Posté le: Lun 08 Sept 2008
L'équipe de France devra encore évoluer
Contrat rempli pour les Bleues, qualifiées pour l'Euro 2009. Mais cette jeune équipe de France devra encore beaucoup travailler - et sans doute dénicher d'autres talents - pour espérer rivaliser avec les meilleures nations européennes.
Contrat rempli pour Pierre Vincent et l'équipe de France féminine. Les Bleues se sont qualifiées pour l'Euro féminin 2009 en Lettonie après une ultime victoire obtenue dans la douleur face à la Hongrie, samedi, au Prado à Bourges.
On n'en attendait pas moins de leur part, même si on se doutait que ça ne serait pas forcément facile face à ces bonnes nations de basket que sont la Slovaquie ou la Hongrie. La preuve, l'équipe de France (qui ne s'était déjà imposée que d'un point à Pécs, à l'aller), eut, cette fois, recours à la prolongation pour écarter les Magyares.
Les portes restent ouvertes
Il a surtout fallu toute la classe et l'expérience de l'"axe berruyer" Dumerc-Ndongue pour faire la différence face à une sélection hongroise moins talentueuse mais aussi difficile à jouer que pouvait l'être le Pécs de Laszlo Ratgéber à la grande époque. (...)
Samedi, face à la presse, Pierre Vincent a dit que les portes de l'équipe de France restaient ouvertes. Ce groupe a fait son job en arrachant la qualification mais il a aussi montré ses limites actuelles. Certes, il n'a que deux mois de vécu en commun, c'est bien peu. Il n'empêche, il y a des manques criants à certains postes. Le sélectionneur n'en a rien dit mais on soupçonne qu'il serait heureux d'accueillir des joueuses aussi expérimentées et talentueuses que Caroline Aubert-Koechlin, Sandrine Gruda ou Sandra Le Dréan. Il est vrai que, rien qu'avec ces trois-là, dès l'instant où elles auraient la volonté d'adhérer au projet de jeu et de se fondre dans le collectif, l'équipe de France aurait une tout autre allure.
Christian Ragot - www.leberry.fr
Championnat d'Europe feminin
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Posté le : Mer 03 Déc 2008
Indiscutable à l'ESBVA-LM, indésirable en équipe de France !
Abdou N'Diaye, son coach, la surnomme la « Trezeguet de l'ESBVA-LM ». Géraldine Robert affole toutes les statistiques depuis le début du championnat. Pourtant, le 7 novembre dernier, la capitaine villeneuvoise n'a pas été convoquée par Pierre Vincent, sélectionneur de l'équipe de France. Certains coaches de Ligue féminine nous ont donné leur avis sur le sujet.
« Cela fait trois ans que je suis en Ligue. Je n'ai peut-être pas le plus grand talent de France ni d'Europe mais je peux apporter quelque chose à cette équipe de France ! Il y a quelques mois, j'ai reçu une lettre qui m'annonçait que j'étais succeptible d'aller en sélection. Puis une autre pour me convoquer aux examens médicaux. Le lundi qui a suivi la finale de la Coupe de France, j'étais prête à partir. Mais le mercredi, je n'étais pas dans la liste. Ce n'est pas correct ! Début novembre, ça ne m'a donc pas surprise de rester à la maison (19 joueuses ont été convoquées pour un stage du 2 au 12 janvier). Je me dis simplement que mon style ne doit pas convenir à Pierre Vincent. Et que tout le monde ne s'appelle pas Abdou N'Diaye... »
Géraldine Robert, cette saison en championnat, c'est : une moyenne de 14 pts par match, une réussite de 57,4 % à deux points. C'est aussi la deuxième joueuse de Ligue féminine en évaluation (19,8 de moyenne) et au niveau des interceptions (2,8/m). C'est surtout 108 rebonds pris en 11 matches (9,8/m) pour la meilleure rebondeuse offensive (65 rebonds soit 6/m !) du championnat. Des statistiques qui parlent d'elles mêmes...
Hervé Coudray (Mondeville) : « Géraldine, c'est un jeu atypique ! Elle évolue sur un poste pas franchement extérieur et elle est trop petite pour jouer à l'intérieur. Il y a peu d'équivalent en France sur le plan athlétique. Elle rebondit plutôt deux fois qu'une, c'est une vraie balle de ping pong. Samedi, elle nous a pris 19 rebonds !. Il est impossible de la contrôler en fille à fille. L'équipe de France ? Les meilleures n'y sont pas toujours. En football, par exemple, Nicolas Anelka, que tout le monde encensait, n'a pas été retenu pour la Coupe du Monde 1998. En basket, c'est pareil. Ce n'est pas forcément évident car il faudrait que la France joue pour elle, comme Villeneuve sait le faire. Et puis il y a cette lacune sur le shoot extérieur... »
Bruno Blier (Arras) : « Cette fille dégage beaucoup d'énergie, de joie de vivre. Elle se bat sur le terrain comme si sa vie en dépendait. Avoir une telle joueuse dans son équipe, c'est du pur bonheur. Une grosse rebondeuse, qui va vite, difficile à contenir dans le un contre un.
Ses limites ? C'est une fille imprévisible. Quand on regarde ses stats, elle mérite amplement sa place en équipe de France. Mais peut-être qu'elle manque de rigueur sur le jeu placé pour intéresser Pierre Vincent... »
Cyril Sicsic (Calais) : « Est-ce normal de ne pas sélectionner la fille qui est sûrement la meilleure Française sur le poste 3 ? Chaque entraîneur a sa propre logique. Mais les évaluations et statistiques de Géraldine sont criantes. Et puis, il me semble qu'Abdou N'Diaye, malgré ce côté atypique, sache la faire jouer ! Mais c'est vrai que choisir Géraldine signifie qu'il faut lui laisser la place pour jouer... »
Fabrice Courcier (Union Hainaut) : « Sur l'engagement, le dynamisme, l'enthousiasme, c'est une joueuse importante, capable de replacer son équipe dans la bonne dimension, dans la révolte. Géraldine a des qualités athlétiques hors norme, des qualités de saut impressionnantes par rapport à sa taille. Elle est capable d'avoir un engagement de 100 % quarante minutes durant. Aujourd'hui, elle a un vrai statut. Elle a montré son potentiel à pouvoir jouer en équipe de France. Maintenant, son jeu requiert des espaces, beaucoup d'activité et une certaine liberté sur le terrain. Liberté qu'on ne peut sans doute pas lui donner en équipe de France. » •
SÉBASTIEN DARNAUX - Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord - www.villeneuve-d-ascq.maville.com
Indiscutable à l'ESBVA-LM, indésirable en équipe de France !
Abdou N'Diaye, son coach, la surnomme la « Trezeguet de l'ESBVA-LM ». Géraldine Robert affole toutes les statistiques depuis le début du championnat. Pourtant, le 7 novembre dernier, la capitaine villeneuvoise n'a pas été convoquée par Pierre Vincent, sélectionneur de l'équipe de France. Certains coaches de Ligue féminine nous ont donné leur avis sur le sujet.
« Cela fait trois ans que je suis en Ligue. Je n'ai peut-être pas le plus grand talent de France ni d'Europe mais je peux apporter quelque chose à cette équipe de France ! Il y a quelques mois, j'ai reçu une lettre qui m'annonçait que j'étais succeptible d'aller en sélection. Puis une autre pour me convoquer aux examens médicaux. Le lundi qui a suivi la finale de la Coupe de France, j'étais prête à partir. Mais le mercredi, je n'étais pas dans la liste. Ce n'est pas correct ! Début novembre, ça ne m'a donc pas surprise de rester à la maison (19 joueuses ont été convoquées pour un stage du 2 au 12 janvier). Je me dis simplement que mon style ne doit pas convenir à Pierre Vincent. Et que tout le monde ne s'appelle pas Abdou N'Diaye... »
Géraldine Robert, cette saison en championnat, c'est : une moyenne de 14 pts par match, une réussite de 57,4 % à deux points. C'est aussi la deuxième joueuse de Ligue féminine en évaluation (19,8 de moyenne) et au niveau des interceptions (2,8/m). C'est surtout 108 rebonds pris en 11 matches (9,8/m) pour la meilleure rebondeuse offensive (65 rebonds soit 6/m !) du championnat. Des statistiques qui parlent d'elles mêmes...
