NF2 POULE C 2019-2020
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
N2F : Attention au piège choletais pour le Cest !
Cholet Cest Après leur courte et frustante défaite concédée à Calais, les Tourangelles ont retrouvé le chemin de la victoire en s’imposant, samedi dernier, face aux espoirs de Rezé (74-65). Ce samedi, elles se rendent à Cholet pour y affronter des Meaugeoises qui, pour l’instant, traînent en fond de classement (1V, 6D).
Perdre “ serait vraiment une contre-performance ” « C’est une équipe qui, sur le papier, est largement à notre portée. Physiquement, elle ne présente pas de grands gabarits », constate Laura Loembet qui pour autant, affiche une grande prudence avant ce déplacement. « Elles n’ont rien à perdre, contrairement à nous. Ce serait vraiment une contre-performance de ne pas revenir avec la victoire. Il va falloir ne pas les prendre de haut et faire preuve de beaucoup de rigueur. En plus, je me méfie toujours de l’arbitrage chaque fois que je joue dans cette région. »
Depuis plusieurs rencontres, le Cest est de plus en plus présent dans tous les compartiments du jeu et n’est plus uniquement tributaire de son secteur intérieur. Dorénavant, les joueuses de champ apportent un sérieux coup de main avec un impact offensif non négligeable, en particulier à distance ou dans le jeu de transition. « On progresse dans les courses et samedi, ce sera sûrement une des clés », analyse la coach.
Le Cest doit continuer d’avancer pour assurer au plus vite le maintien. « On doit attraper tout ce qu’on peut attraper et surtout les matchs face à des équipes apparemment plus faibles », martèle Laura Loembet. L’équipe sera toujours privée de Donnadieu qui devrait, toutefois, rapidement retrouver le chemin de l’entraînement.
Ce samedi à 20 h. Cest : E. Girard, E. Heron, C. Hilaire, C. Guenno, C. Longomba, M. Ichelman, L. Ndiaye, S. Abid, C. Danes, R. Barot. Ent. : Laura Loembet.
Cholet Cest Après leur courte et frustante défaite concédée à Calais, les Tourangelles ont retrouvé le chemin de la victoire en s’imposant, samedi dernier, face aux espoirs de Rezé (74-65). Ce samedi, elles se rendent à Cholet pour y affronter des Meaugeoises qui, pour l’instant, traînent en fond de classement (1V, 6D).
Perdre “ serait vraiment une contre-performance ” « C’est une équipe qui, sur le papier, est largement à notre portée. Physiquement, elle ne présente pas de grands gabarits », constate Laura Loembet qui pour autant, affiche une grande prudence avant ce déplacement. « Elles n’ont rien à perdre, contrairement à nous. Ce serait vraiment une contre-performance de ne pas revenir avec la victoire. Il va falloir ne pas les prendre de haut et faire preuve de beaucoup de rigueur. En plus, je me méfie toujours de l’arbitrage chaque fois que je joue dans cette région. »
Depuis plusieurs rencontres, le Cest est de plus en plus présent dans tous les compartiments du jeu et n’est plus uniquement tributaire de son secteur intérieur. Dorénavant, les joueuses de champ apportent un sérieux coup de main avec un impact offensif non négligeable, en particulier à distance ou dans le jeu de transition. « On progresse dans les courses et samedi, ce sera sûrement une des clés », analyse la coach.
Le Cest doit continuer d’avancer pour assurer au plus vite le maintien. « On doit attraper tout ce qu’on peut attraper et surtout les matchs face à des équipes apparemment plus faibles », martèle Laura Loembet. L’équipe sera toujours privée de Donnadieu qui devrait, toutefois, rapidement retrouver le chemin de l’entraînement.
Ce samedi à 20 h. Cest : E. Girard, E. Heron, C. Hilaire, C. Guenno, C. Longomba, M. Ichelman, L. Ndiaye, S. Abid, C. Danes, R. Barot. Ent. : Laura Loembet.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
NF2. Trégueux enfin de retour à la maisonPublié le 15 novembre 2019 à 19h35
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Après de nombreuses pérégrinations, les joueuses de Trégueux retrouvent leur salle pour y affronter les Normandes de Douvres. Face à un public sevré de matchs depuis quelque temps, les Trégueusiennes auront à cœur de se montrer sous leur meilleur jour.
Quasi un tiers de la saison vient de s’écouler et on peut déjà dresser un petit bilan. Des équipes ont sept matchs joués, d’autres six. En ce qui concerne le TBCA, on peut dire qu’il est dans le bon wagon. Avec un bilan de cinq victoires pour une seule défaite, dont quatre victoires à l’extérieur, les Trégueusiennes font partie d’un groupe de quatre équipes qui se détachent au fil des semaines. Mais une saison est longue, donc prudence. Quand on demande, à la capitaine du TCA, Aissata Faye, comment elle voit le bon début de saison, elle répond simplement : « C’est un peu difficile à définir car nous sommes allées beaucoup à l’extérieur. On a hâte de revenir à la maison et de trouver nos marques, ce week-end. On est sur une bonne dynamique, j’espère que ça va continuer ». Une bonne place au classement dû notamment aux victoires loin de leur salle, dont la dernière en date au Havre, le week-end dernier. Une victoire qui avait eu du mal à se dessiner. C’est ce que rappelle Laurent Plassart : « Le match du Havre, on le commence très très mal. Avec une défense très moyenne et une attaque individualiste, on s’est vite retrouvé en difficulté. Ça n’a pas duré longtemps, il y a eu un petit rappel à l’ordre et puis on est reparti vers l’avant ».
En effet, les Havraises ont marqué plus de points dans le second quart-temps (14) que sur l’ensemble de la seconde mi-temps (13). « En dix minutes, on fait un écart de 12 points. Quand on est entré dans le match en seconde période, elles n’ont marqué qu’un seul panier dans le troisième quart-temps et 13 points au total de la deuxième mi-temps. Bizarrement, le jeu collectif revient avec la défense ».
Confirmer à domicile
En ce soir de huitième journée de championnat, les Trégueusiennes vont accueillir les Normandes de Douvres, pour ce qui n’est que leur deuxième match à domicile. Douvres, qui vient d’enchaîner deux victoires à domicile contre Orvault et Cholet, a du mal à voyager. Battues à Rennes, Calais et Mondeville, les Normandes auront fort à faire face à la meilleure défense du championnat. Le manager trégueusien se méfie tout de même. « Novembre, c’est la fatigue, les petits bobos, mais c’est pour tout le monde pareil. Chaque fois qu’on est un petit peu, je dirais « suffisant », on se fait punir. Il faut impérativement qu’on évite ce genre de trou d’air ». Même son de cloche du côté de la capitaine Faye.
« On doit être vigilantes dans notre concentration, on alterne le bon et le moins bon. On doit encore se concentrer sur certains détails ».. Une chose est sûre, le match de ce soir, tout le monde l’attend. « Douvres, c’est le deuxième match à domicile. On avait livré une première bonne prestation (contre Orvault), il faut qu’on soit capable de rééditer la même performance défensive devant notre public. Je pense que les gens sont impatients de nous voir jouer à nouveau ».
Ce samedi (20 h)
Trégueux : Guiet, Broudic, Faye, Calvados, Briand, Hebert, Semghouli, Rivoal, Bannier
© Le Télégramme
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Après de nombreuses pérégrinations, les joueuses de Trégueux retrouvent leur salle pour y affronter les Normandes de Douvres. Face à un public sevré de matchs depuis quelque temps, les Trégueusiennes auront à cœur de se montrer sous leur meilleur jour.
