LA ROCHE - IFS : 83-62
(25-18, 16-18, 22-10, 20-16).
Arbitres : MM. Breheret et Barbaud.
LA ROCHE : Vignola 6, Barreteau, Laskova 13, Balat 13, Demortier 15, Guillot 7, Fouquez 10, P. Grelier, Libicova 19.
IFS : Seigneur 4, Goltze 14, Galiana 11, Attiogbe, Villain 14, Diagne 4, Prsa, Chrzanowski 10, Nicolle 3, Chourchoulis 2.
Lucia Laskova retrouve ses sensations au fil des matches. Outre sa présence aux rebonds défensifs, la Yonnaise a marqué 13 points, samedi soir.
C'est sur fond de « Joyeux anniversaire... Mylène » et une nouvelle fois debout que le public de la salle Omnisports a ovationné ses protégées. Des applaudissements nourris pour saluer une victoire importante sur les Normandes. Un succès acquis avec la manière comme l'avait souhaité Mathieu Chauvet : « C'est vrai que nous réalisons un match assez complet des deux côtés du terrain ». Et si les Yonnaises mirent certainement vingt minutes à décramponner leurs adversaires, la seconde période fut totalement à leur actif.
Les Ifoises s'épuisèrent littéralement à vouloir soutenir le rythme imposé par le RVBC. Comme il se doit, l'entraîneur yonnais soulignait les petits points qui mériteraient selon lui d'être corrigés au regard des prochains matches où l'adversaire sera d'une toute autre force. À commencer par samedi prochain, puisque La Roche-sur-Yon se déplacera chez le leader limougeaud. Au rang des petits détails : « Il s'agit surtout de régler quelques négligences plutôt que des soucis techniques, précise Mathieu Chauvet. En première période par exemple, je trouve que nous avons perdu trop de ballons en attaque. Dans cette première mi-temps, je trouve également que, parfois, nous étions un peu en retard dans les duels, c'est pour cela que nous avons commis trop de fautes ».
Manière et victoire étaient donc au rendez-vous de cette nouvelle journée marquée par les prestations des intérieures yonnaises. Libicova et sa compatriote Laskova inscrirent tout de même 32 des 83 points. Si la première nommée est fidèle à ses habitudes, Lucia Laskova retrouve, depuis quelque temps, de bonnes sensations. « Lucia est un élément important qu'il faut utiliser à bon escient parce que physiquement, on sait qu'elle a du mal à tenir la distance, souligne Mathieu Chauvet. Ce qui me satisfait ce soir est d'avoir pu faire tourner mon effectif sans baisse de régime. Par contre, j'aimerais que nous avancions dans la même direction lorsque nous jouons à l'extérieur, ce qui ne se vérifie pas systématiquement ».
Excellente note également à Elodie Demortier qui grâce à ses trois paniers primés (fin de troisième quart) plaça définitivement le RVBC sur la bonne orbite. Coup de chapeau aussi à Laure Barreteau qui officia crânement à la mène pour faire souffler Jennifer Vignola.
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Ouest-France
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Et le 'plus' de Mylène:
Les conseils de Mylène Balat, capitaine de La Roche Vendée Basket et marraine de La Bicentenaire 2009 (1).
La capitaine de La Roche Vendée Basket, Mylène Balat, est marraine de la course. Sportive émérite, elle livre ses conseils pour dimanche.
« Une course sympa »
Mylène Balat a été choisie pour être la marraine de l'édition 2009. « À la fin d'un match, Yves Rouleau (l'adjoint aux sports) est venu me voir. J'ai été très honorée. Cette année, il y a une course handisport, j'ai moi-même joué plusieurs mois au handibasket, suite à des opérations aux genoux. »
Quant à la course à pied, elle la pratique lors des préparations d'avant-saison, des décrassages, et plutôt entre coéquipières : « La Bicentenaire est une course sympa, qui peut-être réalisée entre copines. »
« Il faut gérer son effort »
La course de 8 500 mètres est l'épreuve reine de la Bicentenaire. Une nouveauté cette année : la ligne droite du départ est prolongée jusqu'à la place de la Vendée. Objectif : permettre au peloton de s'étirer avant d'aborder le premier virage. « Je conseillerais aux plus rapides de se mettre devant, indique Mylène. Et en même temps, de ne pas partir en surrégime. »
« La Bicentenaire est une belle course vallonnée, il faut gérer l'effort ». La première difficulté, se situe vallée de l'Yon, environ 2 km après le départ avec la longue montée de Renou. Ensuite il y a la descente de la vallée de l'Yon, pas toujours facile à négocier non plus d'ailleurs. « On se retrouve à faire du renforcement musculaire... », dit Mylène Balat. Retour en centre-ville ensuite, avec la montée de la rue Carnot, difficulté majeure de la fin du parcours.
« Chaussures légères »
« Au niveau de l'équipement, il faut avoir des runnings, c'est-à-dire des chaussures légères... Au niveau du textile, toujours miser sur la légèreté », souligne Mylène Balat. Enfin, j'apprécie, quant à moi, de courir avec un cardiofréquencemètre. Cela permet de courir à la bonne allure. »
« Céréales, pain, confiture... »
« À l'image de nos collations d'avant-match, trois heures avant, il est important de manger des céréales, du pain, de la confiture, des fruits... Ce qui revient à dire que pour La Bicentenaire, un petit-déjeuner classique est conseillé », souligne la marraine de la course. Elle invite aussi les participants « à s'hydrater jusqu'au moment du départ. » Conseils avisés.
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Ouest-France
(1)la 6e édition de a Bicentenaire a réuni hier 4 500 participants pour la course et environ 1 900 marcheurs, d'après les organisateurs.
NF1 - Saison 2008 - 2009
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STRASBOURG ALSACE BC - LIMOGES ABC EN LIMOUSIN: 70 - 72
Le SABC battu sur le fil
Strasbourg ABC - Limoges ABC: 70-72.
Quarts temps : 24-18, 15-22, 18-15, 13-17.
Arbitres : MM. Obernesser et Corrado.
SABC : 17 fautes ; Diawara 20, Servage 19, Mboma 13, Cayot 10, Washington 6, Vanhoutreve 2, Ratzel, Buchet.
Limoges : 19 fautes ; Ayissi 17, Duval 15, Cousin 13, Jomby 11, Tayeau 10, Kowalik 6, De Colo, Djourovitch.
Sur le papier, le Strasbourg ABC ne pesait pas lourd face au leader, Limoges, qui n’a perdu qu’à trois reprises dans ce championnat. Mais sur le terrain, les Alsaciennes se montrent entreprenantes. Bousculées dans les 10 premières minutes, elles recollent vite au score grâce à Cayot (14-16). Elles emballent alors le match grâce au bon travail de Servage et de Diawara, de retour d’une longue blessure (23-18 à la 10e). De retour sur le parquet, elles dominent toujours et l’écart se creuse jusqu’à 31-20. A ce moment, les Limougeaudes reprennent les choses en main, donnent du rythme et marquent 10 points d’affilée. Le SABC s’accroche mais à la mi-temps, tout reste à faire (39-40 à la pause). Dans le troisième quart temps, même scénario: Strasbourg s’échappe (55-43) mais Limoges ne se laisse pas distancer et revient une seconde fois (57-55). Les deux équipes restent alors au coude à coude. A moins d’une minute de la fin, les Strasbourgeoises égalisent à 70-70 grâce aux lancers francs de Diawara. Mais elles commettent une faute qui permet à Limoges de prendre un avantage définitif (70-72). Malgré deux nouvelles tentatives, elles ne marquent plus et s’inclinent avec le sentiment d’être passé tout prêt de l’exploit. Au terme de cette 24ème journée, le SABC conserve sa 7e place. Quant à Servage, victime d’une fracture du scaphoïde, elle est «out» jusqu’à la fin de la saison.
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Le SABC battu sur le fil
Strasbourg ABC - Limoges ABC: 70-72.
Quarts temps : 24-18, 15-22, 18-15, 13-17.
Arbitres : MM. Obernesser et Corrado.
SABC : 17 fautes ; Diawara 20, Servage 19, Mboma 13, Cayot 10, Washington 6, Vanhoutreve 2, Ratzel, Buchet.
Limoges : 19 fautes ; Ayissi 17, Duval 15, Cousin 13, Jomby 11, Tayeau 10, Kowalik 6, De Colo, Djourovitch.
Sur le papier, le Strasbourg ABC ne pesait pas lourd face au leader, Limoges, qui n’a perdu qu’à trois reprises dans ce championnat. Mais sur le terrain, les Alsaciennes se montrent entreprenantes. Bousculées dans les 10 premières minutes, elles recollent vite au score grâce à Cayot (14-16). Elles emballent alors le match grâce au bon travail de Servage et de Diawara, de retour d’une longue blessure (23-18 à la 10e). De retour sur le parquet, elles dominent toujours et l’écart se creuse jusqu’à 31-20. A ce moment, les Limougeaudes reprennent les choses en main, donnent du rythme et marquent 10 points d’affilée. Le SABC s’accroche mais à la mi-temps, tout reste à faire (39-40 à la pause). Dans le troisième quart temps, même scénario: Strasbourg s’échappe (55-43) mais Limoges ne se laisse pas distancer et revient une seconde fois (57-55). Les deux équipes restent alors au coude à coude. A moins d’une minute de la fin, les Strasbourgeoises égalisent à 70-70 grâce aux lancers francs de Diawara. Mais elles commettent une faute qui permet à Limoges de prendre un avantage définitif (70-72). Malgré deux nouvelles tentatives, elles ne marquent plus et s’inclinent avec le sentiment d’être passé tout prêt de l’exploit. Au terme de cette 24ème journée, le SABC conserve sa 7e place. Quant à Servage, victime d’une fracture du scaphoïde, elle est «out» jusqu’à la fin de la saison.