Hervé Coudray (Mondeville) : « Géraldine, c'est un jeu atypique ! Elle évolue sur un poste pas franchement extérieur et elle est trop petite pour jouer à l'intérieur. Il y a peu d'équivalent en France sur le plan athlétique. Elle rebondit plutôt deux fois qu'une, c'est une vraie balle de ping pong. Samedi, elle nous a pris 19 rebonds !. Il est impossible de la contrôler en fille à fille. L'équipe de France ? Les meilleures n'y sont pas toujours. En football, par exemple, Nicolas Anelka, que tout le monde encensait, n'a pas été retenu pour la Coupe du Monde 1998. En basket, c'est pareil. Ce n'est pas forcément évident car il faudrait que la France joue pour elle, comme Villeneuve sait le faire. Et puis il y a cette lacune sur le shoot extérieur... »
Bruno Blier (Arras) : « Cette fille dégage beaucoup d'énergie, de joie de vivre. Elle se bat sur le terrain comme si sa vie en dépendait. Avoir une telle joueuse dans son équipe, c'est du pur bonheur. Une grosse rebondeuse, qui va vite, difficile à contenir dans le un contre un.
Ses limites ? C'est une fille imprévisible. Quand on regarde ses stats, elle mérite amplement sa place en équipe de France. Mais peut-être qu'elle manque de rigueur sur le jeu placé pour intéresser Pierre Vincent... »
Cyril Sicsic (Calais) : « Est-ce normal de ne pas sélectionner la fille qui est sûrement la meilleure Française sur le poste 3 ? Chaque entraîneur a sa propre logique. Mais les évaluations et statistiques de Géraldine sont criantes. Et puis, il me semble qu'Abdou N'Diaye, malgré ce côté atypique, sache la faire jouer ! Mais c'est vrai que choisir Géraldine signifie qu'il faut lui laisser la place pour jouer... »
Fabrice Courcier (Union Hainaut) : « Sur l'engagement, le dynamisme, l'enthousiasme, c'est une joueuse importante, capable de replacer son équipe dans la bonne dimension, dans la révolte. Géraldine a des qualités athlétiques hors norme, des qualités de saut impressionnantes par rapport à sa taille. Elle est capable d'avoir un engagement de 100 % quarante minutes durant. Aujourd'hui, elle a un vrai statut. Elle a montré son potentiel à pouvoir jouer en équipe de France. Maintenant, son jeu requiert des espaces, beaucoup d'activité et une certaine liberté sur le terrain. Liberté qu'on ne peut sans doute pas lui donner en équipe de France. » •
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Posté le : Sam 03 Jan 2009
Digbeu-Jannault, au boulot à Monaco
Salagnac et Costaz ne figurent pas parmi les 19 bleues rassemblées à Monaco. Jannault et Digbeu, elles, doivent penser à marquer des points pour se faire une place à l'aile.
Equipe de France. Jennifer Digbeu et Pauline Jannault entament un stage ce vendredi 02 janvier. Le début d'une épopée pouvant mener les Mondevillaises à l'Euro 2009.
La Lettonie passe par Monaco. A six mois de l'Euro, Pierre Vincent a sonné l'heure du premier rassemblement pour les Bleues. Elles sont 19, sûres de figurer parmi les douze possibles, et sachant que la liste peut s'agrandir. Tant mieux pour Costaz et Salagnac, écartées de ce grand brassage après avoir goûté aux rassemblements estivaux.
Pauline Jannault et Jennifer Digbeu, elles, sont de l'aventure monégasque. Les deux Mondevillaises avaient pris part aux éliminatoires du championnat d'Europe, et ont dans un coin de la tête le rendez-vous letton. « L'équipe de France, c'est un truc à vivre », clame Jannault, blessée en début de préparation et rappelée pour le dernier match, en Roumanie. « Etre à l'Euro serait quelque part une suite logique », enchaîne Digbeu.
En concurrence directe ?
Les deux ailières normandes n'ont pourtant aucune garantie, loin de là. Elles ont pour elles leur taille, leur capacité à shooter extérieur, une denrée rare chez les Bleues. A leur passif, leur manque de vécu de très haut niveau. En fait, elles pourraient même se retrouver en concurrence directe : « C'est vrai, acquiesce Jannault. Jen' a joué à mon poste, même si elle peut aussi évoluer comme intérieure. Je sais que ce sera dur, mais je me battrai. »
En fait, le stage azuréen n'éliminera personne. « C'est juste un rassemblement, une évaluation qui permettra de se remettre en forme même si nous avons déjà eu un programme à faire durant la trêve, précise Digbeu. Mais ce seront de vrais entraînements, et il faudra y aller avec l'idée de commencer à s'imposer avant l'été. » « J'ai pu souffler, j'ai hâte de retrouver les parquets, commente Jannault. J'espère que ce stage va me permettre de retrouver mon basket, de redéclencher certaines choses, avec un autre coach. Mon début de saison n'a pas été terrible, et j'ai un peu peur de ne pas être au niveau, même si cela allait mieux sur les derniers matches en club. »
Un club qu'elles retrouveront le 12, alors que leurs coéquipières renfileront la tenue dès le 6, sans qu'Hervé Coudray y voie matière à problème : « Depuis le 21 décembre, elles ont eu le temps de récupérer. A condition de ne pas repartir la tête à l'envers, un stage en équipe de France est toujours profitable. C'est un encouragement pour elles, mais aussi l'occasion de se remettre en cause, de travailler et de voir ce qu'il leur reste à faire. »
Pas mal de chemin, d'ailleurs, pour passer du statut de joueuse de bout de banc, à celui d'internationales à part entière : « Pour moi, ce ne sont pas encore des joueuses de l'équipe nationale, indique Hervé Coudray, eu égard à leur temps de jeu limité (1). Mais elles ont le potentiel pour le devenir, à condition de bosser, et de rester la tête sur les épaules. » De flamber positivement à Monaco.
Dominique FAURIE. www.caen.maville.com
(1) 14 matches amicaux et officiels, à 12 minutes de temps de jeu moyen et 2,5 points par match pour Digbeu. 1 match, 3 points en 6 minutes pour Jannault, blessée au début du rassemblement estival.
Ouest-France
Digbeu-Jannault, au boulot à Monaco
Salagnac et Costaz ne figurent pas parmi les 19 bleues rassemblées à Monaco. Jannault et Digbeu, elles, doivent penser à marquer des points pour se faire une place à l'aile.
Equipe de France. Jennifer Digbeu et Pauline Jannault entament un stage ce vendredi 02 janvier. Le début d'une épopée pouvant mener les Mondevillaises à l'Euro 2009.
La Lettonie passe par Monaco. A six mois de l'Euro, Pierre Vincent a sonné l'heure du premier rassemblement pour les Bleues. Elles sont 19, sûres de figurer parmi les douze possibles, et sachant que la liste peut s'agrandir. Tant mieux pour Costaz et Salagnac, écartées de ce grand brassage après avoir goûté aux rassemblements estivaux.
Pauline Jannault et Jennifer Digbeu, elles, sont de l'aventure monégasque. Les deux Mondevillaises avaient pris part aux éliminatoires du championnat d'Europe, et ont dans un coin de la tête le rendez-vous letton. « L'équipe de France, c'est un truc à vivre », clame Jannault, blessée en début de préparation et rappelée pour le dernier match, en Roumanie. « Etre à l'Euro serait quelque part une suite logique », enchaîne Digbeu.
En concurrence directe ?
