Les résultats des rencontres du 07/02/2009
S.I. GRAFFENSTADEN - ARMENTIERES SO: 73 - 62
ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES - ETOILE DE VOIRON FEMININ: 74 - 59
U.S. COLOMIERS BASKET - TOULOUSE METROPOLE BASKET: 51 - 62
PLEYBER CHRIST BASKET CLUB - ROCHE VENDEE BC: 85 - 80
DUNKERQUE MALO BASKET CLUB - STRASBOURG ALSACE BC: 77 - 68
NICE CAVIGAL OLYMPIC - LIMOGES ABC EN LIMOUSIN: 75 - 64
CENTRE FEDERAL BB - CLUB BASKET D'IFS: 57 - 62
RENNES AVENIR - US LAVEYRON: 87 - 78
NF1 - Saison 2008 - 2009
Modérateur : Modérateurs LFB
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la zone
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19ème journée
Modifié en dernier par la zone le dim. 08 févr. 2009 11:07, modifié 1 fois.
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Belle revanche pour la SIG
SIG - Armentières : 73-62.
Arbitres : MM. Piot et Oliot. 720 spectateurs.
(24-17, 13-21, 16-16, 20-8 )
ARMENTIÈRES : Coumba (19), Bremont (11), Quicque (2), Nemmouchi (0), Lalart (2), Demets (9), Pilyashenko (10), Catrix (3), Merlot (4), Megoeuil (2).
GRAFFENSTADEN : Battaglia (0), Privet (15), Nussbaumer (0), Fischbach (11), Konate (11), Nsoki (7), De Amorim (0), Kopp (0), Vernerey (14), Schmitt-Sendner (15).
Après s’être inclinées de 23 points à l’aller, les Illkirchoises avaient à cœur de s’imposer devant leur public face à Armentières. Les Nordistes quant à elle comptaient bien conforter leur deuxième place au classement.
Mais ce sont les joueuses locales, au terme d’une rencontre indécise jusqu’au bout, qui l’ont emporté. C’est un duel d’intérieures qui se livre dans les premières minutes. Allison Vernerey et Céline Schmitt-Sendner d’un côté et Kateryna Pilyashenko de l’autre se rendent coup pour coup (12-11 à la 5e). Les Armentiéroises commettent beaucoup de fautes, mais les Illkirchoises ne profitent pas de leurs nombreux lancers francs pour creuser l’écart. Sept points d’avance après 10 minutes (24-17), la situation est assez confortable, mais il n’y a pas de quoi se reposer sur ses lauriers. Le deuxième acte tourne d’ailleurs à l’avantage des Nordistes, qui profitent de la maladresse et de la déconcentration illkirchoise en défense (37-38 à la 20e). Les scores sont à égalité 30 secondes après le retour des deux formations sur le parquet (40-40). La SIG ne parvient pas à resserrer les rangs en défense et encaisse des paniers faciles. Les joueuses locales accusent un petit point de retard à 10 minutes du terme de la rencontre (53-54). Aline Fischbach donne de l’air à son équipe en marquant deux tirs à 3 points (62-56 à la 36e). Les Illkirchoises conservent leur avance, font tourner le ballon et offrent un jeu collectif efficace. Les protégées de Stéphane Lalart reviennent à 4 points (64-60 à la 37e) avant de s’effondrer. Une interception d’Aminata Konaté à 35 secondes du coup de sifflet final, suivie d’un rassurant 3/4 de Darline Nsoki aux lancers francs, assure la victoire de la SIG (73-62).
Elle se partage désormais la deuxième place du classement avec trois autres formations.
www.alsapresse.com
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Armentières laisse échapper une « belle occasion de prendre le large »
L'équipe armentiéroise signait une première victoire contre Graffenstaden (75-52), le 4 octobre (4e journée du championnat).
Stéphane Lalart avait classé la rencontre d'hier soir à Graffenstaden dans la catégorie « rencontre à trois points ». La victoire aurait en effet permis aux Armentiéroises de laisser les Alsaciennes à deux points, mais également pour soigner le point-average. Malheureusement, avec leurs deux meneuses diminuées, les SOA, après avoir longtemps fait jeu égal, se sont finalement effondrés dans le dernier quart temps.
Tout avait pourtant relativement bien commencé même si, comme le confiait Stéphane Lalart à l'issue de la rencontre, ses filles partaient avec un déficit psychologique. « Ça a été dur de rentrer dans le match. Avec Caro (Lalart) et Virginie (Bremont) souffrantes, on est parti avec un mental diminué. » Sept points de retard après 10 minutes de jeu (24-17), la situation n'était pas catastrophique et les Armentiéroises s'efforcèrent, lors du deuxième acte, de revenir au score. En installant une défense de zone, elles parvenaient à contrôler l'intérieur. Et comme Rachel Coumba flirtait avec bonheur avec les paniers, les « Noires et Blanches » pointaient devant à la mi-temps (37-38 ).
Mais, dans le dernier quart, les Alsaciennes faisaient parler la poudre, notamment au niveau des rebonds offensifs. 39 rebonds, dont 27 offensifs, il fallait être costaud pour entrer en concurrence. « Sur la fin, on était aussi un peu fatigué », concède le coach armentiérois. Mais l'ampleur du score ne reflète pas la physionomie de la rencontre. L'étau se resserre donc en haut du classement puisque ce sont désormais quatre équipes qui se partagent le fauteuil de dauphin (Charleville, Armentières, Roche-Vendée et Armentières), à deux petits points du leader limougeaud qui a, lui aussi, chuté hier soir. « Cette défaite n'est pas dramatique mais on rate une belle occasion de prendre le large ». La fin de saison risque d'être palpitante... •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com
Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord
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Fin de série pour Armentières
La rencontre choc de cette 19e journée, a tenu toutes ses promesses en Alsace, avec la fin de série d'Armentières, stoppé par des Illkirchoises déjà tombeuses de Limoges.
C'est Vernerey pour la SIG qui plantait les premières banderilles, nullement impressionnée par le métier de l'Ukrainienne Pilyashenko. La défense nordiste, la meilleure du championnat, était déjà mise à forte contribution (10-6, 4e). Armentières restait néanmoins vigilant avec Coumba (24-17, 10e ).
L'entame du deuxième quart-temps était favorable aux SOA. Catrix d'un tir primé annonçait la couleur. Coumba et Demets s'engouffraient dans les brèches (24-24, 12e). La SIG venait d'encaisser un 0-7, muette pendant près de 4 minutes... Avec un 4/19, l'attaque alsacienne était devenue pâlichonne, ce dont profita la puissante Coumba qui portait son équipe (30-34, 16e).
Au retour des vestiaires, on assista à un véritable bras de fer entre deux équipes qui recherchaient le KO. Avec Vernerey, Illkirch-Graffenstaden retrouvait tout son allant offensif (49-46, 25e). Le dernier quart-temps s'annonçait palpitant. D'entrée, Fischbach plantait un trois point qui faisait lever le public. Par Bremont, les Armentièroises s'accrochaient encore (56-56).
Mais Nsoki, jusque-là malheureuse dans ses tentatives, faisait très mal dans la raquette (62-56, 35e). Armentières n'avait toutefois pas dit son dernier mot. Catrix provoquait l'élimination de Sendner (37e). Pilyashenko redonnait un soupçon d'espoir (65-62 à 1'35 du terme) avant que Konaté, sur deux jaillissements, ne crucifie les Armentièroises. •
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SIG - Armentières : 73-62.
Arbitres : MM. Piot et Oliot. 720 spectateurs.
(24-17, 13-21, 16-16, 20-8 )
ARMENTIÈRES : Coumba (19), Bremont (11), Quicque (2), Nemmouchi (0), Lalart (2), Demets (9), Pilyashenko (10), Catrix (3), Merlot (4), Megoeuil (2).
GRAFFENSTADEN : Battaglia (0), Privet (15), Nussbaumer (0), Fischbach (11), Konate (11), Nsoki (7), De Amorim (0), Kopp (0), Vernerey (14), Schmitt-Sendner (15).
Après s’être inclinées de 23 points à l’aller, les Illkirchoises avaient à cœur de s’imposer devant leur public face à Armentières. Les Nordistes quant à elle comptaient bien conforter leur deuxième place au classement.
Mais ce sont les joueuses locales, au terme d’une rencontre indécise jusqu’au bout, qui l’ont emporté. C’est un duel d’intérieures qui se livre dans les premières minutes. Allison Vernerey et Céline Schmitt-Sendner d’un côté et Kateryna Pilyashenko de l’autre se rendent coup pour coup (12-11 à la 5e). Les Armentiéroises commettent beaucoup de fautes, mais les Illkirchoises ne profitent pas de leurs nombreux lancers francs pour creuser l’écart. Sept points d’avance après 10 minutes (24-17), la situation est assez confortable, mais il n’y a pas de quoi se reposer sur ses lauriers. Le deuxième acte tourne d’ailleurs à l’avantage des Nordistes, qui profitent de la maladresse et de la déconcentration illkirchoise en défense (37-38 à la 20e). Les scores sont à égalité 30 secondes après le retour des deux formations sur le parquet (40-40). La SIG ne parvient pas à resserrer les rangs en défense et encaisse des paniers faciles. Les joueuses locales accusent un petit point de retard à 10 minutes du terme de la rencontre (53-54). Aline Fischbach donne de l’air à son équipe en marquant deux tirs à 3 points (62-56 à la 36e). Les Illkirchoises conservent leur avance, font tourner le ballon et offrent un jeu collectif efficace. Les protégées de Stéphane Lalart reviennent à 4 points (64-60 à la 37e) avant de s’effondrer. Une interception d’Aminata Konaté à 35 secondes du coup de sifflet final, suivie d’un rassurant 3/4 de Darline Nsoki aux lancers francs, assure la victoire de la SIG (73-62).
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Armentières laisse échapper une « belle occasion de prendre le large »
L'équipe armentiéroise signait une première victoire contre Graffenstaden (75-52), le 4 octobre (4e journée du championnat).
Stéphane Lalart avait classé la rencontre d'hier soir à Graffenstaden dans la catégorie « rencontre à trois points ». La victoire aurait en effet permis aux Armentiéroises de laisser les Alsaciennes à deux points, mais également pour soigner le point-average. Malheureusement, avec leurs deux meneuses diminuées, les SOA, après avoir longtemps fait jeu égal, se sont finalement effondrés dans le dernier quart temps.
Tout avait pourtant relativement bien commencé même si, comme le confiait Stéphane Lalart à l'issue de la rencontre, ses filles partaient avec un déficit psychologique. « Ça a été dur de rentrer dans le match. Avec Caro (Lalart) et Virginie (Bremont) souffrantes, on est parti avec un mental diminué. » Sept points de retard après 10 minutes de jeu (24-17), la situation n'était pas catastrophique et les Armentiéroises s'efforcèrent, lors du deuxième acte, de revenir au score. En installant une défense de zone, elles parvenaient à contrôler l'intérieur. Et comme Rachel Coumba flirtait avec bonheur avec les paniers, les « Noires et Blanches » pointaient devant à la mi-temps (37-38 ).
