Posté : dim. 19 oct. 2008 10:08
DAD 21
Réaction récompensée
Bien en jambes et motivées, les Dijonnaises ont magnifiquement réagi à Caluire en s'imposant avec la manière (72-54). « Je suis vraiment très content de la prestation des joueuses. Elles ont prouvé qu'elles étaient motivées », commente l'entraîneur Mickael Maréchal. Rentrant tout de suite dans le vif du sujet, les Côte-d'Oriennes imposent leur rythme. Agressives en défense, capables de servir efficacement leurs intérieures, ces dernières prennent le large et posent leur empreinte sur la rencontre. Malgré un mauvais deuxième quart temps - « c'est de ma faute, j'ai fait les mauvais choix tactiques en défense », avoue l'entraîneur -, les Bourguignonnes ont su relever le défi physique voulu par les Rhodaniennes. Dominatrices au rebond, les Dadolliennes se sont révélées collectivement, avec à la conclusion Naltet (27 points).
www.bienpublic.com
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Caluire 54 - Dijon 72
À Caluire, Gymnase Lachaise, Caluire-DAD : 54-72 (13-24, 20-12, 11-18, 10-18 ).
Arbitres: MM Thivend et Pochart
Caluire : Seigle (18 ), Ivankic (7), Miguel (11), Gireau (3), Sarizafy (9), Villard (4), Candela (2)
Dijon : Clemencet (2), Naltet (23), Gavignet (2), Aquilani (3), Prunet (12), Cometti (12), Boggio (7), Harvet (2), Seignez (7), Bonin (2)
Ce soir nous avons montré nos limites. Je suis inquiet pour la suite de la saison ». Dépité, Roland André, le coach de l’AL Caluire, pouvait l’être après la prestation de son équipe.
Ses joueuses se sont montrées beaucoup trop limitées pour espérer battre une équipe de Dijon solide. Après une entame catastrophique (+ 11 pour Dijon après le premier quart-temps), les Caluirardes ont signé un deuxième quart convaincant : agressives en défense, inventives en attaque, les supporters se remettaient à y croire.
Hélas, au retour des vestiaires, Caluire retombait dans ses travers : la maladresse et les mauvais choix.
En face, Dijon affichait une réussite insolente à trois points, et présentait un bilan de +8 à la veille de l’acte final. Obligées d’accélerer pour revenir au score, les Caluirardes confondaient vitesse et précipitation, et s’inclinaient logiquement.
www.leprogres.fr
Réaction récompensée
Bien en jambes et motivées, les Dijonnaises ont magnifiquement réagi à Caluire en s'imposant avec la manière (72-54). « Je suis vraiment très content de la prestation des joueuses. Elles ont prouvé qu'elles étaient motivées », commente l'entraîneur Mickael Maréchal. Rentrant tout de suite dans le vif du sujet, les Côte-d'Oriennes imposent leur rythme. Agressives en défense, capables de servir efficacement leurs intérieures, ces dernières prennent le large et posent leur empreinte sur la rencontre. Malgré un mauvais deuxième quart temps - « c'est de ma faute, j'ai fait les mauvais choix tactiques en défense », avoue l'entraîneur -, les Bourguignonnes ont su relever le défi physique voulu par les Rhodaniennes. Dominatrices au rebond, les Dadolliennes se sont révélées collectivement, avec à la conclusion Naltet (27 points).
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Caluire 54 - Dijon 72
À Caluire, Gymnase Lachaise, Caluire-DAD : 54-72 (13-24, 20-12, 11-18, 10-18 ).
Arbitres: MM Thivend et Pochart
Caluire : Seigle (18 ), Ivankic (7), Miguel (11), Gireau (3), Sarizafy (9), Villard (4), Candela (2)
Dijon : Clemencet (2), Naltet (23), Gavignet (2), Aquilani (3), Prunet (12), Cometti (12), Boggio (7), Harvet (2), Seignez (7), Bonin (2)
Ce soir nous avons montré nos limites. Je suis inquiet pour la suite de la saison ». Dépité, Roland André, le coach de l’AL Caluire, pouvait l’être après la prestation de son équipe.
Ses joueuses se sont montrées beaucoup trop limitées pour espérer battre une équipe de Dijon solide. Après une entame catastrophique (+ 11 pour Dijon après le premier quart-temps), les Caluirardes ont signé un deuxième quart convaincant : agressives en défense, inventives en attaque, les supporters se remettaient à y croire.
Hélas, au retour des vestiaires, Caluire retombait dans ses travers : la maladresse et les mauvais choix.
En face, Dijon affichait une réussite insolente à trois points, et présentait un bilan de +8 à la veille de l’acte final. Obligées d’accélerer pour revenir au score, les Caluirardes confondaient vitesse et précipitation, et s’inclinaient logiquement.
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