Les deux ailières normandes n'ont pourtant aucune garantie, loin de là. Elles ont pour elles leur taille, leur capacité à shooter extérieur, une denrée rare chez les Bleues. A leur passif, leur manque de vécu de très haut niveau. En fait, elles pourraient même se retrouver en concurrence directe : « C'est vrai, acquiesce Jannault. Jen' a joué à mon poste, même si elle peut aussi évoluer comme intérieure. Je sais que ce sera dur, mais je me battrai. »
En fait, le stage azuréen n'éliminera personne. « C'est juste un rassemblement, une évaluation qui permettra de se remettre en forme même si nous avons déjà eu un programme à faire durant la trêve, précise Digbeu. Mais ce seront de vrais entraînements, et il faudra y aller avec l'idée de commencer à s'imposer avant l'été. » « J'ai pu souffler, j'ai hâte de retrouver les parquets, commente Jannault. J'espère que ce stage va me permettre de retrouver mon basket, de redéclencher certaines choses, avec un autre coach. Mon début de saison n'a pas été terrible, et j'ai un peu peur de ne pas être au niveau, même si cela allait mieux sur les derniers matches en club. »
Un club qu'elles retrouveront le 12, alors que leurs coéquipières renfileront la tenue dès le 6, sans qu'Hervé Coudray y voie matière à problème : « Depuis le 21 décembre, elles ont eu le temps de récupérer. A condition de ne pas repartir la tête à l'envers, un stage en équipe de France est toujours profitable. C'est un encouragement pour elles, mais aussi l'occasion de se remettre en cause, de travailler et de voir ce qu'il leur reste à faire. »
Pas mal de chemin, d'ailleurs, pour passer du statut de joueuse de bout de banc, à celui d'internationales à part entière : « Pour moi, ce ne sont pas encore des joueuses de l'équipe nationale, indique Hervé Coudray, eu égard à leur temps de jeu limité (1). Mais elles ont le potentiel pour le devenir, à condition de bosser, et de rester la tête sur les épaules. » De flamber positivement à Monaco.
Dominique FAURIE. www.caen.maville.com
(1) 14 matches amicaux et officiels, à 12 minutes de temps de jeu moyen et 2,5 points par match pour Digbeu. 1 match, 3 points en 6 minutes pour Jannault, blessée au début du rassemblement estival.
Ouest-France
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Posté le : Jeu 15 Jan 2009
Allison Vernerey : première expérience concluante chez les Bleues.
La Mulhousienne de la SIG Allison Vernerey a pour la première fois intégré l’équipe de France lors d’un stage de dix jours à Monaco : une expérience enrichissante qu’elle espère revivre dans quelques mois.
« J’ai appris la nouvelle, au courant du mois de novembre, d’une drôle de manière : à l’entraînement, tout le monde est venu me féliciter mais je ne savais absolument pas pourquoi, parce que je n’avais ni reçu ma lettre de convocation, ni consulté internet. Je ne comprenais rien et j’étais en train de me demander ce qu’il se passait quand le président de la SIG Amateurs, Luc Pfister, m’a enfin annoncé la bonne nouvelle », s’amuse Allison Vernerey, toute surprise de cette première convocation en équipe de France, elle qui a pourtant déjà souvent porté le maillot tricolore, en cadettes, avec lesquelles elle est d’ailleurs devenue championne d’Europe en 2007, et plus récemment en juniors.
La jeune fille de 17 ans, redoutable rebondeuse (11,1 prises par match en NF1) vient donc de suivre un stage de dix jours organisé du 2 au 12 janvier à Monaco, où l’équipe de France a démarré sa préparation à l’Euro 2009, qui aura lieu du 7 au 20 juin en Lettonie.
« Nous étions dans un cadre magnifique », souligne-t-elle.
Direction Duke
« Je partais un peu dans l’inconnu, même si je connaissais déjà bien certaines joueuses, comme Diandra Tchatchouang, Doriane Tahane ou Marielle Amant, et si j’en avais déjà croisé beaucoup d’autres. J’ai eu besoin d’un petit temps d’adaptation, mais je n’ai eu aucun problème à m’intégrer et me suis tout de suite sentie à l’aise. »
L’intérieure d’1,91 m originaire de Saint-Maur-des-Fossés a d’autant mieux profité de cette nouvelle expérience qu’elle a eu un très bon contact avec Pierre Vincent, l’entraîneur des Bleues. « Il est ouvert et posé, il n’est pas du genre à s’emporter, il explique bien les choses. Et il m’a tout de suite fait comprendre que je n’avais pas à avoir de complexe en raison de ma jeunesse ou de mon inexpérience à ce niveau. Lors de mon entretien d’évaluation, qui s’est très bien passé, il m’a dit que je devais travailler le physique et les tirs extérieurs. »
Allison Vernerey ne sait pas quand elle sera à nouveau appelée dans l’effectif des seniors tricolores. « Sans doute plus cette année », remarque-t-elle. Ce qui lui laissera le temps de se consacrer à celui des juniors, qu’elle rejoindra à nouveau pour les championnats d’Europe et du monde, cet été en Suède puis en Thaïlande. Ce qui lui laissera le temps, aussi, de passer le bac scientifique qu’elle prépare au lycée Schweitzer, à Mulhouse. Avant de s’envoler pour les Etats-Unis et l’université de Duke, en Caroline du Nord, où elle poursuivra une carrière de basketteuse qui s’annonce prometteuse.
Sandrine Pays - www.alsapresse.com
Allison Vernerey : première expérience concluante chez les Bleues.
La Mulhousienne de la SIG Allison Vernerey a pour la première fois intégré l’équipe de France lors d’un stage de dix jours à Monaco : une expérience enrichissante qu’elle espère revivre dans quelques mois.
« J’ai appris la nouvelle, au courant du mois de novembre, d’une drôle de manière : à l’entraînement, tout le monde est venu me féliciter mais je ne savais absolument pas pourquoi, parce que je n’avais ni reçu ma lettre de convocation, ni consulté internet. Je ne comprenais rien et j’étais en train de me demander ce qu’il se passait quand le président de la SIG Amateurs, Luc Pfister, m’a enfin annoncé la bonne nouvelle », s’amuse Allison Vernerey, toute surprise de cette première convocation en équipe de France, elle qui a pourtant déjà souvent porté le maillot tricolore, en cadettes, avec lesquelles elle est d’ailleurs devenue championne d’Europe en 2007, et plus récemment en juniors.
La jeune fille de 17 ans, redoutable rebondeuse (11,1 prises par match en NF1) vient donc de suivre un stage de dix jours organisé du 2 au 12 janvier à Monaco, où l’équipe de France a démarré sa préparation à l’Euro 2009, qui aura lieu du 7 au 20 juin en Lettonie.
« Nous étions dans un cadre magnifique », souligne-t-elle.
Direction Duke
« Je partais un peu dans l’inconnu, même si je connaissais déjà bien certaines joueuses, comme Diandra Tchatchouang, Doriane Tahane ou Marielle Amant, et si j’en avais déjà croisé beaucoup d’autres. J’ai eu besoin d’un petit temps d’adaptation, mais je n’ai eu aucun problème à m’intégrer et me suis tout de suite sentie à l’aise. »
L’intérieure d’1,91 m originaire de Saint-Maur-des-Fossés a d’autant mieux profité de cette nouvelle expérience qu’elle a eu un très bon contact avec Pierre Vincent, l’entraîneur des Bleues. « Il est ouvert et posé, il n’est pas du genre à s’emporter, il explique bien les choses. Et il m’a tout de suite fait comprendre que je n’avais pas à avoir de complexe en raison de ma jeunesse ou de mon inexpérience à ce niveau. Lors de mon entretien d’évaluation, qui s’est très bien passé, il m’a dit que je devais travailler le physique et les tirs extérieurs. »
Allison Vernerey ne sait pas quand elle sera à nouveau appelée dans l’effectif des seniors tricolores. « Sans doute plus cette année », remarque-t-elle. Ce qui lui laissera le temps de se consacrer à celui des juniors, qu’elle rejoindra à nouveau pour les championnats d’Europe et du monde, cet été en Suède puis en Thaïlande. Ce qui lui laissera le temps, aussi, de passer le bac scientifique qu’elle prépare au lycée Schweitzer, à Mulhouse. Avant de s’envoler pour les Etats-Unis et l’université de Duke, en Caroline du Nord, où elle poursuivra une carrière de basketteuse qui s’annonce prometteuse.