Mais, dans le dernier quart, les Alsaciennes faisaient parler la poudre, notamment au niveau des rebonds offensifs. 39 rebonds, dont 27 offensifs, il fallait être costaud pour entrer en concurrence. « Sur la fin, on était aussi un peu fatigué », concède le coach armentiérois. Mais l'ampleur du score ne reflète pas la physionomie de la rencontre. L'étau se resserre donc en haut du classement puisque ce sont désormais quatre équipes qui se partagent le fauteuil de dauphin (Charleville, Armentières, Roche-Vendée et Armentières), à deux petits points du leader limougeaud qui a, lui aussi, chuté hier soir. « Cette défaite n'est pas dramatique mais on rate une belle occasion de prendre le large ». La fin de saison risque d'être palpitante... •
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Fin de série pour Armentières
La rencontre choc de cette 19e journée, a tenu toutes ses promesses en Alsace, avec la fin de série d'Armentières, stoppé par des Illkirchoises déjà tombeuses de Limoges.
C'est Vernerey pour la SIG qui plantait les premières banderilles, nullement impressionnée par le métier de l'Ukrainienne Pilyashenko. La défense nordiste, la meilleure du championnat, était déjà mise à forte contribution (10-6, 4e). Armentières restait néanmoins vigilant avec Coumba (24-17, 10e ).
L'entame du deuxième quart-temps était favorable aux SOA. Catrix d'un tir primé annonçait la couleur. Coumba et Demets s'engouffraient dans les brèches (24-24, 12e). La SIG venait d'encaisser un 0-7, muette pendant près de 4 minutes... Avec un 4/19, l'attaque alsacienne était devenue pâlichonne, ce dont profita la puissante Coumba qui portait son équipe (30-34, 16e).
Au retour des vestiaires, on assista à un véritable bras de fer entre deux équipes qui recherchaient le KO. Avec Vernerey, Illkirch-Graffenstaden retrouvait tout son allant offensif (49-46, 25e). Le dernier quart-temps s'annonçait palpitant. D'entrée, Fischbach plantait un trois point qui faisait lever le public. Par Bremont, les Armentièroises s'accrochaient encore (56-56).
Mais Nsoki, jusque-là malheureuse dans ses tentatives, faisait très mal dans la raquette (62-56, 35e). Armentières n'avait toutefois pas dit son dernier mot. Catrix provoquait l'élimination de Sendner (37e). Pilyashenko redonnait un soupçon d'espoir (65-62 à 1'35 du terme) avant que Konaté, sur deux jaillissements, ne crucifie les Armentièroises. •
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Le DMBC parfait face à Strasbourg
DUNKERQUE - STRASBOURG : 77 - 68
(20-19, 18-10, 20-18, 19-21).
DUNKERQUE : Detry 3, Delépine 9, Duquesne 10, Venier 4, Brumermane 14, Fresnais 6, Adler 13, Fombonne 15, Bal 3.|
STRASBOURG: Chapays 2, Gandega 4, Cayot, Ratzel 6, Mboma 18, Servage 24, Vanhoutreve, Washington 14.
Marlène Duquesne et les Maritimes ont fait un grand match.
Strasbourg pensait se refaire une santé en terre nordiste, mais les Dunkerquoises ont ruiné leurs espoirs et cela de belle façon : 77-68.
M'Boma ouvrait les hostilités, Ratzel et Servage à 3 points plaçaient Dunkerque dans une position délicate : 2-8. Mais l'écart se résorba rapidement, puisque grâce à Duquesne, Brumermane et Fresnais, le DMBC passait devant : 9-8.
Hormis un retour à 9-11 et 20-23, plus jamais les Strasbourgeoises eurent le loisir de prendre l'avantage. Cela grâce à l'intelligence de jeu des filles de Christian Devos qui, lors de leurs derniers matchs, laissèrent filer les points de la victoire. Elles étaient bien résolues à ne pas connaître même mésaventure hier soir, et pourtant, comme le souligne Christian Devos : « Les filles appréhendaient ce match, savoir comment cela allait se passer, mais elles étaient très concentrées. On fut roue dans roue face à Toulouse et La Roche, ce soir, il fallait gagner de match. Je suis très heureux de la victoire, mais également du respect des consignes. Certes, Strasbourg était désavantagé avec l'absence de Diawara, mais nous avons également eu des blessées précédemment. J'apprécie ce succès à sa juste valeur ». La victoire dunkerquoise ne se dessina pas sur des éclats, mais avec patience et détermination. Fresnais, à la mène, Brumermane au combat sous les paniers permettaient aux Nordistes d'entreprendre la seconde période avec un bonus de huit points : 38-29, prouvant ainsi que défensivement, les Maritimes étaient présentes. Seules, Servage et M'Boma étaient en grâce sur leurs tentatives.
Moins appliqué à la reprise, le DMBC voyait son bonus fondre suite aux points inscrits par M'Boma, Servage et Washington : 40-38. Mais Fombonne, Delépine et Duquesne remettaient les Dunkerquoises dans le bon chemin : 44-38 pour conclure un troisième quart temps rassurées : 58-47. Les ultimes dix dernières minutes tournèrent à l'avantage des Strasbourgeoises (19-21), mais cela ne porta pas à conséquence. Dunkerque ne se laissa pas déborder, afin d'obtenir un succès mérité et revalorisant. •
ALAIN BEYAERT - www.dunkerque.maville.com
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Dunkerque au super
Avant de se déplacer chez le leader, Limoges, le DMBC se devait de l'emporter face à Strasbourg, afin de ne pas replonger dans la zone rouge.
Si du côté alsacien, Djene Diawara n'avait pas effectué le déplacement, Dunkerque pouvait compter sur le retour de Bénédicte Fombonne, bien remise de sa contracture au mollet.
Celle-ci se fit un plaisir de confirmer sur le parquet de la salle Burnod son bon état de forme. À l'image aussi d'Amélie Fresnais qui, après une phase aller en demi-teinte, a retrouvé toute sa confiance au sein du groupe dunkerquois, qui possède également en Dace Brumermane un atout de poids sous les paniers.
Même si la Lettone ne se montra pas sous son meilleur jour dans ses tentatives, elle livra face à Washington un véritable combat. Mais les satisfactions nordistes ne se limitèrent pas à ses trois joueuses. Tout le groupe est à mettre à l'honneur.
Car en face il y avait du répondant Servage, Mboma furent de véritables poisons pour les Dunkerquoises qui, à chaque relâchement voyaient les Strasbourgeoises revenir au score (41-38, 24e).
Mais samedi soir, Dunkerque avait des ressources. Fombonne, Delépine, Adler replaçaient le DMBC en pole position, avant d'entamer le dernier quart d'heure (58-47). Que les nordistes entamèrent de façon à se mettre définitivement à l'abri, (70-49, 35e).
Mais Christian Devos regretta toutefois le manque de concentration de ses protégées à ce moment de la rencontre. « On peut mettre Strasbourg définitivement hors course, mais on se relâche, et les visiteuses reprennent confiance ! » Deux paniers bonifiés de Servage, ainsi que des essais fructueux de Mboma et Washington réduisirent la marge, (70-58, 36e). Fombonne et Brumermane stoppèrent l'hémorragie ce qui permettait à Dunkerque d'obtenir une victoire, qu'il faudra confirmer samedi à Limoges. •
ALAIN BEYAERT - www.lavoixdessports.com
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Strasbourg ABC : encore battu
C’est dans le Nord que les joueuses du Strasbourg ABC ont enregistré une nouvelle défaite face à une solide équipe de Dunkerque. Les Alsaciennes, toujours diminuées par l’absence de Diawara, n’ont pourtant pas démérité. Le début de la rencontre est d’ailleurs très serré entre les deux formations.
Les joueuses locales imposent leur physique dans la raquette avec Brumermane et Fombonne alors que les visiteuses se reposent sur leur adresse extérieure. Washington, pourtant épaulée par Mboma, est trop esseulée dans le jeu intérieur et les rebonds offensifs des joueuses de Christian Devos leur permettent de rejoindre les vestiaires avec une dizaine de points d’avance.
Mboma et ses partenaires n’ont pas dit leur dernier mot : un changement de défense après la pause met ainsi leurs adversaires en difficultés. L’espace de 5 minutes, la tendance s’inverse et les Alsaciennes reviennent au score. Celles-ci, après avoir fait le plus dur pour revenir dans la partie, enchaînent avec une série noire de mauvais choix à la fois offensifs (pertes de balle) et défensifs (absence de repli) qui permet à Dunkerque prendre une avance de 20 pts. Malgré cet écart, les joueuses de José Ruiz, emmenées par Servage (25 pts) continuent à se battre et reviennent à 9 points sans pouvoir, malheureusement pour elles, faire mieux.
Les Strasbourgeoises encaissent ainsi leur quatrième défaite de suite dans un championnat qui décidément ne leur réussit pas. Elles doivent impérativement stopper cette série noire la semaine prochaine face à Pleyber Christ.
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DUNKERQUE - STRASBOURG : 77 - 68
(20-19, 18-10, 20-18, 19-21).
DUNKERQUE : Detry 3, Delépine 9, Duquesne 10, Venier 4, Brumermane 14, Fresnais 6, Adler 13, Fombonne 15, Bal 3.|
STRASBOURG: Chapays 2, Gandega 4, Cayot, Ratzel 6, Mboma 18, Servage 24, Vanhoutreve, Washington 14.
Marlène Duquesne et les Maritimes ont fait un grand match.
Strasbourg pensait se refaire une santé en terre nordiste, mais les Dunkerquoises ont ruiné leurs espoirs et cela de belle façon : 77-68.
M'Boma ouvrait les hostilités, Ratzel et Servage à 3 points plaçaient Dunkerque dans une position délicate : 2-8. Mais l'écart se résorba rapidement, puisque grâce à Duquesne, Brumermane et Fresnais, le DMBC passait devant : 9-8.
Hormis un retour à 9-11 et 20-23, plus jamais les Strasbourgeoises eurent le loisir de prendre l'avantage. Cela grâce à l'intelligence de jeu des filles de Christian Devos qui, lors de leurs derniers matchs, laissèrent filer les points de la victoire. Elles étaient bien résolues à ne pas connaître même mésaventure hier soir, et pourtant, comme le souligne Christian Devos : « Les filles appréhendaient ce match, savoir comment cela allait se passer, mais elles étaient très concentrées. On fut roue dans roue face à Toulouse et La Roche, ce soir, il fallait gagner de match. Je suis très heureux de la victoire, mais également du respect des consignes. Certes, Strasbourg était désavantagé avec l'absence de Diawara, mais nous avons également eu des blessées précédemment. J'apprécie ce succès à sa juste valeur ». La victoire dunkerquoise ne se dessina pas sur des éclats, mais avec patience et détermination. Fresnais, à la mène, Brumermane au combat sous les paniers permettaient aux Nordistes d'entreprendre la seconde période avec un bonus de huit points : 38-29, prouvant ainsi que défensivement, les Maritimes étaient présentes. Seules, Servage et M'Boma étaient en grâce sur leurs tentatives.
