Page 40 sur 52

Posté : dim. 12 avr. 2009 8:53
par KOP 26
Superbe victoire !!!! =D> =D> =D> =D> =D>
Bravo Laveyron. Félicitations à tout le groupe :mrgreen: :alien: :mrgreen: :alien:

Posté : dim. 12 avr. 2009 11:06
par la zone
Centre Fédéral - Pleyber-Christ : 75-72
L'avenir s'assombrit


Arbitres: Bezanger Fabien et Bouillaud Patrice.
CENTRE FÉDÉRAL: Konteh (17), Grossemy (16), Okou Zouzouo (14), Eustache (2) Akmouch (14) puis Watrelot (2), Basque (10). Entraîneur: Gregory Halin.
PLEYBER-CHRIST: Kernevez (10), Boubala (9), Venier (11), Thos (2), Soltisova (10) puis Desert (17), Le Fé (12). Entraîneur: Franck Simon.

Alexandra Thos et les joueuses de Pleyber-Christ n'ont pas réussi à s'imposer face à l'équipe du Centre Fédéral, hier soir.

Pour Pleyber-Christ, il fallait impérativement s'imposer contre le Centre fédéral, dernier de ce championnat, pour avoir encore une chance de se maintenir en Nationale 1. Hélas...

Les joueuses de Pleyber-Christ débutaient très mal cette rencontre. Prises à la gorge par une défense athlétique du CFBB, les Finistériennes peinaient à mettre en place leurs systèmes d'attaque et bien souvent c'est l'improvisation qui l'emportait. Si Boubala et Kernevez marquaient en pénétration, il n'y avait rien de convaincant dans le jeu breton. En face les pensionnaires de l'INSEP ne manquaient pas d'adresse, notamment à trois points. Elles creusaient un écart conséquent et menaient 20 à 7 à la fin de la première période.

Pleyber se reprend

Les Bretonnes offraient un second quart-temps de toute beauté. Laura Désert rentrait et donnait une nouvelle dynamique à l'équipe. Elle était ensuite imitée par Caroline Le Fé qui, grâce à deux paniers à trois points ramenait son équipe à trois points de différence (25-22). Pleyber-Christ retrouvait son jeu collectif, réalisait quelques belles séquences de jeu et parvenait enfin à libérer ses shooteuses (32-33, 17e). Ce second quart-temps était parfaitement maîtrisé. Mais les efforts réalisés dans la seconde période n'étaient pas pas réitérés dans la 3e. L'arrière du CFBB montrait son talent et déstabilisait la défense bretonne. Le PCBB ne réussissait pas à défendre sur ces phases de jeu. La meneuse Kernevez ne se ménageait pas pour son équipe et grâce à une de ses interceptions, les Finistériennes égalisaient à 52 partout à l'entame de la dernière période. (52-52, 3e).

La pression du résultat

Franck Simon comme ses joueuses sentaient la pression du résultat. Pley
ber-Christ péchait en défense sur les tirs à trois points. Concentrées sur les joueuses intérieures, elles oubliaient les extérieurs qui avaient tout le temps de marquer leur tir ouvert comme Konteh (70-67, 38e). L'équipe de Franck Simon gérait mal cette fin de partie. Pourtant Boubala avait ramené son équipe à deux points et par cette possession Pleyber-Christ pouvait au moins égaliser. Dommage car avec cet échec, les Bretonnes avaient sérieusement compromis leur chance de maintien au grand dam de l'entraîneur Franck Simon très déçu: «C'est dur, on est très déçu car cette défaite va compter. Les autres équipes vont sûrement gagner et nous, on va traîner cette défaite comme un boulet. On a manqué de rigueur défensive contrairement au Centre Fédéral qui ne tremble pas quand il faut tirer». Deux victoires sont impératives pour espérer... car, à quatre journées de la fin du championnat, Pleyber-Christ n'a plus son destin entre ses mains.
B.A. - www.letelegramme.com
-------------------------------------------------- ----------------------------

Centre Fédéral - Pleyber-Christ BC (75-72)
Décidément, rien n'y fait


Aude Kernévez et les Pleybériennes ont laissé passer leur chance dans le dernier quart-temps face au Centre Fédéral.
Sauf miracle, l'équipe première féminine du Pleyber-Christ BC terminera la saison sans avoir glané le moindre point à l'extérieur.

On ne voit pas, en effet, comment elle pourrait aller gagner à Charleville alors que, samedi dernier, elle s'est, pour la quatorzième fois cette saison inclinée loin de sa salle. Et ce devant le Centre fédéral, lanterne rouge du championnat mais véritable bête noire des Pleybériennes qui ne sont jamais parvenues à la battre en Nationale 1. Dire que la déception régnait dans le camp pleybérien serait faire preuve d'un doux euphémisme. Franck Simon, le coach, était effondré: «Une fois encore, nous n'avons pas su gérer les moments importants du match. Pourtant, après un premier quart calamiteux puisqu'à son terme nous comptions 13 points de retard, les filles ont retrouvé toutes leurs sensations pour infliger aux Parisiennes un 31-12 qui leur permettait d'aborder la deuxième partie du match dans de bonnes conditions. Du moins le pensais-je. Mais les filles sont retombées dans leur travers. Transparentes à l'intérieur, elles ont laissé les coudées franches à une équipe parisienne qui jouait sans deux de ses stratèges mais qui, de ce fait, avait ouvert à d'autres filles la possibilité de s'exprimer à des postes inhabituels pour elles. Et elles nous ont fait mal. Le reste de la rencontre s'est transformé en une course-poursuite avec une fois nous devant, une autre fois les Parisiennes. Mais au moment de fournir l'effort qui nous aurait permis de l'emporter, et comme en face, l'adresse devenait carrément insolente, nous avons une fois encore perdu ce match. Face à une équipe qui n'avait jamais battu deux fois la même équipe dans la saison. C'est chose faite et grâce à nous. C'est terriblement frustrant.»