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Rennes Avenir - SIG : 60-75.
Nouveau succès pour la SIG
Quarts temps : 25 – 23, 9 – 10, 11 – 19, 15 – 23.
Rennes : Morgan 20, Assilamehou 11, Leclair 8, Kevorkian 6, Gorjeu 6, Lokoka 4, Medenou 3, Minte 2, Prodhomme, Montout.
SIG : Vernerey 19, Schmitt-Sendner 18, Battaglia 10, Konaté 10, Fischbach 6, Nsoki 6, Nussbaumer 4, Nestor 2, De Amorim, Kopp.
Les protégées de Philippe Breitenbucher reviennent de Rennes avec une victoire supplémentaire et confortent ainsi leur troisième place au classement. Cette rencontre fut pour Caroline Nestor l’occasion de remonter sur le parquet après une longue blessure. Le premier quart temps tourne à l’avantage des joueuses locales, qui ne parviennent cependant pas à prendre le large, bloquées dans leur élan par une défense alsacienne aux allures de muraille (15-14 à la 7e, 25-23 à la 10e). Le score évolue peu durant le deuxième acte. Les Illkirchoises n’accusent plus qu’un point de retard à la mi-temps grâce à un panier de Caroline Nestor sur le buzzer (34-33). Les Bas-Rhinoises reprennent les choses en main dès le retour sur le terrain. Elles multiplient les interceptions et Allison Vernerey impose sa loi au rebond. Malgré quelques incohérences d’arbitrage, la SIG ne se laisse pas déconcentrer (39-46 à la 26e). Les Illkirchoises trouvent leur rythme de croisière, enfoncent le clou pendant les dix dernières minutes et s’imposent de 15 points (60-75).
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Nouveau succès pour la SIG
Quarts temps : 25 – 23, 9 – 10, 11 – 19, 15 – 23.
Rennes : Morgan 20, Assilamehou 11, Leclair 8, Kevorkian 6, Gorjeu 6, Lokoka 4, Medenou 3, Minte 2, Prodhomme, Montout.
SIG : Vernerey 19, Schmitt-Sendner 18, Battaglia 10, Konaté 10, Fischbach 6, Nsoki 6, Nussbaumer 4, Nestor 2, De Amorim, Kopp.
Les protégées de Philippe Breitenbucher reviennent de Rennes avec une victoire supplémentaire et confortent ainsi leur troisième place au classement. Cette rencontre fut pour Caroline Nestor l’occasion de remonter sur le parquet après une longue blessure. Le premier quart temps tourne à l’avantage des joueuses locales, qui ne parviennent cependant pas à prendre le large, bloquées dans leur élan par une défense alsacienne aux allures de muraille (15-14 à la 7e, 25-23 à la 10e). Le score évolue peu durant le deuxième acte. Les Illkirchoises n’accusent plus qu’un point de retard à la mi-temps grâce à un panier de Caroline Nestor sur le buzzer (34-33). Les Bas-Rhinoises reprennent les choses en main dès le retour sur le terrain. Elles multiplient les interceptions et Allison Vernerey impose sa loi au rebond. Malgré quelques incohérences d’arbitrage, la SIG ne se laisse pas déconcentrer (39-46 à la 26e). Les Illkirchoises trouvent leur rythme de croisière, enfoncent le clou pendant les dix dernières minutes et s’imposent de 15 points (60-75).
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25ème journée
Les rencontres du 04/04/2009
16:30 S.I. GRAFFENSTADEN / CENTRE FEDERAL BB
20:00 ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 U.S. COLOMIERS BASKET / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 PLEYBER CHRIST BASKET CLUB / RENNES AVENIR
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / ROCHE VENDEE BC
20:00 CLUB BASKET D'IFS / TOULOUSE METROPOLE BASKET
20:00 US LAVEYRON / ETOILE DE VOIRON FEMININ
20:00 ARMENTIERES SO / STRASBOURG ALSACE BC
16:30 S.I. GRAFFENSTADEN / CENTRE FEDERAL BB
20:00 ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 U.S. COLOMIERS BASKET / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 PLEYBER CHRIST BASKET CLUB / RENNES AVENIR
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20:00 ARMENTIERES SO / STRASBOURG ALSACE BC
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tiote10
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pronos
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20:00 ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / NICE CAVIGAL OLYMPIC
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20:00 ARMENTIERES SO / STRASBOURG ALSACE BC
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Nice : vers la fin du haut niveau ?
Reverra-t-on des affiches de haut niveau à Nice ?
«Une union en Nationale 2 a été évoquée, lance Pierre Collomb, vice-président de la FFBB. Mais mis à part pour des raisons financières, je ne vois pas l'intérêt ». Nouveau retournement de situation donc. Alors qu'on parlait, il y a peu, d'une équipe niçoise jouant prochainement l'Europe, il est à présent question de 3e division.
Après des mois de tergiversations, cette union a déjà bien entamé sa dernière ligne droite. Le 10 avril est pourtant la date fatidique de remise du dossier au Comité départemental. Mais comme depuis de longs mois, il n'y a guère d'enthousiasme commun. « On a refusé l'an passé la N1 en écoutant la mairie, souligne Laurence Laporte, coprésidente du NCAB, qui évolue en N2. Nous avons osé reculer pour reconstruire quelque chose de solide. Notre projet a été présenté au NCO, la balle est dans leur camp ».
Reculer pour avancer ?
Si Laurence Laporte ne dévoile son projet que demain, les contours sont déjà clairs : «Pour monter un immeuble, il faut de bonnes fondations, c'est pareil en basket ». Reculer pour mieux avancer donc. Mais à court terme, cela signifie pourtant la fin du basket de haut niveau féminin dans la cinquième ville de France. Car de son côté, le Nice Cavigal Olympic, quasi maintenu sportivement en N1, est sur la corde raide au plan financier. Alors qu'on parle d'un déficit pouvant varier de « 130 000 à 200 000 e en fin de saison », selon le coprésident du club, Frédéric Sciolla, une nouvelle saison au 2e échelon national a du plomb dans l'aile. « Dans un mois, les clubs doivent passer devant la commission de contrôle de gestion, explique Pierre Collomb. Avec la dette, ça peut aller de l'encadrement de la masse salariale à l'interdiction de participer au championnat ». Autant dire qu'au mieux - sauf mécène et sans union -, le NCO ne jouerait que le maintien la saison prochaine.
Mais cette proposition ne fait pas l'unanimité.
« Antibes, le pôle masculin de basket et Nice, le pôle féminin ; on avait tout pour le faire, soupire Daniel Bes, président du Comité Départemental 06. Je suis las de voir ce qu'il se passe. Antibes était dans la même situation que le NCO il y a quelque temps et la mairie a tout fait pour sauver le club. A Nice, il y a d'autres priorités. Si l'union se fait en N2, on est loin des premières paroles. Tout est déjà oublié ». « J'ai mis tout en oeuvre pour obtenir un agrément fédéral pour un centre de formation en N1 alors que normalement, ça ne se fait qu'en Ligue, regrette Pierre Collomb. Ça pouvait attirer de bons espoirs mais en N2, ça ne se fera pas ». « On en a vaguement parlé, reconnaît Frédéric Sciolla. Je ne trouve aucun intérêt sportif mais je ne ferme pas la porte ».
Romain Schue
Nice-Matin - www.nice.maville.com
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La mairie répond au NCO
« Pour l'année 2008, cet organisme a pu compter sur une aide de la ville de 630 000 e, soit la plus grosse subvention pour un club évoluant à ce niveau. Les comptes clos la saison passée font déjà état d'une perte de 43 235 e, qui doit être réajustée à -225 000 e, sachant que les subventions sont allouées sur l'année civile. En juin 2008, il avait été indiqué au club qu'au regard de ses résultats et de sa situation financière, la ville ne pouvait maintenir cette même subvention en 2009 et que la solution d'un rapprochement avec le Nice Côte d'Azur Basket Danse Ecole, paraissait incontournable. Manifestement, les clubs concernés en ont décidé autrement. Une enveloppe de 250 000 e reste disponible, en fonction de l'évolution de la situation du NCO pour les 6 derniers mois de l'année. Le NCO ne peut se cacher derrière la ville pour masquer ses éventuelles erreurs de gestion. Par ailleurs, la ville a diligenté un audit sur le NCO et sur le NCAB afin d'apprécier plus finement leur situation. »
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Reverra-t-on des affiches de haut niveau à Nice ?
«Une union en Nationale 2 a été évoquée, lance Pierre Collomb, vice-président de la FFBB. Mais mis à part pour des raisons financières, je ne vois pas l'intérêt ». Nouveau retournement de situation donc. Alors qu'on parlait, il y a peu, d'une équipe niçoise jouant prochainement l'Europe, il est à présent question de 3e division.