Quasi un tiers de la saison vient de s’écouler et on peut déjà dresser un petit bilan. Des équipes ont sept matchs joués, d’autres six. En ce qui concerne le TBCA, on peut dire qu’il est dans le bon wagon. Avec un bilan de cinq victoires pour une seule défaite, dont quatre victoires à l’extérieur, les Trégueusiennes font partie d’un groupe de quatre équipes qui se détachent au fil des semaines. Mais une saison est longue, donc prudence. Quand on demande, à la capitaine du TCA, Aissata Faye, comment elle voit le bon début de saison, elle répond simplement : « C’est un peu difficile à définir car nous sommes allées beaucoup à l’extérieur. On a hâte de revenir à la maison et de trouver nos marques, ce week-end. On est sur une bonne dynamique, j’espère que ça va continuer ». Une bonne place au classement dû notamment aux victoires loin de leur salle, dont la dernière en date au Havre, le week-end dernier. Une victoire qui avait eu du mal à se dessiner. C’est ce que rappelle Laurent Plassart : « Le match du Havre, on le commence très très mal. Avec une défense très moyenne et une attaque individualiste, on s’est vite retrouvé en difficulté. Ça n’a pas duré longtemps, il y a eu un petit rappel à l’ordre et puis on est reparti vers l’avant ».
En effet, les Havraises ont marqué plus de points dans le second quart-temps (14) que sur l’ensemble de la seconde mi-temps (13). « En dix minutes, on fait un écart de 12 points. Quand on est entré dans le match en seconde période, elles n’ont marqué qu’un seul panier dans le troisième quart-temps et 13 points au total de la deuxième mi-temps. Bizarrement, le jeu collectif revient avec la défense ».
Confirmer à domicile
En ce soir de huitième journée de championnat, les Trégueusiennes vont accueillir les Normandes de Douvres, pour ce qui n’est que leur deuxième match à domicile. Douvres, qui vient d’enchaîner deux victoires à domicile contre Orvault et Cholet, a du mal à voyager. Battues à Rennes, Calais et Mondeville, les Normandes auront fort à faire face à la meilleure défense du championnat. Le manager trégueusien se méfie tout de même. « Novembre, c’est la fatigue, les petits bobos, mais c’est pour tout le monde pareil. Chaque fois qu’on est un petit peu, je dirais « suffisant », on se fait punir. Il faut impérativement qu’on évite ce genre de trou d’air ». Même son de cloche du côté de la capitaine Faye.
« On doit être vigilantes dans notre concentration, on alterne le bon et le moins bon. On doit encore se concentrer sur certains détails ».. Une chose est sûre, le match de ce soir, tout le monde l’attend. « Douvres, c’est le deuxième match à domicile. On avait livré une première bonne prestation (contre Orvault), il faut qu’on soit capable de rééditer la même performance défensive devant notre public. Je pense que les gens sont impatients de nous voir jouer à nouveau ».
Ce samedi (20 h)
Trégueux : Guiet, Broudic, Faye, Calvados, Briand, Hebert, Semghouli, Rivoal, Bannier
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Douvres n a pas usurpé sa victoire à Tregueux +21 , avec une adresse insolante frôlant les 70 a 80% , se battant sur tout les ballons et je ne parle pas des lancers francs à 90% , quand tu rencontres une équipe comme Douvres qui est sur un nuage et que tu ne pourras pas changer le cours de la rencontre avec tes cadres bah tu fais jouer tes jeunes pour les aguerrirent , et tu innoves en défense .
Un entraîneur au lieu de gesticuler et t en prendre à tes joueuses cadres tu ferais mieux de les encourager ,il y a des soirées comme cela ou il faut avoir l intelligence d’Analyser à froid et non à chaud ses erreurs, car c est l’entraineur qui donne les consignes et quand tu as des joueuses qui jouent plus de 30 à 35 minutes d’une rencontre elles ont le droit à faire des erreurs de jugement , pense aussi qu elles sont toutes amateurs .
Il faudra compter sur Douvres cette saison , pour le Tbca c est peut être un mal pour un bien , sans Kowalska ce n’est plus la même equipe.
Un entraîneur au lieu de gesticuler et t en prendre à tes joueuses cadres tu ferais mieux de les encourager ,il y a des soirées comme cela ou il faut avoir l intelligence d’Analyser à froid et non à chaud ses erreurs, car c est l’entraineur qui donne les consignes et quand tu as des joueuses qui jouent plus de 30 à 35 minutes d’une rencontre elles ont le droit à faire des erreurs de jugement , pense aussi qu elles sont toutes amateurs .
Il faudra compter sur Douvres cette saison , pour le Tbca c est peut être un mal pour un bien , sans Kowalska ce n’est plus la même equipe.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
NF2. Trégueux - Douvres Basket : 64-85. Trégueux se fait surprendre
res
À domicile, samedi soir, Trégueux s’est laissé surprendre par une belle équipe de Douvres, qui est parvenue à mettre en échec les locales dans toutes les phases de jeu (64-85).
La première mi-temps a été catastrophique pour le TBCA. Débordées de toutes parts, on ne reconnaissait pas la meilleure défense du championnat. Douvres a su exploiter les moindres failles que le TBCA a laissées. Insolentes d’adresse, les Normandes n’ont jamais été inquiétées. Elles prennaient le meilleur dès l’entame du match avec un 5 à 0 et continuait de creuser l’écart au fil des minutes (11-3, 5’). Les Trégueusiennes n’étaient pas rentrées dans le match et continuaient de laisser des espaces pour terminer le premier quart très en retard (13-29). Le second quart était du même calibre que le premier. Incapable de défendre, Douvres continuait à caracoler en tête sans vraiment être inquiété. Seule Calvados tirait son épingle du jeu. Active en défense, elle était trop seule pour faire remonter son équipe à hauteur. Avec un 11 sur 40 au shoot, le TBCA n’y arrivait pas et laissait faire le jeu aux Normandes. Sur leur petit nuage avec un 7 sur 8 à 3 points, Douvres rentrait aux vestiaires avec une avance plutôt confortable de 14 points (38-52).
Une faillite collective
Le troisième quart-temps était toujours à l’avantage de Douvres qui était beaucoup moins en réussite que sur la première période, mais le TBCA restait toujours derrière. Les locales revenaient à -11 (51-62, 29’), et même à -9 (53-62). Mais les filles de Trégueux jouaient avec la peur au ventre. Elles avaient des shoots ouverts mais personne ne prennait ses responsabilités, à l’image de Briand puis Broudic qui refusaient de tirer alors qu’elles étaient seules. Les rouges et blanches étaient toujours derrière à l’aube du dernier acte (53-65). À la fois très proches mais aussi très loin, les filles de Laurent Plassard auront tout tenté pour revenir à hauteur de leur adversaire du soir. Mais c’était un jour sans pour les rouges et blanches. Sans adresse, c’est difficile de gagner un match. Avec 27 % de réussite au shoot, le TBCA ne pouvait pas l’emporter. Douvres était ce soir plus fort que Trégueux et l’emportait sur le score de 64 à 85.
La fiche technique
Arbitres : MM. Louapre et Guerin.
Quarts-temps : 13-29, 25-23,15-13, 11-20.
TRÉGUEUX : Guiet (7), Hebert (2), Briand (7), Faye (19), Broudic (13) puis Rivoal (-), Banier (-), Calvados (16), Semghouli (-).
DOUVRES : Guillaume (11), Betis (11), Hamard (17), Aulnette (5), Kanoute (2) puis Micoud (22), Lefeuvre (4), Gasqueres (8), Goubert (5).
© Le Télégramme
res
À domicile, samedi soir, Trégueux s’est laissé surprendre par une belle équipe de Douvres, qui est parvenue à mettre en échec les locales dans toutes les phases de jeu (64-85).
La première mi-temps a été catastrophique pour le TBCA. Débordées de toutes parts, on ne reconnaissait pas la meilleure défense du championnat. Douvres a su exploiter les moindres failles que le TBCA a laissées. Insolentes d’adresse, les Normandes n’ont jamais été inquiétées. Elles prennaient le meilleur dès l’entame du match avec un 5 à 0 et continuait de creuser l’écart au fil des minutes (11-3, 5’). Les Trégueusiennes n’étaient pas rentrées dans le match et continuaient de laisser des espaces pour terminer le premier quart très en retard (13-29). Le second quart était du même calibre que le premier. Incapable de défendre, Douvres continuait à caracoler en tête sans vraiment être inquiété. Seule Calvados tirait son épingle du jeu. Active en défense, elle était trop seule pour faire remonter son équipe à hauteur. Avec un 11 sur 40 au shoot, le TBCA n’y arrivait pas et laissait faire le jeu aux Normandes. Sur leur petit nuage avec un 7 sur 8 à 3 points, Douvres rentrait aux vestiaires avec une avance plutôt confortable de 14 points (38-52).