Deux matches à la maison

Cette défaite est très préjudiciable car elle laisse le PCBC dans une situation des plus délicate et ce à seulement quatre rencontres du terme. Laveyron s'est imposé et si Ifs et Colomiers se sont inclinés, cela n'a pas été profitable aux Pleybériennes car battues elles aussi. Ce qui va les forcer à gagner lors des trois réceptions: Nice, Graffenstaden et Colomiers et en espérant que ses adversaires directs pour le maintien laissent des plumes lors de cette fin de parcours. Certes c'est dans le domaine du possible, mais l'espoir s'est sérieusement amoindri. Samedi, Nice devra repartir les mains vides. C'est un impératif. Il se murmure que la formation azuréenne est en proie à de grandes difficultés financières mais Franck Simon ne veut surtout pas tomber dans ce piège: «La rumeur, toujours la rumeur. Ce que je sais c'est que nous allons rencontrer une équipe qui est mieux classée que nous, qui nous a battus à l'aller et qui ne viendra pas en touriste à Pleyber-Christ.» Voilà qui a le mérite de la clarté.
R.B. - www.letelegramme.com

Posté : dim. 12 avr. 2009 11:56
par GIB's
face aux deux tours de controle DIAWARA et WASHINGTON les laveyronnaises n'ont pas tremblées , et ce malgré le déplacement qui n'arrange pas les organismes !

Félicitations pour cet exploit , si si , exploit !!!

Posté : dim. 12 avr. 2009 13:44
par criquounet75
toulouse 65 limoges 75

Finalement, malgré le talent d'emmanuel Hermouet, le collectif limougeaud a fait le boulot autour d'une cora duval impérial dans la raquette avec 22 points et 10 rebonds et une défense en béton armé !!

Il ne reste plus qu'au leader de la NF 1 de remporter les matchs à domicile pour cloturer la montée !!! Bravo à elle ! Vivement la final à quatre à Beaublanc pour un apothéose d'une saison exemplaire !!

Posté : lun. 13 avr. 2009 18:49
par JBL
Un pas de plus

NICE - SIG 65-80. - La belle victoire de la SIG en terre azuréenne, combinée aux résultats de la 26e journée - défaite des concurrents directs Armentières, Charleville et Toulouse -, donnent aux Illkirchoises une avance conséquente dans la course aux play-offs.
Le NCO aligne son équipe au grand complet et aborde cette rencontre à la vitesse grand V. Au bout de 4' de jeu, la SIG est complètement larguée : 17-2 et déjà cinq pertes de balle. Micaletto (8 pts) et Moua (10 pts) se sont déjà régalées. La SIG n'y est pas du tout, malgré un coup de rein pour finir ce quart-temps sous la barre des dix points : 28-21.
Dès le début du deuxième acte, Konaté aligne coup sur coup deux tirs au-delà des 6,25 m et permet à la SIG de recoller (30-27, 12e'). Mais une nouvelle période de flottement dans les rangs alsaciens offre une seconde échappée aux locales (39-27, 14e'), grâce à la patte de Gomis et Guerra.
La SIG a laissé passer l'orage et commence à resserrer plus sérieusement sa défense. Quelques ballons interceptés et les Illkirchoises rentrent au vestiaire avec un léger déficit : 45-42. Un moindre mal au regard de cette mi-temps.
De retour sur le parquet, les Illkirchoises se montrent plus conquérantes. Sur un lancer de Konaté, la SIG, pour la première fois, prend la tête : 47-49 (22e'). Alors que les Niçoises commencent à montrer des signes de faiblesses, le duo de feu Fischbach-Konaté allument des mèches meurtrières en profitant des moindres espaces pour shooter. Le tandem continue ainsi sans relâche, alimentant la marque de ce troisième quart-temps à lui tout seul : 49-59 (28e'), puis 53-59 (30e').
Dans le dernier acte, rien ne semble acquis. Les Niçoises envisagent un éventuel retour : 61-66 (35e'). Si Sendner et Vernerey (13 pts à elles deux sur la partie) sont loin de leur apport habituel, elles font un abattage phénoménal au niveau des rebonds. Nsoki n'est pas en reste.
Afin d'éviter un scénario catastrophe, le collectif bas-rhinois s'en remet à une Konaté on fire. qui totalise six paniers primés et 34 points sur la rencontre - le record sur un match cette saison en NF1 -. Avec deux tirs très loin derrière l'arc, Fischbach (20 pts) maintient l'emprise sur le match en octroyant un avantage substantiel à son équipe : 63-72 (37e').
Les filles du Sud terminent sur les genoux une rencontre qu'elles avaient superbement bien commencé, mais qui les vu incapables par la suite, d'endiguer les prouesses du collectif alsacien.

Quart-temps : 28-21, 17-21, 8-17, 12-21. Arbitres : MM. Demontis et Huglo
NICE : 27 paniers, dont 3 à 3 pts, 8 LF sur 10, 20 fautes. Micaletto 15, Guerra 14, Moua 14, Gomis 11, Slabecka 7, Mirvic 4.
SIG : 29 paniers, dont 9 à 3 pts, 13 LF sur 21, 12 fautes. Konaté 34, Fischbach 20, Nsoki 7, Sendner 7, Vernerey 6, Nussbaumer 4, Boissinot 2, Battaglia, Kopp, Mauler.