Après des mois de tergiversations, cette union a déjà bien entamé sa dernière ligne droite. Le 10 avril est pourtant la date fatidique de remise du dossier au Comité départemental. Mais comme depuis de longs mois, il n'y a guère d'enthousiasme commun. « On a refusé l'an passé la N1 en écoutant la mairie, souligne Laurence Laporte, coprésidente du NCAB, qui évolue en N2. Nous avons osé reculer pour reconstruire quelque chose de solide. Notre projet a été présenté au NCO, la balle est dans leur camp ».
Reculer pour avancer ?
Si Laurence Laporte ne dévoile son projet que demain, les contours sont déjà clairs : «Pour monter un immeuble, il faut de bonnes fondations, c'est pareil en basket ». Reculer pour mieux avancer donc. Mais à court terme, cela signifie pourtant la fin du basket de haut niveau féminin dans la cinquième ville de France. Car de son côté, le Nice Cavigal Olympic, quasi maintenu sportivement en N1, est sur la corde raide au plan financier. Alors qu'on parle d'un déficit pouvant varier de « 130 000 à 200 000 e en fin de saison », selon le coprésident du club, Frédéric Sciolla, une nouvelle saison au 2e échelon national a du plomb dans l'aile. « Dans un mois, les clubs doivent passer devant la commission de contrôle de gestion, explique Pierre Collomb. Avec la dette, ça peut aller de l'encadrement de la masse salariale à l'interdiction de participer au championnat ». Autant dire qu'au mieux - sauf mécène et sans union -, le NCO ne jouerait que le maintien la saison prochaine.
Mais cette proposition ne fait pas l'unanimité.
« Antibes, le pôle masculin de basket et Nice, le pôle féminin ; on avait tout pour le faire, soupire Daniel Bes, président du Comité Départemental 06. Je suis las de voir ce qu'il se passe. Antibes était dans la même situation que le NCO il y a quelque temps et la mairie a tout fait pour sauver le club. A Nice, il y a d'autres priorités. Si l'union se fait en N2, on est loin des premières paroles. Tout est déjà oublié ». « J'ai mis tout en oeuvre pour obtenir un agrément fédéral pour un centre de formation en N1 alors que normalement, ça ne se fait qu'en Ligue, regrette Pierre Collomb. Ça pouvait attirer de bons espoirs mais en N2, ça ne se fera pas ». « On en a vaguement parlé, reconnaît Frédéric Sciolla. Je ne trouve aucun intérêt sportif mais je ne ferme pas la porte ».
Romain Schue
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La mairie répond au NCO
« Pour l'année 2008, cet organisme a pu compter sur une aide de la ville de 630 000 e, soit la plus grosse subvention pour un club évoluant à ce niveau. Les comptes clos la saison passée font déjà état d'une perte de 43 235 e, qui doit être réajustée à -225 000 e, sachant que les subventions sont allouées sur l'année civile. En juin 2008, il avait été indiqué au club qu'au regard de ses résultats et de sa situation financière, la ville ne pouvait maintenir cette même subvention en 2009 et que la solution d'un rapprochement avec le Nice Côte d'Azur Basket Danse Ecole, paraissait incontournable. Manifestement, les clubs concernés en ont décidé autrement. Une enveloppe de 250 000 e reste disponible, en fonction de l'évolution de la situation du NCO pour les 6 derniers mois de l'année. Le NCO ne peut se cacher derrière la ville pour masquer ses éventuelles erreurs de gestion. Par ailleurs, la ville a diligenté un audit sur le NCO et sur le NCAB afin d'apprécier plus finement leur situation. »
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Match chaud et important ce samedi à Laveyron avec la réception de Voiron.
Les iséroises se trouvent juste devant les drômoises au classement et si les joueuses locales venaient à s'imposer, elles reviendraient à la hauteur de leurs adversaires du soir
Au match aller victoire de Voiron de 10 points
Les laveyronnaises sont dans une bonne dynamique et procurent du beau jeu depuis plusieurs matchs
Allez les vertes
vous allez le faire
Les iséroises se trouvent juste devant les drômoises au classement et si les joueuses locales venaient à s'imposer, elles reviendraient à la hauteur de leurs adversaires du soir
Au match aller victoire de Voiron de 10 points
Les laveyronnaises sont dans une bonne dynamique et procurent du beau jeu depuis plusieurs matchs
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ARMENTIERES SO / STRASBOURG ALSACE BC
« Passer Strasbourg permettrait d'aborder sereinement la fin de saison »
Si elles venaient à l'emporter ce soir, les Armentiéroises seraient assurées de participer au Final Four.
Ce soir, la rencontre s'annonce tranquille. Du moins, en comparaison des prochaines qui verront les Armentiéroises se rendre à Roche-Vendée (4e ) avant d'affronter Toulouse (5e) et Limoges (1re). Du coup, plus que la victoire, le match de ce soir devra permettre aux « Noires et Blanches » de se rassurer afin d'aborder la dernière ligne droite en toute sérénité et entamer leur préparation en vue du Final Four.
La semaine dernière, alors que Stéphane Lalart craignait une difficile reprise, ses filles ont carrément donné une leçon d'efficacité à Voiron. « J'ai été surpris par notre adresse, lance le coach armentiérois. On a défendu en zone alors qu'on ne le fait jamais et on leur a donné des occasions en tirs ouverts. Mais elles n'ont rien rentré en tir extérieur et, après, elles ont carrément lâché le match. » Un non-match de la part de Voiron et une prestation correcte de la part d'Armentières pour une addition plutôt lourde au final (45-85). « Nous ne sommes pourtant pas encore tout à fait en jambe, relativise Stéphane Lalart. Mais, la semaine dernière, j'ai vraiment pu compter sur les dix filles. Aujourd'hui, je n'en ai pas une qui puisse jouer trente minutes sans sortir. Alors, tant que tout le monde tient... » Ce soir, face à Strasbourg, la donne sera la même : les « Noires et Blanches » devront faire front collectivement pour ne pas faire la contre-perf du week-end. Pour les observateurs, Armentières est « l'équipe en forme du moment ». Une défaite face aux Alsaciennes, 7e s, ferait désordre ! D'autant plus que José Ruiz vient de perdre, coup sur coup, Servage (fracture du scaphoïde) et Gandega (qui a souhaité rompre son contrat). « Mais attention, Strasbourg vient de récupérer Diawara qui a fait un gros match, la semaine dernière, contre Limoges. Il va falloir la maîtriser car c'est un gros point de fixation à l'intérieur et sa présence permet de libérer les filles à l'extérieur.»
Pour Stéphane Lalart, l'absence de Servage, aussi performante soit-elle, ne présente pas que des avantages. « Tactiquement, c'est embêtant , confie le coach des SOA. Avec Servage, je savais comment jouer. Maintenant, pour pallier son absence, Ruiz a plusieurs options tactiques. Je ne suis pas devin et, en une semaine, il est impossible de toutes les voir. » C'est donc ce soir, sur le parquet, qu'il conviendra de trouver la solution face à une formation qui, sur le papier, fait partie des grosses écuries. « Il ne faudra absolument pas les prendre à la légère, prévient le technicien armentiérois. Même si elles ont une blessée, elles peuvent être dangereuses. Maintenant, si nous sommes sérieux, ça devrait passer. » Ce qui permettrait au staff de se concentrer sur le Final Four puisque, une fois la victoire contre Strasbourg en poche, rien ne devrait empêcher les SOA de participer aux deuxièmes play-offs de son histoire. « Il nous restera ensuite cinq matchs et un point-average positif. On essayera toutefois de rester 2e ou 3e afin d'éviter Limoges en demi-finale. » •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com - (samedi 04 avril 2009)
Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord
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STRASBOURG ALSACE BC : Une année brisée
Pour Claire Vanhoutreve et le SABC, il est temps que la saison se termine.
Après les fractures de fatigue au pied de Djéné Diawara et Eloïse Chapays, les Strasbourgeoises ont perdu la semaine dernière leur meneuse Charline Servage, scaphoïde brisé. Un nouveau coup dur avant le déplacement chez le dauphin Armentières à 20 h.
Les illusions du SABC en NF1 se sont brisées au même rythme que les os de ses joueuses majeures. Ainsi dépeint, le tableau strasbourgeois a quelque chose de dramatique. La semaine passée, alors que Djéné Diawara se remettait à peine d’une fracture de fatigue au pied, Eloïse Chapays disait adieu à sa saison pour une blessure identique.
Pire encore, à moins d’une minute de la fin d’un match indécis face au leader Limoges samedi dernier, l’influente meneuse Charline Servage, prise en tenaille par deux adversaires et envoyée au sol, s’est relevée la main droite en charpie.