Une faillite collective
Le troisième quart-temps était toujours à l’avantage de Douvres qui était beaucoup moins en réussite que sur la première période, mais le TBCA restait toujours derrière. Les locales revenaient à -11 (51-62, 29’), et même à -9 (53-62). Mais les filles de Trégueux jouaient avec la peur au ventre. Elles avaient des shoots ouverts mais personne ne prennait ses responsabilités, à l’image de Briand puis Broudic qui refusaient de tirer alors qu’elles étaient seules. Les rouges et blanches étaient toujours derrière à l’aube du dernier acte (53-65). À la fois très proches mais aussi très loin, les filles de Laurent Plassard auront tout tenté pour revenir à hauteur de leur adversaire du soir. Mais c’était un jour sans pour les rouges et blanches. Sans adresse, c’est difficile de gagner un match. Avec 27 % de réussite au shoot, le TBCA ne pouvait pas l’emporter. Douvres était ce soir plus fort que Trégueux et l’emportait sur le score de 64 à 85.
La fiche technique
Arbitres : MM. Louapre et Guerin.
Quarts-temps : 13-29, 25-23,15-13, 11-20.
TRÉGUEUX : Guiet (7), Hebert (2), Briand (7), Faye (19), Broudic (13) puis Rivoal (-), Banier (-), Calvados (16), Semghouli (-).
DOUVRES : Guillaume (11), Betis (11), Hamard (17), Aulnette (5), Kanoute (2) puis Micoud (22), Lefeuvre (4), Gasqueres (8), Goubert (5).
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
ACLPAB CALAIS - RENNES AVENIR : (22/29), (8/23), (18/25), (24/11) : 72/88
CALAIS : Fabre 10, Dominique 14, Asset 9, Esther Milandu- Muzembo 12, Désir 10, Sénicourt 2
RENNES : Soulard 10, Fébrissy 24, Selbé Touré 4, Tireau 14, Charlotte Perrin 10, Frammery 8, Lerouge 10, Messager 2, Lemétayer 8.
CALAIS : Fabre 10, Dominique 14, Asset 9, Esther Milandu- Muzembo 12, Désir 10, Sénicourt 2
RENNES : Soulard 10, Fébrissy 24, Selbé Touré 4, Tireau 14, Charlotte Perrin 10, Frammery 8, Lerouge 10, Messager 2, Lemétayer 8.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket – Nationale 2 féminine. Sans surprise, Mondeville survole les débats à Landerneau
Le centre de formation de l'USO Mondeville a confirmé sans peine sa suprématie, samedi 16 novembre 2019 en écrasant Landerneau 54-97.
C’était une blague et il faut bien admettre qu’on est tombé dans le panneau. Nous : « alors, vous avez fait quoi ? » Dessislava Anguelova : « On a perdu. » Nous : « Mais non ! » Elle : « Mais si. » Nous : « Mais… Pas comprendre ! » Elle : « 97-54 pour nous, c’était un test ! » Notre crédulité nous perdra. Le centre de formation de Mondeville peut s’incliner, même si cela reste à démontrer (il est invaincu cette saison en Nationale 2, en espoirs et en cadettes), mais c’était presque impossible, samedi 16 novembre 2019 à Landerneau.
Comment perdre en N2 avec Aminata Gueye (26 points et 18 rebonds pour 40 d’évaluation), Louise Bussière (14 points, 8 passes décisives, 7 rebonds, 7 interceptions), Adèle Detchart, Lisa Cluzeau, Anaëlle Dutat et les autres ? Dessislava Anguelova n’a pas la réponse. Son équipe a infligé une défaite de 43 points au centre de formation de Landerneau. Le rouleau-compresseur n’a laissé aucune chance à son adversaire, menant 26-49 à la mi-temps.
C’était un plaisir. On a réalisé un très bon match, un match très sérieux. Les filles étaient bien appliquées. Il y a eu de très belles choses en attaque, la balle a bien voyagé, les choix étaient judicieux. On a fait de très belles actions.
Dans ce collectif de haut vol, Aminata Gueye a réalisé « un massacre » dans la raquette, elle qui domine déjà en Ligue 2. « En plus, elle joue très juste. » Louise Bussière a quant à elle repris de la confiance malgré sa non-réussite à trois points. « C’était la Louise que je connais. Elle rend les autres meilleures. »
Satisfaite de la production comme des attitudes, Dessislava Anguelova se projette désormais sur la réception de Charleville-Mézières, samedi 23 novembre 2019. Sans le quatuor de l’équipe première, ce sera un test autrement plus significatif…
Landerneau Espoirs 54 – 97 Mondeville Espoirs
15-22 / 11-27 / 13-19 / 15-29
MONDEVILLE : Fébrissy 6, Bounou 2, Cluzeau 12, Detchart 9, Hache 6, Bussière 14, Mukengé 12, Niaré 2, Gueye 26, Dutat 8.
Le centre de formation de l'USO Mondeville a confirmé sans peine sa suprématie, samedi 16 novembre 2019 en écrasant Landerneau 54-97.
C’était une blague et il faut bien admettre qu’on est tombé dans le panneau. Nous : « alors, vous avez fait quoi ? » Dessislava Anguelova : « On a perdu. » Nous : « Mais non ! » Elle : « Mais si. » Nous : « Mais… Pas comprendre ! » Elle : « 97-54 pour nous, c’était un test ! » Notre crédulité nous perdra. Le centre de formation de Mondeville peut s’incliner, même si cela reste à démontrer (il est invaincu cette saison en Nationale 2, en espoirs et en cadettes), mais c’était presque impossible, samedi 16 novembre 2019 à Landerneau.
Comment perdre en N2 avec Aminata Gueye (26 points et 18 rebonds pour 40 d’évaluation), Louise Bussière (14 points, 8 passes décisives, 7 rebonds, 7 interceptions), Adèle Detchart, Lisa Cluzeau, Anaëlle Dutat et les autres ? Dessislava Anguelova n’a pas la réponse. Son équipe a infligé une défaite de 43 points au centre de formation de Landerneau. Le rouleau-compresseur n’a laissé aucune chance à son adversaire, menant 26-49 à la mi-temps.
C’était un plaisir. On a réalisé un très bon match, un match très sérieux. Les filles étaient bien appliquées. Il y a eu de très belles choses en attaque, la balle a bien voyagé, les choix étaient judicieux. On a fait de très belles actions.
Dans ce collectif de haut vol, Aminata Gueye a réalisé « un massacre » dans la raquette, elle qui domine déjà en Ligue 2. « En plus, elle joue très juste. » Louise Bussière a quant à elle repris de la confiance malgré sa non-réussite à trois points. « C’était la Louise que je connais. Elle rend les autres meilleures. »
Satisfaite de la production comme des attitudes, Dessislava Anguelova se projette désormais sur la réception de Charleville-Mézières, samedi 23 novembre 2019. Sans le quatuor de l’équipe première, ce sera un test autrement plus significatif…
Landerneau Espoirs 54 – 97 Mondeville Espoirs
15-22 / 11-27 / 13-19 / 15-29
MONDEVILLE : Fébrissy 6, Bounou 2, Cluzeau 12, Detchart 9, Hache 6, Bussière 14, Mukengé 12, Niaré 2, Gueye 26, Dutat 8.
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Pascalou14120
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Le centre de formation de mondeville toujours invaincu en championnat avec 8 victoire en 8 match en NF2 et 5 victoire en 5 match contre les autres centre de formation.
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basketbreton
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket. Trégueux retrouve sa défense
NF2. Cholet - Trégueux : 37-68
Trégueux s’est remis la tête à l’endroit en dominant une pâle lanterne rouge, Cholet Basket.