JCG
Édition du Lun 13 avril 2009 (DNA)
http://www.dna.fr

Posté : lun. 13 avr. 2009 19:00
par JBL
La SIG se régale à Nice

La SIG restera donc la bête noire des clubs niçois. Après un match nul (en quart de finale aller) et deux défaites (quart de finale retour et demi-finale du Trophée Coupe de France) face au NCAB l’an passé, les Alsaciennes s’imposent cette fois-ci pour la première fois en terre azuréenne, contre le Nice Cavigal Olympic, 80-65.
Alors que cette nouvelle défaite du NCO, la cinquième en six rencontres, plonge l’équipe d’Odile Santaniello dans le doute, à un point du premier relégable, la SIG s’installe quasi définitivement à la troisième place. Grâce aux défaites de Charleville et Toulouse, une dernière victoire lors des quatre dernières journées assurerait définitivement aux joueuses de Philippe Breitenbucher la qualification pour le final four.
Pourtant, cette vingtième victoire en 26 journées était difficilement envisageable en début de rencontre. A côté de la plaque, le promu alsacien est assommé par le départ tonitruant des coéquipières de Micaletto, formée… à la SIG (19-4 à la 5e). Mais les Niçoises s’essoufflent rapidement. Konate, omniprésente, fait parler son adresse à longue distance et la SIG recolle au score (28-21 à la 10e). L’arrière illkirchoise est inarrêtable (19 points à la pause, 34 au final, record de N1 cette saison) et comble la maladresse du duo intérieur Schmitt-Vernerey. Une dernière contre-attaque et la SIG reste au contact à la pause (45-42).
Fischbach se met au diapason et les Bas-Rhinoises infligent un 15-2 fatal aux joueuses locales, 47-57. Face à l’impressionnant collectif alsacien, le NCO multiplie les pertes de balle. Konate puis Fischbach par deux fois alignent les tirs primés pour anéantir les derniers espoirs des Niçoises (63-76 à la 38e). La SIG enregistre ainsi une quatrième victoire consécutive décisive.

Romain Schué
l'Alsace
http://www.lalsace.fr/

Posté : mer. 15 avr. 2009 18:28
par la zone
Strasbourg ABC – Laveyron : 64-69.
Le SABC trop limité


Salle du Hall Tivoli. Les quarts temps : 17-14, 25-18 (42-32), 10-21, 12-16.
Arbitres : M. Groll et Mlle Amghar. 200 spectateurs.
SABC : 15 fautes ; Cayot 19, M’Boma 14, Diawara 14, Washington 9, Traore 5, Vanhoutreve 3, Frauli, Buchet.
Laveyron : 17 fautes ; Carmona 17, Gassama 16, Papadopoulou 13, Ayi 10, Verjuin 7, Aissani 4, Candelier 2, Forel, Maisonnas, Cros.

Les matches se suivent, les résultats également : avec un effectif limité, les filles de José Ruiz ont laissé la victoire à Laveyron ce week-end (64-69).

La liste des indisponibilités s’allonge au Strasbourg ABC, la dernière en date étant celle de Johanna Ratzel, qui s’est fait une entorse de la cheville lors de l’entraînement la veille du match. Cinq cadettes se retrouvent donc sur la feuille de match avant que Diawara ouvre la marque pour le SABC, imitée de suite par Papadopoulou, auteur de deux paniers primés (4-6). Les deux équipes sont assez crispées et la marque évolue peu, si bien que l’on retrouve un petit score après 5 minutes de jeu : 7-8. Par Gassama, les Laveyronnaises mènent 10-14 mais les Strasbourgeoises par M’Boma et Cayot terminent fort ce quart temps (17-14).
Les visiteuses recollent tout de suite au score (17-18 ) mais les intérieures strasbourgeoises trouvent le panier (23-18 à la 13e). Puis Cayot creuse un premier écart grâce à trois tirs bonifiés et le score évolue favorablement pour les joueuses locales (35-22 à la 17e). L’entrée en lice de Traoré, par 5 points d’affilée, permet au SABC d’avoir une avance de 15 points à 1’30’’ de la mi-temps (40-25). Mais un relâchement de la défense locale permet à Carmona de réduire le score à la fin de ce second quart temps : 42-32.
Après la pause, Laveyron se jette à corps perdu dans le match et, en l’espace de 3 minutes, revient sur Strasbourg (42-40). Tout est à refaire pour les Blanches du SABC et c’est Diawara qui se charge de faire évoluer le score (49-42 à la 26e). A nouveau, Laveyron remet une couche par l’inusable Carmona qui non seulement défend en boite parfaitement sur Cayot mais enfile également les paniers et permet à son équipe de repasser en tête (49-53), M’Boma réduisant la marque dans ce quart temps (52-53).
Dans ce dernier acte, Washington, peu à l’aise dans ce match, ramène son équipe à 55-53, puis M’Boma et Vanhoutreve d’un tir bonifié permettent aux joueuses locales d’entretenir l’espoir (60-56 à la 35e). Malheureusement pour elles, c’est la dernière fois que les Strasbourgeoises vont mener au score car Laveyron, sentant son heure et la possibilité de ramener une victoire à l’extérieur, enfonce le clou par Gassama et Ayi et passe devant (60-64 puis 61-67 à la 38e). Malgré les différents temps morts du coach Ruiz, ses protégées vont à nouveau connaître la défaite due à une rotation de joueuses trop limitée dans ce championnat de NF1 (64-69).
www.alsapresse.com