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Posté le : Ven 23 Jan 2009
L'équipe de France en stage à Bourges
Les Bleues de Pierre Vincent débuteront leur très courte préparation pour les championnats d'Europe à Bourges. L'équipe de France sera au Creps du 4 au 15 mai et ce pour un stage tout à fait particulier : la saison en France se terminant seulement le 17 mai, il n'y aura là que les sélectionnées qui en auront fini avec leur saison en club.
La probabilité est donc certaine pour que Dumerc, Miyem et Ndongue soient dispensées de ce stage à la maison et pour que Pierre Vincent se partage entre ses Bleues et ses Tango.
Après ce premier rendez-vous à Bourges, l'équipe de France sera en stage à Lyon, du 18 au 24 mai, avec au programme trois matchs face à la Grèce ; direction ensuite Evry pour un stage et un tournoi (25 au 31 mai) ; puis, enfin, la Lettonie pour l'Euro 2009. La phase de poule sera bouclée en trois jours : Italie-France, le 7 ; France-Biélorussie, le 8 ; Israël-France, le 9.
www.lanouvellerepublique.fr
L'équipe de France en stage à Bourges
Les Bleues de Pierre Vincent débuteront leur très courte préparation pour les championnats d'Europe à Bourges. L'équipe de France sera au Creps du 4 au 15 mai et ce pour un stage tout à fait particulier : la saison en France se terminant seulement le 17 mai, il n'y aura là que les sélectionnées qui en auront fini avec leur saison en club.
La probabilité est donc certaine pour que Dumerc, Miyem et Ndongue soient dispensées de ce stage à la maison et pour que Pierre Vincent se partage entre ses Bleues et ses Tango.
Après ce premier rendez-vous à Bourges, l'équipe de France sera en stage à Lyon, du 18 au 24 mai, avec au programme trois matchs face à la Grèce ; direction ensuite Evry pour un stage et un tournoi (25 au 31 mai) ; puis, enfin, la Lettonie pour l'Euro 2009. La phase de poule sera bouclée en trois jours : Italie-France, le 7 ; France-Biélorussie, le 8 ; Israël-France, le 9.
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Posté le : Jeu 30 Avr 2009
La liste pour l'Euro dévoilée ce vendredi
Pierre Vincent, l'entraîneur de Bourges mais aussi sélectionneur de l'équipe de France féminine, dévoilera vendredi une liste élargie de vingt-quatre joueuses retenues pour disputer la préparation pour l'Euro, prévu en Lettonie, du 7 au 20 juin.
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La liste pour l'Euro dévoilée ce vendredi
Pierre Vincent, l'entraîneur de Bourges mais aussi sélectionneur de l'équipe de France féminine, dévoilera vendredi une liste élargie de vingt-quatre joueuses retenues pour disputer la préparation pour l'Euro, prévu en Lettonie, du 7 au 20 juin.
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Posté le : Sam 02 Mai
la sélection
Caroline Aubert,
Clémence Beikes (Union Hainaut),
Elodie Bertal (Montpellier),
Aurélie Bonnan (Montpellier),
Jennifer Digbeu (Mondeville),
Céline Dumerc (Bourges),
Emilie Duvivier (Challes),
Elodie Godin (Tarente),
Emilie Gomis (Naples),
Sandrine Gruda (Ekaterinbourg),
Emmanuelle Hermouet (Toulouse),
Pauline Jannault (Mondeville),
Pauline Krawczyk (Montpellier),
Anaël Lardy (Clermont),
Florence Lepron (Villeneuve-d'Ascq),
Cathy Melain (Bourges),
Endy Miyem (Bourges),
Emmeline Ndongue (Bourges),
Anne-Sophie Pagnier (Calais),
Fatimatou Sacko (Villeneuve-d'Ascq),
Paoline Salagnac (Mondeville),
Yacine Sene (Aix),
Gaëlle Skrela (Montpellier),
Isabelle Yacoubou-Dehoui (Tarbes).
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------------------------------
LA SURPRISE CATHY MELAIN
La carrière de Cathy Melain ne s’arrêtera finalement pas contre Tarbes. La Berruyère a accepté la proposition de Pierre Vincent de jouer l’Euro 2009 avec l’équipe de France.
C'est la surprise du chef. Le sélectionneur national, Pierre Vincent, a convoqué Cathy Melain pour l'Euro 2009 en Lettonie.
Les finales du championnat et de la coupe à jouer contre Tarbes et bonjour la « retraite » ! Voilà comment on imaginait l'avenir de Cathy Melain, basketteuse. On l'avait écrit, réécrit, une fois, dix fois… Et bien, on se trompait.
Hier, Pierre Vincent avait troqué sa casquette d'entraîneur du Bourges Basket pour celle de sélectionneur national. L'objet de sa conférence de presse : annoncer le groupe de joueuses amenées à effectuer la préparation de l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin). On s'attendait à tout sauf à cela : parmi les 24, on retrouve le nom de Cathy Melain, qui avait mis un terme à sa carrière internationale au printemps 2006. Le secret avait été bien gardé, mais cette info est tout sauf une faute de frappe : « J'ai demandé à Cathy de repousser de quelques semaines sa décision d'arrêter sa carrière, en lui expliquant que j'avais besoin d'elle pour participer à cet Euro. Je sais que je la mets dans l'embarras car Cathy n'aime pas revenir sur ce qu'elle a décidé, mais je la remercie “ d'aider la patrie ”, en quelque sorte. »
“ Une des meilleures à son poste ”
Deux raisons principales expliquent cette surprise : « En tout premier lieu, la période de préparation de cette épreuve va être réduite à sa plus simple expression. Les Russes ou les Tchèques ont terminé leur saison en club, nous, il nous reste encore deux semaines de compétition (finale de la coupe de France le 17 mai). Or, j'estime qu'il faudrait au moins six semaines de travail avant d'aborder cet Euro. Je vais donc avoir besoin de joueuses qui comprennent vite les systèmes, Cathy en fait partie. »
Autre élément décisif dans la réflexion du sélectionneur : « L'équipe de France possède un réel potentiel dans le secteur intérieur avec de jeunes joueuses très performantes (Yacoubou, Gruda, Ndongue…). Par contre, c'est plus faible à l'extérieur où notre meilleure arrière lors des matchs de qualification de l'été dernier fut Emmanuelle Hermouet qui évolue en N1 (à Toulouse). Les autres sont de bonnes joueuses mais ne sont pas encore au niveau d'un Euro. Cathy est une des meilleures (si ce n'est la meilleure) joueuse française à son poste. Physiquement, elle ne connaît aucun souci, elle le prouve à tous les matchs en ce moment avec Bourges, c'était donc la solution la plus appropriée. »
Les JO 2012 dans le viseur
Cathy Melain fera donc partie du groupe qui tentera en juin de décrocher une des cinq (ou six si la Tchéquie fait partie du lot) places qualificatives pour le championnat du monde 2010 en République tchèque : « Notre objectif, ce sont les JO 2012, mais afin de les préparer au mieux, il n'y aurait rien de plus adapté qu'une participation à un Mondial. »
Cathy Melain participera donc à l'aventure en compagnie de Berruyères actuelles (Dumerc, Ndongue, Miyem), mais aussi des ex (Lepron, Godin), et des futures (Lardy, Digbeu, Salagnac).