Le premier quart fut compliqué et loin de satisfaire Laurent Plassard, l’entraîneur du TBCA. Cholet s’accrochait à son grand déplaisir : « On fait une entame détestable. On a été irrégulier ». Un zeste des stigmates de la dernière défaite en championnat et une des habitudes choletaises de bien commencer ses matchs. Un cocktail suffisant pour les troubler temporairement avant que la défense costarmoricaine ne prenne les choses en main. L’attaque allait aussi petit à petit retrouver un peu de couleur. Dans le sillage d’une Rivoal enquillant avec bonheur dans son corner, le TBCA prenait le large (22-34, 20’). Une montée en puissance qui trouvera son zénith dans le troisième acte. Limitée à trois petits points, la formation maugeoise ne pourra que constater les dégâts (25-55, 30’).
« Notre défense a retrouvé des couleurs »., pourra apprécier le coach Breton. Avant de rapidement nuancer : « On manque de liant et de collectif en attaque. Il nous reste beaucoup de travail à faire ». Celui face à Cholet a été fait et au vu du score final pas si mal fait (37-68). Reste maintenant à confirmer pour atteindre l’objectif du sans-faute d’ici la trêve.
La fiche technique
Arbitre : M. Drouaud et M. Tripoteau.
Quart-temps : 13-15, 9-19, 3-21, 12-13.
CHOLET : Horrault (0 points), Bréheret (7), Robineau (6), Pina (3), Meignen (10), puis Martin (2), Le Jean, Airault (9), Joufflineau.
TRÉGUEUX : Kowalska (7 points), Guiet, Hébert (6), Briand (11), Faye (13), puis Rivoal (11), Bannier (6), Broudic (6), Calvados (8), Semghouli.
© Le Télégramme
NF2. Cholet - Trégueux : 37-68
Trégueux s’est remis la tête à l’endroit en dominant une pâle lanterne rouge, Cholet Basket.
Le premier quart fut compliqué et loin de satisfaire Laurent Plassard, l’entraîneur du TBCA. Cholet s’accrochait à son grand déplaisir : « On fait une entame détestable. On a été irrégulier ». Un zeste des stigmates de la dernière défaite en championnat et une des habitudes choletaises de bien commencer ses matchs. Un cocktail suffisant pour les troubler temporairement avant que la défense costarmoricaine ne prenne les choses en main. L’attaque allait aussi petit à petit retrouver un peu de couleur. Dans le sillage d’une Rivoal enquillant avec bonheur dans son corner, le TBCA prenait le large (22-34, 20’). Une montée en puissance qui trouvera son zénith dans le troisième acte. Limitée à trois petits points, la formation maugeoise ne pourra que constater les dégâts (25-55, 30’).
« Notre défense a retrouvé des couleurs »., pourra apprécier le coach Breton. Avant de rapidement nuancer : « On manque de liant et de collectif en attaque. Il nous reste beaucoup de travail à faire ». Celui face à Cholet a été fait et au vu du score final pas si mal fait (37-68). Reste maintenant à confirmer pour atteindre l’objectif du sans-faute d’ici la trêve.
La fiche technique
Arbitre : M. Drouaud et M. Tripoteau.
Quart-temps : 13-15, 9-19, 3-21, 12-13.
CHOLET : Horrault (0 points), Bréheret (7), Robineau (6), Pina (3), Meignen (10), puis Martin (2), Le Jean, Airault (9), Joufflineau.
TRÉGUEUX : Kowalska (7 points), Guiet, Hébert (6), Briand (11), Faye (13), puis Rivoal (11), Bannier (6), Broudic (6), Calvados (8), Semghouli.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
N2F : belle victoire du Cest face au Havre
Cest - Le Havre : 58-55 Volontaires et investies pendant quarante minutes, les Tourangelles, privées de Ndiaye, ont battu avec la manière une belle équipe du Havre, renforcée pour l’occasion.
C’était un match tactiquement passionnant à coacher. Il a fallu trouver et proposer des solutions à tout moment. On a presque fait le match parfait, se réjouissait Laura Loembet, la coach des Tourangelles, dès la fin de la rencontre.
Effectivement, la présence dans les rangs havrais de plusieurs pensionnaires de Nationale 1 avait contribué à indéniablement élever le niveau de jeu. D’entrée, on comprit vite que le danger viendrait du secteur intérieur havrais. Et la solution, Ichelmann et Longomba allaient rapidement la trouver. Costaudes dans les duels, elles permettaient à leur équipe de tenir le choc (5-8, 4e). Comme de l’autre côté du terrain, Abid, intenable, faisait tourner la tête à la défense visiteuse, les Tourangelles infligeaient un 7-0 en quatre minutes (12-8).
Un tir primé d’Emma Heron met fin au suspense Un léger relâchement permettait cependant au Havre de minimiser l’écart (18-15, 10e). Si Ichelmann continuait de dominer sous les deux cercles, la blessure d’Abid n’allait pas arranger les affaires du Cest (20-20 à la 12e, puis 24-24 à la 15e).
Soumath, la redoutable meneuse de poche du Havre, tenait son équipe à bout de bras, aussi bien en percussion qu’à longue distance. A la pause, Tours ne menait que de deux points (30-28). Au retour sur le parquet, les intérieures maritimes avec l’imposante Gassia, prenaient rapidement la mesure de la zone tourangelle (32-38, 25e). Relancé par Hilaire avec un tir derrière l’arc, et Longomba omniprésente près du cercle, le Cest parvenait à renverser la vapeur en quatre minutes (44-38, 28e), avant que cette diablesse de Soumath n’expédie un lointain missile sur le buzzer du quart-temps (44-41).
« On a toujours trouvé des réponses car on a été généreuses les unes pour les autres », constatait la coach tourangelle. Rien n’était donc fait à l’entame du dernier acte. Le Cest ratait l’occasion de se mettre à l’abri en gâchant des ballons et en laissant de nombreux lancers en route (47-43, 35e). A l’entame du money-time, les deux équipes étaient toujours à égalité (51-51). Les trois dernières minutes étaient stressantes. Soumath échouait dans sa prise en main du match (56-53, 39e).
« A ce moment-là, la pression était terrible et rien n’était simple », confiait Emma Heron qui, avec un tir à 3 points, à dix secondes du terme, mit alors fin au suspense. Avec cette victoire, le Cest a mis un pied sur le podium.
> L’ex-Tourangelle Diana Chobeikova, sans club depuis le début de saison, devrait signer à l’US Orthez en Nationale 1.
la fiche
Quart-temps : 18-15, 12-13, 14-13, 14-14.
Arbitres : MM. Querol et Dubois.
Cest : Hilaire 13, Chedozeau, Girard 3, Heron 4, Guindo, Barot 4, Abid 4, Donnadieu 4, Longomba 19, Ichelmann 11. Ent. : L. Loembet.
Le Havre : Herdhuin 4, Broguy 2, Soumath 21, Piotrowki 7, Dubuc, Lerondel, Niare 2, Bezzo-Dembet 6, Gassia 15. Ent. : R. Traina.
Cest - Le Havre : 58-55 Volontaires et investies pendant quarante minutes, les Tourangelles, privées de Ndiaye, ont battu avec la manière une belle équipe du Havre, renforcée pour l’occasion.
C’était un match tactiquement passionnant à coacher. Il a fallu trouver et proposer des solutions à tout moment. On a presque fait le match parfait, se réjouissait Laura Loembet, la coach des Tourangelles, dès la fin de la rencontre.
Effectivement, la présence dans les rangs havrais de plusieurs pensionnaires de Nationale 1 avait contribué à indéniablement élever le niveau de jeu. D’entrée, on comprit vite que le danger viendrait du secteur intérieur havrais. Et la solution, Ichelmann et Longomba allaient rapidement la trouver. Costaudes dans les duels, elles permettaient à leur équipe de tenir le choc (5-8, 4e). Comme de l’autre côté du terrain, Abid, intenable, faisait tourner la tête à la défense visiteuse, les Tourangelles infligeaient un 7-0 en quatre minutes (12-8).