Moins appliqué à la reprise, le DMBC voyait son bonus fondre suite aux points inscrits par M'Boma, Servage et Washington : 40-38. Mais Fombonne, Delépine et Duquesne remettaient les Dunkerquoises dans le bon chemin : 44-38 pour conclure un troisième quart temps rassurées : 58-47. Les ultimes dix dernières minutes tournèrent à l'avantage des Strasbourgeoises (19-21), mais cela ne porta pas à conséquence. Dunkerque ne se laissa pas déborder, afin d'obtenir un succès mérité et revalorisant. •
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Dunkerque au super
Avant de se déplacer chez le leader, Limoges, le DMBC se devait de l'emporter face à Strasbourg, afin de ne pas replonger dans la zone rouge.
Si du côté alsacien, Djene Diawara n'avait pas effectué le déplacement, Dunkerque pouvait compter sur le retour de Bénédicte Fombonne, bien remise de sa contracture au mollet.
Celle-ci se fit un plaisir de confirmer sur le parquet de la salle Burnod son bon état de forme. À l'image aussi d'Amélie Fresnais qui, après une phase aller en demi-teinte, a retrouvé toute sa confiance au sein du groupe dunkerquois, qui possède également en Dace Brumermane un atout de poids sous les paniers.
Même si la Lettone ne se montra pas sous son meilleur jour dans ses tentatives, elle livra face à Washington un véritable combat. Mais les satisfactions nordistes ne se limitèrent pas à ses trois joueuses. Tout le groupe est à mettre à l'honneur.
Car en face il y avait du répondant Servage, Mboma furent de véritables poisons pour les Dunkerquoises qui, à chaque relâchement voyaient les Strasbourgeoises revenir au score (41-38, 24e).
Mais samedi soir, Dunkerque avait des ressources. Fombonne, Delépine, Adler replaçaient le DMBC en pole position, avant d'entamer le dernier quart d'heure (58-47). Que les nordistes entamèrent de façon à se mettre définitivement à l'abri, (70-49, 35e).
Mais Christian Devos regretta toutefois le manque de concentration de ses protégées à ce moment de la rencontre. « On peut mettre Strasbourg définitivement hors course, mais on se relâche, et les visiteuses reprennent confiance ! » Deux paniers bonifiés de Servage, ainsi que des essais fructueux de Mboma et Washington réduisirent la marge, (70-58, 36e). Fombonne et Brumermane stoppèrent l'hémorragie ce qui permettait à Dunkerque d'obtenir une victoire, qu'il faudra confirmer samedi à Limoges. •
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Strasbourg ABC : encore battu
C’est dans le Nord que les joueuses du Strasbourg ABC ont enregistré une nouvelle défaite face à une solide équipe de Dunkerque. Les Alsaciennes, toujours diminuées par l’absence de Diawara, n’ont pourtant pas démérité. Le début de la rencontre est d’ailleurs très serré entre les deux formations.
Les joueuses locales imposent leur physique dans la raquette avec Brumermane et Fombonne alors que les visiteuses se reposent sur leur adresse extérieure. Washington, pourtant épaulée par Mboma, est trop esseulée dans le jeu intérieur et les rebonds offensifs des joueuses de Christian Devos leur permettent de rejoindre les vestiaires avec une dizaine de points d’avance.
Mboma et ses partenaires n’ont pas dit leur dernier mot : un changement de défense après la pause met ainsi leurs adversaires en difficultés. L’espace de 5 minutes, la tendance s’inverse et les Alsaciennes reviennent au score. Celles-ci, après avoir fait le plus dur pour revenir dans la partie, enchaînent avec une série noire de mauvais choix à la fois offensifs (pertes de balle) et défensifs (absence de repli) qui permet à Dunkerque prendre une avance de 20 pts. Malgré cet écart, les joueuses de José Ruiz, emmenées par Servage (25 pts) continuent à se battre et reviennent à 9 points sans pouvoir, malheureusement pour elles, faire mieux.
Les Strasbourgeoises encaissent ainsi leur quatrième défaite de suite dans un championnat qui décidément ne leur réussit pas. Elles doivent impérativement stopper cette série noire la semaine prochaine face à Pleyber Christ.
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Pleyber-Christ BC - La Roche-Vendée (85-87 AP)
Cette foi qui soulève les montagnes
Elles savaient pouvoir le faire. Elles l'ont fait. Les filles du Pleyber-Christ BC se sont, en effet, imposées samedi soir devant une équipe qui faisait partie, avant ce match, du trio majeur du groupe. Excusez du peu.
Dire qu'il y avait de la joie dans le camp pleybérien à l'issue du match serait faire preuve d'un doux euphémisme pour traduire la satisfaction du devoir accompli qui envahissait le coeur des joueuses et celui de leur entraîneur, Franck Simon qui gardait cependant son flegme habituel en nous livrant son analyse: «J'avais dit la semaine dernière que l'une des clés du match tiendrait dans notre faculté à neutraliser leur meneuse de jeu, Jennifer Galand, qui est la véritable métronome de cette équipe et qui, à l'aller, nous avait fait très mal. Cette mission, les filles l'ont bien remplie. En la cadenassant dans une boîte pendant le match, elle n'a pas eu son rendement habituel. Elle n'a donc pas pu remplir son rôle et a surjoué pendant un certain temps, ce qui lui a valu de faire des fautes qui l'ont contrainte à remplir la tâche qui est la sienne habituellement. De plus, les Vendéennes ont été maladroites dans les tirs périphériques, ce qui nous a servis également.» Et les Pleybériennes dans tout cela. Sur le sujet, Franck Simon était satisfait également: «C'est surtout en première période qu'elles ont été très performantes. Elles ont défendu avec beaucoup d'âpreté et notamment par Margot Puc et Laura Désert en fin de match qui, en se dévouant en dessous, ont permis à nos joueuses extérieures de pouvoir faire la différence. Alexandra Thoz et Caroline Le Fé ont bien assuré et Aude Kernévez et Mélanie Venier ont su s'arracher pour marquer les points décisifs lors de la prolongation. Ce qui a donné une prestation d'ensemble très cohérente. Pourtant, lorsque les filles de La Roche sont revenues à égalité par un panier bonus à l'ultime seconde du temps réglementaire, on a pris un sacré coup sur la tête. Mais là encore les filles ont su faire le vide dans leur tête, ne pas focaliser sur ce coup du sort et repartir de plus belle pour l'emporter. Elles ont concrétisé par une victoire toutes les bonnes dispositions qui furent les leurs devant Toulouse mais qui ne s'étaient pas traduites par une victoire. Cette fois, c'est nous qui avons enlevé la mise. C'est bien.»
Peut-être à Strasbourg?
Cette deuxième victoire consécutive à la maison permet encore à la formation de Franck Simon de rester dans le coup pour le maintien puisque les positions sont encore très resserrées dans le bas du tableau. Mais pour ce faire, il faudrait décrocher une victoire à l'extérieur, performance que les Pleybériennes n'ont jamais réussie à faire pour le moment. Sera-ce pour samedi prochain à Strasbourg? Franck Simon n'en écarte pas l'hypothèse: «Ce ne sera sans pas chose facile mais si les filles conservent les vertus qui leur ont permis de battre La Roche, si les joueuses cadres continuent à exercer le rôle catalyseur qui est le leur lorsqu'elles jouent à leur meilleur niveau, une victoire à Strasbourg ne me suprendrait pas.» Alors, samedi, la première hors de nos frontières régionales?
R.B. - www.letelegramme.com
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Pleyber-Christ BC - Roche-Vendée BC: 85-80 (ap)
Une victoire de plus vers le maintien
Pleyber-Christ: A.Kernevez (cap., 10+8 ); C.Boubala (2+7); C.Le Fé (2+7); M.Venier (5+7); A.Thos (4+2); L.Désert (10+8 ); M.Puc (10+5). 21 lancers francs réussis.
La Roche-Vendée: J.Vignola (0+4); J.Galand (4+7); L.Laskova (2+2); M.Balat (cap. 5+3); E.Demortier (3+6); M.Guillot (6+4); M.Fouquez (6+12); L.Libicova (5+11). 16 lancers francs réussis.
Arbitres: Mlles Desit et M.Kerisit.
C'est notamment grâce à Aude Kernevez et Mélanie Vénier que Pleyber s'est imposé dans les prolongations.
Pleyber-Christ est allé chercher sa victoire à l'issue des prolongations très serrées alors que les Vendéennes avait réussi à grignoter leur retard et égaliser sur le fil.
En début de rencontre, Pleyber semble être en mesure de bloquer les shoots vendéens, même si L.Libicova et M.Fouquez se distinguent. Les Pleybériennes égalisent puis prennent l'avantage en marquant chacune à leur tour (10-9, 6e). Les Vendéennes appliquent un marquage strict dont les joueuses locales se défont par le collectif (24-16, 10e). La Roche perturbe les passes pendant quelques minutes tandis que M.Fouquez rentre quatre points (26-20, 13e). Les Pleybériennes se battent bien et reprennent la marche en avant malgré une belle défense adverse (34-24, 16e). Elles récupèrent plusieurs rebonds défensifs tandis que les deux équipes se rendent panier pour panier en fin de quart-temps (47-33, 20e).
Quel finish!
Le troisième quart-temps prend la forme d'un duel de défenses et d'un duel au lancer franc entre les deux équipes (50-37, 23e). Pleyber-Christ multiplie les actions mais n'arrive pas à rentrer dans la défense vendéenne hermétique. Les Rochoises manquent alors de réussite tandis que le match devient très rugueux (54-45, 26e). Les joueuses locales mènent (64-49, 30e), mais la Roche retrouve toute son habileté face au panier. L.Désert limite un peu la casse mais La Roche revient irrésistiblement (66-61, 34e) puis (69-66, 36e) et L.Libicova égalise à une seconde de la fin (75-75). Les prolongations sont serrées pendant trois minutes (79-77, 43e) mais M.Venier et A.Kernevez donnent la victoire à Pleyber-Christ.
Y.G. - www.letelegramme.com
Cette foi qui soulève les montagnes
Elles savaient pouvoir le faire. Elles l'ont fait. Les filles du Pleyber-Christ BC se sont, en effet, imposées samedi soir devant une équipe qui faisait partie, avant ce match, du trio majeur du groupe. Excusez du peu.