Posté : mer. 15 avr. 2009 21:05
par la zone
toulouse mb 65 - Limoges 75
Pour le TMB, cette porcelaine était incassable


MT : 27-32
(17-12, 10-20, 21-23, 17-20).
Arbitres : Hugues Thepenier et Pierre Brethes. 1000 spectateurs .
TOULOUSE : Hermouet 21, Péruch 19, Gauthier 6, Lacrabe 5, Nedovic 4 puis Agbatan 8, Noirez 2, Tavares, Minard et Lebouc. 23 tirs réussis sur 57 dont 5 sur 20 à 3 points. 14 sur 16 aux lancers francs. 32 rebonds (Péruch et Agbatan, 7). 15 passes décisives (Péruch, 5). 13 balles perdues. 9 interceptions (Agbatan, 4). 18 fautes.
LIMOGES : Duval 22, Ayissi 15, Cousin 13, Jomby 5, Kowalik 3 puis Tayeau 14, De Colo 3 et Djourovitch. 25 tirs réussis sur 58 dont 9 sur 23 à 3 points. 16 sur 23 aux lancers francs. 27 rebonds (Duval, 10). 15 passes décisives (Duval, 5). 10 balles perdues. 10 interceptions (Jomby et Duval, 3). 20 fautes.

Limoges s'impose en leader sur le parquet du Toulouse Métropole.
Anna Nedovic grimace, Cora Duval et Limoges auront le dernier mot.

À l'heure de l'apéritif c'est Duval qui ouvre le score. Nedovic donne l'avantage aux locales mais commet très vite sa deuxième faute. Agbatan la remplace et trouve ses marques immédiatement. Le TMB, en se servant d'une excellente défense de zone, adaptée pour l'occasion, comme base, et avec Hermouet à la conclusion, creuse un écart (11-6) qui oblige l'entraineur limougeaud à prendre un temps-mort. Lacrabe, Péruch et Agbatan maintiennent l'avance : 17-12 (10e). Le TMB et Hermouet continuent sur leur lancée : 21-14. Les visiteuses vont alors réagir de belle manière. Elles s'adaptent à la défense toulousaine, sont en réussite à trois points (6 sur 14 à la pause pour le quatuor Kowalik, Cousin, De Colo, Jomby) et inscrivent 16 points en cinq minutes sans en encaisser : 21-30. Les deux temps-morts de Valérie Garnier sont restés improductifs. C'est avec la sortie d'Ayissi (2 fautes) que Toulouse respire et arrive enfin à stopper l'hémorragie grâce à Péruch et Noirez. À la mi-temps le TMB reste dans l'allure : 27-32.

À la reprise, les visiteuses vont trouver les scoreuses idéales. Celles qui empêchent Toulouse de passer devant chaque fois qu'il revient au score. Ayissi quand Gauthier, qui vient de provoquer la troisième faute de l'intenable Jomby, ramène le score à 31-32 ; Tayeau à trois points quand Lacrabe et le TMB recollent à 37-38. Duval, qui aligne des stats pour deux (32 d'évaluation) en l'absence de Senghor, bien secondée par Tayeau et Cousin, donne douze longueurs d'avance à Limoges : 39-51. Toulouse ne fait que plier. Hermouet et Péruch permettent à leur équipe d'y croire encore à dix minutes du final. 48-55 sur un panier limougeaud offert à Tayeau par une défense locale inattentive.

Hermouet, une fois de plus irréprochable, et Péruch replacent le TMB dans le match en trois minutes : 56-57. Le temps-mort visiteur est opportun. Ayissi relance son équipe : 56-62. Agbatan et Toulouse y croient toujours quand Ayissi, Jomby et Tayeau commettent leur quatrième faute à plus de quatre minutes du final. : 58-64. Mais, à l'heure du digestif, Duval repaye sa tournée (7 points en 2 minutes) et le TMB finit par craquer.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr

27ème journée

Posté : mer. 15 avr. 2009 21:45
par la zone
Les rencontres du 18/04/2009

20:00 S.I. GRAFFENSTADEN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / RENNES AVENIR
20:00 U.S. COLOMIERS BASKET / CENTRE FEDERAL BB
20:00 PLEYBER CHRIST BASKET CLUB / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / ETOILE DE VOIRON FEMININ
20:00 CLUB BASKET D'IFS / STRASBOURG ALSACE BC
20:00 US LAVEYRON / ROCHE VENDEE BC
20:00 ARMENTIERES SO / TOULOUSE METROPOLE BASKET

Posté : jeu. 16 avr. 2009 10:56
par Corsaire40
20:00 S.I. GRAFFENSTADEN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / RENNES AVENIR
20:00 U.S. COLOMIERS BASKET / CENTRE FEDERAL BB
20:00 PLEYBER CHRIST BASKET CLUB / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / ETOILE DE VOIRON FEMININ
20:00 CLUB BASKET D'IFS / STRASBOURG ALSACE BC
20:00 US LAVEYRON / ROCHE VENDEE BC
20:00 ARMENTIERES SO / TOULOUSE METROPOLE BASKET