Un tir primé d’Emma Heron met fin au suspense Un léger relâchement permettait cependant au Havre de minimiser l’écart (18-15, 10e). Si Ichelmann continuait de dominer sous les deux cercles, la blessure d’Abid n’allait pas arranger les affaires du Cest (20-20 à la 12e, puis 24-24 à la 15e).
Soumath, la redoutable meneuse de poche du Havre, tenait son équipe à bout de bras, aussi bien en percussion qu’à longue distance. A la pause, Tours ne menait que de deux points (30-28). Au retour sur le parquet, les intérieures maritimes avec l’imposante Gassia, prenaient rapidement la mesure de la zone tourangelle (32-38, 25e). Relancé par Hilaire avec un tir derrière l’arc, et Longomba omniprésente près du cercle, le Cest parvenait à renverser la vapeur en quatre minutes (44-38, 28e), avant que cette diablesse de Soumath n’expédie un lointain missile sur le buzzer du quart-temps (44-41).
« On a toujours trouvé des réponses car on a été généreuses les unes pour les autres », constatait la coach tourangelle. Rien n’était donc fait à l’entame du dernier acte. Le Cest ratait l’occasion de se mettre à l’abri en gâchant des ballons et en laissant de nombreux lancers en route (47-43, 35e). A l’entame du money-time, les deux équipes étaient toujours à égalité (51-51). Les trois dernières minutes étaient stressantes. Soumath échouait dans sa prise en main du match (56-53, 39e).
« A ce moment-là, la pression était terrible et rien n’était simple », confiait Emma Heron qui, avec un tir à 3 points, à dix secondes du terme, mit alors fin au suspense. Avec cette victoire, le Cest a mis un pied sur le podium.
> L’ex-Tourangelle Diana Chobeikova, sans club depuis le début de saison, devrait signer à l’US Orthez en Nationale 1.
la fiche
Quart-temps : 18-15, 12-13, 14-13, 14-14.
Arbitres : MM. Querol et Dubois.
Cest : Hilaire 13, Chedozeau, Girard 3, Heron 4, Guindo, Barot 4, Abid 4, Donnadieu 4, Longomba 19, Ichelmann 11. Ent. : L. Loembet.
Le Havre : Herdhuin 4, Broguy 2, Soumath 21, Piotrowki 7, Dubuc, Lerondel, Niare 2, Bezzo-Dembet 6, Gassia 15. Ent. : R. Traina.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket – Nationale 2 féminine. Douvres, la belle surprise du début de saison
Le Douvres Basket Cœur de Nacre réalise une première partie de saison très convaincante en N2, un championnat où il s'est battu jusqu'au bout pour le maintien la saison dernière.
Elles ne savaient plus ce que c’était. Qu’il s’agisse de montée ou de maintien, les Douvraises ont constamment vécu sous la pression des résultats ces dernières années. Et voilà qu’elles découvrent ce qui ressemble à une saison tranquille. Il a beau y avoir du Guy Roux en Lise Goubert quand elle rappelle que « rien n’est encore joué » et que l’idée de passer une année de plus en N2 reste l’objectif, on peine à imaginer une quelconque menace planer dans le ciel du Douvres BCN.
Si on arrive à gagner un ou deux matchs avant la fin de l’année, c’est vrai qu’on pourra envisager une deuxième partie de saison plus sereine.
Après neuf journées de championnat, Douvres présente un joli bilan de cinq victoires pour trois défaites. La réception des espoirs de Nantes Rezé samedi 1er décembre 2019 a confirmé que sa dynamique n’avait rien d’un feu de paille. Les Douvraises se sont imposées 56-52 en s’inscrivant dans la « marque de fabrique » qui est la leur depuis désormais un mois et demi. « Nous avons mis de l’agressivité défensive, ce qui nous a permis d’avoir du rythme en attaque », expose la capitaine du DBCN.
Douvres aurait pu craindre un relâchement après avoir créé la sensation le week-end d’avant à Trégueux (64-85), il n’en a rien été. « C’était une belle surprise », reconnaît Lise Goubert. Une surprise qui pourrait presque avoir pris des airs de virage. En triomphant ainsi du deuxième, Douvres s’est prouvé des choses.
Cette première partie de saison est un peu l’aboutissement de deux voire trois ans de travail, associé à l’apport de deux grosses plus-values.
Douvres s’appuie sur un groupe stable, malgré la lourde blessure de Justine Enguerrand, et, donc, deux arrivées clés avec Pauline Bétis et Assa Kanouté. La meneuse transmet son expertise du niveau supérieur. « Au-delà de son talent, c’est quelqu’un d’assez calme qui nous amène beaucoup de sérénité. »
Lire aussi : Basket – Pré-Nationale Féminine. Une journée comme une autre où le suspense n’a pas eu droit au chapitre
Douvres regarde vers le haut
A un point seulement de la deuxième place, et alors qu’une seule équipe descendra suite au forfait général de Gravelines, à quoi peut aspirer Douvres pour pimenter sa saison ? Si le podium ne paraît pas inatteignable, le discours de Lise Goubert se veut plus prudent.
Une fois le maintien assuré, on essaiera de revoir nos objectifs à la hausse pour ne pas se reposer sur nos lauriers. Ce serait bien d’aller chercher le top 4.
Après deux ans en Nationale 2 et une âpre bataille pour s’y maintenir la saison dernière, le DBCN peut-il regarder plus haut dans les années futures ? « Il y a encore beaucoup de construction à faire, mais c’est possible vu la dynamique qu’il y a chez les jeunes. Après, il y a d’autres problématiques, notamment financières. » En attendant, Douvres a du pain sur la planche pour essayer de boucler 2019 par deux victoires contre Le Havre et Tours. Chaque chose en son temps…
Le Douvres Basket Cœur de Nacre réalise une première partie de saison très convaincante en N2, un championnat où il s'est battu jusqu'au bout pour le maintien la saison dernière.
Elles ne savaient plus ce que c’était. Qu’il s’agisse de montée ou de maintien, les Douvraises ont constamment vécu sous la pression des résultats ces dernières années. Et voilà qu’elles découvrent ce qui ressemble à une saison tranquille. Il a beau y avoir du Guy Roux en Lise Goubert quand elle rappelle que « rien n’est encore joué » et que l’idée de passer une année de plus en N2 reste l’objectif, on peine à imaginer une quelconque menace planer dans le ciel du Douvres BCN.
Si on arrive à gagner un ou deux matchs avant la fin de l’année, c’est vrai qu’on pourra envisager une deuxième partie de saison plus sereine.
Après neuf journées de championnat, Douvres présente un joli bilan de cinq victoires pour trois défaites. La réception des espoirs de Nantes Rezé samedi 1er décembre 2019 a confirmé que sa dynamique n’avait rien d’un feu de paille. Les Douvraises se sont imposées 56-52 en s’inscrivant dans la « marque de fabrique » qui est la leur depuis désormais un mois et demi. « Nous avons mis de l’agressivité défensive, ce qui nous a permis d’avoir du rythme en attaque », expose la capitaine du DBCN.
Douvres aurait pu craindre un relâchement après avoir créé la sensation le week-end d’avant à Trégueux (64-85), il n’en a rien été. « C’était une belle surprise », reconnaît Lise Goubert. Une surprise qui pourrait presque avoir pris des airs de virage. En triomphant ainsi du deuxième, Douvres s’est prouvé des choses.
Cette première partie de saison est un peu l’aboutissement de deux voire trois ans de travail, associé à l’apport de deux grosses plus-values.
Douvres s’appuie sur un groupe stable, malgré la lourde blessure de Justine Enguerrand, et, donc, deux arrivées clés avec Pauline Bétis et Assa Kanouté. La meneuse transmet son expertise du niveau supérieur. « Au-delà de son talent, c’est quelqu’un d’assez calme qui nous amène beaucoup de sérénité. »
Lire aussi : Basket – Pré-Nationale Féminine. Une journée comme une autre où le suspense n’a pas eu droit au chapitre
Douvres regarde vers le haut
A un point seulement de la deuxième place, et alors qu’une seule équipe descendra suite au forfait général de Gravelines, à quoi peut aspirer Douvres pour pimenter sa saison ? Si le podium ne paraît pas inatteignable, le discours de Lise Goubert se veut plus prudent.