Verdict : fracture du scaphoïde. Saison terminée pour elle aussi. Battu sur le fil par des Limougeaudes heureuses de passer entre les gouttes (70-72), le SABC a concédé sa 7e défaite en 9 journées 2009. Un cataclysme pour un club qui, à la trêve de Noël, pointait au 2e rang avec seulement 4 revers en 15 journées. « Il y a des années comme ça », n’en revient pas l’entraîneur José Ruiz, « C’est incroyable. J’avais déjà connu une fracture de fatigue durant ma carrière. Mais là, nous en avons eu deux. Plus, maintenant, un scaphoïde. Charline va être plâtrée trois mois. C’est trop dur. »
Entre la contrariété du visa refusé par les autorités du Mali au pivot Astan Dabo (« Je me suis pourtant rendu sur place pour débloquer le dossier », enrage Ruiz, sélectionneur des… Maliennes championnes d’Afrique 2007) et ces blessures en cascade, le SABC a tiré un trait sur ses rêves d’accession. « Des signes objectifs ont montré qu’au complet, nous étions capables de produire un niveau de jeu intéressant et que nous ne faisions pas partie des favoris par hasard », maintient le coach, «Nous avions la qualité et l’intensité. En décembre, nous étions en pleine bourre. Je suis frustré, parce que la situation m’échappe complètement. Je ne sais plus quoi dire. Pourtant, les filles travaillent vraiment bien. »
Sportivement, le déplacement de ce samedi (20 h) à Armentières, vainqueur de justesse à l’aller au Tivoli (73-71), s’apparente donc à une galère. Invaincues depuis leur revers à la SIG le 7 février (73-62), les Nordistes, 2es avec 3 succès d’avance sur le 5e après leurs cinq victoires de rang, sont tout près d’une qualification au final four. Un succès la leur offrirait pratiquement. « Oui, mais en NF1, il y a une vraie dimension tactique. Nous avons failli taper Limoges en le gênant par nos schémas», ne renonce pas Ruiz, « Nous avons préparé notre stratégie pour tenter le coup à Armentières. »
S.G. - www.alsapresse.com - 09/04/04
« Passer Strasbourg permettrait d'aborder sereinement la fin de saison »
Si elles venaient à l'emporter ce soir, les Armentiéroises seraient assurées de participer au Final Four.
Ce soir, la rencontre s'annonce tranquille. Du moins, en comparaison des prochaines qui verront les Armentiéroises se rendre à Roche-Vendée (4e ) avant d'affronter Toulouse (5e) et Limoges (1re). Du coup, plus que la victoire, le match de ce soir devra permettre aux « Noires et Blanches » de se rassurer afin d'aborder la dernière ligne droite en toute sérénité et entamer leur préparation en vue du Final Four.
La semaine dernière, alors que Stéphane Lalart craignait une difficile reprise, ses filles ont carrément donné une leçon d'efficacité à Voiron. « J'ai été surpris par notre adresse, lance le coach armentiérois. On a défendu en zone alors qu'on ne le fait jamais et on leur a donné des occasions en tirs ouverts. Mais elles n'ont rien rentré en tir extérieur et, après, elles ont carrément lâché le match. » Un non-match de la part de Voiron et une prestation correcte de la part d'Armentières pour une addition plutôt lourde au final (45-85). « Nous ne sommes pourtant pas encore tout à fait en jambe, relativise Stéphane Lalart. Mais, la semaine dernière, j'ai vraiment pu compter sur les dix filles. Aujourd'hui, je n'en ai pas une qui puisse jouer trente minutes sans sortir. Alors, tant que tout le monde tient... » Ce soir, face à Strasbourg, la donne sera la même : les « Noires et Blanches » devront faire front collectivement pour ne pas faire la contre-perf du week-end. Pour les observateurs, Armentières est « l'équipe en forme du moment ». Une défaite face aux Alsaciennes, 7e s, ferait désordre ! D'autant plus que José Ruiz vient de perdre, coup sur coup, Servage (fracture du scaphoïde) et Gandega (qui a souhaité rompre son contrat). « Mais attention, Strasbourg vient de récupérer Diawara qui a fait un gros match, la semaine dernière, contre Limoges. Il va falloir la maîtriser car c'est un gros point de fixation à l'intérieur et sa présence permet de libérer les filles à l'extérieur.»
Pour Stéphane Lalart, l'absence de Servage, aussi performante soit-elle, ne présente pas que des avantages. « Tactiquement, c'est embêtant , confie le coach des SOA. Avec Servage, je savais comment jouer. Maintenant, pour pallier son absence, Ruiz a plusieurs options tactiques. Je ne suis pas devin et, en une semaine, il est impossible de toutes les voir. » C'est donc ce soir, sur le parquet, qu'il conviendra de trouver la solution face à une formation qui, sur le papier, fait partie des grosses écuries. « Il ne faudra absolument pas les prendre à la légère, prévient le technicien armentiérois. Même si elles ont une blessée, elles peuvent être dangereuses. Maintenant, si nous sommes sérieux, ça devrait passer. » Ce qui permettrait au staff de se concentrer sur le Final Four puisque, une fois la victoire contre Strasbourg en poche, rien ne devrait empêcher les SOA de participer aux deuxièmes play-offs de son histoire. « Il nous restera ensuite cinq matchs et un point-average positif. On essayera toutefois de rester 2e ou 3e afin d'éviter Limoges en demi-finale. » •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com - (samedi 04 avril 2009)
Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord
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STRASBOURG ALSACE BC : Une année brisée
Pour Claire Vanhoutreve et le SABC, il est temps que la saison se termine.
Après les fractures de fatigue au pied de Djéné Diawara et Eloïse Chapays, les Strasbourgeoises ont perdu la semaine dernière leur meneuse Charline Servage, scaphoïde brisé. Un nouveau coup dur avant le déplacement chez le dauphin Armentières à 20 h.
Les illusions du SABC en NF1 se sont brisées au même rythme que les os de ses joueuses majeures. Ainsi dépeint, le tableau strasbourgeois a quelque chose de dramatique. La semaine passée, alors que Djéné Diawara se remettait à peine d’une fracture de fatigue au pied, Eloïse Chapays disait adieu à sa saison pour une blessure identique.
Pire encore, à moins d’une minute de la fin d’un match indécis face au leader Limoges samedi dernier, l’influente meneuse Charline Servage, prise en tenaille par deux adversaires et envoyée au sol, s’est relevée la main droite en charpie.
Verdict : fracture du scaphoïde. Saison terminée pour elle aussi. Battu sur le fil par des Limougeaudes heureuses de passer entre les gouttes (70-72), le SABC a concédé sa 7e défaite en 9 journées 2009. Un cataclysme pour un club qui, à la trêve de Noël, pointait au 2e rang avec seulement 4 revers en 15 journées. « Il y a des années comme ça », n’en revient pas l’entraîneur José Ruiz, « C’est incroyable. J’avais déjà connu une fracture de fatigue durant ma carrière. Mais là, nous en avons eu deux. Plus, maintenant, un scaphoïde. Charline va être plâtrée trois mois. C’est trop dur. »
Entre la contrariété du visa refusé par les autorités du Mali au pivot Astan Dabo (« Je me suis pourtant rendu sur place pour débloquer le dossier », enrage Ruiz, sélectionneur des… Maliennes championnes d’Afrique 2007) et ces blessures en cascade, le SABC a tiré un trait sur ses rêves d’accession. « Des signes objectifs ont montré qu’au complet, nous étions capables de produire un niveau de jeu intéressant et que nous ne faisions pas partie des favoris par hasard », maintient le coach, «Nous avions la qualité et l’intensité. En décembre, nous étions en pleine bourre. Je suis frustré, parce que la situation m’échappe complètement. Je ne sais plus quoi dire. Pourtant, les filles travaillent vraiment bien. »
Sportivement, le déplacement de ce samedi (20 h) à Armentières, vainqueur de justesse à l’aller au Tivoli (73-71), s’apparente donc à une galère. Invaincues depuis leur revers à la SIG le 7 février (73-62), les Nordistes, 2es avec 3 succès d’avance sur le 5e après leurs cinq victoires de rang, sont tout près d’une qualification au final four. Un succès la leur offrirait pratiquement. « Oui, mais en NF1, il y a une vraie dimension tactique. Nous avons failli taper Limoges en le gênant par nos schémas», ne renonce pas Ruiz, « Nous avons préparé notre stratégie pour tenter le coup à Armentières. »
S.G. - www.alsapresse.com - 09/04/04
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ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES / NICE CAVIGAL OLYMPIC
Avancer sans état d'âme
Kusion et le FCBA doivent gagner au moins cinq des six matches à venir pour espérer évoluer en Ligue féminine la saison prochaine.
Battues par Limoges à Bayard il y a trois semaines, les Carolomacériennes comptent écarter les Niçoises ce soir pour continuer à rêver des play-offs, à six journées de la fin.
LE FCBA n'a pas abandonné tout espoir d'accession en Ligue féminine en fin de saison, comme l'a rappelé son président, David Gidoin, lundi soir dans son discours lors de la remise de la meilleure flamme du mois de mars à Carine Contessi. « Nous devons aborder chaque match sereinement pour tous les gagner tout simplement », affirmait la lauréate.
Sans doute plus facile à dire qu'à faire ! Mais, les dernières prestations des Ardennaises, notamment contre le leader limougeaud et face à Bourges en Coupe de France, incitent à l'optimisme.
Romuald Yernaux, comment appréhendez-vous la réception de Nice ?
