ci joint l'article paru sur le site de l'ALSACE
Fabien Drago et Kaysersberg souhaitent une meilleure deuxième partie de saison.
Sévèrement battus à la WOSB lors du premier match retour de la nationale 2, juste avant les fêtes de fin d’année, les Kaysersbergeois vont tenter de se relancer samedi à Autun où ils vont disputer le 3 e tour du Trophée Coupe de France.
Même s’il n’est pas l’objectif de la saison, le Trophée Coupe de France peut apporter un petit plus aux Kaysersbergeois qui, on s’en souvient, se sont invités à Bercy, il y a deux ans, pour la finale.
On convient néanmoins que, dans l’état actuel des choses, cette épreuve nationale n’est pas l’objectif prioritaire de l’équipe de Fabien Drago dont la situation en championnat n’est de loin pas celle que le club espérait en début de saison.
Certes, l’équipe est en train de se reconstruire après les bouleversements qu’elle a connus durant l’intersaison, mais, en dépit des certitudes de Fabien Drago, on peut émettre quelques inquiétudes avant la reprise, samedi prochain salle Faller face à Sainte-Marie Metz. « Je suis toujours persuadé que nous pouvons terminer dans la première partie du tableau, glisse le coach. Notre première partie de saison a été perturbée par les blessures, notamment de Freddy Benjamin et Eric Schmieder, et les nouveaux, notamment Romain Appel, mettent du temps à répondre à mes attentes. Je vais peut-être être appelé à changer mes batteries. »
Mercredi soir à Boncourt, où les Kaysersbergeois ont gagné de dix points en match amical « ça nous a permis de mettre en application ce que l’on travaille », l’équipe avait déjà une autre configuration avec Eric Schmieder en deux. « Je pense que je profiterai également du match de Coupe à Autun pour tenter des choses différentes. » Face au premier de la poule K de nationale 3, qui a longtemps évolué à côté de Kaysersberg en N2, le KABCA devra se montrer sous son meilleur jour pour se qualifier.
Ce n’est pas un objectif, mais cela pourrait tout de même relancer la machine dans la perspective du championnat.
Source : L'Alsace, Hubert Himburg