bien. C’est quelque chose sur lequel nous avons travaillé. On voulait aussi se renforcer techniquement, mais on souhaitait que ce soient des filles qui correspondent à l’état d’esprit d’équipe du club. Ce n’est que le début, il n’y a pas encore eu de défaite officielle pour le moment et cela se passe très bien. C’est vraiment cool. Les recrues sont très sympas. Il y a une bonne dynamique entre anciennes et nouvelles. »
Une poule de championnat relevée
« On a quand même moyennement du recul, car c’est une poule de championnat qu’on connaît : c’est la même que l’an passé. Deux nouvelles équipes s’y ajoutent (Saran et Rennes). Je pense qu’il va falloir se méfier de Saran : c’est un promu, mais qui a été champion de France de N3 en battant Estaires de 19 points. Saran a gagné 27 matches consécutivement la saison passée et est restée invaincue. Si cette équipe a gardé son ossature, son noyau dur, et s’est bien renforcée, cela risque d’être une grosse cylindrée de NF2. »
Une salve de matches amicaux avant d’aborder le championnat
« En effet, nous avons au programme des équipes de NF3, NF1, etc. C’est un petit peu l’objectif. L’état d’esprit est bon. Maintenant, il faut qu’on arrive à travailler en situation réelle, et il est intéressant pour nous de jouer de telles équipes pour se mettre en rythme, en jambes. Cela doit nous permettre de travailler, de faire un truc sympa et de bosser sur des situations réelles. Ce sont des matches tests pour nous, même si cela reste dans le cadre de notre préparation. Peu importent les résultats, il ne faudra pas s’inquiéter. Il faudra réussir à se tester sur ces matches-là. Ces rencontres doivent surtout servir le collectif et permettre de se mettre en situation. Physiquement, je pense que les filles sont plutôt pas mal. »
Un effectif remanié
« Il y a eu pas mal de départs. On a un effectif de dix joueuses, avec quatre recrues. Automatiquement, il faut que la mayonnaise prenne en profondeur. Il faut arriver à mettre des choses en place, à se trouver, à travailler ensemble, à trouver des automatismes, des réflexes. Il n’y a rien de mieux que de jouer pour y parvenir. »
Le maintien, but recherché
« C’est toujours pareil, j’aurai toujours un petit peu le même fonctionnement et la même réflexion : je préfère rester humble. C’est compliqué de se projeter dans le sens où il y a la moitié de l’équipe qui a changé. Maintenant, je pense que nous avons une formation compétitive, très différente de celle de l’an passé. On va vraiment avoir une autre philosophie de jeu, un style très différent. C’est dur de se projeter, de faire des paris. Autant rester focalisé sur nous-mêmes, travailler correctement et camper sur notre mission : prendre match par match et en gagner un maximum. Le but est de se maintenir le plus rapidement possible. Après, si jamais on en a la possibilité, on jouera la plus belle des places possibles, et on réalisera le meilleur championnat qu’on puisse faire. »
Un début de championnat à l’extérieur
« Le 20 septembre, nous irons à Angers en ouverture du championnat. C’est un centre de formation, donc rebelote : c’est une équipe qui ne descendra pas, quel que soit son classement. C’est une belle écurie, mais il faut voir ce qui s’est passé dans ce club. Cependant, je m’attends à un match costaud. Derrière, nous recevrons Mondeville, puis nous irons à Douvres, avant de recevoir, pour le derby local, nos voisines de l’ACLPAB Calais. On a un gros début de calendrier, qui peut conditionner la suite de la compétition. Il va falloir qu’on soit concentré et qu’on prenne des victoires le plus rapidement possible, justement pour se sécuriser et se rassurer mentalement. »
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
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Basket – Les Dentellières sont devenues les Guerrières de l’ACLPAB Calais et poursuivent leur préparation de leur nouvelle saison en Nationale 2
Nouvel effectif, nouveau logo, nouveau surnom… Il y a beaucoup de changements du côté de l’ACLPAB Calais. L’équipe entraînée par Christophe Molinatti se prépare pour une nouvelle saison en N2, qui commencera à domicile le 20 septembre face à Bouaye.
Le nouvel effectif de l’ACLPAB Calais qui évoluera dans le groupe C de Nationale 2 féminine.
Versée, tout comme la saison passée, dans le groupe « C » de Nationale 2, la formation calaisienne poursuit sa préparation avant d’entrer dans le vif du sujet le 20 septembre avec la réception de Bouaye.