Posté : jeu. 16 avr. 2009 11:27
par plscorer6
20:00 S.I. GRAFFENSTADEN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / RENNES AVENIR
20:00 U.S. COLOMIERS BASKET / CENTRE FEDERAL BB
20:00 PLEYBER CHRIST BASKET CLUB / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / ETOILE DE VOIRON FEMININ
20:00 CLUB BASKET D'IFS / STRASBOURG ALSACE BC
20:00 US LAVEYRON / ROCHE VENDEE BC
20:00 ARMENTIERES SO / TOULOUSE METROPOLE BASKET

Posté : jeu. 16 avr. 2009 18:30
par KOP 26
SIG
Charleville
Colomiers
Pleyber
Limoges
IFS
Laveyron
Armentières

Posté : jeu. 16 avr. 2009 22:35
par la zone
Bertrand Parvaud : Je voudrais être Champion de France à Beaublanc

Le Limoges ABC en Limousin est leader depuis dix-sept journées. Comment vivez-vous cette saison ?
Elle a débuté pour moi avec pas mal d’appréhension. D’abord le fait d’être seul à la tête de l’équipe. Sans assistant, je me posais aussi beaucoup de questions concernant la préparation physique. Et j’avais une autre inconnue, celle de savoir si on allait pouvoir atteindre notre objectif de terminer dans les quatre premiers. Aujourd’hui, on peut constater que la saison se déroule bien. L’objectif initial est d’ores et déjà atteint. Je vis cette saison à sa juste valeur, avec plein d’enseignements et d’éléments qui me confortent dans mes approches.

Plein d’enseignements ? Ca veut dire aussi une accumulation d’expériences ?
Oui. Je pense à deux axes : un axe sportif et un axe personnel. Dans le domaine sportif, il y a l’équipe. Je retiens l’importance de la gestion d’une dynamique de groupe. Il a fallu instaurer une confiance entre tous les acteurs et répondre de la façon la plus juste à toutes les attentes individuelles et collectives, les membres de l’équipe, le club, l’environnement extérieur,… C’est une alchimie à bien maîtriser. Sportivement, on a réussi à avoir une qualité dans le groupe, avec un secteur intérieur dominant, des extérieures capables de scorer à mi distance, des meneuses sûres dans la gestion. Cet aspect technico-tactique est évidemment primordial. Le deuxième axe est d’ordre personnel. J’ai été confronté à la nécessité de mettre en avant mes qualités mais aussi de progresser sur mes points faibles. Pour avoir géré seul ces aspects, je peux parler aujourd’hui d’un enrichissement certain parce que j’ai été contraint de prendre du recul et d’avoir des interventions plus précises, notamment techniques et dans la gestion du groupe.

On vit une saison exceptionnelle…

On a vraiment l’impression, lors des matches, d’une véritable sérénité, celle des joueuses qui renvoie à celle du coach ?
C’est vrai. En me reposant sur mon feeling, je me suis retrouvé en phase avec moi-même et beaucoup plus confiant dans ce que je faisais. J’y croyais plus et les joueuses l’ont ressenti. Ca allait aussi avec le groupe. Les résultats aidant, on a créé cette dynamique, cette prise de confiance. A chaque match, le groupe et moi avons accumulé de l’expérience et la confiance s’est accrue. J’ai bien vécue la saison et j’ai pris mon rôle dans le bon sens, d’où en grande partie cette sérénité.

Cette saison est néanmoins d’une certaine façon remarquable ? Pour le moins, elle n’était pas attendue à ce niveau là…
On vit une saison exceptionnelle ! Mais j’ose penser qu’on est capable de la réitérer. Il faut en tirer les enseignements et les replacer dans d’autres contextes. Tout le monde a eu des phases de doute mais chacun a su se ressaisir, se cadrer sur ses points forts pour continuer à avancer et ne pas se laisser emporter par les difficultés du moment. Comme on allait dans le même sens, on s’est tous retrouvé derrière cet objectif. On peut dire que l’exception est dans le fait que tous les ingrédients se sont regroupés.

La cerise sur le gâteau…

On ne parle même plus du Final Four, mais de cette première place que détient aujourd’hui le Limoges ABC. Quel est votre objectif ?
Continuer et finir le mieux possible. Gagner le maximum de matches et arriver au Final Four sur la même lancée, en confiance, sûrs de notre basket, des forces qui nous ont permis de réaliser cette saison.

Quels sont les principaux dangers ?
Principalement la fatigue physique et mentale du groupe. Le championnat est trop long pour les organismes et pour des joueuses semi professionnelles. C’est d’ailleurs pour ça qu’il y a autant de blessées dans ce championnat. Au niveau mental, c’est aussi très difficile. On aura réalisé la plus grande partie du championnat en tête ce qui rend tous les matches un peu plus durs. On est toujours dans une remise en cause de notre statut, avec une pression persistante. Faire chuter le premier, c’est l’objectif de nos adversaires, tous les week-end.

Le championnat n’est pas encore terminé que, très vite, tout le monde va penser au Final Four …
Il ne faut pas voir le Final Four comme une suite de la saison ! Ce sera un événement particulier avec des matches secs et un titre à aller chercher. Je devrai gérer à la fois la nécessité d’un relâchement d’après championnat, pour mieux recharger les accus, et l’obligation d’être en pleine possession de nos moyens pour une nouvelle dynamique sur un week-end.

Un Final Four à Limoges, ce sera la cerise sur le gâteau ou la pression sur les épaules de l’entraîneur ?
La cerise ! Parce que je serai là, dans cette ville où je suis né et où je vis, dans le Palais des Sports où j’ai grandi en tant que supporter du CSP. C’est très plaisant et j’ai déjà envie que le Final Four soit réussi.