Une fois le maintien assuré, on essaiera de revoir nos objectifs à la hausse pour ne pas se reposer sur nos lauriers. Ce serait bien d’aller chercher le top 4.
Après deux ans en Nationale 2 et une âpre bataille pour s’y maintenir la saison dernière, le DBCN peut-il regarder plus haut dans les années futures ? « Il y a encore beaucoup de construction à faire, mais c’est possible vu la dynamique qu’il y a chez les jeunes. Après, il y a d’autres problématiques, notamment financières. » En attendant, Douvres a du pain sur la planche pour essayer de boucler 2019 par deux victoires contre Le Havre et Tours. Chaque chose en son temps…
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket – Espoirs. Mondeville, encore vainqueur de près de 50 points, trop fort pour la N2 ?
Largement supérieur à Orvault, huitième de Nationale 2, le centre de formation de Mondeville s'est imposé 93-45, samedi 30 novembre 2019.
Il y avait du dépit sur le visage de Dessislava Anguelova quelques minutes après sa victoire de près de 50 points sur Orvault, samedi 30 novembre 2019. L’entraîneure des espoirs de Mondeville n’avait pas le cœur à savourer le huitième succès – en huit matchs – obtenues par ses joueuses dans un championnat de Nationale 2 qu’elles survolent. « C’est le moment d’envisager des changements », grommelait-elle en regrettant qu’un seul centre de formation, en-dehors de l’Insep, avait droit de présence à l’étage supérieur.
La place des jeunes Mondevillaises pourrait être en Nationale 1, mais faute d’avoir pu défendre leurs chances en Final 4 au complet la saison dernière (seul le champion de France espoirs joue en N1), c’est dans une N2 où elles n’apprennent déjà plus grand-chose qu’elles figurent.
Avec tout le respect que j’ai envers mon collègue, Orvault et nous ne sommes pas dans la même cour. Trois ou quatre autres équipes espoirs aujourd’hui en Nationale 2 ont leur place en Nationale 1.
A son arrivée à Mondeville, Dessislava Anguelova enchaînait pourtant les défaites. Que s’est-il passé en l’espace d’à peine quatre ans ? Le niveau de la N2 a-t-il chuté ou celui de l’USOM a-t-il progressé ? « La vérité est sûrement entre les deux. Il faut réagir. » Les formateurs rêvent de voir réapparaître un véritable championnat de France espoirs comme il y en a chez les garçons et comme il en existait auparavant. En attendant, il faut bien jouer…
« Il manquait du jeu collectif »
Mondeville a joué contre Orvault. Bien, on n’irait peut-être pas jusque-là en dépit de l’écart final. « Je voulais qu’on travaille sur ce match mais on est tombé dans un faux-rythme dès le début, regrette Dessislava Anguelova. Je suis déçue. » Pourtant, les Mondevillaises ont inscrit 29 points dès le premier quart-temps. A la mi-temps, elles menaient 54-26…
Franchement, je n’ai pas regardé le score. J’ai fait tourner l’effectif mais tout le monde a eu ses hauts et ses bas. Il manquait du jeu collectif et nous n’avons pas bien défendu.
Une seule joueuse a tiré son épingle du jeu : Nahan Niaré. Ses 21 points lui ont permis de prendre du rythme et de la confiance avant d’affronter Reims avec l’équipe première. Les espoirs mondevillaises (qui sont toutes cadettes, donc des joueuses de moins de 18 ans) sont leaders invaincues de leur poule. Leur prochain déplacement à Calais, samedi 7 décembre 2019, sera sûrement plus riche d’enseignements.
Mondeville Espoirs 93 – 45 Orvault
29-11 / 25-15 / 17-5 / 22-14
MONDEVILLE : Lanfant 11, Bounou 15, Jérôme 6, Detchart 12, Chanoz, Hache 5, Bussière 6, Niaré 21, Mukenge 13, Dutat 4.
ORVAULT : Nonnote 2, Meme 8, André 7, Hériveaux 9, Berthelot 2, Chiron 4, Jeannes 2, Prouteau 11.
Largement supérieur à Orvault, huitième de Nationale 2, le centre de formation de Mondeville s'est imposé 93-45, samedi 30 novembre 2019.
Il y avait du dépit sur le visage de Dessislava Anguelova quelques minutes après sa victoire de près de 50 points sur Orvault, samedi 30 novembre 2019. L’entraîneure des espoirs de Mondeville n’avait pas le cœur à savourer le huitième succès – en huit matchs – obtenues par ses joueuses dans un championnat de Nationale 2 qu’elles survolent. « C’est le moment d’envisager des changements », grommelait-elle en regrettant qu’un seul centre de formation, en-dehors de l’Insep, avait droit de présence à l’étage supérieur.
La place des jeunes Mondevillaises pourrait être en Nationale 1, mais faute d’avoir pu défendre leurs chances en Final 4 au complet la saison dernière (seul le champion de France espoirs joue en N1), c’est dans une N2 où elles n’apprennent déjà plus grand-chose qu’elles figurent.
Avec tout le respect que j’ai envers mon collègue, Orvault et nous ne sommes pas dans la même cour. Trois ou quatre autres équipes espoirs aujourd’hui en Nationale 2 ont leur place en Nationale 1.
A son arrivée à Mondeville, Dessislava Anguelova enchaînait pourtant les défaites. Que s’est-il passé en l’espace d’à peine quatre ans ? Le niveau de la N2 a-t-il chuté ou celui de l’USOM a-t-il progressé ? « La vérité est sûrement entre les deux. Il faut réagir. » Les formateurs rêvent de voir réapparaître un véritable championnat de France espoirs comme il y en a chez les garçons et comme il en existait auparavant. En attendant, il faut bien jouer…
« Il manquait du jeu collectif »
Mondeville a joué contre Orvault. Bien, on n’irait peut-être pas jusque-là en dépit de l’écart final. « Je voulais qu’on travaille sur ce match mais on est tombé dans un faux-rythme dès le début, regrette Dessislava Anguelova. Je suis déçue. » Pourtant, les Mondevillaises ont inscrit 29 points dès le premier quart-temps. A la mi-temps, elles menaient 54-26…
Franchement, je n’ai pas regardé le score. J’ai fait tourner l’effectif mais tout le monde a eu ses hauts et ses bas. Il manquait du jeu collectif et nous n’avons pas bien défendu.
Une seule joueuse a tiré son épingle du jeu : Nahan Niaré. Ses 21 points lui ont permis de prendre du rythme et de la confiance avant d’affronter Reims avec l’équipe première. Les espoirs mondevillaises (qui sont toutes cadettes, donc des joueuses de moins de 18 ans) sont leaders invaincues de leur poule. Leur prochain déplacement à Calais, samedi 7 décembre 2019, sera sûrement plus riche d’enseignements.
Mondeville Espoirs 93 – 45 Orvault
29-11 / 25-15 / 17-5 / 22-14
MONDEVILLE : Lanfant 11, Bounou 15, Jérôme 6, Detchart 12, Chanoz, Hache 5, Bussière 6, Niaré 21, Mukenge 13, Dutat 4.
ORVAULT : Nonnote 2, Meme 8, André 7, Hériveaux 9, Berthelot 2, Chiron 4, Jeannes 2, Prouteau 11.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Cest : Ndiaye absente plus de deux mois
L’intérieure du Cest, Lolly Ndiaye, est fixée sur l’ampleur de sa blessure contractée à Cholet, le 16 novembre. L’entorse de cheville avec arrachement osseux nécessite une première immobilisation jusqu’à mi-décembre. Puis, si l’évolution est positive, elle pourrait refouler les parquets vers fin janvier. Un coup dur pour les Tourangelles qui devront donc se passer de leur leader face aux cadors de la poule (Tregueux, Douvres et Mondeville), qu’elles doivent affronter lors des prochaines rencontres.