Jean-Marc Le Ruyet - www.lanouvellerepublique.fr
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http://www.basquetebol.org/Pierre-Vince ... a5427.html
la sélection
Caroline Aubert,
Clémence Beikes (Union Hainaut),
Elodie Bertal (Montpellier),
Aurélie Bonnan (Montpellier),
Jennifer Digbeu (Mondeville),
Céline Dumerc (Bourges),
Emilie Duvivier (Challes),
Elodie Godin (Tarente),
Emilie Gomis (Naples),
Sandrine Gruda (Ekaterinbourg),
Emmanuelle Hermouet (Toulouse),
Pauline Jannault (Mondeville),
Pauline Krawczyk (Montpellier),
Anaël Lardy (Clermont),
Florence Lepron (Villeneuve-d'Ascq),
Cathy Melain (Bourges),
Endy Miyem (Bourges),
Emmeline Ndongue (Bourges),
Anne-Sophie Pagnier (Calais),
Fatimatou Sacko (Villeneuve-d'Ascq),
Paoline Salagnac (Mondeville),
Yacine Sene (Aix),
Gaëlle Skrela (Montpellier),
Isabelle Yacoubou-Dehoui (Tarbes).
www.lanouvellerepublique.fr
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LA SURPRISE CATHY MELAIN
La carrière de Cathy Melain ne s’arrêtera finalement pas contre Tarbes. La Berruyère a accepté la proposition de Pierre Vincent de jouer l’Euro 2009 avec l’équipe de France.
C'est la surprise du chef. Le sélectionneur national, Pierre Vincent, a convoqué Cathy Melain pour l'Euro 2009 en Lettonie.
Les finales du championnat et de la coupe à jouer contre Tarbes et bonjour la « retraite » ! Voilà comment on imaginait l'avenir de Cathy Melain, basketteuse. On l'avait écrit, réécrit, une fois, dix fois… Et bien, on se trompait.
Hier, Pierre Vincent avait troqué sa casquette d'entraîneur du Bourges Basket pour celle de sélectionneur national. L'objet de sa conférence de presse : annoncer le groupe de joueuses amenées à effectuer la préparation de l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin). On s'attendait à tout sauf à cela : parmi les 24, on retrouve le nom de Cathy Melain, qui avait mis un terme à sa carrière internationale au printemps 2006. Le secret avait été bien gardé, mais cette info est tout sauf une faute de frappe : « J'ai demandé à Cathy de repousser de quelques semaines sa décision d'arrêter sa carrière, en lui expliquant que j'avais besoin d'elle pour participer à cet Euro. Je sais que je la mets dans l'embarras car Cathy n'aime pas revenir sur ce qu'elle a décidé, mais je la remercie “ d'aider la patrie ”, en quelque sorte. »
“ Une des meilleures à son poste ”
Deux raisons principales expliquent cette surprise : « En tout premier lieu, la période de préparation de cette épreuve va être réduite à sa plus simple expression. Les Russes ou les Tchèques ont terminé leur saison en club, nous, il nous reste encore deux semaines de compétition (finale de la coupe de France le 17 mai). Or, j'estime qu'il faudrait au moins six semaines de travail avant d'aborder cet Euro. Je vais donc avoir besoin de joueuses qui comprennent vite les systèmes, Cathy en fait partie. »
Autre élément décisif dans la réflexion du sélectionneur : « L'équipe de France possède un réel potentiel dans le secteur intérieur avec de jeunes joueuses très performantes (Yacoubou, Gruda, Ndongue…). Par contre, c'est plus faible à l'extérieur où notre meilleure arrière lors des matchs de qualification de l'été dernier fut Emmanuelle Hermouet qui évolue en N1 (à Toulouse). Les autres sont de bonnes joueuses mais ne sont pas encore au niveau d'un Euro. Cathy est une des meilleures (si ce n'est la meilleure) joueuse française à son poste. Physiquement, elle ne connaît aucun souci, elle le prouve à tous les matchs en ce moment avec Bourges, c'était donc la solution la plus appropriée. »
Les JO 2012 dans le viseur
Cathy Melain fera donc partie du groupe qui tentera en juin de décrocher une des cinq (ou six si la Tchéquie fait partie du lot) places qualificatives pour le championnat du monde 2010 en République tchèque : « Notre objectif, ce sont les JO 2012, mais afin de les préparer au mieux, il n'y aurait rien de plus adapté qu'une participation à un Mondial. »
Cathy Melain participera donc à l'aventure en compagnie de Berruyères actuelles (Dumerc, Ndongue, Miyem), mais aussi des ex (Lepron, Godin), et des futures (Lardy, Digbeu, Salagnac).
Jean-Marc Le Ruyet - www.lanouvellerepublique.fr
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Posté le : Mar 12 Mai 2009
Paoline Salagnac pas sélectionnée
On ne pourra pas dire que Pierre Vincent, qui avait coiffé, hier matin, le temps d'un entraînement, sa casquette de sélectionneur national, privilégie les joueuses berruyères en équipe de France. La Mondevillaise Paoline Salagnac, une des cinq recrues du Bourges Basket, ne fait plus partie du groupe qui prépare actuellement, au Creps, l'Euro féminin en Lettonie (7 au 20 juin) : « Elle était en lice avec Mondeville jusqu'à vendredi, et comme elle faisait partie des 20 mais pas (encore) des éléments majeurs qui joueront la compétition, je lui ai dit que ce n'était pas la peine qu'elle participe à la suite du stage. D'autant que le secteur extérieur est déjà fourni. » Ce n'est que partie remise.
www.lanouvellerepublique.fr
Paoline Salagnac pas sélectionnée
On ne pourra pas dire que Pierre Vincent, qui avait coiffé, hier matin, le temps d'un entraînement, sa casquette de sélectionneur national, privilégie les joueuses berruyères en équipe de France. La Mondevillaise Paoline Salagnac, une des cinq recrues du Bourges Basket, ne fait plus partie du groupe qui prépare actuellement, au Creps, l'Euro féminin en Lettonie (7 au 20 juin) : « Elle était en lice avec Mondeville jusqu'à vendredi, et comme elle faisait partie des 20 mais pas (encore) des éléments majeurs qui joueront la compétition, je lui ai dit que ce n'était pas la peine qu'elle participe à la suite du stage. D'autant que le secteur extérieur est déjà fourni. » Ce n'est que partie remise.
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Posté le : Ven 15 Mai 2009
16 joueuses poursuivent l’aventure
Caroline AUBERT
Élodie BERTAL
Jennifer DIGBEU
Céline DUMERC
Élodie GODIN
Émilie GOMIS
Sandrine GRUDA
Pauline KRAWCZYK
Anaël LARDY
Florence LEPRON
Cathy MELAIN
Endéné MIYEM
Emmeline NDONGUE
Fatimatou SACKO
Yacine SENE
Isabelle YACOUBOU-DEHOUI
www.basketfrance.com
16 joueuses poursuivent l’aventure
Caroline AUBERT
Élodie BERTAL
Jennifer DIGBEU
Céline DUMERC
Élodie GODIN
Émilie GOMIS
Sandrine GRUDA
Pauline KRAWCZYK
Anaël LARDY
Florence LEPRON
Cathy MELAIN
Endéné MIYEM
Emmeline NDONGUE
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Posté le : Sam 16 Mai 2009
Juste une petite parenthèse pour une grande nouvelle:
Yannick Souvré maman
C'est Serge Lepeltier lui-même qui l'a annoncé, hier, lors de la réception à la mairie. Yannick Souvré, l'ex-capitaine tango, qui vit et travaille aujourd'hui à Munich, au siège de la Fiba Europe, est maman depuis la nuit dernière. Bienvenue au petit Maël et félicitations à Yannick et à son mari, Jean-Daniel Vacheron.
www.lanouvellerepublique.fr
Juste une petite parenthèse pour une grande nouvelle:
Yannick Souvré maman
C'est Serge Lepeltier lui-même qui l'a annoncé, hier, lors de la réception à la mairie. Yannick Souvré, l'ex-capitaine tango, qui vit et travaille aujourd'hui à Munich, au siège de la Fiba Europe, est maman depuis la nuit dernière. Bienvenue au petit Maël et félicitations à Yannick et à son mari, Jean-Daniel Vacheron.
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Les Bleues en préparation
Céline Dumerc, joueuse de Bourges, retrouvera son entraîneur, dans le costume d'entraîneur de l'équipe de France.
Ce samedi, l'équipe de France féminine sera à Saint-Etienne pour un match amical face à la Grèce.
