Les rencontres du 07/03/2009
20:00 ROCHE VENDEE BC / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 CLUB BASKET D'IFS / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 US LAVEYRON / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 ARMENTIERES SO / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / CENTRE FEDERAL BB
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / RENNES AVENIR
NF1 - Saison 2008 - 2009
Modérateur : Modérateurs LFB
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prono du WE
ROCHE VENDEE / GRAFFENSTADEN ---> que ce sera dur
STRASBOURG / CHARLEVILLE MEZIERES ---> Charleville équipe de la fin de saison
LIMOGES / COLOMIERS --> Je pense que Colomiers va bien résister
IFS / PLEYBER CHRIST --> Pourquoi pas si arbitrage correct (je veux dire pas le même que contre Rennes)
LAVEYRON / DUNKERQUE MALO --> Très équilibré
ARMENTIERES / NICE CAVIGAL --> Pas photo
ETOILE DE VOIRON / CENTRE FEDERAL --> Voiron a besoin de points
TOULOUSE / RENNES AVENIR --> Allez Rennes ce serait super
STRASBOURG / CHARLEVILLE MEZIERES ---> Charleville équipe de la fin de saison
LIMOGES / COLOMIERS --> Je pense que Colomiers va bien résister
IFS / PLEYBER CHRIST --> Pourquoi pas si arbitrage correct (je veux dire pas le même que contre Rennes)
LAVEYRON / DUNKERQUE MALO --> Très équilibré
ARMENTIERES / NICE CAVIGAL --> Pas photo
ETOILE DE VOIRON / CENTRE FEDERAL --> Voiron a besoin de points
TOULOUSE / RENNES AVENIR --> Allez Rennes ce serait super
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STRASBOURG / CHARLEVILLE MEZIERES
SABC
Entretenir l’espoir
Relégués à la 7e place, Belinda M’Boma et le SABC peuvent revenir à deux victoires de leur adversaire du soir, Charleville.
Les Strasbourgeoises, qui vivent un début d’année plus que délicat, reçoivent Charleville-Mézières à 20 h au Tivoli pour la 22e journée de NF1. Elles ne doivent pas passer à côté.
Mal en point en NF1 - une seule victoire lors des six dernières journées — les filles du SABC se sont offert un bon bol d’air en éliminant la SIG (78-74) le week-end dernier en quart de finale de la Coupe du Crédit Mutuel. Même si les Illkirchoises avaient sûrement la tête au championnat où elles jouent les premiers rôles, la performance des joueuses de José Ruiz n’est pas anodine.
Toujours privées de Djéné Diawara, meilleure rebondeuse de NF1 (première à l’évaluation également), les Strasbourgeoises ont emmagasiné de la confiance avant d’affronter Charleville ce soir (20 h) au Tivoli. « Ce match face à la SIG nous a montré que même sans Diawara, nous pouvions faire de bonnes choses. De toute façon, il n’y a pas de questions à se poser contre Charleville. Il faut gagner », lance l’entraîneur José Ruiz.
Le Strasbourg ABC, repoussé au 7e rang et virtuellement éliminé de la lutte pour la montée, a en effet besoin d’une éclatante victoire pour se relancer en attendant le retour salvateur de son intérieure malienne, espérée très bientôt à l’entraînement. « L’équipe est un peu frustrée, puisque le problème est numérique. Sans Diawara, nous avons un peu plus de mal, d’autant que les joueuses du banc n’apportent pas ce qu’elles devraient », regrette le coach.
Un déficit de taille
4es avec 15 victoires pour 6 défaites, les Ardennaises font partie des grandes favorites. Et en l’absence de Diawara, Charline Servage et les autres seront confrontées à un sérieux déficit de taille sous le cercle, le gros point fort de Charleville. La Belge Dana Boonen (1,95 m, 15,2 points et 5,8 rebonds de moyenne), l’Espagnole Irène Herradas (1,85 m, 6,6 pts et 3,8 rbds) et Floriane Herrscher (ex-Wihr, 1,87 m, 12,3 pts et 5,3 rbds) inspirent de la crainte à José Ruiz : « Avec trois joueuses à plus de 1,85 m, le problème de taille va se poser. À nous de trouver des solutions pour limiter l’influence des grandes. Nous allons devoir insister sur le jeu rapide et une défense intraitable. »
Après avoir dominé une grande partie de la rencontre, le SABC s’était incliné sur la fin à l’aller (75-65) à la suite de décisions d’arbitrage contestables. Envie de revanche, donc ? « Non, puisque les joueuses de Charleville n’y sont pour rien », coupe Ruiz, « C’est la seule fois de la saison où nous sommes tombés sur un arbitrage aussi catastrophique. Ça nous avait laissé un goût amer. »
Friables hors de leurs bases, les Carolos y restent sur deux revers. « J’ai remarqué en effet qu’elles ne voyageaient pas bien. C’est bon à savoir », observe José Ruiz. Ses filles seraient bien inspirées de ne pas laisser Charleville se relancer à l’extérieur. Sous peine de rentrer définitivement dans le rang.
Olivier Arnal - www.alsapresse.com
SABC
Entretenir l’espoir
Relégués à la 7e place, Belinda M’Boma et le SABC peuvent revenir à deux victoires de leur adversaire du soir, Charleville.
Les Strasbourgeoises, qui vivent un début d’année plus que délicat, reçoivent Charleville-Mézières à 20 h au Tivoli pour la 22e journée de NF1. Elles ne doivent pas passer à côté.
Mal en point en NF1 - une seule victoire lors des six dernières journées — les filles du SABC se sont offert un bon bol d’air en éliminant la SIG (78-74) le week-end dernier en quart de finale de la Coupe du Crédit Mutuel. Même si les Illkirchoises avaient sûrement la tête au championnat où elles jouent les premiers rôles, la performance des joueuses de José Ruiz n’est pas anodine.
Toujours privées de Djéné Diawara, meilleure rebondeuse de NF1 (première à l’évaluation également), les Strasbourgeoises ont emmagasiné de la confiance avant d’affronter Charleville ce soir (20 h) au Tivoli. « Ce match face à la SIG nous a montré que même sans Diawara, nous pouvions faire de bonnes choses. De toute façon, il n’y a pas de questions à se poser contre Charleville. Il faut gagner », lance l’entraîneur José Ruiz.
Le Strasbourg ABC, repoussé au 7e rang et virtuellement éliminé de la lutte pour la montée, a en effet besoin d’une éclatante victoire pour se relancer en attendant le retour salvateur de son intérieure malienne, espérée très bientôt à l’entraînement. « L’équipe est un peu frustrée, puisque le problème est numérique. Sans Diawara, nous avons un peu plus de mal, d’autant que les joueuses du banc n’apportent pas ce qu’elles devraient », regrette le coach.
Un déficit de taille
4es avec 15 victoires pour 6 défaites, les Ardennaises font partie des grandes favorites. Et en l’absence de Diawara, Charline Servage et les autres seront confrontées à un sérieux déficit de taille sous le cercle, le gros point fort de Charleville. La Belge Dana Boonen (1,95 m, 15,2 points et 5,8 rebonds de moyenne), l’Espagnole Irène Herradas (1,85 m, 6,6 pts et 3,8 rbds) et Floriane Herrscher (ex-Wihr, 1,87 m, 12,3 pts et 5,3 rbds) inspirent de la crainte à José Ruiz : « Avec trois joueuses à plus de 1,85 m, le problème de taille va se poser. À nous de trouver des solutions pour limiter l’influence des grandes. Nous allons devoir insister sur le jeu rapide et une défense intraitable. »
Après avoir dominé une grande partie de la rencontre, le SABC s’était incliné sur la fin à l’aller (75-65) à la suite de décisions d’arbitrage contestables. Envie de revanche, donc ? « Non, puisque les joueuses de Charleville n’y sont pour rien », coupe Ruiz, « C’est la seule fois de la saison où nous sommes tombés sur un arbitrage aussi catastrophique. Ça nous avait laissé un goût amer. »
Friables hors de leurs bases, les Carolos y restent sur deux revers. « J’ai remarqué en effet qu’elles ne voyageaient pas bien. C’est bon à savoir », observe José Ruiz. Ses filles seraient bien inspirées de ne pas laisser Charleville se relancer à l’extérieur. Sous peine de rentrer définitivement dans le rang.
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ROCHE VENDEE BC / S.I. GRAFFENSTADEN
7 matches de bonheur ?
Pour Pauline Schultz (absente ce soir), Claire Nussbaumer, Darline Nsoki, Lucie Battaglia et Allison Vernerey, l’occasion est belle d’écarter un rival.
Invaincue en 2009 en Nationale 1 féminine, la SIG, qui reste sur 6 victoires et occupe une étonnante 3e place, rêve d’un 7e succès d’affilée à 20 h à Roche Vendée, l’une des deux seules équipes venues la battre dans son hall.