« Comme les autres matches. C'est une équipe qui évolue avec beaucoup d'individualités. C'est notre grosse crainte car ce n'est pas le profil d'équipe qui peut nous correspondre tout le temps. »
Mais, vous avez les atouts pour contrecarrer les plans azuréens ?
« Nous sommes effectivement suffisamment bien en place actuellement pour mettre en évidence le fait que, par moments, elles ont du mal à évoluer ensemble. Il faut donc que nous parvenions à isoler certaines individualités du jeu, leur faire prendre leurs responsabilités dans des secteurs où elles ne sont pas forcément à l'aise. Si on essaye de défendre sur tout le monde, on n'y arrivera pas. En revanche, si nous mettons toute la responsabilité du match sur les épaules d'un ou deux éléments, ils sortiront peut-être avec un gros scoring mais ça peut être bénéfique pour nous. S'il y a deux joueuses à 25 points, ça en fait 50. Si on maîtrise les autres, il suffit d'en marquer 51. C'est ce que nous avions demandé contre Limoges. Nous en avons encaissé 52. Aussi stupide que cela puisse paraître, c'est la vérité. »
« Pas facile »
Vous n'avez plus le choix de toute façon. Cela ne va-t-il pas vous mettre la pression ?
« Il y a six matches à aller prendre. Nous savons que ce ne sera pas facile. Chez nous, nous avons sans doute un peu plus de marge, et encore. A Dunkerque, ce sera compliqué, à Colomiers aussi. Maintenant, il y a des équipes qui ont validé leur maintien, d'autres qui sont sûres de descendre. Nous allons bien voir comment elles se comporteront d'ici là. »
« Finir 3e plutôt que 4e »
De toute façon, il faut maintenant réaliser un sans-faute.
« Il y a peut-être un match à lâcher. Tout cela dépendra des résultats des autres. Tout le monde va se rencontrer. Mais, à un moment donné, nous devons reprendre un vecteur directeur qui nous amène jusqu'au play-offs sur une bonne lancée. J'estime que nous n'avons pas une équipe pour aller gagner deux matches. Ça serait donc mieux de finir 3e plutôt que 4e. S'il faut aller gagner la finale pour être obligé de monter, c'est-à-dire terminer 4e, je ne suis pas sûr qu'on ait la faculté de récupérer dans un laps de temps aussi court, sur un week-end. L'équipe n'est pas forcément jeune sur tous les postes de jeu. Ça serait compliqué.
Il faut parvenir à se mettre à l'abri le plus vite possible. Aujourd'hui, nous sommes à l'ombre. Il faut qu'on remette un peu notre crâne au soleil (rires). »
Recueilli par Sylvain Pohu - www.lunion.presse.fr
Avancer sans état d'âme
Kusion et le FCBA doivent gagner au moins cinq des six matches à venir pour espérer évoluer en Ligue féminine la saison prochaine.
Battues par Limoges à Bayard il y a trois semaines, les Carolomacériennes comptent écarter les Niçoises ce soir pour continuer à rêver des play-offs, à six journées de la fin.
LE FCBA n'a pas abandonné tout espoir d'accession en Ligue féminine en fin de saison, comme l'a rappelé son président, David Gidoin, lundi soir dans son discours lors de la remise de la meilleure flamme du mois de mars à Carine Contessi. « Nous devons aborder chaque match sereinement pour tous les gagner tout simplement », affirmait la lauréate.
Sans doute plus facile à dire qu'à faire ! Mais, les dernières prestations des Ardennaises, notamment contre le leader limougeaud et face à Bourges en Coupe de France, incitent à l'optimisme.
Romuald Yernaux, comment appréhendez-vous la réception de Nice ?
« Comme les autres matches. C'est une équipe qui évolue avec beaucoup d'individualités. C'est notre grosse crainte car ce n'est pas le profil d'équipe qui peut nous correspondre tout le temps. »
Mais, vous avez les atouts pour contrecarrer les plans azuréens ?
« Nous sommes effectivement suffisamment bien en place actuellement pour mettre en évidence le fait que, par moments, elles ont du mal à évoluer ensemble. Il faut donc que nous parvenions à isoler certaines individualités du jeu, leur faire prendre leurs responsabilités dans des secteurs où elles ne sont pas forcément à l'aise. Si on essaye de défendre sur tout le monde, on n'y arrivera pas. En revanche, si nous mettons toute la responsabilité du match sur les épaules d'un ou deux éléments, ils sortiront peut-être avec un gros scoring mais ça peut être bénéfique pour nous. S'il y a deux joueuses à 25 points, ça en fait 50. Si on maîtrise les autres, il suffit d'en marquer 51. C'est ce que nous avions demandé contre Limoges. Nous en avons encaissé 52. Aussi stupide que cela puisse paraître, c'est la vérité. »
« Pas facile »
Vous n'avez plus le choix de toute façon. Cela ne va-t-il pas vous mettre la pression ?
« Il y a six matches à aller prendre. Nous savons que ce ne sera pas facile. Chez nous, nous avons sans doute un peu plus de marge, et encore. A Dunkerque, ce sera compliqué, à Colomiers aussi. Maintenant, il y a des équipes qui ont validé leur maintien, d'autres qui sont sûres de descendre. Nous allons bien voir comment elles se comporteront d'ici là. »
« Finir 3e plutôt que 4e »
De toute façon, il faut maintenant réaliser un sans-faute.
« Il y a peut-être un match à lâcher. Tout cela dépendra des résultats des autres. Tout le monde va se rencontrer. Mais, à un moment donné, nous devons reprendre un vecteur directeur qui nous amène jusqu'au play-offs sur une bonne lancée. J'estime que nous n'avons pas une équipe pour aller gagner deux matches. Ça serait donc mieux de finir 3e plutôt que 4e. S'il faut aller gagner la finale pour être obligé de monter, c'est-à-dire terminer 4e, je ne suis pas sûr qu'on ait la faculté de récupérer dans un laps de temps aussi court, sur un week-end. L'équipe n'est pas forcément jeune sur tous les postes de jeu. Ça serait compliqué.
Il faut parvenir à se mettre à l'abri le plus vite possible. Aujourd'hui, nous sommes à l'ombre. Il faut qu'on remette un peu notre crâne au soleil (rires). »
Recueilli par Sylvain Pohu - www.lunion.presse.fr
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U.S. COLOMIERS BASKET / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
Une victoire à Colomiers et DMBC sort de la nasse
Émilie Venier et les Dunkerquoises peuvent faire un grand pas vers le maintien ce soir.
Il restera six rencontres aux filles de Christian Devos pour redorer le blason et sauver l'essentiel. La victoire face à Pleyber-Christ, samedi dernier, permet au club dunkerquois (N1) d'entrevoir l'avenir avec plus de sérénité. Mais il faudra ne pas se relâcher en route.
Le calendrier des Dunkerquoises n'est pas pour faciliter leur tâche, puisqu'au programme restant, quatre matchs se joueront à l'extérieur (Colomiers ce soir, Graffenstaden, Rennes, et Nice), alors que le parquet de la salle Burnod recevra Charleville et le centre Fédéral. Mais comme le précise Christian Devos, il faut prendre match après match. « Nous avons effectué une bonne opération la semaine dernière face à Pleyber, mais il ne faut pas se contenter de cela. On n'est pas encore assuré sportivement de se maintenir. Il faut encore engranger des points, et pourquoi pas à Colomiers. Mais je sais bien que ça ne sera pas facile. Le club a changé d'entraîneur au mois de février et a engagé deux étrangères pour ne pas retrouver la N2. J'ai encore en mémoire le match aller. Nous avons souffert et on ne l'a emporté que lors des dernières minutes (71-65). » Battues la semaine dernière à Nice, les Columérines se sont montrées intraitables à domicile lors de leurs deux dernières prestations. Ifs et Strasbourg sont repartis bredouilles de Haute-Garonne.
Sonia Adler, touchée au tendon d'Achille durant la seconde période face à Pleyber, a fait le déplacement même si elle ne s'est pas entraînée cette semaine.
Lucie Carlier, qui a passé trois journées à l'INSEP dans le cadre d'une présélection en équipe de France -20 ans, sera aussi du rendez-vous. Il pourrait permettre aux Nordistes de se mettre un peu plus à l'abri. •
A. B. - www.lavoixdunord.fr
samedi 04.04.2009
COLOMIERS (14e) - DMBC (9e), ce soir, 20 h, salle René Piquemal.
- Absente : Bal (maternité future).
- DMBC : Detry, Fresnais, Duquesne, Brumermane, Venier, Delépine, Adler, Fombonne, Carlier.
************************************************** ***
Pleyber-Christ - Avenir de Rennes
Cent fois sur le métier...
Aude Kernévez et les Pleybériennes n'auront pas la tâche facile face aux Rennaises.
Grosse affiche ce soir à Pleyber-Christ avec la venue de l'Avenir de Rennes. Un derby breton qui sent la poudre car une victoire est impérative pour les locales afin de conserver une petite chance de se maintenir en N1.