Au menu des entraînements ciblés et des matches de préparation : « On a repris le 14 août au complet et tant mieux pas de blessure, on a intégré les nouvelles joueuses qui ont pris leurs marques. Aucun souci particulier et surtout pas de mauvaise surprise », livre Christophe Molinatti
La fréquence des entraînements
« On est sur quatre séances semaine plus un match soit cinq séquences. Tout le monde est opérationnel et c’est tant mieux. Une série de matches amicaux complète la préparation (Franconville, 2 fois Lambersart, Condette et sûrement une équipe garçons à la place d’une formation qui nous a fait faux bond) »
Un championnat relevé
« La première particularité c’est que nous sommes 11 équipes au lieu de 12, ce qui fait qu’il n’y aura qu’une seule descente pour une montée. Il faut enlever les formations espoirs, que nous connaissons, et après on ne connaît pas le recrutement des uns et des autres, il y a eu deux repêchages (Bouaye et Trégueux). Est-ce que ces deux clubs ont eu le temps de recruter en conséquence, sont ils moins ou plus forts que la saison dernière ? Cela va être plein de surprises quand même, car on ne sait pas trop à quoi s’attendre ».
Un match référence en entrée de championnat
« Nous recevrons Bouaye, et ce sera déjà un test grandeur réelle. Nous avons battu deux fois Bouaye l’année dernière, et de très peu à domicile. Donc forcément, ce premier match va conditionner la suite et être sous pression, car c’est important de bien débuter »
Un effectif remodelé
« Nous avons trois recrues et j’intègre trois jeunes, dont une qui était déjà dans le groupe, et deux nouvelles. Au total, ce sont cinq nouvelles joueuses qui intègrent le groupe. Les jeunes sont issues de la formation du club. Elles sortent des U18, plus une qui revient après une longue blessure (ligaments croisés). Il s’agit de Zoé Estienne, Zoé Marquant et Elsa Cadart »
Un style de jeu différent
« On peut dire que notre style de jeu va changer car on a récupéré une vraie poste 5. Joueuse que nous n’avions pas la saison dernière. On va pouvoir s’appuyer vraiment davantage sur le secteur intérieur, ce qui va libérer nos shooteuses sur l’extérieur. C’était un point galère la saison dernière parce que nous avions déjà un effectif réduit et sans poste 5, nous avions deux tares à combler ».
Des ambitions mesurées.
« On ne dispute pas la coupe de France et la volonté du club est de jouer le haut de tableau. Être dans le top cinq et plus si possibilité. Mais déjà dans un premier temps il nous faut assurer au plus tôt notre maintien, ensuite nous verrons. L’année dernière nous finissons 4èmes éx-aequo (6èmes par le jeu du goal-average) mais si cette saison nous pouvons être dans les 4 premiers déjà en décembre, soit à mi-championnat, cela nous permettra de voir où on en est et de revoir notre copie, ce qui serait bien en connaissant tous les mouvements actés dans notre effectif. Il n’y a pas beaucoup d’équipes qui intègrent trois jeunes d’un coup »
Les Dentellières se muent en Guerrières
Terminé le terme ancien des Dentellières. Dorénavant, et c’est le logo qu’on retrouve sur les nouvelles tenues des Calaisiennes, ce sont les Guerrières qui représentent l’ACLPAB.
Une page s’est définitivement tournée et gageons que ce changement de dénomination soit porteur de réussite au club cher au président Langlois.
Basket – Les Dentellières sont devenues les Guerrières de l’ACLPAB Calais et poursuivent leur préparation de leur nouvelle saison en Nationale 2
Nouvel effectif, nouveau logo, nouveau surnom… Il y a beaucoup de changements du côté de l’ACLPAB Calais. L’équipe entraînée par Christophe Molinatti se prépare pour une nouvelle saison en N2, qui commencera à domicile le 20 septembre face à Bouaye.
Le nouvel effectif de l’ACLPAB Calais qui évoluera dans le groupe C de Nationale 2 féminine.
Versée, tout comme la saison passée, dans le groupe « C » de Nationale 2, la formation calaisienne poursuit sa préparation avant d’entrer dans le vif du sujet le 20 septembre avec la réception de Bouaye.