Jusqu’au titre de Champion de France ?
Oui.

Une ambiance conviviale…

On pense forcément à la saison prochaine ! Dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ?
Mon travail ne s’arrête pas à cette saison et je me projette sur la saison d’après. Toutes les hypothèses sont ouvertes. D’abord des considérations personnelles liées à mon avenir au sein du Club ou ailleurs. Et aussi des réflexions plus collectives sur le groupe, quelle équipe, quelles joueuses, quelle organisation ? Je cherche déjà à retirer les aspects importants de cette saison d’exception pour essayer de projeter et de transférer sur la prochaine saison.

Que voudriez-vous changer, d’ores et déjà ?
D’abord l’organisation du staff technique. Elle doit évoluer, dans son effectif et dans ses prérogatives. Il faudra au minimum un assistant, et d’autres personnes autour de l’équipe première, notamment pour faire du travail plus analytique, individuel, physique, technique. Ensuite, dans l’optique Ligue Féminine, il faudra nécessairement augmenter le volume et les temps d’entraînements. Parce que le championnat de Ligue est d’une grosse intensité physique mais aussi parce que ce travail figurera parmi les attentes et les exigences de sportives professionnelles.

Que voudriez-vous conserver, en tout état de cause ?
L’ambiance conviviale, presque familiale qui fonde le Club aujourd’hui. Cette chose qui fait qu’on a envie de se battre sur le terrain pour les jeunes du Club, pour les gens du Club.

La formation, c’est un enjeu économique…

La Ligue Féminine bouge beaucoup. Vous suivez le championnat, les matches, l’organisation ?
Je suis les matches et les évolutions mais de façon générale. Car avec le calendrier de notre championnat, on ne peut pas se déplacer sur les parquets. Donc, je regarde des matches sur internet. Je me rends sur la plupart des grands événements, la Coupe ou l’Open. Mais malheureusement, on sait que la médiatisation du basket n’est pas extraordinaire… Je suis par contre attentif aux débats actuels sur la formation de la joueuse et sur l’évolution des Centres de formation.

Après la suppression du Championnat Espoir, demandée par les Clubs de Ligue, le cahier des charges de LFB impose aux clubs d’avoir une équipe en NF2. Cette disposition est elle-même aujourd’hui controversée… Quelles réflexions avez-vous à propos de la formation ?
La formation, c’est une question essentielle, donc complexe. C’est d’abord un enjeu économique. Former des joueuses coûte et chacun va donc se situer par rapport à des critères de rentabilité économique. Pour permettre une meilleure protection pour les Clubs qui investissent en formation, on voit apparaître aujourd’hui de nouvelles notions comme celle de la joueuse « formée localement ». Mais regardons ce qui se passe... Les Clubs de Ligue doivent avoir cette équipe en NF2, composée de jeunes joueuses en formation : c’est l’ossature des Centres de Formation. Mais la plupart de ces équipes de jeunes éprouvent des difficultés pour se maintenir. Pour une raison simple : l’impact économique qui fait que les autres clubs de NF2 paient leurs joueuses. On ne peut pas lutter ! Il faut donc trouver une façon de revaloriser les Centres de formation et mettre en place une formation qui convienne aussi bien aux acteurs qu’aux éléments de la conjoncture.

Dans le milieu du basket, on fonctionne par caste…

Que diriez-vous de la formation au sein du Limoges ABC en Limousin ?
Il faudrait avoir réellement une démarche de formation de la joueuse ! Aujourd’hui, on est enfermé dans des considérations collectives, il faut gagner, il faut gagner… Et cette culture est partagée par tous les acteurs, entraîneurs, dirigeants, parents. Mais même en Championnat de France Minimes ou Cadettes, c’est parfois au détriment de la formation de la joueuse qu’on avance la victoire comme valeur suprême. Je crois qu’il faut d’abord permettre à chacune d’évoluer à un niveau qui lui permette de progresser plus vite. On a en main, au sein du Club, tout ce qu’il faut pour le faire. Mais tout le monde n’est pas toujours prêt à s’investir pour accepter les contraintes. On veut tout, tout de suite, à l’image du fonctionnement de notre société, et on n’accepte pas de s’investir à fond et durablement sur un projet.

Vous décrivez pour une part une difficulté récurrente. N’est-ce pas aussi un symptôme des problèmes qui agitent la communauté basket aujourd’hui ?
Ce que je crois en tout cas, c’est le basket manque d’union entre ses différents acteurs. Par exemple, le rôle de l’entraîneur ne peut pas se cantonner uniquement au terrain mais il doit participer au développement de son club et de son sport. Or, dans le milieu du basket, on fonctionne par caste, les entraîneurs, les dirigeants, les arbitres. Ce qui ne fait qu’accroître les difficultés de notre sport. Tout le monde veut se battre pour une part du gâteau. Mais quel gâteau ?

C’est la fin d’un cycle pour le Club, le début d’un nouveau …

Le basket c’est une part importante du gâteau de votre vie aujourd’hui. Et demain ? Quels sont vos idées, vos projets, vos souhaits ?
Aujourd’hui, c’est de plus en plus mon métier. Je me projette de plus en plus dans un métier du basket. Par contre, j’ai dépassé le stade de ma passion, j’ai pris du recul. Je sais que, dans le basket, il n’y a pas que le métier d’entraîneur qui m’intéresse et qui m’intéressera. Confronté à toutes les évolutions de ce sport, je veux dorénavant me préparer à toute éventualité pour progresser, être prêt à saisir toute opportunité et toutes possibilités qui peuvent se présenter à moi.