Lourdement défaites samedi dernier à Dunkerque, les filles de Franck Simon ont confirmé leur incapacité à s'imposer à l'extérieur. Une fois encore, elles n'ont pas su être constantes et ont, de plus, été incapables de soutenir le défi physique imposé par les Nordistes. A six journées du terme, leur droit à l'erreur s'est réduit à une peau de chagrin. Pour l'Avenir de Rennes, la situation est bien moins préoccupante. A moins d'un effondrement total lors des six derniers matchs, les filles de la capitale bretonne rejoueront encore l'an prochain en N1. Mais, pour ne prendre aucun risque, il leur faut encore assurer un peu. C'est pourquoi elles vont débarquer à Pleyber-Christ avec la ferme intention de gagner à nouveau le derby de l'Ouest. «Pour vaincre cette équipe, il va nous falloir être au top physiquement. La défaillance que nous avons subie dans ce domaine samedi dernier à Dunkerque doit nous servir de leçon car le match contre Rennes risque de se gagner sur le même terrain. L'Avenir est une équipe qui ne lâche rien et qui joue tous les coups à fond. Il faut donc nous attendre à une explication musclée», nous avait confié Franck Simon à l'issue de la défaite à Dunkerque.
Faire bloc
Ce soir donc, tout comme ce le fut contre Laveyron, il va falloir à Aude Kernévez et ses coéquipières se montrer conquérantes, agressives, déterminées et constantes. Une victoire leur permettrait de rester dans le coup pour le maintien. Un résultat contraire risquerait de ruiner tous leurs espoirs. C'est un scénario qu'il faut éviter à tout prix. Et pour se faire, une seule issue: gagner. Pour l'instant, Rennes a toujours dominé les confrontations entre ces deux équipes. Il faut absolument inverser cette tendance. Les filles de Franck Simon ont plus de matchs à jouer à la maison qu'à l'extérieur. En les gagnant tous, l'hypothèse d'une issue favorable en fin de saison resterait d'actualité.
R.B. - www.letelegramme.com - 4 avril 2009
ce soir (20 h)
Une victoire à Colomiers et DMBC sort de la nasse
Émilie Venier et les Dunkerquoises peuvent faire un grand pas vers le maintien ce soir.
Il restera six rencontres aux filles de Christian Devos pour redorer le blason et sauver l'essentiel. La victoire face à Pleyber-Christ, samedi dernier, permet au club dunkerquois (N1) d'entrevoir l'avenir avec plus de sérénité. Mais il faudra ne pas se relâcher en route.
Le calendrier des Dunkerquoises n'est pas pour faciliter leur tâche, puisqu'au programme restant, quatre matchs se joueront à l'extérieur (Colomiers ce soir, Graffenstaden, Rennes, et Nice), alors que le parquet de la salle Burnod recevra Charleville et le centre Fédéral. Mais comme le précise Christian Devos, il faut prendre match après match. « Nous avons effectué une bonne opération la semaine dernière face à Pleyber, mais il ne faut pas se contenter de cela. On n'est pas encore assuré sportivement de se maintenir. Il faut encore engranger des points, et pourquoi pas à Colomiers. Mais je sais bien que ça ne sera pas facile. Le club a changé d'entraîneur au mois de février et a engagé deux étrangères pour ne pas retrouver la N2. J'ai encore en mémoire le match aller. Nous avons souffert et on ne l'a emporté que lors des dernières minutes (71-65). » Battues la semaine dernière à Nice, les Columérines se sont montrées intraitables à domicile lors de leurs deux dernières prestations. Ifs et Strasbourg sont repartis bredouilles de Haute-Garonne.
Sonia Adler, touchée au tendon d'Achille durant la seconde période face à Pleyber, a fait le déplacement même si elle ne s'est pas entraînée cette semaine.
Lucie Carlier, qui a passé trois journées à l'INSEP dans le cadre d'une présélection en équipe de France -20 ans, sera aussi du rendez-vous. Il pourrait permettre aux Nordistes de se mettre un peu plus à l'abri. •
A. B. - www.lavoixdunord.fr
samedi 04.04.2009
COLOMIERS (14e) - DMBC (9e), ce soir, 20 h, salle René Piquemal.
- Absente : Bal (maternité future).
- DMBC : Detry, Fresnais, Duquesne, Brumermane, Venier, Delépine, Adler, Fombonne, Carlier.
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Pleyber-Christ - Avenir de Rennes
Cent fois sur le métier...
Aude Kernévez et les Pleybériennes n'auront pas la tâche facile face aux Rennaises.
Grosse affiche ce soir à Pleyber-Christ avec la venue de l'Avenir de Rennes. Un derby breton qui sent la poudre car une victoire est impérative pour les locales afin de conserver une petite chance de se maintenir en N1.
Lourdement défaites samedi dernier à Dunkerque, les filles de Franck Simon ont confirmé leur incapacité à s'imposer à l'extérieur. Une fois encore, elles n'ont pas su être constantes et ont, de plus, été incapables de soutenir le défi physique imposé par les Nordistes. A six journées du terme, leur droit à l'erreur s'est réduit à une peau de chagrin. Pour l'Avenir de Rennes, la situation est bien moins préoccupante. A moins d'un effondrement total lors des six derniers matchs, les filles de la capitale bretonne rejoueront encore l'an prochain en N1. Mais, pour ne prendre aucun risque, il leur faut encore assurer un peu. C'est pourquoi elles vont débarquer à Pleyber-Christ avec la ferme intention de gagner à nouveau le derby de l'Ouest. «Pour vaincre cette équipe, il va nous falloir être au top physiquement. La défaillance que nous avons subie dans ce domaine samedi dernier à Dunkerque doit nous servir de leçon car le match contre Rennes risque de se gagner sur le même terrain. L'Avenir est une équipe qui ne lâche rien et qui joue tous les coups à fond. Il faut donc nous attendre à une explication musclée», nous avait confié Franck Simon à l'issue de la défaite à Dunkerque.
Faire bloc
Ce soir donc, tout comme ce le fut contre Laveyron, il va falloir à Aude Kernévez et ses coéquipières se montrer conquérantes, agressives, déterminées et constantes. Une victoire leur permettrait de rester dans le coup pour le maintien. Un résultat contraire risquerait de ruiner tous leurs espoirs. C'est un scénario qu'il faut éviter à tout prix. Et pour se faire, une seule issue: gagner. Pour l'instant, Rennes a toujours dominé les confrontations entre ces deux équipes. Il faut absolument inverser cette tendance. Les filles de Franck Simon ont plus de matchs à jouer à la maison qu'à l'extérieur. En les gagnant tous, l'hypothèse d'une issue favorable en fin de saison resterait d'actualité.
R.B. - www.letelegramme.com - 4 avril 2009
ce soir (20 h)
Modifié en dernier par la zone le sam. 11 avr. 2009 14:37, modifié 2 fois.
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S.I. GRAFFENSTADEN / CENTRE FEDERAL BB
SIG : faire le métier
Aline Fischbach est pessimiste sur sa participation.
Pour la 25e journée de NF1, la SIG, désormais candidate déclarée au final four, ne doit pas se rater à 16 h 30 dans son hall face à la lanterne rouge, le Centre fédéral.
A un horaire inhabituel, le bouillant hall de la SIG se prépare cet après-midi (16 h 30) à un choc des extrêmes. Ses protégées, en lice pour le final four, affrontent le Centre fédéral, lanterne rouge de NF1. Face à une formation jeune et inexpérimentée, uniquement composée des juniors de l’INSEP, les Illkirchoises partent largement favorites.
Surtout qu’avec une seule défaite lors des 9 dernières rencontres, les filles de Philippe Breitenbucher sont sur une formidable dynamique. Elles restent notamment sur un large succès à Rennes (60-75). « Je m’attends à un match difficile, parce qu’il est toujours très compliqué de gérer la décompression », explique le coach. « L’erreur est de croire que parce qu’on vient de réaliser une bonne performance à l’extérieur, ça va forcément passer à domicile. »
Pourtant, après une bonne semaine d’entraînement, l’entraîneur illkirchois se veut rassurant sur l’état d’esprit de ses joueuses. « Quand je vois leur enthousiasme cette semaine, je sens tout le monde très concerné par l’objectif final four qui nous tend les bras. Que ce soit le Centre fédéral, Limoges ou Charleville en face, peu importe. On doit être au taquet pour faire un gros match. »
Le Centre fédéral - 19 défaites en 24 matches - n’avait pas pesé lourd à l’aller. Les coéquipières d’Audrey Kopp s’étaient largement imposées (70-84) au gymnase Marie-Thérèse Eyquem de Paris. Méfiance tout de même, puisque les jeunes Parisiennes, qui ne peuvent pas descendre d’un échelon, joueront sans la pression du résultat. « On va devoir livrer un match plein et surtout ne pas leur laisser le moindre espoir. Pour cela, il va falloir être constant sur 40 minutes pour faire un écart, ce match devant nous donner un surplus de confiance pour la suite », analyse le technicien bas-rhinois.
Les Illkirchoises, toujours privées de Marie-Noémie Privet (fracture de la main), le sont également de Jessica De Amorim qu’un œdème à la malléole pourrait tenir éloignée des terrains 2 ou 3 semaines. Aline Fischbach souffre à nouveau du pied et a subi une infiltration mardi pour calmer la douleur. La n°7 est très incertaine. Bonne nouvelle tout de même : Caroline Nestor, entrée quelques minutes à Rennes après six mois d’absence pour une rupture des croisés, retrouvera enfin son public.