Dire qu'il y avait de la joie dans le camp pleybérien à l'issue du match serait faire preuve d'un doux euphémisme pour traduire la satisfaction du devoir accompli qui envahissait le coeur des joueuses et celui de leur entraîneur, Franck Simon qui gardait cependant son flegme habituel en nous livrant son analyse: «J'avais dit la semaine dernière que l'une des clés du match tiendrait dans notre faculté à neutraliser leur meneuse de jeu, Jennifer Galand, qui est la véritable métronome de cette équipe et qui, à l'aller, nous avait fait très mal. Cette mission, les filles l'ont bien remplie. En la cadenassant dans une boîte pendant le match, elle n'a pas eu son rendement habituel. Elle n'a donc pas pu remplir son rôle et a surjoué pendant un certain temps, ce qui lui a valu de faire des fautes qui l'ont contrainte à remplir la tâche qui est la sienne habituellement. De plus, les Vendéennes ont été maladroites dans les tirs périphériques, ce qui nous a servis également.» Et les Pleybériennes dans tout cela. Sur le sujet, Franck Simon était satisfait également: «C'est surtout en première période qu'elles ont été très performantes. Elles ont défendu avec beaucoup d'âpreté et notamment par Margot Puc et Laura Désert en fin de match qui, en se dévouant en dessous, ont permis à nos joueuses extérieures de pouvoir faire la différence. Alexandra Thoz et Caroline Le Fé ont bien assuré et Aude Kernévez et Mélanie Venier ont su s'arracher pour marquer les points décisifs lors de la prolongation. Ce qui a donné une prestation d'ensemble très cohérente. Pourtant, lorsque les filles de La Roche sont revenues à égalité par un panier bonus à l'ultime seconde du temps réglementaire, on a pris un sacré coup sur la tête. Mais là encore les filles ont su faire le vide dans leur tête, ne pas focaliser sur ce coup du sort et repartir de plus belle pour l'emporter. Elles ont concrétisé par une victoire toutes les bonnes dispositions qui furent les leurs devant Toulouse mais qui ne s'étaient pas traduites par une victoire. Cette fois, c'est nous qui avons enlevé la mise. C'est bien.»
Peut-être à Strasbourg?
Cette deuxième victoire consécutive à la maison permet encore à la formation de Franck Simon de rester dans le coup pour le maintien puisque les positions sont encore très resserrées dans le bas du tableau. Mais pour ce faire, il faudrait décrocher une victoire à l'extérieur, performance que les Pleybériennes n'ont jamais réussie à faire pour le moment. Sera-ce pour samedi prochain à Strasbourg? Franck Simon n'en écarte pas l'hypothèse: «Ce ne sera sans pas chose facile mais si les filles conservent les vertus qui leur ont permis de battre La Roche, si les joueuses cadres continuent à exercer le rôle catalyseur qui est le leur lorsqu'elles jouent à leur meilleur niveau, une victoire à Strasbourg ne me suprendrait pas.» Alors, samedi, la première hors de nos frontières régionales?
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Pleyber-Christ BC - Roche-Vendée BC: 85-80 (ap)
Une victoire de plus vers le maintien
Pleyber-Christ: A.Kernevez (cap., 10+8 ); C.Boubala (2+7); C.Le Fé (2+7); M.Venier (5+7); A.Thos (4+2); L.Désert (10+8 ); M.Puc (10+5). 21 lancers francs réussis.
La Roche-Vendée: J.Vignola (0+4); J.Galand (4+7); L.Laskova (2+2); M.Balat (cap. 5+3); E.Demortier (3+6); M.Guillot (6+4); M.Fouquez (6+12); L.Libicova (5+11). 16 lancers francs réussis.
Arbitres: Mlles Desit et M.Kerisit.
C'est notamment grâce à Aude Kernevez et Mélanie Vénier que Pleyber s'est imposé dans les prolongations.
Pleyber-Christ est allé chercher sa victoire à l'issue des prolongations très serrées alors que les Vendéennes avait réussi à grignoter leur retard et égaliser sur le fil.
En début de rencontre, Pleyber semble être en mesure de bloquer les shoots vendéens, même si L.Libicova et M.Fouquez se distinguent. Les Pleybériennes égalisent puis prennent l'avantage en marquant chacune à leur tour (10-9, 6e). Les Vendéennes appliquent un marquage strict dont les joueuses locales se défont par le collectif (24-16, 10e). La Roche perturbe les passes pendant quelques minutes tandis que M.Fouquez rentre quatre points (26-20, 13e). Les Pleybériennes se battent bien et reprennent la marche en avant malgré une belle défense adverse (34-24, 16e). Elles récupèrent plusieurs rebonds défensifs tandis que les deux équipes se rendent panier pour panier en fin de quart-temps (47-33, 20e).
Quel finish!
Le troisième quart-temps prend la forme d'un duel de défenses et d'un duel au lancer franc entre les deux équipes (50-37, 23e). Pleyber-Christ multiplie les actions mais n'arrive pas à rentrer dans la défense vendéenne hermétique. Les Rochoises manquent alors de réussite tandis que le match devient très rugueux (54-45, 26e). Les joueuses locales mènent (64-49, 30e), mais la Roche retrouve toute son habileté face au panier. L.Désert limite un peu la casse mais La Roche revient irrésistiblement (66-61, 34e) puis (69-66, 36e) et L.Libicova égalise à une seconde de la fin (75-75). Les prolongations sont serrées pendant trois minutes (79-77, 43e) mais M.Venier et A.Kernevez donnent la victoire à Pleyber-Christ.
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Modifié en dernier par la zone le lun. 30 mars 2009 20:34, modifié 2 fois.
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FCBA reprend la main
Céline Fromholz a su lancer ses camarades sur la bonne voie.
Après un revers à Armentières, les Carolos, même en cédant les deux derniers quarts, ont repris leurs bonnes habitudes hier salle Bayard.
Fromholz, puis un contre de Cailleux, mettaient les locales dans de bonnes dispositions (6-4, 4e). Grâce à sa meneuse, FCBA menait dans un premier quart haché (8-6, 5e).
Et Voiron profitait même d'un rebond local défaillant pour inverser la tendance par Recoura (10-13, 7e). Soudainement en difficulté, les Ardennaises se montraient fébriles en zone offensive, les Iséroises continuant à scorer (10-15, 8e).
Heureusement, un coup d'accélérateur deux minutes avant le premier mini-repos reclassait le 4e du championnat grâce aux lancers de Cailleux, suivis d'une infiltration de Boudera.
Le team de Yernaux virait de justesse en tête au bout de 10 minutes (18-15). Voiron connaissait alors un passage à vide de 4 minutes encaissant un cinglant 10-0 le reléguant bien vite à 13 points (28-15, 14e).
La vitesse en attaque de Kusion n'y était pas étrangère, pendant que les Iséroises bafouillaient complètement leur basket notamment aux tirs.
Stoppant momentanément l'hémorragie, l'excellente Recoura trouvait enfin le cercle à la 15e (28-17).
Mais les Ardennaises se jouaient finalement d'une défense où les intervalles se créaient pour Fromholz, performante en première période (32-19, 17e).
En conséquence, les visiteuses venaient de céder lors d'un deuxième quart archi dominé par des locales assénant un 22-8 à son hôte (40-23, 20e).
Alors que les deux collectifs avaient connu plus de réussite au-delà des 6,25 m, l'entame du second acte se résumait par un festival à longue distance où Elong Epée donnait le change à Contessi (45-30, 22e).
Charleville parvenait à emballer un peu plus les débats par un jeu rapide notamment en fixation à l'intérieur. La rentrante Herradas tentait ses premiers points à la 26e synonyme de plus de 20 longueurs au tableau lumineux (59-38, 27e).
Paradoxalement, la défense carolo trop permissive au troisième quart avait laissé l'initiative à Voiron qui raflait d'ailleurs la mise pour la première fois du 61-45 (30e).
Provoquant d'ailleurs l'ire sur le banc de Romuald Yernaux recadrant ses troupes avant une ultime ligne droite entamée, tout de même, avec un pécule sécurisant.
Restait à finir le travail à l'orée de 10 dernières minutes sans suspense où le FCBA géra un capital de 20 points sans forcer son talent (65-45, 31e). Voiron réagit sporadiquement mais l'écart paraissait flagrant, Charleville jouant libérée.
Boonen se déchaînait aussi dans la peinture, les Flammes signant là un succès incontestable lui conférant une belle invincibilité à domicile 74-59.
www.lunion.presse.fr
Céline Fromholz a su lancer ses camarades sur la bonne voie.
Après un revers à Armentières, les Carolos, même en cédant les deux derniers quarts, ont repris leurs bonnes habitudes hier salle Bayard.
Fromholz, puis un contre de Cailleux, mettaient les locales dans de bonnes dispositions (6-4, 4e). Grâce à sa meneuse, FCBA menait dans un premier quart haché (8-6, 5e).
Et Voiron profitait même d'un rebond local défaillant pour inverser la tendance par Recoura (10-13, 7e). Soudainement en difficulté, les Ardennaises se montraient fébriles en zone offensive, les Iséroises continuant à scorer (10-15, 8e).
Heureusement, un coup d'accélérateur deux minutes avant le premier mini-repos reclassait le 4e du championnat grâce aux lancers de Cailleux, suivis d'une infiltration de Boudera.
Le team de Yernaux virait de justesse en tête au bout de 10 minutes (18-15). Voiron connaissait alors un passage à vide de 4 minutes encaissant un cinglant 10-0 le reléguant bien vite à 13 points (28-15, 14e).
La vitesse en attaque de Kusion n'y était pas étrangère, pendant que les Iséroises bafouillaient complètement leur basket notamment aux tirs.
Stoppant momentanément l'hémorragie, l'excellente Recoura trouvait enfin le cercle à la 15e (28-17).
Mais les Ardennaises se jouaient finalement d'une défense où les intervalles se créaient pour Fromholz, performante en première période (32-19, 17e).
En conséquence, les visiteuses venaient de céder lors d'un deuxième quart archi dominé par des locales assénant un 22-8 à son hôte (40-23, 20e).
Alors que les deux collectifs avaient connu plus de réussite au-delà des 6,25 m, l'entame du second acte se résumait par un festival à longue distance où Elong Epée donnait le change à Contessi (45-30, 22e).
Charleville parvenait à emballer un peu plus les débats par un jeu rapide notamment en fixation à l'intérieur. La rentrante Herradas tentait ses premiers points à la 26e synonyme de plus de 20 longueurs au tableau lumineux (59-38, 27e).
Paradoxalement, la défense carolo trop permissive au troisième quart avait laissé l'initiative à Voiron qui raflait d'ailleurs la mise pour la première fois du 61-45 (30e).
Provoquant d'ailleurs l'ire sur le banc de Romuald Yernaux recadrant ses troupes avant une ultime ligne droite entamée, tout de même, avec un pécule sécurisant.
Restait à finir le travail à l'orée de 10 dernières minutes sans suspense où le FCBA géra un capital de 20 points sans forcer son talent (65-45, 31e). Voiron réagit sporadiquement mais l'écart paraissait flagrant, Charleville jouant libérée.
Boonen se déchaînait aussi dans la peinture, les Flammes signant là un succès incontestable lui conférant une belle invincibilité à domicile 74-59.
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FCBA
Etudiante en IUT de gestion administrative et commerciale,
l'intérieure carolomacérienne Irina Constantin (20 ans) savoure la bonne opération effectuée par le FCBA qui, grâce à sa victoire contre Voiron (74-59), se repositionne à la troisième place du classement.
Irina, comment avez-vous construit votre succès ?