Au menu des entraînements ciblés et des matches de préparation : « On a repris le 14 août au complet et tant mieux pas de blessure, on a intégré les nouvelles joueuses qui ont pris leurs marques. Aucun souci particulier et surtout pas de mauvaise surprise », livre Christophe Molinatti
La fréquence des entraînements
« On est sur quatre séances semaine plus un match soit cinq séquences. Tout le monde est opérationnel et c’est tant mieux. Une série de matches amicaux complète la préparation (Franconville, 2 fois Lambersart, Condette et sûrement une équipe garçons à la place d’une formation qui nous a fait faux bond) »
Un championnat relevé
« La première particularité c’est que nous sommes 11 équipes au lieu de 12, ce qui fait qu’il n’y aura qu’une seule descente pour une montée. Il faut enlever les formations espoirs, que nous connaissons, et après on ne connaît pas le recrutement des uns et des autres, il y a eu deux repêchages (Bouaye et Trégueux). Est-ce que ces deux clubs ont eu le temps de recruter en conséquence, sont ils moins ou plus forts que la saison dernière ? Cela va être plein de surprises quand même, car on ne sait pas trop à quoi s’attendre ».
Un match référence en entrée de championnat
« Nous recevrons Bouaye, et ce sera déjà un test grandeur réelle. Nous avons battu deux fois Bouaye l’année dernière, et de très peu à domicile. Donc forcément, ce premier match va conditionner la suite et être sous pression, car c’est important de bien débuter »
Un effectif remodelé
« Nous avons trois recrues et j’intègre trois jeunes, dont une qui était déjà dans le groupe, et deux nouvelles. Au total, ce sont cinq nouvelles joueuses qui intègrent le groupe. Les jeunes sont issues de la formation du club. Elles sortent des U18, plus une qui revient après une longue blessure (ligaments croisés). Il s’agit de Zoé Estienne, Zoé Marquant et Elsa Cadart »
Un style de jeu différent
« On peut dire que notre style de jeu va changer car on a récupéré une vraie poste 5. Joueuse que nous n’avions pas la saison dernière. On va pouvoir s’appuyer vraiment davantage sur le secteur intérieur, ce qui va libérer nos shooteuses sur l’extérieur. C’était un point galère la saison dernière parce que nous avions déjà un effectif réduit et sans poste 5, nous avions deux tares à combler ».
Des ambitions mesurées.
« On ne dispute pas la coupe de France et la volonté du club est de jouer le haut de tableau. Être dans le top cinq et plus si possibilité. Mais déjà dans un premier temps il nous faut assurer au plus tôt notre maintien, ensuite nous verrons. L’année dernière nous finissons 4èmes éx-aequo (6èmes par le jeu du goal-average) mais si cette saison nous pouvons être dans les 4 premiers déjà en décembre, soit à mi-championnat, cela nous permettra de voir où on en est et de revoir notre copie, ce qui serait bien en connaissant tous les mouvements actés dans notre effectif. Il n’y a pas beaucoup d’équipes qui intègrent trois jeunes d’un coup »
Les Dentellières se muent en Guerrières
Terminé le terme ancien des Dentellières. Dorénavant, et c’est le logo qu’on retrouve sur les nouvelles tenues des Calaisiennes, ce sont les Guerrières qui représentent l’ACLPAB.
Une page s’est définitivement tournée et gageons que ce changement de dénomination soit porteur de réussite au club cher au président Langlois.
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
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Basket féminin : l’ACLPAB Calais se réinvente avec six recrues et des ambitions claires
Malgré un effectif réduit, l’ACLPA Calais boucle une belle saison de NF2 avec 13 victoires. Avec un effectif renouvelé et ambitieux, le club vise désormais le haut de tableau en 2025.
Après une belle saison 2024-2025, l’ACLPAB Calais va rebâtir un nouveau groupe pour la saison prochaine et se fixer de nouveaux objectifs.
Après une saison riche, parfois chaotique, parfois euphorique, avec toujours au menu des bouleversements et des retours de situation improbables, le moment est arrivé, pour le club du président Langlois, de tracer le bilan avec en point d’orgue la performance notable accomplie par l’équipe première du club qui termine à une très belle place au général avec un avec palmarès de 13 victoires pour 9 défaites.
Un championnat conséquent et satisfaisant
Dans ce groupe C de NF2 survolé par les Nantaises de Moulin Nantes les Dentellières ont fait mieux que de défendre et auraient pu ambitionner meilleur sort avec un effectif plus conséquent.