Hier, l'Équipe de France féminine s'est rendue en terre lyonnaise pour entamer sa préparation à l'Euro 2 009. Lors de cette semaine de stage, la France effectuera trois matches contre la Grèce. Les passionnés du basket sont d'ores et déjà au rendez-vous. En effet, la première ville à accueillir France-Grèce est Bourg-en-Bresse et elle affiche déjà complet. Les festivités se poursuivront à Saint-Étienne puis à Lyon.
Pendant ce temps-là, l'entraîneur des Bleues, Pierre Vincent et le staff français en profiteront pour tester les joueuses et ainsi former son groupe pour s'envoler vers la Lettonie, (du 7 au 20 juin).
Certaines n'ont terminé leur saison en club que le week-end dernier à l'occasion des finales de la Coupe de France à Bercy comme Cathy Melain qui a obtenu un septième titre de championne de France sous les couleurs de Bourges. Elle et ses coéquipières se sont imposées 78 à 48 lors du deuxième match. Céline Dumerc, Endéné Miyem et Emmeline Ndongue, tout comme Cathy Melain ont retrouvé leur entraîneur de Bourges mais avec un nouveau costume celui d'entraîneur de l'équipe de France.
Ces dernières ne se relâcheront pas car le programme que Pierre Vincent leur a concocté est relativement chargé.
Début mai, les Tricolores ont effectué un stage à Bourges durant une dizaine de jours. Actuellement, les féminines poursuivent leur stage à Lyon jusqu'au 24 mai puis elles rejoindront Evry afin de peaufiner leur préparation et jouer un tournoi (vendredi 29 mai à 20 h 30 : France - Hongrie ; samedi 30 mai à 20 h 30 : France - République Tchèque ; dimanche 31 mai à 15 h 00 : France - Australie).
Les choses sérieuses débuteront début mai avec un premier stage en Lettonie du 4 au samedi 6 juin. Le championnat d'Europe des Françaises débutera par une rencontre face à la formation italienne à Valmiera (7 juin. Le lendemain, elles affronteront la Biélorussie et enfin Israël (9 juin).
Anne-Laure Negro - www.leprogres.fr
Le programme
- Vendredi 22 mai: à Bourg-en-Bresse (01) - 20h00 : France - Grèce
Salle des Sports - 42 rue Charles Robin - 01000 Bourg-en-Bresse
- Samedi 23 mai: à Saint-Étienne (42) - 20h00 : France - Grèce
Stadium Pierre Maisonnial - 26 rue Burdeau - 42 000 Saint-Étienne
- Dimanche 24 mai: à Lyon (69) - 17h00 : France - Grèce
Salle Mado Bonnet - 20 avenue Paul Santy - 69008 Lyon
Billetterie :
- Offre grand public : 8 €uros
- Offre clubs et licenciés : 5 €uros
Informations et réservations au 04.72.57.85.20
Céline Dumerc, joueuse de Bourges, retrouvera son entraîneur, dans le costume d'entraîneur de l'équipe de France.
Ce samedi, l'équipe de France féminine sera à Saint-Etienne pour un match amical face à la Grèce.
Hier, l'Équipe de France féminine s'est rendue en terre lyonnaise pour entamer sa préparation à l'Euro 2 009. Lors de cette semaine de stage, la France effectuera trois matches contre la Grèce. Les passionnés du basket sont d'ores et déjà au rendez-vous. En effet, la première ville à accueillir France-Grèce est Bourg-en-Bresse et elle affiche déjà complet. Les festivités se poursuivront à Saint-Étienne puis à Lyon.
Pendant ce temps-là, l'entraîneur des Bleues, Pierre Vincent et le staff français en profiteront pour tester les joueuses et ainsi former son groupe pour s'envoler vers la Lettonie, (du 7 au 20 juin).
Certaines n'ont terminé leur saison en club que le week-end dernier à l'occasion des finales de la Coupe de France à Bercy comme Cathy Melain qui a obtenu un septième titre de championne de France sous les couleurs de Bourges. Elle et ses coéquipières se sont imposées 78 à 48 lors du deuxième match. Céline Dumerc, Endéné Miyem et Emmeline Ndongue, tout comme Cathy Melain ont retrouvé leur entraîneur de Bourges mais avec un nouveau costume celui d'entraîneur de l'équipe de France.
Ces dernières ne se relâcheront pas car le programme que Pierre Vincent leur a concocté est relativement chargé.
Début mai, les Tricolores ont effectué un stage à Bourges durant une dizaine de jours. Actuellement, les féminines poursuivent leur stage à Lyon jusqu'au 24 mai puis elles rejoindront Evry afin de peaufiner leur préparation et jouer un tournoi (vendredi 29 mai à 20 h 30 : France - Hongrie ; samedi 30 mai à 20 h 30 : France - République Tchèque ; dimanche 31 mai à 15 h 00 : France - Australie).
Les choses sérieuses débuteront début mai avec un premier stage en Lettonie du 4 au samedi 6 juin. Le championnat d'Europe des Françaises débutera par une rencontre face à la formation italienne à Valmiera (7 juin. Le lendemain, elles affronteront la Biélorussie et enfin Israël (9 juin).
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Le programme
- Vendredi 22 mai: à Bourg-en-Bresse (01) - 20h00 : France - Grèce
Salle des Sports - 42 rue Charles Robin - 01000 Bourg-en-Bresse
- Samedi 23 mai: à Saint-Étienne (42) - 20h00 : France - Grèce
Stadium Pierre Maisonnial - 26 rue Burdeau - 42 000 Saint-Étienne
- Dimanche 24 mai: à Lyon (69) - 17h00 : France - Grèce
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LA VIE EN BLEU DES TANGO (31/05/2009)
Cathy Melain apporte sa précieuse expérience.
Pierre Vincent, qui dévoilera aujourd'hui sa liste des 12 joueuses retenues pour l'Euro, nous a livré, vendredi, ses impressions sur les internationales tango.
Emmeline Ndongue.- « Elle a toujours un gros apport défensif et elle est assez juste en attaque, même si elle peut faire beaucoup mieux dans ce domaine. »
Céline Dumerc.- « Cela a été un peu difficile au début car elle voulait avant tout faire jouer ses partenaires et elle s'oubliait un peu. Mais cela va beaucoup mieux déjà et elle est très présente. »
Anaël Lardy - « Elle fait exactement ce qu'elle a à faire. Elle met beaucoup de pression défensive, elle relance bien en attaque. Je suis assez satisfait, après il lui reste à confirmer à chaque sortie. »
Endy Miyem.- « Son début de préparation a été difficile car elle était fatiguée. Mais elle aussi a trouvé sa place et elle apporte ses points précieux. Elle revient bien. »
Cathy Melain.- « C'est quelqu'un qui a beaucoup d'expérience, qui défend bien et qui connaît son rôle. Elle apporte beaucoup aux autres filles par sa connaissance et sa lecture du jeu. »
Jennifer Digbeu. - « Elle a beaucoup de volume offensif et défensif, et elle est très agressive avec la balle. On n'a personne d'autre dans ce registre au poste 4. »
Jean-Marc Duret - www.lanouvellerepublique.fr
************************************************** ****
La France a remporté hier le tournoi d'Evry en dominant l'Australie. Les deux équipes ayant remporté leurs deux rencontres précédentes, ce match constituait donc la finale de l'épreuve.
-------------------
FRANCE : 61
HONGRIE : 55
Vendredi : 9-16, 16-20, 19-5, 17-14.
Arbitres : Bertrand Peyridieu, Mehdi Difallah, Sofien Rhaiem.
France : Yacoubou 4, Hermouet 14, Melain 7, Gruda 10, Miyem 6, Dumerc 6, Gomis 9, Godin 2, Ndongue 3.
Hongrie : Fegyverneky 12, Englert 3, Nemeth 9, Ujhelyi 2, Horti 6, Honti 7, Vadja 4, Bujdoso 6, Krivacevic 6.
Difficile succès à Evry
L'équipe de France a battu la Hongrie (61-55), vendredi à Evry, lors de la première journée du tournoi de préparation à l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin). Après un début de match bien mal maîtrisé, les Bleues étaient menées de 7 points à l'issue du premier quart (9-16), la faute notamment à des Hongroises très adroites, emmenées par une Nora Budjoso auteur d'un excellent 2/3 à trois points dans ce premier quart.