« Nous étions tout d'abord très motivées par l'envie de bien faire. Nous souhaitions nous appuyer sur certaines valeurs qui nous avaient peut-être fait défaut à Armentières. Il n'y a pas eu de remise en question totale parce que nous devons apprendre de nos erreurs, mais il fallait donner le meilleur avec à l'esprit de conserver notre invincibilité à domicile. Car sachant ça, nos adversaires arrivent peut-être à Charleville avec une petite appréhension. »
« Laisser Toulouse derrière nous »
Après avoir creusé l'écart à la mi-temps, suffisait-il de gérer votre avance ?
« Nous n'avons jamais géré. Nous avons toujours cherché à construire de belles actions collectives. Les Iséroises étaient présentes dès le début, mais nous avons réussi à les embêter en changeant notre défense. Nous sommes ainsi parvenues à mieux dérouler notre jeu. »
Toutes les joueuses ont marqué. Est-ce le genre de signe auquel vous vous attachez ?
« Si tout le monde participe à la victoire, tant mieux. Mais à titre personnel, je me préoccupe de ce que je peux apporter à l'équipe plutôt que du nombre de points inscrits. Il faut servir le collectif. En tout cas, j'apprends beaucoup pour ma première saison en Nationale 1, même s'il me faut accepter de jouer moins que ce que j'espère. »
Avec les défaites conjuguées de Limoges, Armentières et La Roche-sur-Yon, vous réalisez une bonne opération au classement…
« C'est vrai. Mais à Strasbourg Illkirch-Graffenstaden, Armentières affrontait un autre adversaire direct. Même si nous nous attachons davantage à la qualification pour les play-offs qu'à la première place, ces résultats sont bénéfiques pour nous. »
Comment appréhendez-vous le déplacement samedi à Toulouse, un autre adversaire direct ?
« En début de saison, cette formation a compté plusieurs blessées. S'il n'existe aucune rencontre à prendre à la légère, nous allons bien travailler cette semaine pour préparer celle-là. La victoire du match aller nous confère-t-elle un ascendant psychologique ? Nous savons en tout cas que nous sommes capables de battre les Toulousaines. Si nous pouvons les laisser derrière nous, nous ne nous gênerons pas. »
Recueilli par C.G. - www.lunion.presse.fr
Etudiante en IUT de gestion administrative et commerciale,
l'intérieure carolomacérienne Irina Constantin (20 ans) savoure la bonne opération effectuée par le FCBA qui, grâce à sa victoire contre Voiron (74-59), se repositionne à la troisième place du classement.
Irina, comment avez-vous construit votre succès ?
« Nous étions tout d'abord très motivées par l'envie de bien faire. Nous souhaitions nous appuyer sur certaines valeurs qui nous avaient peut-être fait défaut à Armentières. Il n'y a pas eu de remise en question totale parce que nous devons apprendre de nos erreurs, mais il fallait donner le meilleur avec à l'esprit de conserver notre invincibilité à domicile. Car sachant ça, nos adversaires arrivent peut-être à Charleville avec une petite appréhension. »
« Laisser Toulouse derrière nous »
Après avoir creusé l'écart à la mi-temps, suffisait-il de gérer votre avance ?
« Nous n'avons jamais géré. Nous avons toujours cherché à construire de belles actions collectives. Les Iséroises étaient présentes dès le début, mais nous avons réussi à les embêter en changeant notre défense. Nous sommes ainsi parvenues à mieux dérouler notre jeu. »
Toutes les joueuses ont marqué. Est-ce le genre de signe auquel vous vous attachez ?
« Si tout le monde participe à la victoire, tant mieux. Mais à titre personnel, je me préoccupe de ce que je peux apporter à l'équipe plutôt que du nombre de points inscrits. Il faut servir le collectif. En tout cas, j'apprends beaucoup pour ma première saison en Nationale 1, même s'il me faut accepter de jouer moins que ce que j'espère. »
Avec les défaites conjuguées de Limoges, Armentières et La Roche-sur-Yon, vous réalisez une bonne opération au classement…
« C'est vrai. Mais à Strasbourg Illkirch-Graffenstaden, Armentières affrontait un autre adversaire direct. Même si nous nous attachons davantage à la qualification pour les play-offs qu'à la première place, ces résultats sont bénéfiques pour nous. »
Comment appréhendez-vous le déplacement samedi à Toulouse, un autre adversaire direct ?
« En début de saison, cette formation a compté plusieurs blessées. S'il n'existe aucune rencontre à prendre à la légère, nous allons bien travailler cette semaine pour préparer celle-là. La victoire du match aller nous confère-t-elle un ascendant psychologique ? Nous savons en tout cas que nous sommes capables de battre les Toulousaines. Si nous pouvons les laisser derrière nous, nous ne nous gênerons pas. »
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20ème journée
Les rencontres du 14/02/2009
20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 ROCHE VENDEE BC / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 CLUB BASKET D'IFS / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 US LAVEYRON / CENTRE FEDERAL BB
20:00 ARMENTIERES SO / RENNES AVENIR
20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 ROCHE VENDEE BC / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 CLUB BASKET D'IFS / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 US LAVEYRON / CENTRE FEDERAL BB
20:00 ARMENTIERES SO / RENNES AVENIR
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20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 ROCHE VENDEE BC / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 CLUB BASKET D'IFS / NICE CAVIGAL OLYMPIC
20:00 US LAVEYRON / CENTRE FEDERAL BB
20:00 ARMENTIERES SO / RENNES AVENIR
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
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20:00 LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
20:00 CLUB BASKET D'IFS / NICE CAVIGAL OLYMPIC
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20:00 ARMENTIERES SO / RENNES AVENIR
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SIG
A Voiron pour voir
Aline Fischbach et ses partenaires s’attendent à une chaude réception.
Le déplacement des Illkirchoises à 20 h en Isère est le premier volet d’un triptyque qui devrait en dire plus sur leur capacité à se qualifier pour le final four de NF1.
Qui arrêtera la SIG ? Invaincues en championnat en 2009 (quatre victoires d’affilée), Audrey Kopp et ses partenaires, dont le dernier revers en NF1 remonte au 20 décembre contre Charleville-Mézières, ont mis à la raison la semaine passée l’un des cadors de la division, Armentières, battu 73-62. « On a réussi à les faire craquer, à enfin faire plier une équipe du Top 4 chez nous alors que nous y avions perdu contre Roche Vendée et Charleville », se réjouit l’entraîneur bas-rhinois Philippe Breitenbucher.
Les Illkirchoises sont ainsi revenues à la 2e place ex aequo, à hauteur des Armentiéroises, mais aussi de Roche Vendée, dominé à Pleyber Christ. A 11 journées de la fin, le promu est en course pour le final four. Mais son coach se refuse toujours à s’enflammer. « Nous avons fait de belles choses, mais ce qui nous attend ne va pas être facile, avec un périlleux déplacement à Voiron ce samedi, la réception de Toulouse et un voyage à Roche Vendée pour enchaîner. Ça peut aller super vite. Le premier objectif ? Gagner à Voiron pour s’offrir un nouveau gros match à la maison face aux Toulousaines. Mais ça s’annonce supra dur. Car les Voironnaises - qui ne comptent qu’un point d’avance sur la zone rouge - sont dans l’obligation de gagner pour se maintenir, après avoir été repêchées l’an passé. On sait combien leur salle est chaude. »
Dans l’esprit du technicien, toujours privé de Caroline Nestor, partie en rééducation à Capbreton après son opération des croisés en septembre, cette balade en Isère n’aura donc rien de touristique. « Voiron a signé 6 de ses 7 succès à domicile. Et sur les 4 fois où il y a chuté, il est tombé sur la fin contre Charleville, de 5 points face à Limoges et après deux prolongations devant Strasbourg. C’est une équipe qui se nourrit d’euphorie. Je n’oublie pas qu’à Laveyron il y a deux semaines, alors que nous contrôlions la partie, nous avons déjoué dans les cinq dernières minutes et gagné uniquement parce que la pièce a bien voulu retomber du bon côté. »
A l’aller, la SIG avait profité d’un bon début de match pour s’assurer une victoire aisée (88-73). Quatre mois plus tard, elle est toujours « sur une belle dynamique que les filles ont envie de prolonger » (Breitenbucher). Comme elles ont envie de prolonger le rêve un peu fou d’une qualification au final four.
S.G. - www.lalsace.fr (Le 14/02/09)
A Voiron pour voir
Aline Fischbach et ses partenaires s’attendent à une chaude réception.
Le déplacement des Illkirchoises à 20 h en Isère est le premier volet d’un triptyque qui devrait en dire plus sur leur capacité à se qualifier pour le final four de NF1.
Qui arrêtera la SIG ? Invaincues en championnat en 2009 (quatre victoires d’affilée), Audrey Kopp et ses partenaires, dont le dernier revers en NF1 remonte au 20 décembre contre Charleville-Mézières, ont mis à la raison la semaine passée l’un des cadors de la division, Armentières, battu 73-62. « On a réussi à les faire craquer, à enfin faire plier une équipe du Top 4 chez nous alors que nous y avions perdu contre Roche Vendée et Charleville », se réjouit l’entraîneur bas-rhinois Philippe Breitenbucher.
Les Illkirchoises sont ainsi revenues à la 2e place ex aequo, à hauteur des Armentiéroises, mais aussi de Roche Vendée, dominé à Pleyber Christ. A 11 journées de la fin, le promu est en course pour le final four. Mais son coach se refuse toujours à s’enflammer. « Nous avons fait de belles choses, mais ce qui nous attend ne va pas être facile, avec un périlleux déplacement à Voiron ce samedi, la réception de Toulouse et un voyage à Roche Vendée pour enchaîner. Ça peut aller super vite. Le premier objectif ? Gagner à Voiron pour s’offrir un nouveau gros match à la maison face aux Toulousaines. Mais ça s’annonce supra dur. Car les Voironnaises - qui ne comptent qu’un point d’avance sur la zone rouge - sont dans l’obligation de gagner pour se maintenir, après avoir été repêchées l’an passé. On sait combien leur salle est chaude. »
Dans l’esprit du technicien, toujours privé de Caroline Nestor, partie en rééducation à Capbreton après son opération des croisés en septembre, cette balade en Isère n’aura donc rien de touristique. « Voiron a signé 6 de ses 7 succès à domicile. Et sur les 4 fois où il y a chuté, il est tombé sur la fin contre Charleville, de 5 points face à Limoges et après deux prolongations devant Strasbourg. C’est une équipe qui se nourrit d’euphorie. Je n’oublie pas qu’à Laveyron il y a deux semaines, alors que nous contrôlions la partie, nous avons déjoué dans les cinq dernières minutes et gagné uniquement parce que la pièce a bien voulu retomber du bon côté. »
A l’aller, la SIG avait profité d’un bon début de match pour s’assurer une victoire aisée (88-73). Quatre mois plus tard, elle est toujours « sur une belle dynamique que les filles ont envie de prolonger » (Breitenbucher). Comme elles ont envie de prolonger le rêve un peu fou d’une qualification au final four.
S.G. - www.lalsace.fr (Le 14/02/09)
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TOULOUSE METROPOLE BASKET / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
Voir la vie en rose
La lutte dans la raquette promet d'être intense pour Dana Boonen.
Troisième, le FCBA se déplace ce soir à Toulouse avec l'espoir d'écarter un concurrent direct pour les play-offs.
A trois mois de la fin de la saison régulière, sept formations semblent encore concernées par la qualification pour les play-offs.
« Nous entrons dans une période où le championnat va se décanter, affirme Romuald Yernaux. Notre ambition consiste par conséquent à rester solide à domicile, mais aussi à nous imposer à Toulouse ou Strasbourg BC, des adversaires directs. »
Après la défaite à Armentières (54-60), Charleville (3e) aborde avec le déplacement dans la ville rose un mois décisif pour son avenir.
« Nous devons absolument imposer notre jeu, explique l'entraîneur ardennais. Même si nous avons rebondi face à Voiron (74-59), l'échec enregistré à Armentières a laissé des traces. Nous devrons mettre la pression dès les premières minutes. »
Intransigeantes à domicile, les Carolomacériennes n'ont accompli qu'un réel exploit à l'extérieur en s'imposant à Strasbourg Illkirch-Graffenstaden (73-62). Un second ce soir à Toulouse (6e) permettrait d'écarter probablement définitivement un candidat à l'accession.
Agbatan en renfort
Mais les Pitchounes, qui ont intégré l'intérieure Justine Agbatan depuis trois semaines en tant que pigiste médicale d'Anda Jekabsone (rupture des ligaments croisés du genou), restent sur trois succès consécutifs, emmenées par des individualités aussi réputées que Nadia Peruch ou Emmanuelle Hermouet.
« Pratiquement toutes les joueuses sont passées par la Ligue, rappelle le technicien carolomacérien. Les Toulousaines possèdent un gros point de fixation à l'aile, mais aiment développer un jeu rapide qui pourrait nous convenir. »
Sinon, le FCBA pourrait être éjecté du podium.
Cédric Goure - www.lunion.presse.fr
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Toulouse Métropole Basket - Charleville-Mézières.
La course-poursuite continue pour Toulouse
Pour rester dans les prétendantes au carré d'as, les Toulousaines n'ont pas le choix.
Une soirée compliquée pour Justine Agbatan et le TMB.
Limoges hors d'atteinte (le leader du championnat possède quatre longueurs d'avance sur les protégées du président Alquier), le TMB est lancé à la poursuite d'un quatuor qui le précède de deux points et est composé d'Armentières, La Roche-sur-Yon, Graffenstaden et Charleville-Mézières, un des favoris initiaux à l'accession, contre qui Valérie Garnier a fixé un objectif très clair : une victoire de plus de cinq points afin de pouvoir bénéficier du point-average favorable en cas d'égalité à l'issue de la saison régulière.
nouvelle donne
Le succès de la semaine dernière à Colomiers a mis en évidence les excellentes dispositions du groupe en défense. Respect des consignes, solidarité, motivation, dans ce domaine le récital est presque parfait. Pour ce qui est de l'attaque, Nedovic aura une semaine de plus d'entraînement dans les jambes, ce qui sera loin d'être négligeable, et permettra au TMB de disposer d'un atout supplémentaire.
Par rapport au match aller les données ont quelque peu changé. Au TMB, on le sait, Agbatan a remplacé Jekabsone, mais Gauthier, blessée pour le déplacement dans les Ardennes, sera aussi une carte nouvelle. Côté visiteur, l'Espagnole Herradas est venue renforcer le groupe et solidifier une équipe déjà complète. C'est en tout cas une rencontre de bon niveau qui est proposée au public toulousain.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr (14/02/2009)
Ce soir, à 20 heures, au petit palais des sports.
Voir la vie en rose
La lutte dans la raquette promet d'être intense pour Dana Boonen.
Troisième, le FCBA se déplace ce soir à Toulouse avec l'espoir d'écarter un concurrent direct pour les play-offs.
A trois mois de la fin de la saison régulière, sept formations semblent encore concernées par la qualification pour les play-offs.
« Nous entrons dans une période où le championnat va se décanter, affirme Romuald Yernaux. Notre ambition consiste par conséquent à rester solide à domicile, mais aussi à nous imposer à Toulouse ou Strasbourg BC, des adversaires directs. »
Après la défaite à Armentières (54-60), Charleville (3e) aborde avec le déplacement dans la ville rose un mois décisif pour son avenir.
« Nous devons absolument imposer notre jeu, explique l'entraîneur ardennais. Même si nous avons rebondi face à Voiron (74-59), l'échec enregistré à Armentières a laissé des traces. Nous devrons mettre la pression dès les premières minutes. »
Intransigeantes à domicile, les Carolomacériennes n'ont accompli qu'un réel exploit à l'extérieur en s'imposant à Strasbourg Illkirch-Graffenstaden (73-62). Un second ce soir à Toulouse (6e) permettrait d'écarter probablement définitivement un candidat à l'accession.
Agbatan en renfort
Mais les Pitchounes, qui ont intégré l'intérieure Justine Agbatan depuis trois semaines en tant que pigiste médicale d'Anda Jekabsone (rupture des ligaments croisés du genou), restent sur trois succès consécutifs, emmenées par des individualités aussi réputées que Nadia Peruch ou Emmanuelle Hermouet.
« Pratiquement toutes les joueuses sont passées par la Ligue, rappelle le technicien carolomacérien. Les Toulousaines possèdent un gros point de fixation à l'aile, mais aiment développer un jeu rapide qui pourrait nous convenir. »
Sinon, le FCBA pourrait être éjecté du podium.
Cédric Goure - www.lunion.presse.fr
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Toulouse Métropole Basket - Charleville-Mézières.
La course-poursuite continue pour Toulouse
Pour rester dans les prétendantes au carré d'as, les Toulousaines n'ont pas le choix.
Une soirée compliquée pour Justine Agbatan et le TMB.
Limoges hors d'atteinte (le leader du championnat possède quatre longueurs d'avance sur les protégées du président Alquier), le TMB est lancé à la poursuite d'un quatuor qui le précède de deux points et est composé d'Armentières, La Roche-sur-Yon, Graffenstaden et Charleville-Mézières, un des favoris initiaux à l'accession, contre qui Valérie Garnier a fixé un objectif très clair : une victoire de plus de cinq points afin de pouvoir bénéficier du point-average favorable en cas d'égalité à l'issue de la saison régulière.
nouvelle donne
Le succès de la semaine dernière à Colomiers a mis en évidence les excellentes dispositions du groupe en défense. Respect des consignes, solidarité, motivation, dans ce domaine le récital est presque parfait. Pour ce qui est de l'attaque, Nedovic aura une semaine de plus d'entraînement dans les jambes, ce qui sera loin d'être négligeable, et permettra au TMB de disposer d'un atout supplémentaire.
Par rapport au match aller les données ont quelque peu changé. Au TMB, on le sait, Agbatan a remplacé Jekabsone, mais Gauthier, blessée pour le déplacement dans les Ardennes, sera aussi une carte nouvelle. Côté visiteur, l'Espagnole Herradas est venue renforcer le groupe et solidifier une équipe déjà complète. C'est en tout cas une rencontre de bon niveau qui est proposée au public toulousain.
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr (14/02/2009)
Ce soir, à 20 heures, au petit palais des sports.
Modifié en dernier par la zone le sam. 21 févr. 2009 18:35, modifié 1 fois.
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Strasbourg - Pleyber, ce soir 14 février 2009 (20h)
C'est peut-être pour cette fois
L'équipe première féminine de Pleyber-Christ prendra, ce soir, la direction de Strasbourg pour disputer un match qui pourrait lui valoir une première récompense loin de son camp. Samedi dernier, devant le troisième du groupe, La Roche Vendée, la formation de Franck Simon a démontré qu'elle pouvait lutter avec les meilleures du groupe. Elle s'est imposée après un combat de toute beauté jusqu'aux prolongations. Mais les filles du PCBC ont su, cette fois, rester suffisamment lucides et surtout conserver leur état d'esprit pour enlever un succès qui laisse augurer d'autres performances de ce genre.
Un adversaire de taille
Cela dit, l'adversaire de ce soir ne sera sans doute pas décidé à laisser les Pleybériennes assouvir leurs desseins. Les Strasbourgeoises sont sans inquiétude puisqu'elles ont d'ores et déjà renouvelé leur bail en Nationale 1. Mais Franck Simon préfère faire d'abord confiance à ses filles plutôt que d'espérer une déconcentration des locales. «Je ne pense pas qu'une équipe puisse laisser filer la victoire devant son public. C'est pourquoi on doit s'attendre à un match compliqué. Battues à Dunkerque, les locales vont sans doute vouloir rectifier le tir sans tarder. C'est pourquoi je mise surtout sur la volonté de mes joueuses de continuer sur cette dynamique qui les anime depuis le match de Voiron. Et si Margot Puc et Laura Désert continuent à galvaniser les énergies comme elles l'ont si bien fait devant La Roche, l'hypothèse d'une victoire à Strasbourg n'est pas à écarter.»
R.B. www.letelegramme.com
Coup d'envoi, ce soir (20h)
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STRASBOURG ALSACE BC / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
La fin de l’hibernation ?
Selon Charline Servage, tout reste possible pour le final four. Notamment - dit-elle - parce que « malgré les défaites, l’ambiance dans le groupe est très bonne. »
Alors qu’elles s’étaient installées à la 2e place de NF1 fin 2008, les filles du Strasbourg ABC ont perdu pied en 2009 : 5 défaites, dont 4 en championnat. Leurs chances de participer au final four sont minces. Pour les entretenir, elles doivent gagner au Tivoli à 20 h contre Pleyber Christ.
De prime abord, c’est l’adversaire idéal. Pleyber Christ, repêché la saison passée en NF1, est revenu bredouille de ses dix premiers déplacements. Pour un Strasbourg ABC en perdition, l’occasion semble donc belle, à 20 h au Tivoli, de débloquer enfin le compteur victoires en 2009 face au visiteur finistérien.
Oui, mais voilà : le club breton, emmené par l’ex-Strasbourgeoise Céline Lix-Boubala et l’ancienne Illkirchoise Malgorzata Puc, vient de signer un bel exploit dans sa salle face au dauphin Roche Vendée (85-80). S’il reste englué à l’avant-dernière place, il garde évidemment l’espoir de se maintenir. Surtout avant un voyage de plus de 1000 km chez un Strasbourg ABC en souffrance depuis la trêve hivernale.
Les quinze jours de vacances qu’avait accordés José Ruiz à ses troupes ont brisé leur élan, après les cinq succès d’affilée de la fin 2008. « José vit très mal ce mauvais début d’année », témoigne l’une des rares à surnager, la meneuse Charline Servage, dont les 24 points à Dunkerque - meilleure marqueuse de la 19ejournée - n’ont pu empêcher un 4e revers de rang (77-68 ). « Il se doutait que la reprise serait difficile, mais ne pensait pas que ça se passerait aussi mal. Il a considéré que les filles étaient responsables, majeures et vaccinées. Durant la trêve, elles ne l’ont pas été, hormis quelques-unes. »
Le pivot franco-américain Mélissa Washington, qui a enfin sorti la tête de l’eau dans le Nord (14 points, 18 rebonds), en est la plus - la moins ? - éclatante illustration. « Elle est partie en vacances en laissant son chien à une copine de l’équipe et a failli ne pas revenir pour signer dans un autre club. Comment aurais-je pu le prévoir ? », s’interroge Ruiz, « En plus, il y a eu la bronchiolite de Belinda Mboma et la fissure de fatigue de Djéné Diawara (Ndlr : la meilleure joueuse de NF1 est out pour encore quinze jours). Nous n’arrivons pas à obtenir le visa de notre recrue malienne Astan Dabo. Je n’avais pas prévu une telle hécatombe. J’ai été pris de court. Avec Diawara et Dabo, l’équipe n’a pas le même visage. »
« Incapables d’être constantes »
« Au complet, nous sommes difficilement battables », acquiesce C. Servage qui a soigné un genou douloureux cette semaine, mais tiendra sa place ce soir. « La blessure de Djéné n’explique pas tout. D’autres filles n’ont pas été opérationnelles, comme Washington ou les jeunes. Notre problème, c’est que nous sommes incapables d’être constantes toutes au même moment, d’offrir un minimum de sécurité. »
Pour autant, J. Ruiz a entrevu à Dunkerque des raisons d’espérer. « Contre Nice à domicile (défaite 67-73 il y a 15 jours, nous n’avions fait que de la merde (sic). La réception de Pleyber Christ doit nous permettre de rebasculer du bon côté. Je ne dis pas ça par manque de respect pour l’adversaire, mais sur l’impression que nous avons dégagée dans le Nord. C’est notre dernière chance de raccrocher le wagon des quatre premiers, sachant que les équipes de tête vont s’affronter et laisser des plumes. Une ou deux victoires peuvent nous remettre d’aplomb et dans le coup. Dès que nous serons au complet, je suis persuadé que nous allons revenir comme des boulets de canon. »
Charline Servage partage cette conviction. « Depuis quelque temps, j’ai vraiment les boules de lire dans les journaux que le SABC est en crise. Je suis confiante pour samedi, même si nous ne prendrons pas Pleyber de haut. Malgré nos trois victoires de retard sur le quatuor de tête, le final four reste accessible. Il n’y a plus de temps à perdre, mais je suis optimiste. »
Stéphane Godin - www.lalsace.fr (Le 14/02/09)
C'est peut-être pour cette fois
L'équipe première féminine de Pleyber-Christ prendra, ce soir, la direction de Strasbourg pour disputer un match qui pourrait lui valoir une première récompense loin de son camp. Samedi dernier, devant le troisième du groupe, La Roche Vendée, la formation de Franck Simon a démontré qu'elle pouvait lutter avec les meilleures du groupe. Elle s'est imposée après un combat de toute beauté jusqu'aux prolongations. Mais les filles du PCBC ont su, cette fois, rester suffisamment lucides et surtout conserver leur état d'esprit pour enlever un succès qui laisse augurer d'autres performances de ce genre.
Un adversaire de taille
Cela dit, l'adversaire de ce soir ne sera sans doute pas décidé à laisser les Pleybériennes assouvir leurs desseins. Les Strasbourgeoises sont sans inquiétude puisqu'elles ont d'ores et déjà renouvelé leur bail en Nationale 1. Mais Franck Simon préfère faire d'abord confiance à ses filles plutôt que d'espérer une déconcentration des locales. «Je ne pense pas qu'une équipe puisse laisser filer la victoire devant son public. C'est pourquoi on doit s'attendre à un match compliqué. Battues à Dunkerque, les locales vont sans doute vouloir rectifier le tir sans tarder. C'est pourquoi je mise surtout sur la volonté de mes joueuses de continuer sur cette dynamique qui les anime depuis le match de Voiron. Et si Margot Puc et Laura Désert continuent à galvaniser les énergies comme elles l'ont si bien fait devant La Roche, l'hypothèse d'une victoire à Strasbourg n'est pas à écarter.»
R.B. www.letelegramme.com
Coup d'envoi, ce soir (20h)
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STRASBOURG ALSACE BC / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
La fin de l’hibernation ?
Selon Charline Servage, tout reste possible pour le final four. Notamment - dit-elle - parce que « malgré les défaites, l’ambiance dans le groupe est très bonne. »
Alors qu’elles s’étaient installées à la 2e place de NF1 fin 2008, les filles du Strasbourg ABC ont perdu pied en 2009 : 5 défaites, dont 4 en championnat. Leurs chances de participer au final four sont minces. Pour les entretenir, elles doivent gagner au Tivoli à 20 h contre Pleyber Christ.
De prime abord, c’est l’adversaire idéal. Pleyber Christ, repêché la saison passée en NF1, est revenu bredouille de ses dix premiers déplacements. Pour un Strasbourg ABC en perdition, l’occasion semble donc belle, à 20 h au Tivoli, de débloquer enfin le compteur victoires en 2009 face au visiteur finistérien.
Oui, mais voilà : le club breton, emmené par l’ex-Strasbourgeoise Céline Lix-Boubala et l’ancienne Illkirchoise Malgorzata Puc, vient de signer un bel exploit dans sa salle face au dauphin Roche Vendée (85-80). S’il reste englué à l’avant-dernière place, il garde évidemment l’espoir de se maintenir. Surtout avant un voyage de plus de 1000 km chez un Strasbourg ABC en souffrance depuis la trêve hivernale.
Les quinze jours de vacances qu’avait accordés José Ruiz à ses troupes ont brisé leur élan, après les cinq succès d’affilée de la fin 2008. « José vit très mal ce mauvais début d’année », témoigne l’une des rares à surnager, la meneuse Charline Servage, dont les 24 points à Dunkerque - meilleure marqueuse de la 19ejournée - n’ont pu empêcher un 4e revers de rang (77-68 ). « Il se doutait que la reprise serait difficile, mais ne pensait pas que ça se passerait aussi mal. Il a considéré que les filles étaient responsables, majeures et vaccinées. Durant la trêve, elles ne l’ont pas été, hormis quelques-unes. »
Le pivot franco-américain Mélissa Washington, qui a enfin sorti la tête de l’eau dans le Nord (14 points, 18 rebonds), en est la plus - la moins ? - éclatante illustration. « Elle est partie en vacances en laissant son chien à une copine de l’équipe et a failli ne pas revenir pour signer dans un autre club. Comment aurais-je pu le prévoir ? », s’interroge Ruiz, « En plus, il y a eu la bronchiolite de Belinda Mboma et la fissure de fatigue de Djéné Diawara (Ndlr : la meilleure joueuse de NF1 est out pour encore quinze jours). Nous n’arrivons pas à obtenir le visa de notre recrue malienne Astan Dabo. Je n’avais pas prévu une telle hécatombe. J’ai été pris de court. Avec Diawara et Dabo, l’équipe n’a pas le même visage. »
« Incapables d’être constantes »
« Au complet, nous sommes difficilement battables », acquiesce C. Servage qui a soigné un genou douloureux cette semaine, mais tiendra sa place ce soir. « La blessure de Djéné n’explique pas tout. D’autres filles n’ont pas été opérationnelles, comme Washington ou les jeunes. Notre problème, c’est que nous sommes incapables d’être constantes toutes au même moment, d’offrir un minimum de sécurité. »
Pour autant, J. Ruiz a entrevu à Dunkerque des raisons d’espérer. « Contre Nice à domicile (défaite 67-73 il y a 15 jours, nous n’avions fait que de la merde (sic). La réception de Pleyber Christ doit nous permettre de rebasculer du bon côté. Je ne dis pas ça par manque de respect pour l’adversaire, mais sur l’impression que nous avons dégagée dans le Nord. C’est notre dernière chance de raccrocher le wagon des quatre premiers, sachant que les équipes de tête vont s’affronter et laisser des plumes. Une ou deux victoires peuvent nous remettre d’aplomb et dans le coup. Dès que nous serons au complet, je suis persuadé que nous allons revenir comme des boulets de canon. »
Charline Servage partage cette conviction. « Depuis quelque temps, j’ai vraiment les boules de lire dans les journaux que le SABC est en crise. Je suis confiante pour samedi, même si nous ne prendrons pas Pleyber de haut. Malgré nos trois victoires de retard sur le quatuor de tête, le final four reste accessible. Il n’y a plus de temps à perdre, mais je suis optimiste. »
Stéphane Godin - www.lalsace.fr (Le 14/02/09)
Modifié en dernier par la zone le lun. 30 mars 2009 21:57, modifié 1 fois.
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LIMOGES ABC EN LIMOUSIN / DUNKERQUE MALO BASKET CLUB
Dunkerque doit jouer sans complexe
Jehanne Detry et le DMBC espèrent créer la surprise à Limoges, leader détaché du championnat.
Le DMBC cumule les rencontres face à des équipes en lice pour le final four de NF1. Après La Roche-sur-Yon et Strasbourg, les Maritimes se rendront à Limoges, actuel leader incontesté du championnat.
Battues (68-76) lors de phase aller par les équipières de l'ex-Dunkerquoise Jessie De Colo, les Maritimes ont depuis progressé dans le jeu, mais sans pour cela se mettre définitivement à l'abri d'une mauvaise surprise en fin de saison. « Limoges, c'est une grosse étape dans notre parcours. Il faudra tout d'abord effectuer 800 kms avant de retrouver nos adversaires. Limoges est une équipe très complète. On s'en est aperçu dans notre salle. Elles ne sont pas leaders pour rien, mais rien n'est impossible. Il faudra faire face à l'alternative de leur jeu intérieur et extérieur. On n'aura droit à aucun relâchement. Les Limousines vont très vite et ont d'énormes capacités verticales », a déclaré Christian Devos, qui sera privé d'Émilie Venier (suspendue).
Le coach dunkerquois sait pertinemment qu'il faudra compter sur neuf filles en pleine possession de leurs moyens pour s'offrir un succès qui les relancerait définitivement. Après tout, Graffenstaden s'est bien imposé sur le terrain de l'ABC, en janvier... •
A. B.- www.lavoixdunord.fr (samedi 14.02.2009)
LIMOGES (1er) - DMBC (9e) Ce soir, 20 h, salle des Soeurs de la Rivière.
- Absente : Venier (suspendue).
- DMBC : Detry, Delépine, Carlier, Adler, Brumermane, Fombonne, Fresnais, Duquesne, Bal.
Dunkerque doit jouer sans complexe
Jehanne Detry et le DMBC espèrent créer la surprise à Limoges, leader détaché du championnat.
Le DMBC cumule les rencontres face à des équipes en lice pour le final four de NF1. Après La Roche-sur-Yon et Strasbourg, les Maritimes se rendront à Limoges, actuel leader incontesté du championnat.