Pour Christophe Molinatti, le coach calaisien, la saison passée reste une satisfaction : « On voulait assurer le maintien et on l’a obtenu haut la main. On termine 4è ex æquo avec Coquelles et Mondeville : et j’estime que le contrat est rempli. On l’a assuré trois semaines avant la fin du championnat. Ce n’était pas si simple avec seulement sept joueuses au départ ; puis huit mais toute une saison sans poste 5 »
« On a su relever le défi avec quelques jeunes du club. Au départ, c’était un peu le bourbier car on ne savait pas où on allait. C’est une grosse satisfaction générale, et même pour moi qui éprouve un sentiment de satisfaction et de soulagement. Il fallait fédérer l’équipe avec cet impact psychologique au départ de la compétition ».
Les départs et arrivées au club
Christophe Molinatti verra l’arrivée dans son staff de Théo Milcendeau en qualité d’assistant : « C’était une volonté de ma part de m’attacher l’aide d’un assistant. C’est chose faite avec la nomination à ce poste de Théo Milcendeau (ex-coach de la réserve du COB). Jacques Decroix reste préparateur physique tandis que Greg Joannin part à Blériot ».
Sur le plan purement sportif, l’ACLPAB Calais enregistre plusieurs mouvements d’intersaison : « Comme à chaque fin de saison des mouvements divers se constatent. Elise Deprez et Victoria Ricart mettent en aparté leur carrière. Harouna Konté repart jouer dans la région Parisienne (Versailles) pour se rapprocher de sa famille tout comme Lilou Ruocco qui prend la direction de Martigues (NF1) ».
Au rang des recrues, les Dentellières peuvent compter sur l’arrivée de trois nouveaux éléments : « Maïwenne Saint-Etienne, poste 1, qui arrive du BC Chenôve en NF2, Cynthia Jourdan qui peut évoluer poste 2/3 et qui arrive de Dieppe (NF1) et enfin Khady Sène, Sénégalaise qui occupe le poste 5 et qui jouait la saison passée à Douvres-la-Délivrande en NF2. On intègre également Zoé Letienne et Elsa Cadart ».
« Avec nos quatre rescapées que sont Fiona Vasseur, Anaïs Dominique, Auriane Deprez et Mariame Cissoko, je vais avoir un groupe de neuf filles auquel on peut ajouter Caroline Top et Zoé Marquant, ce qui fait onze basketteuses ».
Le coach des Dentellières a déjà affiché ses ambitions : « Le but de la prochaine saison est de jouer le haut de tableau ».
Basket féminin : l’ACLPAB Calais se réinvente avec six recrues et des ambitions claires
Malgré un effectif réduit, l’ACLPA Calais boucle une belle saison de NF2 avec 13 victoires. Avec un effectif renouvelé et ambitieux, le club vise désormais le haut de tableau en 2025.
Après une belle saison 2024-2025, l’ACLPAB Calais va rebâtir un nouveau groupe pour la saison prochaine et se fixer de nouveaux objectifs.
Après une saison riche, parfois chaotique, parfois euphorique, avec toujours au menu des bouleversements et des retours de situation improbables, le moment est arrivé, pour le club du président Langlois, de tracer le bilan avec en point d’orgue la performance notable accomplie par l’équipe première du club qui termine à une très belle place au général avec un avec palmarès de 13 victoires pour 9 défaites.
Un championnat conséquent et satisfaisant
Dans ce groupe C de NF2 survolé par les Nantaises de Moulin Nantes les Dentellières ont fait mieux que de défendre et auraient pu ambitionner meilleur sort avec un effectif plus conséquent.
Pour Christophe Molinatti, le coach calaisien, la saison passée reste une satisfaction : « On voulait assurer le maintien et on l’a obtenu haut la main. On termine 4è ex æquo avec Coquelles et Mondeville : et j’estime que le contrat est rempli. On l’a assuré trois semaines avant la fin du championnat. Ce n’était pas si simple avec seulement sept joueuses au départ ; puis huit mais toute une saison sans poste 5 »
« On a su relever le défi avec quelques jeunes du club. Au départ, c’était un peu le bourbier car on ne savait pas où on allait. C’est une grosse satisfaction générale, et même pour moi qui éprouve un sentiment de satisfaction et de soulagement. Il fallait fédérer l’équipe avec cet impact psychologique au départ de la compétition ».
Les départs et arrivées au club
Christophe Molinatti verra l’arrivée dans son staff de Théo Milcendeau en qualité d’assistant : « C’était une volonté de ma part de m’attacher l’aide d’un assistant. C’est chose faite avec la nomination à ce poste de Théo Milcendeau (ex-coach de la réserve du COB). Jacques Decroix reste préparateur physique tandis que Greg Joannin part à Blériot ».