Vous êtes arrivé au Club en octobre 2000. Quel sens donnez-vous à cet itinéraire, à cette histoire en cours avec le Limoges ABC en Limousin ?
Mon investissement est d’abord lié à mon caractère. Je m’investis personnellement dans chaque chose que j’entreprends. Pour plein de raisons, je me suis retrouvé bien au Limoges ABC. Cette histoire avec le Club a correspondu à mes attentes, aux choses dont j’avais besoin. Jusqu’à présent, mes aspirations ont été en corrélation parfaites avec ce que le Club m’a permis de vivre. Aujourd’hui, je pense que cette accession en Ligue Féminine rejoindrait la volonté et le projet du Club. Je pense qu’en cela, c’est la fin d’un cycle pour le Club. Mais aussi le début d’un nouveau.

Le prochain match…

Salle Mu’, samedi, la réception de Voiron. Dans quelle ambiance abordez-vous ce match ?
Il ne faut pas que nous nous laissions griser par tous les événements extérieurs. On est là pour gagner ! Il ne faut pas perdre ce fil conducteur. Le match de Voiron, c’est un match comme les autres. Il faut l’aborder avec la même envie, le même désir de gagner.

Merci et bonne fin de saison !
www.limogesabc.com 13 avril 2009

Posté : sam. 18 avr. 2009 9:00
par la zone
S.I. GRAFFENSTADEN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
DMBC : garder la tête haute à Graffenstaden


GRAFFENSTADEN (3e) - DMBC (8e), ce soir, salle du SIG, à 20 h.
-Absente : Detry (entorse) - Entrées : Zemantauskaite, Protin.

Sonia Adler et les Dunkerquoises ont une mission très compliquée à relever chez des Alsaciennes à qui tout réussit.

Il fallait que DMBC frappe un grand coup avant la fin de saison. Le succès face à Charleville a prouvé que les Dunkerquoises étaient capables de rivaliser avec les meilleures. Ce soir, elles devront de nouveau le prouver face à une autre formation en course pour le « final four ». Mais cette fois, c'est à Graffenstaden...

Pour mettre ses protégées dans le contexte, l'entraîneur dunkerquois n'a pas hésité à reprendre une formule bien en phase avec sa formation. « La vraie vérité envers l'avenir est de tout donner au présent. » Les Dunkerquoises ont bien retenu le dicton, samedi dernier, mais cela n'exclut pas le désir de le reproduire, ce soir, en Alsace. Mais il est certain que l'envie ne suffira pas. Il va falloir des maritimes au top pour empêcher les Alsaciennes d'obtenir un 11e succès sur douze depuis la phase retour !

Et donc pas question de la part des futures adversaires des Nordistes d'offrir des fleurs pour les remercier d'avoir battu Charleville, qui, maintenant se retrouve à un point de Graffenstaden. DMBC n'a que faire des débats en haut de classement. Son souhait est de sortir de cette zone où cinq formations sont à la lutte pour éviter la place vacante pour accompagner Ifs, Colomiers et Pleyber-Christ.

Car à moins d'un sauvetage administratif, les trois formations évolueront en N2 la saison prochaine. Pour l'expédition, Christian Devos sera privé de Jehanne Detry (entorse à la cheville), mais du coup, il peut compter sur la présence de Rasa Zemantauskaite, qui avait suivi des tribunes le match aller que DMBC avait emporté après une partie folle (100-95), et Justine Protin, pour qui ce sera le baptême de feu. •
A. B. - www.lavoixdunord.fr
-------------------------------------------------- -----------------------

SIG : à double titre

Céline Sendner et la SIG ont leur destin en main. Le final four est en vue.

Battues à l’aller dans le Nord (100-95), les Illkirchoises veulent prendre leur revanche à 20 h dans leur hall face à Dunkerque. Une 21e victoire les rapprocherait encore du final four.

Qui arrêtera la SIG ? Après leur 10e victoire en 11 journées 2009 samedi à Nice (65-80), les Illkirchoises sont désormais toutes proches du final four de NF1. En s’imposant sur la Côte d’Azur, elles ont profité à plein des défaites conjuguées de Charleville (à Dunkerque) et Toulouse (face au leader Limoges). À quatre journées de la fin, les voilà nanties de trois victoires d’avance sur le duo carolo-toulousain, ex aequo à la 5e place.
Toujours 3e, le promu bas-rhinois est même revenu sur les talons d’Armentières, laminé à Roche Vendée et qui ne le devance plus qu’au panier-average. Il n’a pourtant pas encore tout à fait son billet pour les play-offs en poche. Ce soir (20 h) face à Dunkerque dans leur hall, Audrey Kopp et ses partenaires tenteront donc de décrocher un 21e succès qui éliminerait définitivement Toulouse, défait à deux reprises par les Bas-Rhinoises. Seul Charleville, vainqueur à l’aller à Illkirch et chez qui la SIG se rendra lors de la dernière journée, pourrait encore les priver des play-offs. Hypothèse peu probable quand on sait qu’auparavant, l’équipe de Philippe Breitenbucher se rendra à Pleyber-Christ le 25 avril et recevra Colomiers le 2 mai, deux clubs déjà relégués.
De leur côté, l’ex-Strasbourgeoise Sonia Adler et Dunkerque, 5es en 2007-2008, n’émargent qu’à une décevante 8e place et sont toujours en quête du maintien. Mais elles restent capables de coups d’éclat, comme à l’aller où elles s’étaient imposées 100-95 ou comme contre Charleville le week-end passé (70-56). « C’est une très belle équipe », souligne Philippe Breitenbucher, toujours privé de Jessica de Amorim, Marie-Noémie Privet et Caroline Nestor, blessées. « Tout le monde la voyait dans les 2 ou 3 premiers. Pour nous, le challenge est simple : gagner deux matches sur quatre. Et comme je souhaite que le dernier déplacement à Charleville ne soit pas décisif, il faut donc en remporter deux sur trois. Les deux à domicile suffiraient. »
Battue à seulement deux reprises chez elle, la SIG a ainsi plus que jamais son destin en main. « C’est le plus agréable », se réjouit le coach. « Mais attention, car Pleyber-Christ a remporté ses 7 victoires à domicile et Colomiers viendra faire un résultat dans l’espoir d’être repêché. Nous sommes presque au final four. Mais entre y être presque et y être vraiment, il y a une marge. Nous ne devons pas nous relâcher. »
S.G. - www.alsapresse.com