L’intérieure du Cest, Lolly Ndiaye, est fixée sur l’ampleur de sa blessure contractée à Cholet, le 16 novembre. L’entorse de cheville avec arrachement osseux nécessite une première immobilisation jusqu’à mi-décembre. Puis, si l’évolution est positive, elle pourrait refouler les parquets vers fin janvier. Un coup dur pour les Tourangelles qui devront donc se passer de leur leader face aux cadors de la poule (Tregueux, Douvres et Mondeville), qu’elles doivent affronter lors des prochaines rencontres.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket. NF2. Trégueux. Elsa Hébert : le déclic n’est pas loin
Elle a le talent, l’envie et la détermination. Il ne manque plus à Elsa Hébert qu’un peu de confiance en soi pour être totalement décisive avec Trégueux.
N2F : Trégueux BCA - Rezé Espoirs, samedi (20 h)
« Depuis les U17, on me le répète tous les ans ! » Elsa Hébert en sourit. Mais l’arrière ou meneuse, qui aborde sa deuxième saison avec Trégueux, n’en a pas fait une fatalité. « Je sais qu’il faut que j’apprenne à me lâcher, j’y travaille, ça avance », assure la native de Saint-Renan.
Cela s’est vu lors du premier match de la saison, quand elle avait enquillé 16 points à Calais. Moins par la suite. « Elle est un peu en difficulté au niveau du scoring, alors qu’elle a un talent indéniable, témoigne Laurent Plassard. Avec Ilyès (Dekhil, son adjoint), on essaie de la mettre en confiance. On est patient. C’est seulement une question de mental. » Une lutte contre sa propre nature, discrète et bienveillante. « Je veux toujours bien faire. Un peu trop, peut-être », avoue l’intéressée.
« Faire le bien »
La voix est timide, mais le ton assuré. Elsa Hébert (1,70 m) est une promesse pour très bientôt. « J’ai souvent énervé mes coachs (par ce manque de confiance), mais tous m’ont dit que j’avais des capacités », glisse la Finistérienne.
Au premier chef, il y eut ses différents entraîneurs au Landerneau Bretagne Basket, le club qui l’a formé pendant cinq ans. La marche de la Ligue féminine y était difficile à passer. Alors, quand il fut question de s’en aller, son choix fut vite fait. « Je voulais jouer à un bon niveau et Trégueux était la seule équipe de la région en N2. »
Un choix également dicté par sa volonté de poursuivre ses études en Staps à la fac de Brest. Aujourd’hui, elle est en Master 2, spécialité activité physique adaptée et santé. Ce qui lui offrira bientôt l’occasion de travailler en centre de rééducation, auprès de personnes âgées ou handicapées. « J’ai envie d’apporter un peu de bonheur aux gens. J’ai besoin de me sentir utile », dit-elle.
« Faire mieux »
Elle le sera dès le mois de janvier, quand son stage de fin d’étude commencera. Accessoirement, il lui sera également plus facile de s’entraîner avec Trégueux, elle qui multiplie chaque semaine les allers-retours entre Brest et Saint-Brieuc. « Elle s’entraîne bien, elle est sérieuse », loue Laurent Plassard face à tant d’investissement.
Ne reste plus que ce petit cap à passer. Ce supplément de sérénité qui lui ouvrirait en grand les paniers. Le déclic est proche. Juste là. « Je me sens bien dans l’équipe. Samedi, l’objectif sera de continuer dans la dynamique de notre dernier quart-temps (remporté 27-8, contre Tours). » En face, il y aura les Espoirs de Rezé et la possibilité de basculer avec un joli ratio de huit victoires pour deux défaites avant la fin de l’année. « On est bien classé, mais on peut faire mieux. » Et c’est d’elle qu’Elsa parle en premier.
© Le Télégramme
Elle a le talent, l’envie et la détermination. Il ne manque plus à Elsa Hébert qu’un peu de confiance en soi pour être totalement décisive avec Trégueux.
N2F : Trégueux BCA - Rezé Espoirs, samedi (20 h)
« Depuis les U17, on me le répète tous les ans ! » Elsa Hébert en sourit. Mais l’arrière ou meneuse, qui aborde sa deuxième saison avec Trégueux, n’en a pas fait une fatalité. « Je sais qu’il faut que j’apprenne à me lâcher, j’y travaille, ça avance », assure la native de Saint-Renan.
Cela s’est vu lors du premier match de la saison, quand elle avait enquillé 16 points à Calais. Moins par la suite. « Elle est un peu en difficulté au niveau du scoring, alors qu’elle a un talent indéniable, témoigne Laurent Plassard. Avec Ilyès (Dekhil, son adjoint), on essaie de la mettre en confiance. On est patient. C’est seulement une question de mental. » Une lutte contre sa propre nature, discrète et bienveillante. « Je veux toujours bien faire. Un peu trop, peut-être », avoue l’intéressée.
« Faire le bien »
La voix est timide, mais le ton assuré. Elsa Hébert (1,70 m) est une promesse pour très bientôt. « J’ai souvent énervé mes coachs (par ce manque de confiance), mais tous m’ont dit que j’avais des capacités », glisse la Finistérienne.
Au premier chef, il y eut ses différents entraîneurs au Landerneau Bretagne Basket, le club qui l’a formé pendant cinq ans. La marche de la Ligue féminine y était difficile à passer. Alors, quand il fut question de s’en aller, son choix fut vite fait. « Je voulais jouer à un bon niveau et Trégueux était la seule équipe de la région en N2. »
Un choix également dicté par sa volonté de poursuivre ses études en Staps à la fac de Brest. Aujourd’hui, elle est en Master 2, spécialité activité physique adaptée et santé. Ce qui lui offrira bientôt l’occasion de travailler en centre de rééducation, auprès de personnes âgées ou handicapées. « J’ai envie d’apporter un peu de bonheur aux gens. J’ai besoin de me sentir utile », dit-elle.
« Faire mieux »
Elle le sera dès le mois de janvier, quand son stage de fin d’étude commencera. Accessoirement, il lui sera également plus facile de s’entraîner avec Trégueux, elle qui multiplie chaque semaine les allers-retours entre Brest et Saint-Brieuc. « Elle s’entraîne bien, elle est sérieuse », loue Laurent Plassard face à tant d’investissement.
Ne reste plus que ce petit cap à passer. Ce supplément de sérénité qui lui ouvrirait en grand les paniers. Le déclic est proche. Juste là. « Je me sens bien dans l’équipe. Samedi, l’objectif sera de continuer dans la dynamique de notre dernier quart-temps (remporté 27-8, contre Tours). » En face, il y aura les Espoirs de Rezé et la possibilité de basculer avec un joli ratio de huit victoires pour deux défaites avant la fin de l’année. « On est bien classé, mais on peut faire mieux. » Et c’est d’elle qu’Elsa parle en premier.
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket. Le TBCA s’impose dans le dernier quart-temps
Samedi soir, le match de Trégueux face à Tours a eu deux visages : une difficile première mi-temps, suivie d’une deuxième mi-temps propre qui a permis de faire la différence (74-53).
NF2. TBCA - CES Tours : 74-53
Pénalisé par cinq fautes en moins de cinq minutes, Trégueux ramait un peu en défense mais Tours n’en profitait pas. Tours avait ciblé une joueuse du côté de Trégueux, à savoir la capitaine Faye, qui était sevrée de ballon dans ce premier quart. Tours alternait l’individuelle et la zone et menait de deux petits points (17-19). Les visiteuses débutaient bien le second quart avec un tir primé de Girard puis une interception (17-24,11'). Le TBCA ne s’affolait pas et revenait (23-24,13'). Deux pertes de balles plus tard, Tours reprenait ses aises (23-28,14'). Les blanches se faisaient distancer sérieusement à deux minutes de la pause (27-34,18'). Mais c’était sans compter Calvados qui ramenait son équipe à hauteur. Les deux équipes rentraient aux vestiaires sur un score de parité (34-34). Incapable de marquer à longue distance, la jeune Danes profitait des erreurs défensives locales et donnait de l’air à son équipe. Mais encore une fois, la défense trégueusienne qui alternait le bon et le moins, faisait des miracles.