Il ne reste que neuf journées en NF1 et le promu illkirchois est toujours dans le coup pour la qualification au final four. Solidement ancré à la 3e place (2e ex aequo avec Armentières même), il l’est même plus que jamais à mesure qu’il enfile les victoires (6 d’affilée en 2009) et que ses rivaux lâchent du lest.
Toujours désireux de ne pas brûler les étapes, son entraîneur, Philippe Breitenbucher, se garde néanmoins de se projeter trop loin. Le technicien de la SIG n’ignore cependant pas que le déplacement d’aujourd’hui (20 h) à Roche Vendée est « un match à 3 ou 4 points. » Les Vendéennes ont nettement décéléré depuis leur premier revers de la 10e journée. Leaders invaincues avec 9 succès d’entrée, elles étaient venues s’imposer d’un rien lors de leur 7e levée au Cercle Saint-Symphorien (67-70). « À l’époque, elles surfaient sur une énorme vague de confiance et c’est ce qui leur avait permis d’arracher la victoire », se souvient Breitenbucher.
Mais depuis leur série victorieuse initiale, les joueuses de Matthieu Chauvet ont connu des fortunes diverses (6 victoires, 6 défaites). « Ce bilan équilibré est un retour à la normalité, mais ça n’empêche pas Roche d’être une équipe très costaude », remarque le technicien alsacien, « Si nous la regardons jouer, nous n’aurons aucune chance. Il faudra aller la chercher avec intensité. »
Alors que la fin de saison approche, le coach de la SIG a demandé à ses joueuses de ne pas calculer. Lui-même s’efforce « de prendre les matches trois par trois. Sur les trois prochains (Ndlr : avec le derby contre le SABC dans une semaine et le voyage à Rennes le 28 ), il serait bon d’en gagner deux pour rester placés dans la course au final four. Une défaite ce samedi ne nous éliminerait pas. En revanche, un échec des Vendéennes les placerait dans une position délicate. La pression est davantage sur elles que sur nous. Nous jouerons libérés. »
Fracture pour Marie-Noémie Privet
Emmenée par l’ancien pivot slovaque du Racing Livia Libicova (14,4 points), la formation yonnaise reste sur un échec à Charleville (83-65), l’autre vainqueur de la SIG en Alsace. « Personne ne s’est imposé dans les Ardennes », relativise « Breit » qui sait que le parcours domestique de Libicova et les autres invite à la prudence. Jusqu’ici, ces dernières n’ont chuté qu’à deux reprises dans leur salle : 80-83 contre le leader Limoges et 87-90 après prolongation face à un Strasbourg ABC beaucoup plus fringant qu’il ne l’est aujourd’hui.
Toujours privée de Marie-Noémie Privet, victime d’une fracture de la main et suppléée cette fois par Héloïse Boissinot, la SIG a de son côté connu la défaite dimanche face au voisin, le SABC, en Coupe du Crédit Mutuel (74-78 ). Un revers concédé sans Aminata Konate - préservée pour une tendinite et de retour ce soir - qui n’inquiète pas son entraîneur : « L’envie était là , mais la tête et les jambes n’ont pas suivi. Avec le recul, je m’aperçois que c’était un match de trop. » La perspective d’écarter un adversaire direct dans la course au Top 4 devrait en soirée redonner de la fraîcheur aux esprits illkirchois.
S.G. - www.alsapresse.com
7 matches de bonheur ?
Pour Pauline Schultz (absente ce soir), Claire Nussbaumer, Darline Nsoki, Lucie Battaglia et Allison Vernerey, l’occasion est belle d’écarter un rival.
Invaincue en 2009 en Nationale 1 féminine, la SIG, qui reste sur 6 victoires et occupe une étonnante 3e place, rêve d’un 7e succès d’affilée à 20 h à Roche Vendée, l’une des deux seules équipes venues la battre dans son hall.
Il ne reste que neuf journées en NF1 et le promu illkirchois est toujours dans le coup pour la qualification au final four. Solidement ancré à la 3e place (2e ex aequo avec Armentières même), il l’est même plus que jamais à mesure qu’il enfile les victoires (6 d’affilée en 2009) et que ses rivaux lâchent du lest.
Toujours désireux de ne pas brûler les étapes, son entraîneur, Philippe Breitenbucher, se garde néanmoins de se projeter trop loin. Le technicien de la SIG n’ignore cependant pas que le déplacement d’aujourd’hui (20 h) à Roche Vendée est « un match à 3 ou 4 points. » Les Vendéennes ont nettement décéléré depuis leur premier revers de la 10e journée. Leaders invaincues avec 9 succès d’entrée, elles étaient venues s’imposer d’un rien lors de leur 7e levée au Cercle Saint-Symphorien (67-70). « À l’époque, elles surfaient sur une énorme vague de confiance et c’est ce qui leur avait permis d’arracher la victoire », se souvient Breitenbucher.
Mais depuis leur série victorieuse initiale, les joueuses de Matthieu Chauvet ont connu des fortunes diverses (6 victoires, 6 défaites). « Ce bilan équilibré est un retour à la normalité, mais ça n’empêche pas Roche d’être une équipe très costaude », remarque le technicien alsacien, « Si nous la regardons jouer, nous n’aurons aucune chance. Il faudra aller la chercher avec intensité. »
Alors que la fin de saison approche, le coach de la SIG a demandé à ses joueuses de ne pas calculer. Lui-même s’efforce « de prendre les matches trois par trois. Sur les trois prochains (Ndlr : avec le derby contre le SABC dans une semaine et le voyage à Rennes le 28 ), il serait bon d’en gagner deux pour rester placés dans la course au final four. Une défaite ce samedi ne nous éliminerait pas. En revanche, un échec des Vendéennes les placerait dans une position délicate. La pression est davantage sur elles que sur nous. Nous jouerons libérés. »
Fracture pour Marie-Noémie Privet
Emmenée par l’ancien pivot slovaque du Racing Livia Libicova (14,4 points), la formation yonnaise reste sur un échec à Charleville (83-65), l’autre vainqueur de la SIG en Alsace. « Personne ne s’est imposé dans les Ardennes », relativise « Breit » qui sait que le parcours domestique de Libicova et les autres invite à la prudence. Jusqu’ici, ces dernières n’ont chuté qu’à deux reprises dans leur salle : 80-83 contre le leader Limoges et 87-90 après prolongation face à un Strasbourg ABC beaucoup plus fringant qu’il ne l’est aujourd’hui.
Toujours privée de Marie-Noémie Privet, victime d’une fracture de la main et suppléée cette fois par Héloïse Boissinot, la SIG a de son côté connu la défaite dimanche face au voisin, le SABC, en Coupe du Crédit Mutuel (74-78 ). Un revers concédé sans Aminata Konate - préservée pour une tendinite et de retour ce soir - qui n’inquiète pas son entraîneur : « L’envie était là , mais la tête et les jambes n’ont pas suivi. Avec le recul, je m’aperçois que c’était un match de trop. » La perspective d’écarter un adversaire direct dans la course au Top 4 devrait en soirée redonner de la fraîcheur aux esprits illkirchois.
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Ifs - Pleyber-Christ, ce soir (20h)
Défaite interdite
En déplacement ce soir à Ifs, qui occupe la treizième place, Aude Kernevez et les Pleyberiennes devront impérativement s'imposer.
Après une petite trêve, Pleyber-Christ se déplace ce soir à Ifs, une formation qui occupe la treizième place avec un succès de plus que les Finistériennes. La victoire est donc jouable. En tout cas, elle est impérative pour rester en course pour le maintien.
Les Pleybériennes, à égalité avec le Centre fédéral et Colomiers, ne comptent qu'un point de retard sur Laveyron, douzième à égalité avec Ifs. Il ne reste que quelques matchs aux joueuses de Franck Simon pour assurer leur maintien. C'est pourquoi, elles devront quasiment tous les gagner pour avoir une chance de rester à ce niveau. La première étape du maintien passe par Ifs, sachant que Pleyber-Christ a gagné 69-56 au match aller. De son côté, Colomiers joue contre le leader, Limoges, et ne devrait pas peser lourd, tandis que le Centre fédéral jouera le onzième, Voiron. Malgré leur seizième place, les Pleybériennes ont des atouts à faire valoir en défense resserrée, mais elles devront faire attention aux paniers à trois points.
Un collectif et des individualités
Elles devront aussi se montrer plus régulières au rebond. Laura Désert et Marie Chemineau ont montré l'exemple contre Limoges. Sans oublier l'importance de Margot Puc et Mélanie Venier. En attaque, Caroline Le Fé et Céline Lix-Boubala ont montré leurs capacités à scorer à trois points. Et nul doute que d'autres peuvent le faire. Contre La Roche, chaque joueuse avait apporté sa pierre à la victoire, les exploits individuels ayant suppléé le collectif dans les moments plus difficiles. Autant de choses qui permettent de croire en cette victoire impérative.
Y.G. - www.letelegramme.com
Défaite interdite
En déplacement ce soir à Ifs, qui occupe la treizième place, Aude Kernevez et les Pleyberiennes devront impérativement s'imposer.
Après une petite trêve, Pleyber-Christ se déplace ce soir à Ifs, une formation qui occupe la treizième place avec un succès de plus que les Finistériennes. La victoire est donc jouable. En tout cas, elle est impérative pour rester en course pour le maintien.
Les Pleybériennes, à égalité avec le Centre fédéral et Colomiers, ne comptent qu'un point de retard sur Laveyron, douzième à égalité avec Ifs. Il ne reste que quelques matchs aux joueuses de Franck Simon pour assurer leur maintien. C'est pourquoi, elles devront quasiment tous les gagner pour avoir une chance de rester à ce niveau. La première étape du maintien passe par Ifs, sachant que Pleyber-Christ a gagné 69-56 au match aller. De son côté, Colomiers joue contre le leader, Limoges, et ne devrait pas peser lourd, tandis que le Centre fédéral jouera le onzième, Voiron. Malgré leur seizième place, les Pleybériennes ont des atouts à faire valoir en défense resserrée, mais elles devront faire attention aux paniers à trois points.
Un collectif et des individualités
Elles devront aussi se montrer plus régulières au rebond. Laura Désert et Marie Chemineau ont montré l'exemple contre Limoges. Sans oublier l'importance de Margot Puc et Mélanie Venier. En attaque, Caroline Le Fé et Céline Lix-Boubala ont montré leurs capacités à scorer à trois points. Et nul doute que d'autres peuvent le faire. Contre La Roche, chaque joueuse avait apporté sa pierre à la victoire, les exploits individuels ayant suppléé le collectif dans les moments plus difficiles. Autant de choses qui permettent de croire en cette victoire impérative.
Y.G. - www.letelegramme.com
Modifié en dernier par la zone le mar. 31 mars 2009 10:48, modifié 1 fois.
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Toulouse Métropole Basket - Rennes.
Toulouse : une dernière chance pour le carré d'as
Valérie Garnier sait faire passer son message.
Comme toutes les équipes depuis le début de saison Valérie Garnier craint celle de Rennes. Pour de bonnes raisons. Les joueuses de Frédérique Prud'homme, elle aussi ancienne meneuse de jeu de haut niveau, possèdent à peu de choses près des mêmes caractéristiques que Graffenstaden contre qui les Toulousaines n'ont pu faire que de la figuration il y a quinze jours en Alsace. De la jeunesse, une défense très dure, un jeu athlétique sont leur marque de fabrique.
Les anciennes joueuses de Tarbes et Bourges, Leclair et Lokoka, nées en 1989 et qui devraient être supervisées par Alain Jardel, l'entraineur de l'équipe de France des 20 ans et moins, Médenou (ex-Centre Fédéral), à peine un an de moins, sans oublier l'Américaine Morgan, fée des raquettes, ni Assilaméhou : vous avez là la liste des dangers à occulter. Avec en prime Kévorkian et l'expérience de ses 32 ans au poste de meneur de jeu. Les Bretonnes, arrivées depuis hier à Toulouse ont prévu une séance de « shooting » au petit palais ce matin, preuve qu'elles ne viennent pas pour faire de la figuration et comptent s'imposer pour prendre leurs distances avec la zone de relégation.
Quant au TMB, il en saura un tout petit peu plus ce soir au sujet de ses chances de participer au « Final Four » qualificatif pour la LFB car, dans le programme du jour, figurent deux oppositions directes de prétendants : La Roche-Graffenstaden et Strasbourg-Charleville.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
Ce soir, Ã 20 heures, au petit palais des sports.
Toulouse : une dernière chance pour le carré d'as
Valérie Garnier sait faire passer son message.
Comme toutes les équipes depuis le début de saison Valérie Garnier craint celle de Rennes. Pour de bonnes raisons. Les joueuses de Frédérique Prud'homme, elle aussi ancienne meneuse de jeu de haut niveau, possèdent à peu de choses près des mêmes caractéristiques que Graffenstaden contre qui les Toulousaines n'ont pu faire que de la figuration il y a quinze jours en Alsace. De la jeunesse, une défense très dure, un jeu athlétique sont leur marque de fabrique.
Les anciennes joueuses de Tarbes et Bourges, Leclair et Lokoka, nées en 1989 et qui devraient être supervisées par Alain Jardel, l'entraineur de l'équipe de France des 20 ans et moins, Médenou (ex-Centre Fédéral), à peine un an de moins, sans oublier l'Américaine Morgan, fée des raquettes, ni Assilaméhou : vous avez là la liste des dangers à occulter. Avec en prime Kévorkian et l'expérience de ses 32 ans au poste de meneur de jeu. Les Bretonnes, arrivées depuis hier à Toulouse ont prévu une séance de « shooting » au petit palais ce matin, preuve qu'elles ne viennent pas pour faire de la figuration et comptent s'imposer pour prendre leurs distances avec la zone de relégation.
Quant au TMB, il en saura un tout petit peu plus ce soir au sujet de ses chances de participer au « Final Four » qualificatif pour la LFB car, dans le programme du jour, figurent deux oppositions directes de prétendants : La Roche-Graffenstaden et Strasbourg-Charleville.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
Ce soir, Ã 20 heures, au petit palais des sports.
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Limoges - Colomiers.
Colomiers est en forme.
Colomiers en quête d'exploit chez le leader limougeaud.
Le changement d'entraîneur a été bénéfique au groupe. Vendredi dernier en amical les Columérines, dans une rencontre où les deux équipes étaient incomplètes, se sont imposées de quinze points contre le TMB. Si les systèmes de jeu offensif mis en place par Benoit Badet ont été conservés par Stephan Patterson, les changements de comportement dans l'engagement défensif du groupe sont visibles et notables. Le nouvel entraîneur a aussi apporté des modifications dans la gestion de l'effectif et des temps de jeu.
Mais le maintien est encore loin. Même avec neuf journées à disputer et mathématiquement la possibilité de sortir de l'ornière. Voiron, le dernier non relégué actuel, et Laveyron, le premier relégable, sont deux points devant. Ce soir, ils accueillent le Centre Fédéral et Dunkerque dans des rencontres à leur portée et pourraient donc augmenter leur avance sur Colomiers. Seul un exploit columérin chez le solide leader Limoges serait susceptible d'inverser la donne.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
Colomiers est en forme.
Colomiers en quête d'exploit chez le leader limougeaud.
Le changement d'entraîneur a été bénéfique au groupe. Vendredi dernier en amical les Columérines, dans une rencontre où les deux équipes étaient incomplètes, se sont imposées de quinze points contre le TMB. Si les systèmes de jeu offensif mis en place par Benoit Badet ont été conservés par Stephan Patterson, les changements de comportement dans l'engagement défensif du groupe sont visibles et notables. Le nouvel entraîneur a aussi apporté des modifications dans la gestion de l'effectif et des temps de jeu.
Mais le maintien est encore loin. Même avec neuf journées à disputer et mathématiquement la possibilité de sortir de l'ornière. Voiron, le dernier non relégué actuel, et Laveyron, le premier relégable, sont deux points devant. Ce soir, ils accueillent le Centre Fédéral et Dunkerque dans des rencontres à leur portée et pourraient donc augmenter leur avance sur Colomiers. Seul un exploit columérin chez le solide leader Limoges serait susceptible d'inverser la donne.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
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Colomiers.
Elle fait des bonds mademoiselle Marion
La meneuse columérine croit toujours en son équipe qui lutte pour le maintien.
Son joli minois illumine les parquets de NF1.
Meneuse de jeu d'1,69 m, Marion Causse possède un « jump » étonnant. Elle est capable d'aller chercher des rebonds sur des filles beaucoup plus grandes qu'elle. Sur les parquets, la Columérine est en effet du genre bondissant. Elle n'arrête pas. « En match, je suis un peu ''fofolle''. Il faut que je canalise mon énergie. Et je ne me laisse pas faire. Mais, dans la vie, je suis ''cool'' », lâche cette pétillante brunette de 20 ans (elle les fêtera le 24 mars), beaucoup plus réservée en dehors de la compétition.
Originaire de Bourg-Saint-Bernard où réside sa famille, Marion est tombée toute petite dans la marmite. « à l'âge de 3 ou 4 ans, j'ai eu un ballon dans les mains car ma mère était basketteuse à Verfeil. Mais je suivais aussi mon père au football. Je jouais des fois avec lui. Le rugby, j'aime bien, même si ce n'est pas très féminin comme sport. J'y ai pourtant goûté quand j'étais lycéenne à Jolimont, contre les garçons. Je les feintais et j'avançais. J'étais peut-être douée (rires). Le football s'adapte davantage aux filles, pas autant que le basket cependant. Avant, je supportais l'OM. Maintenant, je n'ai plus trop le temps de suivre. Je regarde parfois les résultats du TFC… Mon footballeur préféré, c'est David Beckham. Il est beau. » David, son chéri, sourit.
une passion
Marion prépare un bac pro en alternance. Elle envisage de devenir technicienne de laboratoire. Tout en continuant à jouer au basket : « C'est ma grande passion. Au début, je voulais juste imiter ma mère. Aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Et je pense avoir encore de belles années devant moi pour y jouer. Enfin, je l'espère. Si la trêve estivale fait du bien, j'ai toujours hâte de reprendre. Si je n'y jouais pas, je pratiquerais un autre sport, mais je ne sais pas lequel », poursuit la demoiselle.
Passée par Verfeil, le Net's, Marion Causse est arrivée à Colomiers il y a cinq ans. « J'évoluais sous les ordres de Benoît Badet que j'avais connu auparavant. J'ai toujours progressé avec lui. Il m'a vue grandir. Il me connaît depuis longtemps. Petite, il me ramenait chez moi. J'ai été affectée par sa mise à l'écart (Ndlr : le coach a été démis de ses fonctions mi-février). Je trouve bizarre que cela arrive à dix matchs de la fin. Cela dit, tout se passe bien avec son successeur (le Suédois Stefan Pettersson). Son arrivée a remotivé l'équipe et permis à certaines joueuses de s'extérioriser. Une forme de lassitude, d'usure, s'était peut-être installée avec Benoît qui entraînait depuis longtemps la plupart des filles. C'est lui qui nous a emmenées jusqu'en N1, ne l'oublions pas. » Il reste neuf matchs et Colomiers est en position de relégable (deux victoires de retard), mais Marion y croit : « Il règne un bon état d'esprit malgré les mauvais résultats. ça va être dur, mais je n'ai pas envie de descendre d'un niveau. »
Demain, Colomiers jouera à Limoges, chez le leader. « Sans complexe », conclut Marion.
Jean-Paul Pronzato - www.ladepeche.fr
Elle fait des bonds mademoiselle Marion
La meneuse columérine croit toujours en son équipe qui lutte pour le maintien.
Son joli minois illumine les parquets de NF1.
Meneuse de jeu d'1,69 m, Marion Causse possède un « jump » étonnant. Elle est capable d'aller chercher des rebonds sur des filles beaucoup plus grandes qu'elle. Sur les parquets, la Columérine est en effet du genre bondissant. Elle n'arrête pas. « En match, je suis un peu ''fofolle''. Il faut que je canalise mon énergie. Et je ne me laisse pas faire. Mais, dans la vie, je suis ''cool'' », lâche cette pétillante brunette de 20 ans (elle les fêtera le 24 mars), beaucoup plus réservée en dehors de la compétition.
Originaire de Bourg-Saint-Bernard où réside sa famille, Marion est tombée toute petite dans la marmite. « à l'âge de 3 ou 4 ans, j'ai eu un ballon dans les mains car ma mère était basketteuse à Verfeil. Mais je suivais aussi mon père au football. Je jouais des fois avec lui. Le rugby, j'aime bien, même si ce n'est pas très féminin comme sport. J'y ai pourtant goûté quand j'étais lycéenne à Jolimont, contre les garçons. Je les feintais et j'avançais. J'étais peut-être douée (rires). Le football s'adapte davantage aux filles, pas autant que le basket cependant. Avant, je supportais l'OM. Maintenant, je n'ai plus trop le temps de suivre. Je regarde parfois les résultats du TFC… Mon footballeur préféré, c'est David Beckham. Il est beau. » David, son chéri, sourit.
une passion
Marion prépare un bac pro en alternance. Elle envisage de devenir technicienne de laboratoire. Tout en continuant à jouer au basket : « C'est ma grande passion. Au début, je voulais juste imiter ma mère. Aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Et je pense avoir encore de belles années devant moi pour y jouer. Enfin, je l'espère. Si la trêve estivale fait du bien, j'ai toujours hâte de reprendre. Si je n'y jouais pas, je pratiquerais un autre sport, mais je ne sais pas lequel », poursuit la demoiselle.
Passée par Verfeil, le Net's, Marion Causse est arrivée à Colomiers il y a cinq ans. « J'évoluais sous les ordres de Benoît Badet que j'avais connu auparavant. J'ai toujours progressé avec lui. Il m'a vue grandir. Il me connaît depuis longtemps. Petite, il me ramenait chez moi. J'ai été affectée par sa mise à l'écart (Ndlr : le coach a été démis de ses fonctions mi-février). Je trouve bizarre que cela arrive à dix matchs de la fin. Cela dit, tout se passe bien avec son successeur (le Suédois Stefan Pettersson). Son arrivée a remotivé l'équipe et permis à certaines joueuses de s'extérioriser. Une forme de lassitude, d'usure, s'était peut-être installée avec Benoît qui entraînait depuis longtemps la plupart des filles. C'est lui qui nous a emmenées jusqu'en N1, ne l'oublions pas. » Il reste neuf matchs et Colomiers est en position de relégable (deux victoires de retard), mais Marion y croit : « Il règne un bon état d'esprit malgré les mauvais résultats. ça va être dur, mais je n'ai pas envie de descendre d'un niveau. »
Demain, Colomiers jouera à Limoges, chez le leader. « Sans complexe », conclut Marion.
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Zoom.
Le TMB et la Journée internationale de la femme.
Un apéro-débat avant le match
Le Toulouse Métropole Basket (TMB) a décidé de célébrer à sa façon la Journée internationale de la femme. Ce soir, avant la rencontre face à Rennes (coup d'envoi à 20 heures) comptant pour le championnat de France de Nationale féminine 1 au petit palais des sports de la Ville rose, le TMB organise, à partir de 18 h 30, au salon VIP du grand palais des sports André-Brouat (entrée par le petit palais), un apéro-débat sur le thème : « Femmes et sports, quels enjeux ? »
La Journée de la femme et le Trophée Femmes et sports remis à la Fédération française de basket-ball sont, ce week-end, deux motifs d'organiser demain cet apéro-débat. C'est aussi l'occasion, pour le Toulouse Métropole Basket, club féminin, de vous accueillir et vous présenter ses convictions et ses valeurs sur ce sujet. Et aussi de vous donner la parole, vous offrir un moment de convivialité et, le club l'espère, un beau match de basket en suivant.
Cet apéro-débat, qui ne se veut pas trop institutionnel, ne concerne pas que le monde de la balle orange : il est ouvert à tous. Il s'agira d'un débat citoyen sur la place et le rôle de la femme dans le sport, dans l'entreprise, et dans la société en général.
Pour ce match, l'entrée sera gratuite pour les dames (5 € pour les hommes) et un cadeau leur sera remis.
Jean-Paul Pronzato - www.ladepeche.fr
Le TMB et la Journée internationale de la femme.
Un apéro-débat avant le match
Le Toulouse Métropole Basket (TMB) a décidé de célébrer à sa façon la Journée internationale de la femme. Ce soir, avant la rencontre face à Rennes (coup d'envoi à 20 heures) comptant pour le championnat de France de Nationale féminine 1 au petit palais des sports de la Ville rose, le TMB organise, à partir de 18 h 30, au salon VIP du grand palais des sports André-Brouat (entrée par le petit palais), un apéro-débat sur le thème : « Femmes et sports, quels enjeux ? »
La Journée de la femme et le Trophée Femmes et sports remis à la Fédération française de basket-ball sont, ce week-end, deux motifs d'organiser demain cet apéro-débat. C'est aussi l'occasion, pour le Toulouse Métropole Basket, club féminin, de vous accueillir et vous présenter ses convictions et ses valeurs sur ce sujet. Et aussi de vous donner la parole, vous offrir un moment de convivialité et, le club l'espère, un beau match de basket en suivant.
Cet apéro-débat, qui ne se veut pas trop institutionnel, ne concerne pas que le monde de la balle orange : il est ouvert à tous. Il s'agira d'un débat citoyen sur la place et le rôle de la femme dans le sport, dans l'entreprise, et dans la société en général.
Pour ce match, l'entrée sera gratuite pour les dames (5 € pour les hommes) et un cadeau leur sera remis.
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STRASBOURG / CHARLEVILLE MEZIERES
Mars, et ça repart ?
Rétablie de son entorse, Alexia Kusion apportera sa percussion à l'aile.
Restant sur deux défaites à l'extérieur en championnat, le FCBA a besoin d'un succès ce soir à Strasbourg dans l'optique des play-offs.
« Si nous ne gagnons pas ce genre de match, nous ne méritons pas de disputer les play-offs. »
Les Flammes carolos quatrièmes, Romuald Yernaux a clairement mis la pression sur ses joueuses avant le déplacement à Strasbourg (7e).
Si, à neuf journées de la fin, l'équipe ardennaise a préservé son invincibilité à domicile, les dernières défaites concédées à Armentières (54-60) et à Toulouse (56-67), deux concurrents directs, ont hypothéqué le moindre joker.
« Jusque-là , je n'ai pas tapé du poing sur la table, rappelle le technicien carolomacérien. Mais une troisième défaite consécutive à l'extérieur me mettrait en rage. Malgré notre mauvaise préparation. »
Après la blessure d'Alexia Kusion (cheville), Carine Contessi, Irina Constantin, Céline Fromholz, Dana Boonen et Amel Bouderra ont toutes été malades, conséquence de la dernière panne de chauffage enregistrée à la salle Bayard.
Une péripétie qui n'a pas empêché Charleville de se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de France samedi à Ouistreham (90-53).
Attaquer la défense de zone
« Tout le monde a repris confiance, mais nous avons aussi accumulé beaucoup de fatigue, explique l'entraîneur ardennais. Au moins, tout le monde a pu jouer… »
A quel accueil le FCBA doit-il s'attendre ? Deuxième attaque du championnat, Strasbourg s'est néanmoins incliné cinq fois sur les six journées disputées depuis la trêve.
« Les Alsaciennes ont cédé trop de points à domicile pour rester en course en vue du Final Four, estime Romuald Yernaux. Mais elles ne lâcheront pas pour autant, car certaines joueuses ont besoin de se montrer pour renégocier leur contrat. En plus, elles défendent beaucoup en zone et possèdent des individualités de valeur, à l'image de Laurence Cayot, qui est capable de prendre feu (sic) à tout moment. »
Comme un avant-goût de Ligue féminine avant les réceptions de Limoges et de Bourges.
Cédric Goure - www.lunion.presse.fr
Mars, et ça repart ?
Rétablie de son entorse, Alexia Kusion apportera sa percussion à l'aile.
Restant sur deux défaites à l'extérieur en championnat, le FCBA a besoin d'un succès ce soir à Strasbourg dans l'optique des play-offs.
« Si nous ne gagnons pas ce genre de match, nous ne méritons pas de disputer les play-offs. »
Les Flammes carolos quatrièmes, Romuald Yernaux a clairement mis la pression sur ses joueuses avant le déplacement à Strasbourg (7e).
Si, à neuf journées de la fin, l'équipe ardennaise a préservé son invincibilité à domicile, les dernières défaites concédées à Armentières (54-60) et à Toulouse (56-67), deux concurrents directs, ont hypothéqué le moindre joker.
« Jusque-là , je n'ai pas tapé du poing sur la table, rappelle le technicien carolomacérien. Mais une troisième défaite consécutive à l'extérieur me mettrait en rage. Malgré notre mauvaise préparation. »
Après la blessure d'Alexia Kusion (cheville), Carine Contessi, Irina Constantin, Céline Fromholz, Dana Boonen et Amel Bouderra ont toutes été malades, conséquence de la dernière panne de chauffage enregistrée à la salle Bayard.
Une péripétie qui n'a pas empêché Charleville de se qualifier pour les quarts de finale de la Coupe de France samedi à Ouistreham (90-53).
Attaquer la défense de zone
« Tout le monde a repris confiance, mais nous avons aussi accumulé beaucoup de fatigue, explique l'entraîneur ardennais. Au moins, tout le monde a pu jouer… »
A quel accueil le FCBA doit-il s'attendre ? Deuxième attaque du championnat, Strasbourg s'est néanmoins incliné cinq fois sur les six journées disputées depuis la trêve.
« Les Alsaciennes ont cédé trop de points à domicile pour rester en course en vue du Final Four, estime Romuald Yernaux. Mais elles ne lâcheront pas pour autant, car certaines joueuses ont besoin de se montrer pour renégocier leur contrat. En plus, elles défendent beaucoup en zone et possèdent des individualités de valeur, à l'image de Laurence Cayot, qui est capable de prendre feu (sic) à tout moment. »
Comme un avant-goût de Ligue féminine avant les réceptions de Limoges et de Bourges.
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22ème journée
ARMENTIERES SO / NICE CAVIGAL OLYMPIC
Il n'y aura pas vraiment de revanche dans l'air, mais quand même...
Ce soir, Sarah Nemmouchi et ses copines auront à coeur d'offrir une belle prestation à leur public.
Sur les matchs aller, Armentières n'avait perdu que quatre matchs. Et deux semblent être restés en travers de la gorge du groupe, Toulouse et Nice. « À Toulouse, on s'est fait voler, explique Stéphane Lalart. Et, à Nice, on avait perdu nos valeurs. » De là à dire qu'il flottera comme un parfum de revanche ce soir, il n'y a qu'un pas que le coach armentiérois se refuse à franchir. « Si on doit prendre une revanche ce soir, ce sera avant tout contre nous-mêmes. »
Ah, ce fameux match à Nice... Stéphane Lalart, pourtant habituellement peu avare de compliments sur son équipe, ne l'a visiblement toujours pas digéré. « Sur ce match-là , on s'est battu tout seuls », soupire-t-il.
Pourtant, et malgré le grand bruit qu'on en fait au début de chaque saison, les Niçoises ne semblent pas être l'épouvantail attendu et annoncé depuis deux ans. L'an dernier, les filles d'Odile Santianello avaient complètement raté leur championnat malgré d'ambitieux objectifs et les moyens qui vont avec.
Cette année, les Azuréennes semblent reparties sur les mêmes bases et effectuent un parcours mi-figue mi-raisin. « C'est une belle équipe, avec de belles individualités et un beau collectif, reconnaît le technicien armentiérois. Mais elles sont irrégulières. » Et, en effet, force est de constater que les Niçoises sont capables de perdre à Laveyron (12e de NF 1) puis de gagner face à Challes (3e de LFB) en coupe... « De par leur statut de favorites en NF 1, elles ont peut-être trop de pression et elles sont attendues partout. En plus, elles n'ont pas été épargnées par les blessures », avance Stéphane Lalart qui constate également que les Niçoises « semblent mieux sur les matchs retour ».
Un adversaire capable du meilleur comme du pire attend donc des Armentiéroises privées de compétition le week-end dernier. Alors certes, cette mini-trêve leur a permis de souffler (le coach leur ayant généreusement octroyé quatre jours de vacances), mais on sait que, bien souvent, les SOA peinent à retrouver le rythme après une coupure. « Elles sont un peu moins en jambe, confirme l'entraîneur. Et, en mars, après Nice, on enchaîne avec Dunkerque et un trou... Il faudra donc compenser collectivement. » Mais aussi résister à l'armada niçoise (récemment renforcée par l'arrivée de l'intérieure Moua) particulièrement performante en début de match. « I l faudra résister dans un premier temps et ensuite jouer sur la longueur du match pour l'emporter. » Malgré les petits « bobos » (le genou de Rachel Coumba, la cheville de Gaétane Merlot et le dos de Perrine Demets), les Armentiéroises ont les moyens de prendre la mesure de Nice.
Pas seulement pour se racheter de leur piètre prestation en terre azuréenne en octobre mais aussi devant leur public pour qui la soirée sera placée sous le signe du carnaval. •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com
Les rédactions de La Voix du Nord
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Il n'y aura pas vraiment de revanche dans l'air, mais quand même...
Ce soir, Sarah Nemmouchi et ses copines auront à coeur d'offrir une belle prestation à leur public.
Sur les matchs aller, Armentières n'avait perdu que quatre matchs. Et deux semblent être restés en travers de la gorge du groupe, Toulouse et Nice. « À Toulouse, on s'est fait voler, explique Stéphane Lalart. Et, à Nice, on avait perdu nos valeurs. » De là à dire qu'il flottera comme un parfum de revanche ce soir, il n'y a qu'un pas que le coach armentiérois se refuse à franchir. « Si on doit prendre une revanche ce soir, ce sera avant tout contre nous-mêmes. »
Ah, ce fameux match à Nice... Stéphane Lalart, pourtant habituellement peu avare de compliments sur son équipe, ne l'a visiblement toujours pas digéré. « Sur ce match-là , on s'est battu tout seuls », soupire-t-il.
Pourtant, et malgré le grand bruit qu'on en fait au début de chaque saison, les Niçoises ne semblent pas être l'épouvantail attendu et annoncé depuis deux ans. L'an dernier, les filles d'Odile Santianello avaient complètement raté leur championnat malgré d'ambitieux objectifs et les moyens qui vont avec.
Cette année, les Azuréennes semblent reparties sur les mêmes bases et effectuent un parcours mi-figue mi-raisin. « C'est une belle équipe, avec de belles individualités et un beau collectif, reconnaît le technicien armentiérois. Mais elles sont irrégulières. » Et, en effet, force est de constater que les Niçoises sont capables de perdre à Laveyron (12e de NF 1) puis de gagner face à Challes (3e de LFB) en coupe... « De par leur statut de favorites en NF 1, elles ont peut-être trop de pression et elles sont attendues partout. En plus, elles n'ont pas été épargnées par les blessures », avance Stéphane Lalart qui constate également que les Niçoises « semblent mieux sur les matchs retour ».
Un adversaire capable du meilleur comme du pire attend donc des Armentiéroises privées de compétition le week-end dernier. Alors certes, cette mini-trêve leur a permis de souffler (le coach leur ayant généreusement octroyé quatre jours de vacances), mais on sait que, bien souvent, les SOA peinent à retrouver le rythme après une coupure. « Elles sont un peu moins en jambe, confirme l'entraîneur. Et, en mars, après Nice, on enchaîne avec Dunkerque et un trou... Il faudra donc compenser collectivement. » Mais aussi résister à l'armada niçoise (récemment renforcée par l'arrivée de l'intérieure Moua) particulièrement performante en début de match. « I l faudra résister dans un premier temps et ensuite jouer sur la longueur du match pour l'emporter. » Malgré les petits « bobos » (le genou de Rachel Coumba, la cheville de Gaétane Merlot et le dos de Perrine Demets), les Armentiéroises ont les moyens de prendre la mesure de Nice.
Pas seulement pour se racheter de leur piètre prestation en terre azuréenne en octobre mais aussi devant leur public pour qui la soirée sera placée sous le signe du carnaval. •
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Les résultats des rencontres du 07/03/2009
ROCHE VENDEE BC - S.I. GRAFFENSTADEN: 76 - 62
STRASBOURG ALSACE BC - ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES: 67 - 59
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - U.S. COLOMIERS BASKET: 78 - 59
CLUB BASKET D'IFS - PLEYBER CHRIST BASKET CLUB: 65 - 59
US LAVEYRON - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 80 - 72
ARMENTIERES SO - NICE CAVIGAL OLYMPIC : 76 - 66
ETOILE DE VOIRON FEMININ - CENTRE FEDERAL BB: 92 - 55
TOULOUSE METROPOLE BASKET - RENNES AVENIR: 73 - 71
ROCHE VENDEE BC - S.I. GRAFFENSTADEN: 76 - 62
STRASBOURG ALSACE BC - ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES: 67 - 59
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - U.S. COLOMIERS BASKET: 78 - 59
CLUB BASKET D'IFS - PLEYBER CHRIST BASKET CLUB: 65 - 59
US LAVEYRON - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 80 - 72
ARMENTIERES SO - NICE CAVIGAL OLYMPIC : 76 - 66
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LA ROCHE - GRAFFENSTADEN : 76-62.
La Roche retrouve le podium
(15-16, 18-11, 18-19, 25-14).
Arbitres : MM. Clochard et Hubert.
LA ROCHE : Vignola 2, Galand 2, Laskova 8, Grelier S. 4, Balat 19, Demortier 10, Guillot, Fouquez 14, Libicova 17.
GRAFFENSTADEN : Battaglia 1, Nussbaumer 4, Fischbach 2, Konate 21, Nsoki 2, De Amorim 3, Kopp 4, Vernerey 15, Schmitt Sendner 10.
Auteur de 14 points, Maité Fouquez a mis les Vendéennes sur la voie du final four.
Dans une rencontre enlevée, Yonnaises et Strasbourgeoises ont dû attendre les dix dernières minutes avant de se départager.
Quelques minutes avant le coup d'envoi, Mathieu Chauvet avait le sourire. Pour lui, les dés étaient jetés. Entendu, que pour garder au moins un pied en final four, la Roche VBC devait vaincre une redoutable formation alsacienne dont on ne s'étonnait rapidement plus qu'elle ait pu terrasser le leader limougeaud et son dauphin.
Emmenées par l'insaisissable Konate (meilleure marqueuse), les banlieusardes strasbourgeoises faisaient preuve d'une inépuisable débauche d'énergie efficace qui forçait les Vendéennes à en faire autant, sous peine de courir après des ombres alsaciennes. La partie du haut de tableau tenait ses promesses et les défenses formaient les évidentes fondations de la victoire. Il fallait tenir physiquement et surtout se mettre au diapason des deux meneuses (blessure au genou de Galand remplacée dès la 8e minute par Vignola) qui possédaient dans leurs mains les clés.
Les six points d'avance pour le RVBC à la pause étaient certes précieux, mais nettement insuffisant pour se rassurer pleinement. La reprise ressemblait trait pour trait à l'entame du match. Les deux formations se rendaient les rares paniers primés et les infiltrations sous les cercles. A dix minutes du verdict, les Yonnaises comptaient toujours quelques maigres longueurs d'avance. Les trois tirs lointains consécutifs de la capitaine vendéenne donnaient l'indispensable ballon d'oxygène (62-51, 32'), à la toute aussi indispensable emprise psychologique sur le match. L'état de fraîcheur vendéen semblait supérieur à celui des Strasbourgeoises à l'image de l'excessive maladresse de Vernerey aux lancers francs. 71-57 à trois minutes : la cause était entendue et bien entendue. La Roche VCB retrouvait sa place en final four.
www.larochesuryon.maville.com
Ouest-France
-------------------------------------------------- ---------------------------
SIG: un dernier quart temps calamiteux
En l’absence de Marie-Noémie Privet, les Illkirchoises de la SIG s’attendaient à un déplacement périlleux à la Roche-sur-Yon, surprenante équipe du début de saison, qui a enregistré son premier revers lors de la 10e journée. Après une défaite au match aller, les protégées de Philippe Breitenbucher comptaient s’imposer pour conforter leur place dans le quatuor de tête. Mais les joueuses locales avaient les mêmes ambitions.
C’est donc une bataille sans merci qui se livre dès les premières secondes. La SIG démarre sur de bonnes notes (2-7 à la 3e, 15-16 à la 10e). Mais la suite des événements ne tournera pas à leur avantage. Emmenées par Balat et Libocova en pleine réussite (36 points à elles deux), les Vendéennes reprennent rapidement l’avantage et creusent l’écart (27-23 à la 17e puis 29-23 à la 18e).
Les deux formations regagnent les vestiaires sur le score de 33 à 27: la situation n’est pas catastrophique pour les Bas-Rhinoises.
Le troisième quart temps est du même acabit. Roche Vendée conserve son petit avantage, malgré des Illkirchoises regonflées à bloc : Aminata Konaté score à de nombreuses reprise (21 points) et Darline Nsoki impose sa force sous les paniers (10 rebonds). Le duo Céline Schmitt – Allison Vernerey a du mal à faire sa loi.
Le dernier acte est synonyme de débâcle pour les Illkirchoises. Celles-ci encaissent un 25-16 alors qu’elles ne comptaient que cinq points de retard à dix minutes de la fin (51-46).
La bonne volonté des Alsaciennes ne leur aura pas suffi pour s’imposer.
A charge à elles maintenant de se reconcentrer avant le derby du week-end prochain, durant lequel elles accueilleront le Strasbourg ABC.
www.alsapresse.com
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(15-16, 18-11, 18-19, 25-14).
Arbitres : MM. Clochard et Hubert.
LA ROCHE : Vignola 2, Galand 2, Laskova 8, Grelier S. 4, Balat 19, Demortier 10, Guillot, Fouquez 14, Libicova 17.
GRAFFENSTADEN : Battaglia 1, Nussbaumer 4, Fischbach 2, Konate 21, Nsoki 2, De Amorim 3, Kopp 4, Vernerey 15, Schmitt Sendner 10.
Auteur de 14 points, Maité Fouquez a mis les Vendéennes sur la voie du final four.
Dans une rencontre enlevée, Yonnaises et Strasbourgeoises ont dû attendre les dix dernières minutes avant de se départager.
Quelques minutes avant le coup d'envoi, Mathieu Chauvet avait le sourire. Pour lui, les dés étaient jetés. Entendu, que pour garder au moins un pied en final four, la Roche VBC devait vaincre une redoutable formation alsacienne dont on ne s'étonnait rapidement plus qu'elle ait pu terrasser le leader limougeaud et son dauphin.
Emmenées par l'insaisissable Konate (meilleure marqueuse), les banlieusardes strasbourgeoises faisaient preuve d'une inépuisable débauche d'énergie efficace qui forçait les Vendéennes à en faire autant, sous peine de courir après des ombres alsaciennes. La partie du haut de tableau tenait ses promesses et les défenses formaient les évidentes fondations de la victoire. Il fallait tenir physiquement et surtout se mettre au diapason des deux meneuses (blessure au genou de Galand remplacée dès la 8e minute par Vignola) qui possédaient dans leurs mains les clés.
Les six points d'avance pour le RVBC à la pause étaient certes précieux, mais nettement insuffisant pour se rassurer pleinement. La reprise ressemblait trait pour trait à l'entame du match. Les deux formations se rendaient les rares paniers primés et les infiltrations sous les cercles. A dix minutes du verdict, les Yonnaises comptaient toujours quelques maigres longueurs d'avance. Les trois tirs lointains consécutifs de la capitaine vendéenne donnaient l'indispensable ballon d'oxygène (62-51, 32'), à la toute aussi indispensable emprise psychologique sur le match. L'état de fraîcheur vendéen semblait supérieur à celui des Strasbourgeoises à l'image de l'excessive maladresse de Vernerey aux lancers francs. 71-57 à trois minutes : la cause était entendue et bien entendue. La Roche VCB retrouvait sa place en final four.
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Ouest-France
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SIG: un dernier quart temps calamiteux
En l’absence de Marie-Noémie Privet, les Illkirchoises de la SIG s’attendaient à un déplacement périlleux à la Roche-sur-Yon, surprenante équipe du début de saison, qui a enregistré son premier revers lors de la 10e journée. Après une défaite au match aller, les protégées de Philippe Breitenbucher comptaient s’imposer pour conforter leur place dans le quatuor de tête. Mais les joueuses locales avaient les mêmes ambitions.