Posté : sam. 18 avr. 2009 9:04
par la zone
Armentières - Toulouse Métropole Basket.
le TMB continuer de rêver


Armentières reste le seul club invaincu dans sa salle. Même le leader Limoges est tombé à domicile, contre Graffenstaden sa bête noire. C'est dire si la mission qui attend les joueuses de Valérie Garnier a des airs d'impossible d'autant que les locales seront revanchardes. Battues à l'aller après des prolongations arrachées par Hermouet. Mais l'entraîneur toulousain se rappelle avoir gagné dans le Nord, le 24 novembre 2007, avec Le Temple. Le défi est de taille : le proche avenir du TMB est en jeu. Compliqué par la défaite face à Limoges, il va être scellé en huit jours avec la rencontre de ce soir plus un nouveau déplacement dans une semaine à La Roche, un concurrent direct pour l'accès au Final Four (qui se disputera dans la salle du premier de la saison régulière), qui vient d'écraser Armentières à domicile. Les Toulousaines ont encore leur destin en mains. Si elles gagnent lors de ces deux déplacements, il ne leur restera plus qu'à assurer à domicile contre Strasbourg et Voiron. Si elles ne doivent ramener qu'une seule victoire, il vaudrait mieux que ce soit de La Roche mais elles ne seront qualifiées que si les Vendéennes perdent au moins une autre rencontre... Si elles perdent deux fois, place aux apothicaires et leurs comptes pour envoyer le TMB en demi-finale !
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
-------------------------------------------------- --------------------------

ARMENTIERES SO / TOULOUSE METROPOLE BASKET
En cas de victoire ce soir face à Toulouse, les SOA pourraient préparer leurs bagages


Encore deux points à prendre et les SOA auront gagné leur billet pour Limoges.

La situation est désormais limpide : il faut encore une victoire aux SOA pour s'assurer une place en play-offs, et deux pour éviter Limoges en demi-finale. Et il ne serait pas pour déplaire au coach armentiérois d'être rassuré dès ce soir face à Toulouse, non seulement pour oublier les déboires du match aller, mais aussi pour pouvoir entrer de plain-pied dans la préparation du Final Four.

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'à quelques semaines de possibles play-offs, les Armentiéroises ne font rien pour rassurer leurs supporters ! Une victoire sur le fil contre Strasbourg et une lourde défaite (26 points) à Roche-Vendée... On a connu mieux pour engranger un capital confiance. Pas d'adresse, une absence défensive et un arbitrage délicat : tels sont les ingrédients qui, selon Stéphane Lalart, viennent expliquer la correction reçue en terre vendéenne. « Il faut absolument retrouver un peu de fraîcheur ! Pour l'instant, on n'en a plus du tout », déplore le technicien armentiérois qui, cette semaine, a choisi de lâcher un peu la bride aux filles. « C'est sûr, ça perturbe un peu la préparation en vue des play-offs... Mais il faudrait d'abord être sûr d'y être ! » Avouez qu'il serait quand même dommage après une pareille saison de ne pas réussir à empocher deux points sur les quatre dernières rencontres... « Il nous reste un match à gagner pour être en phase finale et deux si on veut finir deuxième ou troisième et ainsi éviter Limoges, continue Stéphane Lalart. Mais l'idéal serait de gagner les quatre pour retrouver une dynamique de la gagne. » Mais, sur la route des play-offs, se dressent deux redoutables adversaires (Toulouse, qui sera à Léo ce soir, et Limoges, la semaine prochaine) avant deux équipes logiquement prenables (Ifs à l'extérieur et Laveyron à la maison).

Toujours invaincues à domicile

« Toulouse est une équipe qui peut être redoutable, confirme l'entraîneur des SOA. Elles ont connu des mauvaises périodes, notamment en janvier où elles évoluaient sans leurs intérieures, blessées. Ça s'est traduit par plusieurs défaites d'affilée qui expliquent peut-être leur place au classement. Mais, aujourd'hui, si elles veulent être en play-offs, c'est simple : elles n'ont plus le droit à l'erreur.» Les Armentiéroises s'imposeront certainement la même discipline ce soir, animées probablement d'un esprit de revanche. Peut-être aussi de la volonté de préserver leur invincibilité à Léo-Lagrange, les SOA étant les seules à pouvoir encore prétendre au titre d'« invaincues à domicile ». « Cela ne doit pas nous mettre la pression et on n'en fait pas une montagne », relativise le coach des « Noires et Blanches ». Pas sûr que, côté gradins, on ait la même vision des choses ! •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com
Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord