lechat49 a écrit :Championnat relancé ou pas.......
Chrzanowski qui joue avec un fracture d'un doigt... ..euh il doit pas y avoir les même médecins à rennes et au Pau.
Où alors c'est juste une entorse, car une fracture....pour jouer avec......
Pour la première place surement car si il y a vraiment fracture d'un doigt de la n°14 de Mourenx, le match retour (dans 3 semaines) à Angers s'annonce compliqué et une victoire (sans penser à la différence de points) suffit à Angers pour être à la première place.
Pour Rezé cela lui permet de rester dans la course pour la troisième place, car sachant que nous devons encore joué Mourenx et Angers, la lutte va être chaude pour la troisième place, sans oublier le Poiré qui a toutes ses chances, car nous avons le point-average sur Rezé mais pas sur Le Poiré mais il ne faut pas oublier qu'il y a encore un Colomiers-Rezé et un Le Poiré-Colomiers mais surtout un Rezé-Le Poiré et attention aux équipes de bas de tableau qui jouent le maintien.
Alors..... le championnats est loin d'être fini.
Pour la fracture, si c'est vraiment le cas elle risque d'être indisponible un moment mais il y a fracture et fracture (fêlure).
UN DROLE DE CONTROLE...
Article NR du 22/02/2012 05:35
Le coach de l’ATB 79 revient sur le contrôle antidopage subi récemment par ses joueuses. Un épisode tragi-comique qui pose de vraies questions.
Frédéric Roy, l'entraîneur de l'ATB 79, soutient évidemment la lutte antidopage. Mais s'interroge sur ses moyens. - (Photo archives NR) Al'heure où la querelle franco-espagnole, sur fond de dopage et de Guignols de l'info, commence à peine à se calmer, l'ATB 79 a été confronté directement à la lutte antidopage. Frédéric Roy, l'entraîneur de l'ATB 79, préfère d'ailleurs sourire à l'évocation du contrôle subi par ses joueuses la semaine dernière (NR du 17 février). Mais cela ne l'empêche pas de rester dubitatif… « Les contrôles sont une bonne chose, mais les moyens déployés ont de quoi faire réfléchir, confie-t-il. Pour nous voir, deux médecins retraités sont venus de Niort durant quatre heures, ce qui doit représenter un coût certain pour la direction jeunesse et sports… On aimerait bien que l'Etat nous aide pour autre chose, comme la formation par exemple. »
Sept piqûres pour une seule joueuse !
La lutte antidopage est une nécessité. Mais les moyens consacrés ne devraient-ils pas être adaptés au niveau de jeu ? « Nous sommes des amateurs au troisième niveau national, poursuit Fred Roy. L'enjeu, donc les tentations de dopage, ne sont pas les mêmes que pour des pros de très haut niveau. » Surtout qu'à l'arrivée, l'importance des moyens déployés ne garantit pas des conditions de contrôle optimales… « L'un des médecins est arrivé dès 17 h, raconte le coach. Avant de me dire que l'entraînement ne pourrait pas avoir lieu pour cause de contrôle, il a garé sa voiture devant la salle pour être sûr qu'aucune joueuse n'essaierait de s'y soustraire. Mais elles n'étaient pas encore arrivées… » Quatre d'entre elles ont été tirées au sort pour se soumettre à un prélèvement sanguin : Zaïre, Duquesne, Louison, Kuzmane. La jeune Lettonne devrait d'ailleurs s'en souvenir… « Les docteurs ont dû faire sept piqûres avant de s'apercevoir qu'il fallait changer de veine, raconte Fred Roy. Ça fait beaucoup… En plus, ils se sont installés à l'écart dans un couloir pour être à l'abri des regards. Mais comme les lumières fonctionnent avec des détecteurs de mouvement, un des médecins a passé son temps à faire de grands gestes avec les bras pour qu'elles se rallument… » Rien que d'imaginer la scène, il y a de quoi sourire, effectivement.
LE STADE POITEVIN EN IMPOSE
Article NR du 27/02/2012 05:38
Chartres - Poitiers : 61-79
Les Poitevines se sont aisément qualifiées pour les huitièmes de finale en effectuant une démonstration en deuxième mi-temps.
Pauline Rimbaud et les Poitevines sont inarrêtables. Invaincues en 2012 elles ont aligné samedi leur dixième victoire consécutive.
Décidément l'année 2012 semble être celle du Stade Poitevin. L'équipe de Christophe Pontcharraud aligne les succès et n'a toujours pas connu la défaite depuis le nouvel an. Alors que cela ressemblait à un piège, ses joueuses ont enregistré samedi à Chartres leur dixième victoire consécutive, toutes compétitions confondues (7 en championnat, 3 en coupe de France) et se sont ainsi qualifiées pour les huitièmes de finale du Trophée coupe de France.