Guiet enchaine à 3 points
Le TBCA revenait et passait devant en tout de fin de quart-temps (47-45). Tout allait se jouer dans le dernier quart-temps où l’adresse à 3 points revenait au bon moment. Calvados puis Guiet allaient trouver la mire à longue distance. Trégueux prenait un peu d’air (58-51,34'). Guiet encore à 3 points, donnait dix points à son équipe, puis 12 après une interception de Calvados (63-51,34'). Calvados, qui a été énorme en défense, permettait à son équipe de l’emporter sur le score de 74 à 53.
La défense trégueusienne a étouffé les Tourangelles dans les dix dernières minutes qui ont été limitées à 8 petits points. « Le collectif a fait la différence. On est resté soudé. Au début, ça a été très dur mais à partir du milieu de troisième quart-temps, on a fait la différence », savoure Coralie Colvados.
La fiche technique
Arbitre : Bechaud et Toinel.
Quarts-temps : 17-19, 17-15, 13-11, 27-8.
TBCA : Kowalska (19), Faye (2), Briand (6), Guiet (21), Hebert (6) puis Rivoal (0), Bannier (2), Calvados (19), Semghouli (0), Broudic (4).
TOURS : Hilaire (5), Heron (8), Guindo (0) Longomba (6), Ichelmann (4) puis Donnadieau (2), Chedozeau (0), Barot (0), Danes (5), Girard (23).
© Le Télégramme
Samedi soir, le match de Trégueux face à Tours a eu deux visages : une difficile première mi-temps, suivie d’une deuxième mi-temps propre qui a permis de faire la différence (74-53).
NF2. TBCA - CES Tours : 74-53
Pénalisé par cinq fautes en moins de cinq minutes, Trégueux ramait un peu en défense mais Tours n’en profitait pas. Tours avait ciblé une joueuse du côté de Trégueux, à savoir la capitaine Faye, qui était sevrée de ballon dans ce premier quart. Tours alternait l’individuelle et la zone et menait de deux petits points (17-19). Les visiteuses débutaient bien le second quart avec un tir primé de Girard puis une interception (17-24,11'). Le TBCA ne s’affolait pas et revenait (23-24,13'). Deux pertes de balles plus tard, Tours reprenait ses aises (23-28,14'). Les blanches se faisaient distancer sérieusement à deux minutes de la pause (27-34,18'). Mais c’était sans compter Calvados qui ramenait son équipe à hauteur. Les deux équipes rentraient aux vestiaires sur un score de parité (34-34). Incapable de marquer à longue distance, la jeune Danes profitait des erreurs défensives locales et donnait de l’air à son équipe. Mais encore une fois, la défense trégueusienne qui alternait le bon et le moins, faisait des miracles.
Guiet enchaine à 3 points
Le TBCA revenait et passait devant en tout de fin de quart-temps (47-45). Tout allait se jouer dans le dernier quart-temps où l’adresse à 3 points revenait au bon moment. Calvados puis Guiet allaient trouver la mire à longue distance. Trégueux prenait un peu d’air (58-51,34'). Guiet encore à 3 points, donnait dix points à son équipe, puis 12 après une interception de Calvados (63-51,34'). Calvados, qui a été énorme en défense, permettait à son équipe de l’emporter sur le score de 74 à 53.
La défense trégueusienne a étouffé les Tourangelles dans les dix dernières minutes qui ont été limitées à 8 petits points. « Le collectif a fait la différence. On est resté soudé. Au début, ça a été très dur mais à partir du milieu de troisième quart-temps, on a fait la différence », savoure Coralie Colvados.
La fiche technique
Arbitre : Bechaud et Toinel.
Quarts-temps : 17-19, 17-15, 13-11, 27-8.
TBCA : Kowalska (19), Faye (2), Briand (6), Guiet (21), Hebert (6) puis Rivoal (0), Bannier (2), Calvados (19), Semghouli (0), Broudic (4).
TOURS : Hilaire (5), Heron (8), Guindo (0) Longomba (6), Ichelmann (4) puis Donnadieau (2), Chedozeau (0), Barot (0), Danes (5), Girard (23).
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Re: NF2 POULE C 2019-2020
Basket. NF2 : Trégueux entre méfiance et fierté
NF2. Trégueux - Tours, ce samedi (20 h)
On avait laissé le TBCA sur une défaite surprise face à Douvres (64-85). Face à Tours, un promu, les filles de Laurent Plassard savent ce qu’elles ont à faire. « Les Tourangelles, comme nous, ont concédé seulement deux défaites. On va avoir un match dur à la maison. On sait ce qu’il faut faire pour le gagner », confie l’entraîneur costarmoricain.
Mais sur le terrain, c’est un peu plus compliqué. Malgré le bon bilan, le technicien est insatiable. Et la large victoire en terre choletaise ne l’a pas... complètement satisfait : « J’ai fait tourner assez vite lorsqu’on a pris de l’avance. On a fait un très bon quart-temps et trois autres approximatifs ».
Laurent Plassard insiste sur une chose : le travail. « Il faut qu’on continue à travailler pour qu’on soit plus constant. Si on n’a pas de constance et si on est aussi irrégulier, on va se faire punir de temps en temps et chaque fois qu’on aura un coup de moins bien, on perdra. »
Kowalska de retour
Face à Tours, il faudra très bien débuter et ne pas reproduire la même entame qu’il y a quinze jours. « Il faut bien jouer, être constant dans ce qu’on veut faire. Autrement, on refera des matchs comme celui qu’on a fait contre Douvres. »
Le retour à la compétition de Kowalska sera un vrai plus pour le groupe, tant sur le plan offensif que défensif, mais « Angelika est complètement hors de rythme. Il va falloir du temps pour qu’elle retrouve son niveau », souligne Laurent Plassard.
Le match contre Tours lance une série de quatre rencontres consécutives à domicile. Les joueuses, comme le staff, veulent se faire pardonner et enchaîner les victoires. « C’est un groupe qui a de la fierté. Il aura à cœur de montrer un autre visage à domicile. »
TRÉGUEUX : Guiet, Faye, Calvados, Briand, Hebert, Kowalska, Rivoal, Bannier, Semghouli, Broudic.
© Le Télégramme
NF2. Trégueux - Tours, ce samedi (20 h)
On avait laissé le TBCA sur une défaite surprise face à Douvres (64-85). Face à Tours, un promu, les filles de Laurent Plassard savent ce qu’elles ont à faire. « Les Tourangelles, comme nous, ont concédé seulement deux défaites. On va avoir un match dur à la maison. On sait ce qu’il faut faire pour le gagner », confie l’entraîneur costarmoricain.
Mais sur le terrain, c’est un peu plus compliqué. Malgré le bon bilan, le technicien est insatiable. Et la large victoire en terre choletaise ne l’a pas... complètement satisfait : « J’ai fait tourner assez vite lorsqu’on a pris de l’avance. On a fait un très bon quart-temps et trois autres approximatifs ».
Laurent Plassard insiste sur une chose : le travail. « Il faut qu’on continue à travailler pour qu’on soit plus constant. Si on n’a pas de constance et si on est aussi irrégulier, on va se faire punir de temps en temps et chaque fois qu’on aura un coup de moins bien, on perdra. »
Kowalska de retour
Face à Tours, il faudra très bien débuter et ne pas reproduire la même entame qu’il y a quinze jours. « Il faut bien jouer, être constant dans ce qu’on veut faire. Autrement, on refera des matchs comme celui qu’on a fait contre Douvres. »
Le retour à la compétition de Kowalska sera un vrai plus pour le groupe, tant sur le plan offensif que défensif, mais « Angelika est complètement hors de rythme. Il va falloir du temps pour qu’elle retrouve son niveau », souligne Laurent Plassard.
Le match contre Tours lance une série de quatre rencontres consécutives à domicile. Les joueuses, comme le staff, veulent se faire pardonner et enchaîner les victoires. « C’est un groupe qui a de la fierté. Il aura à cœur de montrer un autre visage à domicile. »
TRÉGUEUX : Guiet, Faye, Calvados, Briand, Hebert, Kowalska, Rivoal, Bannier, Semghouli, Broudic.
© Le Télégramme