C’est donc une bataille sans merci qui se livre dès les premières secondes. La SIG démarre sur de bonnes notes (2-7 à la 3e, 15-16 à la 10e). Mais la suite des événements ne tournera pas à leur avantage. Emmenées par Balat et Libocova en pleine réussite (36 points à elles deux), les Vendéennes reprennent rapidement l’avantage et creusent l’écart (27-23 à la 17e puis 29-23 à la 18e).
Les deux formations regagnent les vestiaires sur le score de 33 à 27: la situation n’est pas catastrophique pour les Bas-Rhinoises.
Le troisième quart temps est du même acabit. Roche Vendée conserve son petit avantage, malgré des Illkirchoises regonflées à bloc : Aminata Konaté score à de nombreuses reprise (21 points) et Darline Nsoki impose sa force sous les paniers (10 rebonds). Le duo Céline Schmitt – Allison Vernerey a du mal à faire sa loi.
Le dernier acte est synonyme de débâcle pour les Illkirchoises. Celles-ci encaissent un 25-16 alors qu’elles ne comptaient que cinq points de retard à dix minutes de la fin (51-46).
La bonne volonté des Alsaciennes ne leur aura pas suffi pour s’imposer.
A charge à elles maintenant de se reconcentrer avant le derby du week-end prochain, durant lequel elles accueilleront le Strasbourg ABC.
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Modifié en dernier par la zone le lun. 09 mars 2009 11:00, modifié 1 fois.
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IFS - PLEYBER-CHRIST : 65-59
Ifs a su vaincre la peur
Arbitres: M.Gilles et Mme Desit.
Evolution du score: 15-17, 18-14, 13-19, 19-9.
IFS: Seigneur (4), Goltze (5), Galiana (19), Attiogbe (3), Villain (17), Diagne (2), Prsa (6), Chrzanowski (5), Chourchoulis (4), Doguet (0). Entraîneur: M.Callejas.
PLEYBER-CHRIST: Kernevez (4), Lix-Boubala (8 ), Le Fé (2), Venier (19), Thos (2), Désert (12), Puc (10), Soltisova (2). Entraîneur: F.Simon.
Malgré le marquage des Finistériennes Mélanie Venier et Malgorzata Puc, l'Ifoise Caroline Galiana s'infiltre.
En battant un concurrent direct pour le maintien, les Ifoises peuvent envisager l'avenir avec plus de sérénité.
C'était LE match de toutes les peurs. Les deux formations s'en disputaient le gain, afin d'espérer encore un maintien en N1. Miguel Callejas affirmait d'ailleurs qu'il y avait « obligation de résultat ». Et ses joueuses s'y employaient dès le début de la rencontre.
Cependant, elles manquaient d'adresse au tir alors que Pleyber-Christ se montrait plus en veine. Rien de catastrophique toutefois. Les Ifoises n'avaient que deux longueurs de retard au terme de la première période (15-17). Le match était très disputé. On assistait à un premier renversement. Les joueuses de Callejas prenaient les devants, rattrapaient leur retard et passaient devant au tableau d'affichage (33-31).
Et puis nouveau renversement : Venier anéantissait l'avance d'Ifs en lui infligeant un 7-0. Pleyber commençait à se creuser une petite avance (46-50). Mais il ne faut pas crier victoire trop tôt. Villain tentait un 3 points, qui rentrait, alors que toutes les tentatives ifoises avaient échoué auparavant. Et Chourchoulis trouvait également le chemin du panier afin de donner un avantage à ses partenaires. Pleyber ne s'en relèverait pas.
« C'était difficile, confiait Miguel Callejas. Pleyber est une équipe qui n'a jamais baissé les bras et qui joue sans retenue, sans crainte. La victoire est là même si ce n'était pas forcément du beau basket ». Mais la fin de championnat s'annonce plus favorable à Pleyber. « On sait que les petits vont chez les gros. Ils vont jouer à domicile mais est-ce qu'ils joueront le jeu à l'extérieur ? », s'interrogeait F. Simon, le coach finistérien.
Callejas, de son côté, table sur trois matches importants : « On va à Colomiers la semaine prochaine. Si on perd, il n'y aura pas péril en la demeure. Il faut que l'on garde cet état d'esprit. Il y aura aussi Voiron et Laveyron ».
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Ifs - Pleyber-Christ: 65-59
Pleyber-Christ rate le coche
Alexandra Thos et les Pleybériennes n'ont pas réussi à tirer leur épingle du jeu face à un concurrent direct au maintien.
Un match à gros enjeu, dans lequel le maintien était au coeur des débats pour le bas de tableau, se disputait samedi soir en Normandie. Incisives en début de rencontre, les Finistériennes se laissaient submerger par les locales en fin de match et s'inclinaient 65 à 59.
Ce sont les locales qui entraient le mieux dans la partie en infligeant un 6-0 à Pleyber-Christ. La lanterne rouge du championnat réagissait après deux minutes de jeu et refaisait rapidement son retard (7-7, 4e). Plus mobiles, les Bretonnes prenaient les commandes de la rencontre (11-13, 6e) et les conserveront jusqu'à la fin du premier quart-temps, notamment grâce aux paniers de Désert (15-17, 10e).
Au coude à coude
Dans le deuxième quart-temps, les deux équipes se rendaient coup pour coup et ne se lâchaient pas au tableau d'affichage. Chaque offensive ifoise voyait une réponse finistérienne. Les Bas-Normandes parvenaient tout juste à virer en tête à la pause grâce aux lancers francs de Galiana en fin de période (33-31, 20e). Primordiale pour le maintien en Nationale 1, la rencontre s'animait un peu plus en deuxième période. Pleyber-Christ imposait son rythme au retour des vestiaires. Emmenées par une Venier inspirée (11 points dans le troisième quart-temps), les Bretonnes mettaient un 11-2 qui leur permettait de prendre cinq longueurs d'avance (37-42, 25e). Lix-Boubala et ses partenaires maintenaient les Ifoises à distance (46-50, 30e).
Galiana brise l'espoir breton
La rencontre grimpait d'un cran en intensité dans le dernier quart-temps. Les Bas-Normandes se réveillaient, poussées par leur public. Villain et Chourchoulis impulsaient la révolte (54-53, 34e). Le match était indécis jusqu'à ce que Galiana endosse la tunique de sauveuse locale. En inscrivant six unités, elle permettait aux Ifoises de prendre quatre points d'avance (61-57, 38e). Les dernières minutes étaient acharnées. Les Finistériennes tentaient d'inverser la tendance, mais les Calvadosiennes conservaient leur avantage jusqu'à la sirène (65-59). Une défaite malheureuse pour Pleyber-Christ face à un concurrent direct dans la lutte au maintien.
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Ifs - Pleyber-Christ (66-59)
Franck Simon: «Trop juste sur la fin»
«C'est dommage, car cette équipe d'Ifs ne nous était pas supérieure», indiquait Franck Simon à l'issue de la défaite de son équipe en Normandie.
Pleyber-Christ espérait enfin ouvrir son compteur à l'extérieur, samedi à Ifs. Dans la banlieue caennaise, face à un adversaire direct pour le maintien, une victoire aurait eu un effet salutaire, tant sur le plan comptable que sur le plan moral avant une série de matchs cruciaux pour son avenir en Nationale 1. Las, il faudra encore attendre après le revers 66-59 en Normandie.
Les Pleybériennes se sont à nouveau inclinées et ont compliqué une situation qui l'était déjà pourtant suffisamment. Une défaite qui laissait des regrets au coach pleybérien car, avant l'entame du dernier quart-temps, ses filles avaient encore en mains de bonnes cartes pour l'emporter. Mais l'ultime passe d'armes allait être fatale.
Maudite balle de+7...
«C'est dommage, car cette équipe d'Ifs ne nous était pas supérieure. Mais dans le dernier quart-temps, mes joueuses n'ont pas su préserver l'avantage qu'elles s'étaient procuré lors des trois premiers quarts. Elles ont même eu une balle de+7. Elles l'ont manquée et je pense que cet échec a eu un impact sur leur prestation de fin de match. Derrière, elles ont perdu leurs repères et en attaque, elles se sont compliqué la vie. Elles ont manqué des choses toutes simples. Ce qui a profité aux locales, dont les pièces majeures ont répondu présent au moment opportun. Nous avons complètement lâché dans le secteur extérieur et nos meneuses de jeu étaient pénalisées par les fautes et ont laissé le champ libre à nos adversaires. Seule Mélanie (Venier) a tiré son épingle du jeu jusqu'au bout. Ce fut insuffisant pour nous donner le bénéfice d'un match pourtant à notre portée. La seule consolation vient du fait que nous conservons l'avantage du goal-average particulier sur l'ensemble des deux matchs.»