Pour se rapprocher encore du final four, la SIG devra passer l’obstacle sans encombre. « On est dans la dernière ligne droite et on a envie de réussir un truc bien tous ensemble », conclut le coach. En jouant à son niveau habituel, on ne voit pas ce qui pourrait l’en empêcher.
Olivier Arnal - www.alsapresse.com (09/04/04)
SIG : faire le métier
Aline Fischbach est pessimiste sur sa participation.
Pour la 25e journée de NF1, la SIG, désormais candidate déclarée au final four, ne doit pas se rater à 16 h 30 dans son hall face à la lanterne rouge, le Centre fédéral.
A un horaire inhabituel, le bouillant hall de la SIG se prépare cet après-midi (16 h 30) à un choc des extrêmes. Ses protégées, en lice pour le final four, affrontent le Centre fédéral, lanterne rouge de NF1. Face à une formation jeune et inexpérimentée, uniquement composée des juniors de l’INSEP, les Illkirchoises partent largement favorites.
Surtout qu’avec une seule défaite lors des 9 dernières rencontres, les filles de Philippe Breitenbucher sont sur une formidable dynamique. Elles restent notamment sur un large succès à Rennes (60-75). « Je m’attends à un match difficile, parce qu’il est toujours très compliqué de gérer la décompression », explique le coach. « L’erreur est de croire que parce qu’on vient de réaliser une bonne performance à l’extérieur, ça va forcément passer à domicile. »
Pourtant, après une bonne semaine d’entraînement, l’entraîneur illkirchois se veut rassurant sur l’état d’esprit de ses joueuses. « Quand je vois leur enthousiasme cette semaine, je sens tout le monde très concerné par l’objectif final four qui nous tend les bras. Que ce soit le Centre fédéral, Limoges ou Charleville en face, peu importe. On doit être au taquet pour faire un gros match. »
Le Centre fédéral - 19 défaites en 24 matches - n’avait pas pesé lourd à l’aller. Les coéquipières d’Audrey Kopp s’étaient largement imposées (70-84) au gymnase Marie-Thérèse Eyquem de Paris. Méfiance tout de même, puisque les jeunes Parisiennes, qui ne peuvent pas descendre d’un échelon, joueront sans la pression du résultat. « On va devoir livrer un match plein et surtout ne pas leur laisser le moindre espoir. Pour cela, il va falloir être constant sur 40 minutes pour faire un écart, ce match devant nous donner un surplus de confiance pour la suite », analyse le technicien bas-rhinois.
Les Illkirchoises, toujours privées de Marie-Noémie Privet (fracture de la main), le sont également de Jessica De Amorim qu’un œdème à la malléole pourrait tenir éloignée des terrains 2 ou 3 semaines. Aline Fischbach souffre à nouveau du pied et a subi une infiltration mardi pour calmer la douleur. La n°7 est très incertaine. Bonne nouvelle tout de même : Caroline Nestor, entrée quelques minutes à Rennes après six mois d’absence pour une rupture des croisés, retrouvera enfin son public.
Pour se rapprocher encore du final four, la SIG devra passer l’obstacle sans encombre. « On est dans la dernière ligne droite et on a envie de réussir un truc bien tous ensemble », conclut le coach. En jouant à son niveau habituel, on ne voit pas ce qui pourrait l’en empêcher.
Olivier Arnal - www.alsapresse.com (09/04/04)
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25ème journée
Les résultats des rencontres du 04/04/2009
S.I. GRAFFENSTADEN - CENTRE FEDERAL BB: 76 - 52
ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 76 - 61
U.S. COLOMIERS BASKET - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 91 - 84
PLEYBER CHRIST BASKET CLUB - RENNES AVENIR: 77 - 57
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - ROCHE VENDEE BC: 84 - 65
CLUB BASKET D'IFS - TOULOUSE METROPOLE BASKET: 59 - 65
US LAVEYRON - ETOILE DE VOIRON FEMININ: 83 - 81
ARMENTIERES SO - STRASBOURG ALSACE BC: 61 - 58
S.I. GRAFFENSTADEN - CENTRE FEDERAL BB: 76 - 52
ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 76 - 61
U.S. COLOMIERS BASKET - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 91 - 84
PLEYBER CHRIST BASKET CLUB - RENNES AVENIR: 77 - 57
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - ROCHE VENDEE BC: 84 - 65
CLUB BASKET D'IFS - TOULOUSE METROPOLE BASKET: 59 - 65
US LAVEYRON - ETOILE DE VOIRON FEMININ: 83 - 81
ARMENTIERES SO - STRASBOURG ALSACE BC: 61 - 58
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COLOMIERS 91 - DMBC 84
Colomiers s'accroche
25 points pour Delphine Donnez.
(25-21, 25-15, 24-22, 17-26).
MT : 50-36.
Arbitres : Jérôme Borie et Eric Sans.
COLOMIERS : Donnez 25, Hippolyte 12, Mason 12, Mandiang 2, Perotto 2 puis Billaud 14, N'Diaye 9, Cesnaviciute 6, Dinga 6 et Caussé 3.
32 tirs réussis sur 70 dont 11 sur 26 à 3 points. 16 sur 23 aux lancers francs. 27 rebonds (Hippolyte 8 ). 17 passes décisives (Perotto 6). 27 interceptions (Perotto 6). 19 balles perdues. 18 fautes.
DUNKERQUE : Duquesne 22, Delépine 13, Brumermane 10, Fombonne 9, Fresnais 6 puis E. Venier 10, Detry 7, Carlier 4 et Adler 3.
32 tirs réussis sur 63 dont 4 sur 13 à 3 points. 16 sur 23 aux lancers francs. 38 rebonds (Brumermane 11). 19 interceptions. 27 balles perdues. 20 fautes.
Colomiers démarre en trombe avec Hippolyte, Donnez et Mason : 6-2. Les visiteuses réagissent très vite dans le sillage de leur meneuse, Fresnais, et inscrivent 9 points d'affilée : 6-11. C'est une interception de Perotto qui met fin à ce petit passage à vide. Mason et Donnez, qui inscrit son premier des cinq paniers à trois points de la soirée, redonnent l'avantage aux locales : 18-13. Cette avance est maintenue jusqu'à la fin du premier quart-temps (25-21) comme Venier, Adler et Carlier compensent sept points de N'Diaye en trois minutes.
Tout au long du deuxième quart-temps, les deux entraîneurs vont multiplier les changements. À Colomiers, on veut maintenir la bonne pression défensive et le rythme offensif, à Dunkerque trouver un « cinq » qui tienne la route. Pas évident avec Delépine et Venier handicapées par les fautes et condamnées à faire du banc.
Hippolyte augmente l'avance de Colomiers : 32-23. Donnez et Billaud trouvent à trois points des espaces devant la défense de zone nordiste : 40-24. Fombonne et Brumermane, pourtant peu libre de ses mouvements, empêchent leur équipe de couler : 43-34. Mais Donnez et Mason ont le dernier mot de la mi-temps : 50-36.
Avec le retour Venier et Delépine, l'attaque de Dunkerque reprend des couleurs. Mais les locales sont intenables à trois points avec Donnez, Mason et Billaud. Quand Venier est rappelée sur le banc à sa quatrième faute, Colomiers a plus de vingt points d'avance : 68-46. Pourtant les visiteuses, malgré la fatigue du long déplacement, ne vont pas craquer et se battront jusqu'au bout. Delépine score en fin de troisième quart-temps (8 points en 3 minutes) et réduit un tantinet le retard de son équipe (74-58 à dix minutes du final) pendant que la grande Cesnaviciute s'amuse à provoquer des fautes sous le cercle.
Au début de la dernière période Caussé, Cesnaviciute et Dinga donnent à Colomiers son avance maximum (83-60). Ensuite c'est le relâchement. Les visiteuses, vont trouver en Duquesne et, à un degré moindre, Detry les scoreuses qui leur rend la défaite honorable. Le score final, 91-84, résume ainsi fort mal la nette domination de Colomiers.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
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Dunkerque à côté du sujet
Nouvelle défaite de Dunkerque qui s'incline cette fois sur le parquet de Colomiers, qui, à la lutte pour son maintien, avait visiblement plus envie que les Nordistes... Il n'y eut pas vraiment de suspense si on excepte les neuf points consécutifs des Dunkerquoises en début de match (6-11). Cela ne dura pas. À la fin du premier quart-temps, Dunkerque entama sa chute notamment à cause des fautes de Venier et Delépine qui nuisirent à sa complémentarité. Tout le contraire de Colomiers qui s'en donna à coeur joie à trois points (11/26).
À la pause (50-36), Dunkerque pouvait remercier son duo Brumermane-Fombonne. Sans elles, l'espoir se serait déjà envolé.
Il n'allait pas y en avoir beaucoup plus non plus après, tant les Dunkerquoises étaient empruntées et en manque de rythme. •
www.lavoixdessports.com
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Dunkerque à bout de souffle à Colomiers
Les 22 points de Marlène Duquesne (9/12 aux tirs) n'ont pas suffi. DMBC souffre en déplacement.