Puis, l'arrière Zsofia Fegyverneky prenait à son tour les choses en main et malgré une belle réaction des Françaises, et notamment d'Hermouet (14 points, 11 en 2e période), ce sont les Hongroises qui menaient à la pause, (36-25).
Mais les Bleues, à l'image de Gruda et Godin, qui ont pris 5 rebonds chacune dans cette mi-temps, montraient de meilleurs signes de résistance et ont finalement réussi à retrouver leur jeu dès le troisième quart, au cours duquel elles ont non seulement refait leur retard, mais pris l'avantage au score (42-41) avant qu'Isabelle Yacoubou ne donne deux longueurs d'avance supplémentaires aux Françaises depuis la ligne de lancers francs.
La rencontre ne pouvait dès lors plus échapper aux Bleues qui battent ainsi les Hongroises pour la 13e fois depuis 1989. Samedi, elles affronteront la République tchèque, qui s'est, elle, inclinée face à l'Australie (79-82).
www.lequipe.fr
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FRANCE : 81
RÉP. TCHÈQUE : 59
Samedi : 19-8, 20-15, 23-18, 19-18.
Arbitres : Carlos Mateus, Alex Minos, Sofien Rhaiem.
France : Yacoubou 19, Melain 2, Gruda 22, Hermouet 9, Dumerc 4, Digbeu 2, Gomis 5, Sene 2, Godin 3, Ndongue 9, Lardy 1, Krawczyk 3.
Du mieux pour la France
L'équipe de France féminine a largement battu la République Tchèque (81-59), samedi, lors de la 2e journée du tournoi d'Evry, préparatoire à l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin). Elle rencontrera l'Australie, dimanche, pour tenter de remporter la compétition.
Contrairement à la veille, face à la Hongrie (victoire 61-55), les Bleues ont pris la conduite des opérations dès le premier quart-temps pour ne jamais laisser les Tchèques revenir. Fébriles offensivement contre les Hongroises, Melain and co se sont rassurées mais aussi régalées dans la raquette grâce à l'impact intérieur de Gruda (22 points, 9 rebonds), Yacoubou (19 pts, 6 rebonds), qui bat au passage son record de points en sélection, et Ndongue (9 pts, 11 rebonds).
Dimanche, les filles de Pierre Vincent auront l'occasion de décrocher une victoire de prestige contre l'Australie, championne du monde en titre, qui a elle aussi été mise sous pression par la Hongrie (84-80). Elles resteraient ainsi invaincues lors de la phase préparatoire avant de s'envoler pour la Lettonie. Un peu plus tôt, l'entraîneur tricolore aura écarté trois joueuses pour constituer son groupe des 12 qui disputera l'épreuve.
www.lequipe.fr
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FRANCE : 80
AUSTRALIE : 60
Dimanche : 23-10, 22-19, 18-17, 17-14.
Arbitres : Carlos Mateus, Stéphane Gueu, Arnaud Angloma.
France : Yacoubou 12, Miyem 8, Melain 4, Gruda 16, Hermouet 8, Dumerc 7, Gomis 6, Godin 6, Ndongue 5, Krawczyk 5, Lepron 3.
Australie : Macleod 8, Poto 6, Smith 8, Camino 2, Hurst 4, Grima 4, Tolo 4, Penaluna 5, Cox 6, Bishop 13.
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Tournoi d'Evry
Les Bleues s'imposent
L'équipe de France féminine a battu l'Australie (80-60) dimanche et remporté le tournoi d'Evry, préparatoire à l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin).
Les Françaises, qui rejoindront Riga mercredi, restent donc invaincues lors de leurs six matches de préparation après avoir battu la Grèce à trois reprises puis la Hongrie, vendredi, et la République tchèque, samedi. «Il y a encore du déchet sur des basiques comme le repli, le rebond ou la communication, mais de moins en moins chaque jour, a commenté le sélectionneur Pierre Vincent. La qualité de cette équipe est clairement la dimension athlétique. Il faudra faire payer les adversaires et si on est dans le coup défensivement, on ne sera pas loin des objectifs.» Dimanche, de pâles Australiennes, privées de leurs cinq meilleures joueuses, n'ont pas été en mesure de contrarier les douze Bleues appelées à disputer la compétition lettone.
Objectif : top 5
Contre les vice-championnes olympiques, les coéquipières de Cathy Melain, sortie de sa retraite internationale pour une ultime échéance, ont donc profité de l'occasion pour emmagasiner de la confiance, à l'image de Gruda (16 points) et Yacoubou (12 points), mais aussi des moins expérimentées comme Gomis (6 points) ou Krawczyk (5 points). A l'Euro, les Françaises, qui n'ont plus dépassé les quarts depuis 2001 et leur sacre européen, seront néanmoins confrontées à une adversité plus relevée.
Organisées autour de Dumerc, Gruda, Melain, Yacoubou et Gomis, les Bleues, avec quatre néophytes (Lardy, Lepron, Miyem, Krawczyk), auront des arguments à faire valoir à la mène et dans la raquette mais devront se méfier de leurs faiblesses récurrentes au tir. Au 1er tour, elles affronteront l'Italie, le Bélarus et Israël avec pour objectif de terminer parmi les cinq premières pour être assurées de disputer le Mondial 2010. Engagée dans un nouveau cycle, la France essaiera surtout de faire oublier sa huitième place du dernier Euro, qui avait précipité les départs de Lawson, Sauret et Le Dréan.
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sélection
Les douze pour la Lettonie
Elodie Bertal, Jennifer Digbeu et Yacine Séné ont été écartées du groupe France, hier matin, par le sélectionneur Pierre Vincent, qui a ainsi ramené son effectif à douze éléments :
Isabelle Yacoubou-Dehoui (1,95 m, intérieur, Tarbes GB),
Endy Miyem (1,88 m, intérieure, Bourges),
Cathy Melain (1,83 m, arrière, Bourges et future retraitée),
Sandrine Gruda (1,95 m, intérieure, Ekaterinbourg),
Emmanuelle Hermouet (1,83 m, ailière, Toulouse), Céline Dumerc (1,69 m, meneuse, Bourges, en partance pour Ekaterinbourg),
Pauline Krawczyk (1,83 m, ailière, Montpellier),
Émilie Gomis (1,80 m, arrière, Naples, en partance pour Villeneuve),
Florence Lepron (1,82 m, meneuse, Villeneuve, en partance pour Tarbes),
Élodie Godin (1,90 m, intérieure, Tarente),
Emmeline Ndongue (1,92 m, intérieure, Bourges),
Anaël Lardy (1,70 m, meneuse, Stade Clermontois, en partance pour Bourges).
Entraîneur : Pierre Vincent.
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Cathy Melain apporte sa précieuse expérience.
Pierre Vincent, qui dévoilera aujourd'hui sa liste des 12 joueuses retenues pour l'Euro, nous a livré, vendredi, ses impressions sur les internationales tango.
Emmeline Ndongue.- « Elle a toujours un gros apport défensif et elle est assez juste en attaque, même si elle peut faire beaucoup mieux dans ce domaine. »
Céline Dumerc.- « Cela a été un peu difficile au début car elle voulait avant tout faire jouer ses partenaires et elle s'oubliait un peu. Mais cela va beaucoup mieux déjà et elle est très présente. »
Anaël Lardy - « Elle fait exactement ce qu'elle a à faire. Elle met beaucoup de pression défensive, elle relance bien en attaque. Je suis assez satisfait, après il lui reste à confirmer à chaque sortie. »
Endy Miyem.- « Son début de préparation a été difficile car elle était fatiguée. Mais elle aussi a trouvé sa place et elle apporte ses points précieux. Elle revient bien. »
Cathy Melain.- « C'est quelqu'un qui a beaucoup d'expérience, qui défend bien et qui connaît son rôle. Elle apporte beaucoup aux autres filles par sa connaissance et sa lecture du jeu. »
Jennifer Digbeu. - « Elle a beaucoup de volume offensif et défensif, et elle est très agressive avec la balle. On n'a personne d'autre dans ce registre au poste 4. »
Jean-Marc Duret - www.lanouvellerepublique.fr
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La France a remporté hier le tournoi d'Evry en dominant l'Australie. Les deux équipes ayant remporté leurs deux rencontres précédentes, ce match constituait donc la finale de l'épreuve.