Si la première mi-temps fut très disputée (43-44, 20e), la suite s'est révélée à sens unique, les coéquipières de Pauline Rimbaud infligeant un cinglant 22-5 à leurs hôtes pour plier le match et dissiper le suspense (48-66, 30e). « En première mi-temps, nous avons eu beaucoup de mal à contenir Kvaniska, une joueuse de 2,03 m qui évolue avec un profil particulier, indique l'entraîneur poitevin. Dès lors que nous avons gagné en agressivité défensive, nous avons pu développer notre jeu rapide et l'écart s'est creusé. » Christophe Pontcharraud, qui enregistrait le retour de Suzanne Noizet, en a même profité pour faire tourner son effectif dans le dernier quart temps pour reposer ses cadres comme Pauline Rimbaud ou Tatiana Ramault. Troisième de sa poule de N1 et en bonne voie pour disputer les play-offs, le Stade Poitevin se découvre de l'appétit en Trophée coupe de France.
Les quarts peuvent rapporter gros
A l'origine, l'entraîneur se servait de cette compétition pour garder le rythme et uniformiser les temps de jeu de son effectif mais désormais son groupe a envie d'aller encore plus loin. « Ce sont des compétitrices, elles veulent tout gagner », apprécie-t-il. Il faut dire qu'en cas de succès en huitième de finale, le Stade Poitevin pourrait se voir proposer un joli cadeau. Car si le Trophée Coupe de France est réservé aux clubs amateurs (de départemental jusqu'à N1), les quarts de finaliste de cette épreuve, se voient automatiquement qualifiés la saison prochaine pour la Coupe de France où figurent les clubs professionnels. Une belle occasion d'accueillir des adversaires prestigieux, d'autant plus qu'en cas d'élimination de la Coupe, le Stade serait automatiquement reversé en huitième de finale du Trophée Coupe de France. Il y a donc beaucoup à gagner à aller un peu plus loin. « C'est sûr, reconnaît Christophe Pontcharraud. Les résultats sont là et nous vivons une très belle aventure humaine. » Un beau résumé du bonheur.
A LA CROISÉE DES CHEMINS
Article NR du 28/02/2012 05:35
Sur le podium de N1, les Poitevines se découvrent de l’ambition et pensent à la Ligue 2 à moyen terme. Mais cet avenir a un prix, qui demande réflexion.
Tatiana Ramault et les Poitevines séduisent sur les parquets de N1 au point de lorgner vers le niveau supérieur.
Le Stade Poitevin est sur un petit nuage. Le club de la présidente Catherine Guillot vit un rêve éveillé cette saison. Ses joueuses de N1 enchaînent les succès au point d'être invaincues en 2012 (10 victoires consécutives), sa filière de formation se porte bien (minimes France, cadettes première division, réserve en N3) et Grandmaison fait le plein (400 spectateurs de moyenne). Le tout avec l'un des plus petits budgets de N1 ! « Depuis cinq ans que Christophe Pontcharraud entraîne l'équipe fanion, la philosophie est de faire évoluer des jeunes encadrées par des joueuses d'expérience », explique la présidente. Et cela fonctionne. Le club est ainsi passé du bas de tableau N2 au podium de N1, ce qui devrait l'amener à disputer les play-off d'accession s'il conserve jusqu'au bout cette troisième place. « Ce groupe ne cesse de monter en puissance », apprécie Christophe Pontcharraud. De là à tenter de créer la surprise en cherchant à décrocher la montée ? « Il faut être réaliste, il est hors de question de monter cette année car nous n'en avons pas les structures, répond l'entraîneur. En revanche, si nous disputons les play-off, cela nous fera une expérience pour le futur. »
Le coin du voile est levé. Ce futur, Christophe Pontcharraud et ses joueuses aimeraient le connaître à l'étage supérieur. « On n'a pas envie de s'arrêter là, reconnaît-il. On commence à franchir les étapes et à se structurer. Il reste maintenant à savoir si le club veut passer ce cap et si nos partenaires privés et publics souhaitent nous suivre dans cette voie. » Pas question d'en dire plus. L'entraîneur reste sur son terrain. Celui du jeu. Il fera en fonction des moyens. Mais il sait que pour s'exprimer sur les parquets de Ligue 2, cela demande un assentiment collectif que son groupe espère. « Nous sommes des compétitrices et nous avons forcément envie d'aller plus haut, précise la capitaine Pauline Rimbaud. On en parle entre nous mais on sait aussi que c'est quelque chose qui se prépare, se finance et il faut que le club le veuille. »
90.000 € à trouver
La présidente est sur la même longueur d'onde et reste fidèle à sa philosophie où le pragmatisme domine. « On y réfléchit mais on ne fera pas n'importe quoi, prévient-elle. Aujourd'hui on est au maximum de ce que l'on peut faire. Si on veut évoluer, cela passe par l'assentiment de nos partenaires et des collectivités. » En clair, les moyens humains sont déjà là, il reste à obtenir le nerf de la guerre : les finances. L'avenir en Ligue 2 a un prix que Catherine Guillot chiffre à 90.000 € supplémentaires. Une somme conséquente en ces temps difficiles mais pas impossible à rassembler si tout le monde le veut bien. « Le futur ne se fera pas tout seul, résume-t-elle. Si nous ne faisons pas progresser nos finances, nous sommes condamnés à rester en N1, voire à descendre car ce que nous faisons ne pourra pas perdurer éternellement dans ces conditions. » C'est bien connu, lorsque l'on ne progresse plus on régresse. En sport plus qu'ailleurs. Pas de doute, le Stade Poitevin est à un tournant de son histoire. A lui de bien le négocier…
Colomiers +20 - Thouars : Thouars n'y crois plus.