Battues (68-76) lors de phase aller par les équipières de l'ex-Dunkerquoise Jessie De Colo, les Maritimes ont depuis progressé dans le jeu, mais sans pour cela se mettre définitivement à l'abri d'une mauvaise surprise en fin de saison. « Limoges, c'est une grosse étape dans notre parcours. Il faudra tout d'abord effectuer 800 kms avant de retrouver nos adversaires. Limoges est une équipe très complète. On s'en est aperçu dans notre salle. Elles ne sont pas leaders pour rien, mais rien n'est impossible. Il faudra faire face à l'alternative de leur jeu intérieur et extérieur. On n'aura droit à aucun relâchement. Les Limousines vont très vite et ont d'énormes capacités verticales », a déclaré Christian Devos, qui sera privé d'Émilie Venier (suspendue).
Le coach dunkerquois sait pertinemment qu'il faudra compter sur neuf filles en pleine possession de leurs moyens pour s'offrir un succès qui les relancerait définitivement. Après tout, Graffenstaden s'est bien imposé sur le terrain de l'ABC, en janvier... •
A. B.- www.lavoixdunord.fr (samedi 14.02.2009)
LIMOGES (1er) - DMBC (9e) Ce soir, 20 h, salle des Soeurs de la Rivière.
- Absente : Venier (suspendue).
- DMBC : Detry, Delépine, Carlier, Adler, Brumermane, Fombonne, Fresnais, Duquesne, Bal.
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La Roche-sur-Yon - Colomiers.
La galère columérine
Une soirée compliquée pour Nathalie Billaud et Colomiers.
« Nous avons logiquement perdu le derby contre le TMB. Je ne sais pour quelles raisons, mais nous avons complètement été inhibés par l'événement et notre bonne deuxième mi-temps n'a servi à rien. Plus la saison avance, plus nos chances de maintien diminuent, et notre tâche est difficile. Nous n'avons plus le choix. Il faut nous battre jusqu'au bout afin de réaliser une « perf » et voir enfin la réussite nous sourire. Nous avons prouvé à maintes occasions que nous avions le niveau de la division. Il ne nous manque plus que les résultats. Alors nous faisons le dos rond et nous continuons de bosser. Honnêtement les filles méritent un meilleur sort. Elles ne se découragent pas à l'entraînement, continuent de travailler et persévèrent. »
Benoit Badet, depuis le début de saison et toujours maintenant, croit en ses joueuses et pense encore le maintien possible. Malheureusement, car il y a un hic, La Roche reste sur une contre-performance. Une défaite à Pleyber Christ. L'entraîneur Columérin craint donc un sursaut d'orgueil des Vendéennes même s'il espère pouvoir profiter du petit doute qui a pu s'installer dans les esprits des joueuses de l'équipe surprise de l'année. De là à ramener la victoire…
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr (14/02/2009)
La galère columérine
Une soirée compliquée pour Nathalie Billaud et Colomiers.
« Nous avons logiquement perdu le derby contre le TMB. Je ne sais pour quelles raisons, mais nous avons complètement été inhibés par l'événement et notre bonne deuxième mi-temps n'a servi à rien. Plus la saison avance, plus nos chances de maintien diminuent, et notre tâche est difficile. Nous n'avons plus le choix. Il faut nous battre jusqu'au bout afin de réaliser une « perf » et voir enfin la réussite nous sourire. Nous avons prouvé à maintes occasions que nous avions le niveau de la division. Il ne nous manque plus que les résultats. Alors nous faisons le dos rond et nous continuons de bosser. Honnêtement les filles méritent un meilleur sort. Elles ne se découragent pas à l'entraînement, continuent de travailler et persévèrent. »
Benoit Badet, depuis le début de saison et toujours maintenant, croit en ses joueuses et pense encore le maintien possible. Malheureusement, car il y a un hic, La Roche reste sur une contre-performance. Une défaite à Pleyber Christ. L'entraîneur Columérin craint donc un sursaut d'orgueil des Vendéennes même s'il espère pouvoir profiter du petit doute qui a pu s'installer dans les esprits des joueuses de l'équipe surprise de l'année. De là à ramener la victoire…
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr (14/02/2009)
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ARMENTIERES SO / RENNES AVENIR
« Perdre face à Rennes serait une mauvaise opération mais pas une contre-perf »
Elles sont désormais quatre équipes, dont les SOA, à courir derrière le leader, Limoges.
Le haut de tableau était déjà bien serré mais, depuis le week-end dernier, quatre équipes se partagent le fauteuil de dauphines. La 19e journée a en effet fait peu de cas de la hiérarchie : si l'on excepte Charleville, les favorites, sur le papier, se sont toutes inclinées.
Pour les Armentiéroises, une victoire ce soir face à Rennes semble impérative pour rester dans la roue du leader limougeaud défait à Nice la semaine dernière.
On en est déjà aux deux-tiers du championnat et, pourtant, personne ne peut encore être rassuré sur son sort. Limoges, qui vient de s'incliner à Nice, ne compte plus que deux points d'avance sur ses nombreux poursuivants. Et, à la deuxième place, c'est un véritable embouteillage : Armentières, Charleville, Roche-Vendée, Graffenstaden... Elles sont quatre à se serrer sur un fauteuil qui, à l'issue de la saison, laissera forcément une équipe sur le bord de la route. « C'est serré depuis le début et ça le sera jusqu'à la fin, confie Stéphane Lalart. Surtout que certaines équipes, comme Nice, Toulouse ou Dunkerque reviennent en force. » Dans l'optique d'une qualification en Final Four, les dix derniers matchs seront donc déterminants.
Pas de favori
Hors de question de griller des jokers et de s'incliner face à des équipes théoriquement inférieures. Ce soir, face à Rennes, les Armentiéroises auront donc la pression. « Il n'y a pas de favori. Dans ce championnat, tout le monde peut battre tout le monde. Maintenant, perdre face à Rennes serait une mauvaise opération, confirme le coach armentiérois. Mais ce ne serait pas une contre-performance étant donné qu'il s'agit d'une équipe qui possède de grosses individualités. » Pour le technicien des SOA, l'équipe bretonne présente un peu la même physionomie que celle du Centre Fédéral : de fortes individualités, de grosses qualités athlétiques et un collectif qui se rode au fur et à mesure des matchs pour une équipe qui monte en puissance. « Rennes présente une équipe très athlétique, avec des ailières beaucoup plus grandes que les nôtres et trois intérieures qui approchent les 1,90 m dont l'Américaine Morgan qui tourne très bien », détaille Stéphane Lalart qui s'attend à voir une équipe très différente de celle que ses protégées avaient battu lors du match aller.
Force collective
De l'autre côté, des « Noires et Blanches » qui « puisent leur force dans leur collectif. On sait donc qu'on devra être vigilants tout au long de la rencontre et ce, dès le début du match. » Pour y parvenir, l'entraîneur armentiérois pourra compter sur tout son effectif. Virginie Bremont et Caroline Lalart, les deux meneuses, sont maintenant rétablies et si Katya Pilyashenko traîne un vilain rhume, elle devrait être opérationnelle ce soir sur le parquet de Léo-Lagrange. •
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdunord.fr (samedi 14.02.2009)
« Perdre face à Rennes serait une mauvaise opération mais pas une contre-perf »
Elles sont désormais quatre équipes, dont les SOA, à courir derrière le leader, Limoges.
Le haut de tableau était déjà bien serré mais, depuis le week-end dernier, quatre équipes se partagent le fauteuil de dauphines. La 19e journée a en effet fait peu de cas de la hiérarchie : si l'on excepte Charleville, les favorites, sur le papier, se sont toutes inclinées.
Pour les Armentiéroises, une victoire ce soir face à Rennes semble impérative pour rester dans la roue du leader limougeaud défait à Nice la semaine dernière.
On en est déjà aux deux-tiers du championnat et, pourtant, personne ne peut encore être rassuré sur son sort. Limoges, qui vient de s'incliner à Nice, ne compte plus que deux points d'avance sur ses nombreux poursuivants. Et, à la deuxième place, c'est un véritable embouteillage : Armentières, Charleville, Roche-Vendée, Graffenstaden... Elles sont quatre à se serrer sur un fauteuil qui, à l'issue de la saison, laissera forcément une équipe sur le bord de la route. « C'est serré depuis le début et ça le sera jusqu'à la fin, confie Stéphane Lalart. Surtout que certaines équipes, comme Nice, Toulouse ou Dunkerque reviennent en force. » Dans l'optique d'une qualification en Final Four, les dix derniers matchs seront donc déterminants.
Pas de favori
Hors de question de griller des jokers et de s'incliner face à des équipes théoriquement inférieures. Ce soir, face à Rennes, les Armentiéroises auront donc la pression. « Il n'y a pas de favori. Dans ce championnat, tout le monde peut battre tout le monde. Maintenant, perdre face à Rennes serait une mauvaise opération, confirme le coach armentiérois. Mais ce ne serait pas une contre-performance étant donné qu'il s'agit d'une équipe qui possède de grosses individualités. » Pour le technicien des SOA, l'équipe bretonne présente un peu la même physionomie que celle du Centre Fédéral : de fortes individualités, de grosses qualités athlétiques et un collectif qui se rode au fur et à mesure des matchs pour une équipe qui monte en puissance. « Rennes présente une équipe très athlétique, avec des ailières beaucoup plus grandes que les nôtres et trois intérieures qui approchent les 1,90 m dont l'Américaine Morgan qui tourne très bien », détaille Stéphane Lalart qui s'attend à voir une équipe très différente de celle que ses protégées avaient battu lors du match aller.
Force collective
De l'autre côté, des « Noires et Blanches » qui « puisent leur force dans leur collectif. On sait donc qu'on devra être vigilants tout au long de la rencontre et ce, dès le début du match. » Pour y parvenir, l'entraîneur armentiérois pourra compter sur tout son effectif. Virginie Bremont et Caroline Lalart, les deux meneuses, sont maintenant rétablies et si Katya Pilyashenko traîne un vilain rhume, elle devrait être opérationnelle ce soir sur le parquet de Léo-Lagrange. •
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdunord.fr (samedi 14.02.2009)
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20ème journée
Les résultats des rencontres du 14/02/2009
ETOILE DE VOIRON FEMININ - S.I. GRAFFENSTADEN: 62 - 67
TOULOUSE METROPOLE BASKET - ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES: 67 - 56
ROCHE VENDEE BC - U.S. COLOMIERS BASKET: 67 - 64
STRASBOURG ALSACE BC - PLEYBER CHRIST BASKET CLUB: 92 - 74
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 89 - 65
CLUB BASKET D'IFS - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 64 - 78
US LAVEYRON - CENTRE FEDERAL BB: 74 - 57
ARMENTIERES SO - RENNES AVENIR: 87 - 47
ETOILE DE VOIRON FEMININ - S.I. GRAFFENSTADEN: 62 - 67
TOULOUSE METROPOLE BASKET - ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES: 67 - 56
ROCHE VENDEE BC - U.S. COLOMIERS BASKET: 67 - 64
STRASBOURG ALSACE BC - PLEYBER CHRIST BASKET CLUB: 92 - 74
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 89 - 65
CLUB BASKET D'IFS - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 64 - 78
US LAVEYRON - CENTRE FEDERAL BB: 74 - 57
ARMENTIERES SO - RENNES AVENIR: 87 - 47