Le dos au mur
Ifs qui bat Pleyber, Laveyron qui gagne contre Dunkerque: autant dire que pour les filles du PCBC, la tâche s'annonce désormais très compliquée. Pourtant, Franck Simon ne veut pas jeter l'éponge tant que l'espoir subsiste. Avec cependant un impératif: battre Laveyron samedi prochain. «Nous allons livrer le combat de la dernière chance. Si nous battons Laveyron, nous gommerons la moitié de notre retard, en espérant qu'Ifs ne gagne pas non plus. Mais c'est sur nous-même que nous devons compter en premier lieu. Samedi, nous n'avons pas le droit à l'erreur. Nous n'avons plus de joker. Il nous faut donc nous préparer physiquement et mentalement pour que samedi, sur les coups de 21h30, Pleyber-Christ puisse encore nourrir des espoirs de maintien en Nationale1.»
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Ifs a su vaincre la peur
Arbitres: M.Gilles et Mme Desit.
Evolution du score: 15-17, 18-14, 13-19, 19-9.
IFS: Seigneur (4), Goltze (5), Galiana (19), Attiogbe (3), Villain (17), Diagne (2), Prsa (6), Chrzanowski (5), Chourchoulis (4), Doguet (0). Entraîneur: M.Callejas.
PLEYBER-CHRIST: Kernevez (4), Lix-Boubala (8 ), Le Fé (2), Venier (19), Thos (2), Désert (12), Puc (10), Soltisova (2). Entraîneur: F.Simon.
Malgré le marquage des Finistériennes Mélanie Venier et Malgorzata Puc, l'Ifoise Caroline Galiana s'infiltre.
En battant un concurrent direct pour le maintien, les Ifoises peuvent envisager l'avenir avec plus de sérénité.
C'était LE match de toutes les peurs. Les deux formations s'en disputaient le gain, afin d'espérer encore un maintien en N1. Miguel Callejas affirmait d'ailleurs qu'il y avait « obligation de résultat ». Et ses joueuses s'y employaient dès le début de la rencontre.
Cependant, elles manquaient d'adresse au tir alors que Pleyber-Christ se montrait plus en veine. Rien de catastrophique toutefois. Les Ifoises n'avaient que deux longueurs de retard au terme de la première période (15-17). Le match était très disputé. On assistait à un premier renversement. Les joueuses de Callejas prenaient les devants, rattrapaient leur retard et passaient devant au tableau d'affichage (33-31).
Et puis nouveau renversement : Venier anéantissait l'avance d'Ifs en lui infligeant un 7-0. Pleyber commençait à se creuser une petite avance (46-50). Mais il ne faut pas crier victoire trop tôt. Villain tentait un 3 points, qui rentrait, alors que toutes les tentatives ifoises avaient échoué auparavant. Et Chourchoulis trouvait également le chemin du panier afin de donner un avantage à ses partenaires. Pleyber ne s'en relèverait pas.
« C'était difficile, confiait Miguel Callejas. Pleyber est une équipe qui n'a jamais baissé les bras et qui joue sans retenue, sans crainte. La victoire est là même si ce n'était pas forcément du beau basket ». Mais la fin de championnat s'annonce plus favorable à Pleyber. « On sait que les petits vont chez les gros. Ils vont jouer à domicile mais est-ce qu'ils joueront le jeu à l'extérieur ? », s'interrogeait F. Simon, le coach finistérien.
Callejas, de son côté, table sur trois matches importants : « On va à Colomiers la semaine prochaine. Si on perd, il n'y aura pas péril en la demeure. Il faut que l'on garde cet état d'esprit. Il y aura aussi Voiron et Laveyron ».
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Ouest-France
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Ifs - Pleyber-Christ: 65-59
Pleyber-Christ rate le coche
Alexandra Thos et les Pleybériennes n'ont pas réussi à tirer leur épingle du jeu face à un concurrent direct au maintien.
Un match à gros enjeu, dans lequel le maintien était au coeur des débats pour le bas de tableau, se disputait samedi soir en Normandie. Incisives en début de rencontre, les Finistériennes se laissaient submerger par les locales en fin de match et s'inclinaient 65 à 59.
Ce sont les locales qui entraient le mieux dans la partie en infligeant un 6-0 à Pleyber-Christ. La lanterne rouge du championnat réagissait après deux minutes de jeu et refaisait rapidement son retard (7-7, 4e). Plus mobiles, les Bretonnes prenaient les commandes de la rencontre (11-13, 6e) et les conserveront jusqu'à la fin du premier quart-temps, notamment grâce aux paniers de Désert (15-17, 10e).
Au coude à coude
Dans le deuxième quart-temps, les deux équipes se rendaient coup pour coup et ne se lâchaient pas au tableau d'affichage. Chaque offensive ifoise voyait une réponse finistérienne. Les Bas-Normandes parvenaient tout juste à virer en tête à la pause grâce aux lancers francs de Galiana en fin de période (33-31, 20e). Primordiale pour le maintien en Nationale 1, la rencontre s'animait un peu plus en deuxième période. Pleyber-Christ imposait son rythme au retour des vestiaires. Emmenées par une Venier inspirée (11 points dans le troisième quart-temps), les Bretonnes mettaient un 11-2 qui leur permettait de prendre cinq longueurs d'avance (37-42, 25e). Lix-Boubala et ses partenaires maintenaient les Ifoises à distance (46-50, 30e).
Galiana brise l'espoir breton
La rencontre grimpait d'un cran en intensité dans le dernier quart-temps. Les Bas-Normandes se réveillaient, poussées par leur public. Villain et Chourchoulis impulsaient la révolte (54-53, 34e). Le match était indécis jusqu'à ce que Galiana endosse la tunique de sauveuse locale. En inscrivant six unités, elle permettait aux Ifoises de prendre quatre points d'avance (61-57, 38e). Les dernières minutes étaient acharnées. Les Finistériennes tentaient d'inverser la tendance, mais les Calvadosiennes conservaient leur avantage jusqu'à la sirène (65-59). Une défaite malheureuse pour Pleyber-Christ face à un concurrent direct dans la lutte au maintien.
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Ifs - Pleyber-Christ (66-59)
Franck Simon: «Trop juste sur la fin»
«C'est dommage, car cette équipe d'Ifs ne nous était pas supérieure», indiquait Franck Simon à l'issue de la défaite de son équipe en Normandie.
Pleyber-Christ espérait enfin ouvrir son compteur à l'extérieur, samedi à Ifs. Dans la banlieue caennaise, face à un adversaire direct pour le maintien, une victoire aurait eu un effet salutaire, tant sur le plan comptable que sur le plan moral avant une série de matchs cruciaux pour son avenir en Nationale 1. Las, il faudra encore attendre après le revers 66-59 en Normandie.
Les Pleybériennes se sont à nouveau inclinées et ont compliqué une situation qui l'était déjà pourtant suffisamment. Une défaite qui laissait des regrets au coach pleybérien car, avant l'entame du dernier quart-temps, ses filles avaient encore en mains de bonnes cartes pour l'emporter. Mais l'ultime passe d'armes allait être fatale.
Maudite balle de+7...
«C'est dommage, car cette équipe d'Ifs ne nous était pas supérieure. Mais dans le dernier quart-temps, mes joueuses n'ont pas su préserver l'avantage qu'elles s'étaient procuré lors des trois premiers quarts. Elles ont même eu une balle de+7. Elles l'ont manquée et je pense que cet échec a eu un impact sur leur prestation de fin de match. Derrière, elles ont perdu leurs repères et en attaque, elles se sont compliqué la vie. Elles ont manqué des choses toutes simples. Ce qui a profité aux locales, dont les pièces majeures ont répondu présent au moment opportun. Nous avons complètement lâché dans le secteur extérieur et nos meneuses de jeu étaient pénalisées par les fautes et ont laissé le champ libre à nos adversaires. Seule Mélanie (Venier) a tiré son épingle du jeu jusqu'au bout. Ce fut insuffisant pour nous donner le bénéfice d'un match pourtant à notre portée. La seule consolation vient du fait que nous conservons l'avantage du goal-average particulier sur l'ensemble des deux matchs.»
Le dos au mur
Ifs qui bat Pleyber, Laveyron qui gagne contre Dunkerque: autant dire que pour les filles du PCBC, la tâche s'annonce désormais très compliquée. Pourtant, Franck Simon ne veut pas jeter l'éponge tant que l'espoir subsiste. Avec cependant un impératif: battre Laveyron samedi prochain. «Nous allons livrer le combat de la dernière chance. Si nous battons Laveyron, nous gommerons la moitié de notre retard, en espérant qu'Ifs ne gagne pas non plus. Mais c'est sur nous-même que nous devons compter en premier lieu. Samedi, nous n'avons pas le droit à l'erreur. Nous n'avons plus de joker. Il nous faut donc nous préparer physiquement et mentalement pour que samedi, sur les coups de 21h30, Pleyber-Christ puisse encore nourrir des espoirs de maintien en Nationale1.»
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Modifié en dernier par la zone le mar. 31 mars 2009 11:06, modifié 4 fois.