Rezé +20 - Ifs : Rezé en pleine confiance après leur victoire sur Pau.
Poiré + 10 - Feytiat : A domicile mais attention à Feytiat qui n'a pas encore sauvé sa peau.
EBPLO + 15 - Rennes : A domicile devrait l'emporter mais Pau est sur de défaite de rang. Mirtille, que se passe t-il à Pau? un tremblement de terre? lol.
Couronne - Angers +22 : Sans soucis à La Couronne qui à un pied et demi en NF2.
Mondeville - Poitiers + 15 : Pour garder notre invincibilité en 2012 et continuer sur cette bonne dynamique qui nous rapprocherait les playoffs.
ça nous promet samedi un sommet hyper intéressant. Angers à la maison part logiquement favori mais beaucoup de choses vont se jouer dans la tête des joueuses et là, je miserai une petite pièce pour les Béarnaises que je crois capable d'un exploit.
Dommage que le club d'Angers n'est pas cru bon de réserver comme la bienséance le commande des places pour le car de supporters de Pau, jusque là ça ne s'était jamais vu!
oh oui un bon petit match la semaine prochaine....mirtille, j'espère que vous avez donné l'adresse de votre médecin pour la fracture du doigt de CHRZANOWSKI, au coach de rennes pour sa joueuse, car jouer avec une fracture et être aussi performante ça aussi c'est du jamais vu....euh mirtille dans le réglement c'est au club recevant de prévoir une billetterie spéciale pour les matches...et pourquoi parler d'exploit pour tes protégées.....juste victoire, à moins que.....Angers aura un bon match de basket féminin la semaine prochaine, avec une salle bien garnie....place au jeu.
Pour les supporters de Pau...c'est regrettable en effet. Mais aviez-vous prévenu de votre présence et réservé ? C'était sur le site ! Déjà que nous supporters du coin on a eu du mal à réserver tellement il y avait de demandes, alors pour un car, c'est une nécessité ! A quand l'écran géant et le bar plein air ! Moi j'ai ma place en tout cas ! Un match comme celui-là qui s'annonce sur le site d'Angers depuis plus d'un mois à guichet fermé ! ça nous annonce une ambiance en tout cas !
Pour ce qui est de l'exploit, le meilleur vaincra !
vive le sport
"Dommage que le club d'Angers n'est pas cru bon de réserver comme la bienséance le commande des places pour le car de supporters de Pau, jusque là ça ne s'était jamais vu!"
Je ne comprends pas ta réflexion mirtille. Réglementairement seulement 15 places sont réservé pour le club adverse, alors?????? Je ne vois de quelles réservations tu parle?
Mirtille doit parler des 15 places pour la délégation en général c'est une place par joueuse et membre du Staff plus accompagnateur. en revanche si le match est annoncé depuis des mois sur le site d'Angers alors les dirigeants de Pau auraient pu anticiper.
Néanmoins cela sera un match exposif car la première place de la poule est en jeu et même un peu mieux avec les playoffs qui arrivent pour les deux équipes.
nanou73 a écrit :Mirtille doit parler des 15 places pour la délégation en général c'est une place par joueuse et membre du Staff plus accompagnateur. en revanche si le match est annoncé depuis des mois sur le site d'Angers alors les dirigeants de Pau auraient pu anticiper.
Néanmoins cela sera un match exposif car la première place de la poule est en jeu et même un peu mieux avec les playoffs qui arrivent pour les deux équipes.
Le réglement dit cela :
INVITATIONS
Chaque association sportive recevant remettra :
- à l’équipe visiteuse 13 invitations, 13 laisser passer ;
- aux arbitres et officiels de table de marque 2 invitations chacun.
Je n'ai pas parlé d'invitation mais d'une cinquantaine de supporters qui s’apprêtaient à faire en car le déplacement et qui auraient payé leurs places.
A un certain niveau,( pas qu'au plus haut) , les clubs visiteurs ont droit à un carré de gradins pour les supporters. Si on veut que le basket féminin soit reconnu, il faut aussi accepter ces règles d'échanges. Mettre en vente toutes les places sans mettre au courant les adversaires qui font partie du spectacle (aussi), c'est quelque chose que perso je n'avais jamais rencontré.
Mais tant pis, c'est comme ça et je suis prête à croire à un oubli involotaire, maintenant pour les playoff les Saint Étienne et compagnie (Wasquehal déplace toujours plusieurs dizaine de supporters)devront se méfier, ils n'auront pas plus de temps que nous pour réserver des places.
Moi j'ai ma place en tout cas ! Un match comme celui-là qui s'annonce sur le site d'Angers depuis plus d'un mois à guichet fermé ! 
ça nous annonce une ambiance en tout cas !