Sur le plan purement sportif, l’ACLPAB Calais enregistre plusieurs mouvements d’intersaison : « Comme à chaque fin de saison des mouvements divers se constatent. Elise Deprez et Victoria Ricart mettent en aparté leur carrière. Harouna Konté repart jouer dans la région Parisienne (Versailles) pour se rapprocher de sa famille tout comme Lilou Ruocco qui prend la direction de Martigues (NF1) ».
Au rang des recrues, les Dentellières peuvent compter sur l’arrivée de trois nouveaux éléments : « Maïwenne Saint-Etienne, poste 1, qui arrive du BC Chenôve en NF2, Cynthia Jourdan qui peut évoluer poste 2/3 et qui arrive de Dieppe (NF1) et enfin Khady Sène, Sénégalaise qui occupe le poste 5 et qui jouait la saison passée à Douvres-la-Délivrande en NF2. On intègre également Zoé Letienne et Elsa Cadart ».
« Avec nos quatre rescapées que sont Fiona Vasseur, Anaïs Dominique, Auriane Deprez et Mariame Cissoko, je vais avoir un groupe de neuf filles auquel on peut ajouter Caroline Top et Zoé Marquant, ce qui fait onze basketteuses ».
Le coach des Dentellières a déjà affiché ses ambitions : « Le but de la prochaine saison est de jouer le haut de tableau ».
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Re: NF2 2025/2026 POULE C
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Basket-ball. Calais : en provenance de Normandie, Khady Sene arrive à l’ACLPA pour conclure le recrutement
C’est un poste 5 que recherchait toute la saison passée Christophe Molinatti qui aujourd’hui a signé au club des Dentellières à la plus grande satisfaction de toutes et tous. Elle constitue ainsi la troisième et dernière recrue du club calaisien.
e est née en 1993 à M’Bour au Sénégal. Elle mesure 1,88m et occupe le poste de pivot (5). Elle a un cursus atypique. « Je n’ai pas joué de suite au basket-ball. Avant j’affectionnais le handball. Mais j’ai été poussée par mon frère qui trouvait que j’avais plus ma place au basket. J’ai donc commencé le basket à l’âge de 14 ans. J’ai d’abord joué en N1 à l’ASC Jeanne d’Arc de Dakar. Après le BAC je me suis orientée vers une formation en pharmacie. Mais j’ai eu la chance d’obtenir une bourse d’étude et je suis allée aux États-Unis où je suis restée 4 ans. J’y ai acquis beaucoup d’expérience avec un coach très à l’écoute et qui m’a beaucoup aidée. Dans la foulée j’ai été contactée par un agent et je suis arrivée à Limoges en NF1. En parallèle j’ai été sélectionnée en équipe nationale du Sénégal mais c’était à l’époque du Covid et on connaît la suite. Je suis après partie à Sainte-Savine (Troyes) en N1 pendant 1 an. Un bref retour au Sénégal durant 6 mois consécutif à un problème de visa et quand j’ai eu le feu vert je me suis retrouvée à Trégueux en N2 avant de porter le maillot de Douvres-la-Délivrande durant deux saisons. Maintenant je suis une Dentellière ».
L’ACLPA n’était pas inconnue pour Khady : « J’ai joué contre mon club d’aujourd’hui quand j’étais à Trégueux. Cela m’a conforté dans mon choix car je savais où je mettais les pieds. Le fait de venir ici est pour moi comme un nouveau départ ».
Khady ambitionne de reprendre ses études
« Je recherche une alternance dans le domaine pharmaceutique. J’ai déjà un pied dedans et je souhaite approfondir mes connaissances et obtenir le diplôme. Si je ne parviens pas à décrocher une alternance, je ferai certainement une formation en Anglais ».
Grande amatrice de tresses africaines et de bons petits plats, elle espère apporter sa pierre à l’édifice local
« Je pense pouvoir déjà apporter mon physique en défense tout comme en attaque. J’aimerai être la « boss » de la raquette et bien servir mes partenaires. Je ferai de mon mieux pour l’équipe. Je me définis comme quelqu’un d’autoritaire qui aime communiquer avec ses coéquipières. Je pourrais être le relais du coach sur le parquet »
Effectivement partout où elle est passée, Khady a laissé l’image d’une joueuse qui ne triche pas, qui est très investie, qui est très pro et qui bosse beaucoup. C’est une vraie force à l’intérieur, capable d’aspirer la défense tout en servant ses partenaires. Elle sait mettre de l’impact dans la raquette.