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FRANCE : 61
HONGRIE : 55
Vendredi : 9-16, 16-20, 19-5, 17-14.
Arbitres : Bertrand Peyridieu, Mehdi Difallah, Sofien Rhaiem.
France : Yacoubou 4, Hermouet 14, Melain 7, Gruda 10, Miyem 6, Dumerc 6, Gomis 9, Godin 2, Ndongue 3.
Hongrie : Fegyverneky 12, Englert 3, Nemeth 9, Ujhelyi 2, Horti 6, Honti 7, Vadja 4, Bujdoso 6, Krivacevic 6.
Difficile succès à Evry
L'équipe de France a battu la Hongrie (61-55), vendredi à Evry, lors de la première journée du tournoi de préparation à l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin). Après un début de match bien mal maîtrisé, les Bleues étaient menées de 7 points à l'issue du premier quart (9-16), la faute notamment à des Hongroises très adroites, emmenées par une Nora Budjoso auteur d'un excellent 2/3 à trois points dans ce premier quart.
Puis, l'arrière Zsofia Fegyverneky prenait à son tour les choses en main et malgré une belle réaction des Françaises, et notamment d'Hermouet (14 points, 11 en 2e période), ce sont les Hongroises qui menaient à la pause, (36-25).
Mais les Bleues, à l'image de Gruda et Godin, qui ont pris 5 rebonds chacune dans cette mi-temps, montraient de meilleurs signes de résistance et ont finalement réussi à retrouver leur jeu dès le troisième quart, au cours duquel elles ont non seulement refait leur retard, mais pris l'avantage au score (42-41) avant qu'Isabelle Yacoubou ne donne deux longueurs d'avance supplémentaires aux Françaises depuis la ligne de lancers francs.
La rencontre ne pouvait dès lors plus échapper aux Bleues qui battent ainsi les Hongroises pour la 13e fois depuis 1989. Samedi, elles affronteront la République tchèque, qui s'est, elle, inclinée face à l'Australie (79-82).
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FRANCE : 81
RÉP. TCHÈQUE : 59
Samedi : 19-8, 20-15, 23-18, 19-18.
Arbitres : Carlos Mateus, Alex Minos, Sofien Rhaiem.
France : Yacoubou 19, Melain 2, Gruda 22, Hermouet 9, Dumerc 4, Digbeu 2, Gomis 5, Sene 2, Godin 3, Ndongue 9, Lardy 1, Krawczyk 3.
Du mieux pour la France
L'équipe de France féminine a largement battu la République Tchèque (81-59), samedi, lors de la 2e journée du tournoi d'Evry, préparatoire à l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin). Elle rencontrera l'Australie, dimanche, pour tenter de remporter la compétition.
Contrairement à la veille, face à la Hongrie (victoire 61-55), les Bleues ont pris la conduite des opérations dès le premier quart-temps pour ne jamais laisser les Tchèques revenir. Fébriles offensivement contre les Hongroises, Melain and co se sont rassurées mais aussi régalées dans la raquette grâce à l'impact intérieur de Gruda (22 points, 9 rebonds), Yacoubou (19 pts, 6 rebonds), qui bat au passage son record de points en sélection, et Ndongue (9 pts, 11 rebonds).
Dimanche, les filles de Pierre Vincent auront l'occasion de décrocher une victoire de prestige contre l'Australie, championne du monde en titre, qui a elle aussi été mise sous pression par la Hongrie (84-80). Elles resteraient ainsi invaincues lors de la phase préparatoire avant de s'envoler pour la Lettonie. Un peu plus tôt, l'entraîneur tricolore aura écarté trois joueuses pour constituer son groupe des 12 qui disputera l'épreuve.
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FRANCE : 80
AUSTRALIE : 60
Dimanche : 23-10, 22-19, 18-17, 17-14.
Arbitres : Carlos Mateus, Stéphane Gueu, Arnaud Angloma.
France : Yacoubou 12, Miyem 8, Melain 4, Gruda 16, Hermouet 8, Dumerc 7, Gomis 6, Godin 6, Ndongue 5, Krawczyk 5, Lepron 3.
Australie : Macleod 8, Poto 6, Smith 8, Camino 2, Hurst 4, Grima 4, Tolo 4, Penaluna 5, Cox 6, Bishop 13.
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Tournoi d'Evry
Les Bleues s'imposent
L'équipe de France féminine a battu l'Australie (80-60) dimanche et remporté le tournoi d'Evry, préparatoire à l'Euro 2009 en Lettonie (7 au 20 juin).
Les Françaises, qui rejoindront Riga mercredi, restent donc invaincues lors de leurs six matches de préparation après avoir battu la Grèce à trois reprises puis la Hongrie, vendredi, et la République tchèque, samedi. «Il y a encore du déchet sur des basiques comme le repli, le rebond ou la communication, mais de moins en moins chaque jour, a commenté le sélectionneur Pierre Vincent. La qualité de cette équipe est clairement la dimension athlétique. Il faudra faire payer les adversaires et si on est dans le coup défensivement, on ne sera pas loin des objectifs.» Dimanche, de pâles Australiennes, privées de leurs cinq meilleures joueuses, n'ont pas été en mesure de contrarier les douze Bleues appelées à disputer la compétition lettone.
Objectif : top 5
Contre les vice-championnes olympiques, les coéquipières de Cathy Melain, sortie de sa retraite internationale pour une ultime échéance, ont donc profité de l'occasion pour emmagasiner de la confiance, à l'image de Gruda (16 points) et Yacoubou (12 points), mais aussi des moins expérimentées comme Gomis (6 points) ou Krawczyk (5 points). A l'Euro, les Françaises, qui n'ont plus dépassé les quarts depuis 2001 et leur sacre européen, seront néanmoins confrontées à une adversité plus relevée.
Organisées autour de Dumerc, Gruda, Melain, Yacoubou et Gomis, les Bleues, avec quatre néophytes (Lardy, Lepron, Miyem, Krawczyk), auront des arguments à faire valoir à la mène et dans la raquette mais devront se méfier de leurs faiblesses récurrentes au tir. Au 1er tour, elles affronteront l'Italie, le Bélarus et Israël avec pour objectif de terminer parmi les cinq premières pour être assurées de disputer le Mondial 2010. Engagée dans un nouveau cycle, la France essaiera surtout de faire oublier sa huitième place du dernier Euro, qui avait précipité les départs de Lawson, Sauret et Le Dréan.
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sélection
Les douze pour la Lettonie
Elodie Bertal, Jennifer Digbeu et Yacine Séné ont été écartées du groupe France, hier matin, par le sélectionneur Pierre Vincent, qui a ainsi ramené son effectif à douze éléments :
Isabelle Yacoubou-Dehoui (1,95 m, intérieur, Tarbes GB),
Endy Miyem (1,88 m, intérieure, Bourges),
Cathy Melain (1,83 m, arrière, Bourges et future retraitée),
Sandrine Gruda (1,95 m, intérieure, Ekaterinbourg),
Emmanuelle Hermouet (1,83 m, ailière, Toulouse), Céline Dumerc (1,69 m, meneuse, Bourges, en partance pour Ekaterinbourg),
Pauline Krawczyk (1,83 m, ailière, Montpellier),
Émilie Gomis (1,80 m, arrière, Naples, en partance pour Villeneuve),
Florence Lepron (1,82 m, meneuse, Villeneuve, en partance pour Tarbes),
Élodie Godin (1,90 m, intérieure, Tarente),
Emmeline Ndongue (1,92 m, intérieure, Bourges),
Anaël Lardy (1,70 m, meneuse, Stade Clermontois, en partance pour Bourges).
Entraîneur : Pierre Vincent.
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