Les déplacements sont vraiment indigestes pour les Dunkerquoises. Ça s'est une nouvelle fois confirmé, ce samedi, à Colomiers (91-84). Et si certaines défaites peuvent engendrer des espoirs, celle enregistrée en Haute-Garonne ne peut que rendre pessimistes les plus fidèles supporters du DMBC. Les Nordistes vont devoir cravacher pour assurer leur maintien en N1.
Un bon début de rencontre, un dernier quart-temps qui permet aux maritimes de ne pas connaître une honteuse défaite. Point final. Dunkerque a couru durant le reste de la partie derrière les Columérines, appelées à rejoindre la N2.
Cette défaite était très loin d'être évidente après la prestation réalisée par les protégées de Christian Devos face à Pleyber-Christ, huit jours plus tôt.
Chaque week-end apporte son lot de surprises, car hormis les formations susceptibles de jouer le « final four », les autres équipes, à l'image des maritimes, effectuent un parcours en dent de scie. Cela donne un suspense intenable pour les clubs en balance pour une survie en N1F. Si Pleyber-Christ et Colomiers semblent promis à la relégation en N2, pas moins de six autres équipes peuvent connaître le même sort, dont Dunkerque. « On tâchera lors de chaque rencontre de se mettre à l'abri, mais cela ne sera pas évident. Les gens qui pratiquent ou ont pratiqué le basket peuvent comprendre que rien n'est facile dans cette division. Il faut être au top chaque samedi. On recevra Charleville, ce samedi, et le Centre fédéral. Il faut que l'on fasse le plein de points. Car bien que j'aie espoir de glaner des points à l'extérieur, notre maintien passera par des succès salle Burnod », souligne Christian Devos. Il assista impuissant sur le banc de touche à cette défaite en terre sudiste. Ce que confirme son adjoint et fils Sébastien. « On a été hors rythme durant les trois-quarts de la partie. Certes, elles ont connu de la réussite sur leurs tirs à trois points (11/26), mais on a été en décalage. Virginie Delépine et Émilie Venier furent rapidement pénalisées. Ça nous obligea à de nombreuses rotations. On réagit bien dans le dernier quart temps, mais cela fut insuffisant. Il faut se racheter face à Charleville. » DMBC, qui possède une victoire d'avance sur le premier relégable, souffrira donc jusqu'au bout, à moins qu'une grosse réaction d'orgueil se fasse jour lors des cinq derniers matchs. •
A. B. - www.dunkerque.maville.com
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25 points pour Delphine Donnez.
(25-21, 25-15, 24-22, 17-26).
MT : 50-36.
Arbitres : Jérôme Borie et Eric Sans.
COLOMIERS : Donnez 25, Hippolyte 12, Mason 12, Mandiang 2, Perotto 2 puis Billaud 14, N'Diaye 9, Cesnaviciute 6, Dinga 6 et Caussé 3.
32 tirs réussis sur 70 dont 11 sur 26 à 3 points. 16 sur 23 aux lancers francs. 27 rebonds (Hippolyte 8 ). 17 passes décisives (Perotto 6). 27 interceptions (Perotto 6). 19 balles perdues. 18 fautes.
DUNKERQUE : Duquesne 22, Delépine 13, Brumermane 10, Fombonne 9, Fresnais 6 puis E. Venier 10, Detry 7, Carlier 4 et Adler 3.
32 tirs réussis sur 63 dont 4 sur 13 à 3 points. 16 sur 23 aux lancers francs. 38 rebonds (Brumermane 11). 19 interceptions. 27 balles perdues. 20 fautes.
Colomiers démarre en trombe avec Hippolyte, Donnez et Mason : 6-2. Les visiteuses réagissent très vite dans le sillage de leur meneuse, Fresnais, et inscrivent 9 points d'affilée : 6-11. C'est une interception de Perotto qui met fin à ce petit passage à vide. Mason et Donnez, qui inscrit son premier des cinq paniers à trois points de la soirée, redonnent l'avantage aux locales : 18-13. Cette avance est maintenue jusqu'à la fin du premier quart-temps (25-21) comme Venier, Adler et Carlier compensent sept points de N'Diaye en trois minutes.
Tout au long du deuxième quart-temps, les deux entraîneurs vont multiplier les changements. À Colomiers, on veut maintenir la bonne pression défensive et le rythme offensif, à Dunkerque trouver un « cinq » qui tienne la route. Pas évident avec Delépine et Venier handicapées par les fautes et condamnées à faire du banc.
Hippolyte augmente l'avance de Colomiers : 32-23. Donnez et Billaud trouvent à trois points des espaces devant la défense de zone nordiste : 40-24. Fombonne et Brumermane, pourtant peu libre de ses mouvements, empêchent leur équipe de couler : 43-34. Mais Donnez et Mason ont le dernier mot de la mi-temps : 50-36.
Avec le retour Venier et Delépine, l'attaque de Dunkerque reprend des couleurs. Mais les locales sont intenables à trois points avec Donnez, Mason et Billaud. Quand Venier est rappelée sur le banc à sa quatrième faute, Colomiers a plus de vingt points d'avance : 68-46. Pourtant les visiteuses, malgré la fatigue du long déplacement, ne vont pas craquer et se battront jusqu'au bout. Delépine score en fin de troisième quart-temps (8 points en 3 minutes) et réduit un tantinet le retard de son équipe (74-58 à dix minutes du final) pendant que la grande Cesnaviciute s'amuse à provoquer des fautes sous le cercle.
Au début de la dernière période Caussé, Cesnaviciute et Dinga donnent à Colomiers son avance maximum (83-60). Ensuite c'est le relâchement. Les visiteuses, vont trouver en Duquesne et, à un degré moindre, Detry les scoreuses qui leur rend la défaite honorable. Le score final, 91-84, résume ainsi fort mal la nette domination de Colomiers.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
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Dunkerque à côté du sujet
Nouvelle défaite de Dunkerque qui s'incline cette fois sur le parquet de Colomiers, qui, à la lutte pour son maintien, avait visiblement plus envie que les Nordistes... Il n'y eut pas vraiment de suspense si on excepte les neuf points consécutifs des Dunkerquoises en début de match (6-11). Cela ne dura pas. À la fin du premier quart-temps, Dunkerque entama sa chute notamment à cause des fautes de Venier et Delépine qui nuisirent à sa complémentarité. Tout le contraire de Colomiers qui s'en donna à coeur joie à trois points (11/26).
À la pause (50-36), Dunkerque pouvait remercier son duo Brumermane-Fombonne. Sans elles, l'espoir se serait déjà envolé.
Il n'allait pas y en avoir beaucoup plus non plus après, tant les Dunkerquoises étaient empruntées et en manque de rythme. •
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Dunkerque à bout de souffle à Colomiers
Les 22 points de Marlène Duquesne (9/12 aux tirs) n'ont pas suffi. DMBC souffre en déplacement.
Les déplacements sont vraiment indigestes pour les Dunkerquoises. Ça s'est une nouvelle fois confirmé, ce samedi, à Colomiers (91-84). Et si certaines défaites peuvent engendrer des espoirs, celle enregistrée en Haute-Garonne ne peut que rendre pessimistes les plus fidèles supporters du DMBC. Les Nordistes vont devoir cravacher pour assurer leur maintien en N1.
Un bon début de rencontre, un dernier quart-temps qui permet aux maritimes de ne pas connaître une honteuse défaite. Point final. Dunkerque a couru durant le reste de la partie derrière les Columérines, appelées à rejoindre la N2.
Cette défaite était très loin d'être évidente après la prestation réalisée par les protégées de Christian Devos face à Pleyber-Christ, huit jours plus tôt.
Chaque week-end apporte son lot de surprises, car hormis les formations susceptibles de jouer le « final four », les autres équipes, à l'image des maritimes, effectuent un parcours en dent de scie. Cela donne un suspense intenable pour les clubs en balance pour une survie en N1F. Si Pleyber-Christ et Colomiers semblent promis à la relégation en N2, pas moins de six autres équipes peuvent connaître le même sort, dont Dunkerque. « On tâchera lors de chaque rencontre de se mettre à l'abri, mais cela ne sera pas évident. Les gens qui pratiquent ou ont pratiqué le basket peuvent comprendre que rien n'est facile dans cette division. Il faut être au top chaque samedi. On recevra Charleville, ce samedi, et le Centre fédéral. Il faut que l'on fasse le plein de points. Car bien que j'aie espoir de glaner des points à l'extérieur, notre maintien passera par des succès salle Burnod », souligne Christian Devos. Il assista impuissant sur le banc de touche à cette défaite en terre sudiste. Ce que confirme son adjoint et fils Sébastien. « On a été hors rythme durant les trois-quarts de la partie. Certes, elles ont connu de la réussite sur leurs tirs à trois points (11/26), mais on a été en décalage. Virginie Delépine et Émilie Venier furent rapidement pénalisées. Ça nous obligea à de nombreuses rotations. On réagit bien dans le dernier quart temps, mais cela fut insuffisant. Il faut se racheter face à Charleville. » DMBC, qui possède une victoire d'avance sur le premier relégable, souffrira donc jusqu'au bout, à moins qu'une grosse réaction d'orgueil se fasse jour lors des cinq derniers matchs. •
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Modifié en dernier par la zone le mar. 07 avr. 2009 10:13, modifié 1 fois.