Mais Khady a aussi des axes de progrès à travailler
« Je suis gauchère et je dois mieux voir l’organisation du jeu. Je joue à un poste essentiel et je me dois d’y performer. Je dois aussi et surtout travailler mon shoot qui est largement perfectible ». Comme beaucoup de recrues à travers l’hexagone, Khady a hâte de découvrir ses partenaires et ses supporters : « J’ai découvert mes futures partenaires par vidéo. Je sais qu’à Calais le public est omniprésent. Je suis impatiente de le rencontrer. Les supporters nous apportent de la chaleur, de l’engouement et cette envie de gagner ».
Avec Maiwenn Saint-Etienne et Cynthia Jourdain, Khady Sene constitue la troisième et dernière recrue estivale du club.
Basket-ball. Calais : en provenance de Normandie, Khady Sene arrive à l’ACLPA pour conclure le recrutement
C’est un poste 5 que recherchait toute la saison passée Christophe Molinatti qui aujourd’hui a signé au club des Dentellières à la plus grande satisfaction de toutes et tous. Elle constitue ainsi la troisième et dernière recrue du club calaisien.
e est née en 1993 à M’Bour au Sénégal. Elle mesure 1,88m et occupe le poste de pivot (5). Elle a un cursus atypique. « Je n’ai pas joué de suite au basket-ball. Avant j’affectionnais le handball. Mais j’ai été poussée par mon frère qui trouvait que j’avais plus ma place au basket. J’ai donc commencé le basket à l’âge de 14 ans. J’ai d’abord joué en N1 à l’ASC Jeanne d’Arc de Dakar. Après le BAC je me suis orientée vers une formation en pharmacie. Mais j’ai eu la chance d’obtenir une bourse d’étude et je suis allée aux États-Unis où je suis restée 4 ans. J’y ai acquis beaucoup d’expérience avec un coach très à l’écoute et qui m’a beaucoup aidée. Dans la foulée j’ai été contactée par un agent et je suis arrivée à Limoges en NF1. En parallèle j’ai été sélectionnée en équipe nationale du Sénégal mais c’était à l’époque du Covid et on connaît la suite. Je suis après partie à Sainte-Savine (Troyes) en N1 pendant 1 an. Un bref retour au Sénégal durant 6 mois consécutif à un problème de visa et quand j’ai eu le feu vert je me suis retrouvée à Trégueux en N2 avant de porter le maillot de Douvres-la-Délivrande durant deux saisons. Maintenant je suis une Dentellière ».
L’ACLPA n’était pas inconnue pour Khady : « J’ai joué contre mon club d’aujourd’hui quand j’étais à Trégueux. Cela m’a conforté dans mon choix car je savais où je mettais les pieds. Le fait de venir ici est pour moi comme un nouveau départ ».
Khady ambitionne de reprendre ses études
« Je recherche une alternance dans le domaine pharmaceutique. J’ai déjà un pied dedans et je souhaite approfondir mes connaissances et obtenir le diplôme. Si je ne parviens pas à décrocher une alternance, je ferai certainement une formation en Anglais ».
Grande amatrice de tresses africaines et de bons petits plats, elle espère apporter sa pierre à l’édifice local
« Je pense pouvoir déjà apporter mon physique en défense tout comme en attaque. J’aimerai être la « boss » de la raquette et bien servir mes partenaires. Je ferai de mon mieux pour l’équipe. Je me définis comme quelqu’un d’autoritaire qui aime communiquer avec ses coéquipières. Je pourrais être le relais du coach sur le parquet »
Effectivement partout où elle est passée, Khady a laissé l’image d’une joueuse qui ne triche pas, qui est très investie, qui est très pro et qui bosse beaucoup. C’est une vraie force à l’intérieur, capable d’aspirer la défense tout en servant ses partenaires. Elle sait mettre de l’impact dans la raquette.
Mais Khady a aussi des axes de progrès à travailler
« Je suis gauchère et je dois mieux voir l’organisation du jeu. Je joue à un poste essentiel et je me dois d’y performer. Je dois aussi et surtout travailler mon shoot qui est largement perfectible ». Comme beaucoup de recrues à travers l’hexagone, Khady a hâte de découvrir ses partenaires et ses supporters : « J’ai découvert mes futures partenaires par vidéo. Je sais qu’à Calais le public est omniprésent. Je suis impatiente de le rencontrer. Les supporters nous apportent de la chaleur, de l’engouement et cette envie de gagner ».
Avec Maiwenn Saint-Etienne et Cynthia Jourdain, Khady Sene constitue la troisième et dernière recrue estivale du club.