[SQBB] 25/26 -30 à Paris

[gerco]

Hors basket mais au sujet de BI
Je viens de découvrir qu il y avait un raccourci « voir le premier message non lu «  il est situé entre le titre du topic et le nombre de pages tout en haut
C est très pratique pourtant cela fait plus de 20 ans que je suis ici

[Spalding02]

Bon Spalding....
Y en a au moins 1 qui pense comme moi.

Sur le facebook et la publication "Retour sur le parquet" d'il y a 3 jours.
Il a écrit :

" J'espère que les joueurs ne vont pas faire virer le Président cette fois ci "

Oui j'ai vu
J'espère sincèrement qu'il réussira ailleurs, pour l'homme qu'il est.

[dreamgaiden]

Bon Spalding....
Y en a au moins 1 qui pense comme moi.

Sur le facebook et la publication "Retour sur le parquet" d'il y a 3 jours.
Il a écrit :

" J'espère que les joueurs ne vont pas faire virer le Président cette fois ci "

Oui j'ai vu
J'espère sincèrement qu'il réussira ailleurs, pour l'homme qu'il est.

Bah un coach c'est jamais perdu, par contre c'est possible qu'il supporte une longue période de chômage et pour un banc en Betlic actuellement ça me semble difficile je le vois bien en Pro B pour se relancer.

[gerco]

C’est officiel : BFM diffusera gratuitement des matches de championnat de France à partir de ce vendredi !

Une nouvelle exposition pour le basket français et ses clubs locaux.

Les infos dans notre article (lien en commentaire) | Victor Lecomte

[MatthieuditTP]

C’est officiel : BFM diffusera gratuitement des matches de championnat de France à partir de ce vendredi !

Une nouvelle exposition pour le basket français et ses clubs locaux.

Les infos dans notre article (lien en commentaire) | Victor Lecomte

Il s'agit de match d'Elite 2 !

[Spalding02]

C’est officiel : BFM diffusera gratuitement des matches de championnat de France à partir de ce vendredi !

Une nouvelle exposition pour le basket français et ses clubs locaux.

Les infos dans notre article (lien en commentaire) | Victor Lecomte

Il s'agit de match d'Elite 2 !

Cool pour les amateurs de basket.

[dreamgaiden]

Interview vidéo Eric Bartecheky :

https://www.facebook.com/reel/1560698954930587

"Il faut en laisser 2 derrière, ça ne va pas être simple"
" il y a un enchainement de matchs importants en décembre"

Sur le public :
"C'est le meilleur de la Ligue, ils sont juste incroyables".

Le mec arrive sans réajustement possible et doit faire avec un effectif qu'il n'a pas choisi.

Bonne chance.

[gerco]

Basket-ball (Betclic Élite) : quand Lucas Boucaud revient pour remettre de l’ordre dans la maison SQBB

Absent lors de la tempête, Lucas Boucaud retrouve une équipe fragilisée et un club en quête de stabilité. Son retour, attendu par le vestiaire comme par les supporters, tombe à point nommé pour ramener calme, rythme et identité au SQBB.
Lucas Boucaud fera son retour sur le parquet du club parisien ce dimanche.
Lucas Boucaud fera son retour sur le parquet du club parisien ce dimanche. - G.H

Par Anthony OTTOU
Publié: 5 Décembre 2025 à 13h02
3 min
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Ce jeudi après midi, Lucas Boucaud sourit, comme toujours. Ceux qui le connaissent savent que le meneur Saint-Quentinois d’adoption depuis cinq ans, traverse rarement une journée sans arborer ce sourire-là. Un sourire d’autant plus remarquable que, depuis sa très belle première saison en Betclic Élite en 2023-2024, il enchaîne les pépins physiques. Son dos, surtout, ne lui laisse aucun répit.

Aujourd’hui, à l’aube de lancer enfin sa saison – lui qui n’a disputé qu’un seul match à Boulazac jusque-là – ce sourire semble encore plus large. Comme un soulagement longtemps attendu. « Enfin, avoue-t-il. Ça a été long. Je suis prêt, je suis tellement heureux de retrouver les copains. »


Une peur, une incertitude, mais le refus d’y penser

Lors des premiers jours de son arrêt, les rumeurs sont parties dans tous les sens Mais la réalité s’est rapidement révélée moins sombre. « Ça n’a rien à voir avec l’an dernier, souffle-t-il, soulagé. L’an dernier, je ne pouvais rien faire : ni musculation, ni course. Là, ce n’est pas le cas. Je n’ai pas fait de jeu, mais j’ai continué à travailler avec Éric (Lecomte). Je n’ai pas pris de poids, par exemple. »

Une rechute ? Je ne contrôle pas tout. On ne sait jamais ce que demain nous réserve. Mais on va tout faire pour que je puisse jouer très longtemps.
Si son absence sur le terrain s’est fait sentir – tant son profil de meneur capable d’organiser le jeu, de percuter et d’apporter de la clarté manque au SQBB – son énergie communicative, elle aussi, a cruellement fait défaut. Dans un groupe secoué par les turbulences, sa présence, son sourire et son sens du collectif auraient compté autant que ses passes et ses drives. Il avait commencé la saison sous les ordres de Philippe Da Silva ; il la reprendra désormais avec Eric Bartecheky. « Je n’ai pas pu aider l’équipe. Il y a eu une crise, et c’est frustrant parce que je n’ai pas pu être là, confie-t-il. Maintenant, il y a un nouveau coach. Il nous montre sa façon de voir le basket, et je trouve que ça nous correspond, à moi comme à l’équipe. On va prendre plus de plaisir à jouer ensemble. »

Un public contrarié, un joueur bouleversé

Ce plaisir, déjà fragile parfois, s’est complètement évaporé ces derniers temps. Après la défaite contre Nancy, le public s’était montré hostile. Une réaction qui l’a profondément touché, lui qui connaît cette salle, cette ferveur, ce public par cœur. « Ça m’a fait mal au cœur, ça m’a bouleversé. On n’est pas tricheurs, on veut gagner. On veut tout donner pour un public de fou comme le nôtre. On ne peut pas leur en vouloir. » Et puis cette phrase, qui sonne comme une promesse autant qu’un engagement « On va continuer à bosser pour les rendre fiers. Je sais qu’on en est capables

[Spalding02]

Maintenant, il y a un nouveau coach. Il nous montre sa façon de voir le basket, et je trouve que ça nous correspond, à moi comme à l’équipe. On va prendre plus de plaisir à jouer ensemble. »

Intéressant !

[dreamgaiden]

Maintenant, il y a un nouveau coach. Il nous montre sa façon de voir le basket, et je trouve que ça nous correspond, à moi comme à l’équipe. On va prendre plus de plaisir à jouer ensemble. »

Intéressant !

Après il ne va pas dire non plus ouais le nouveau coach j'apprécie pas trop
Discours convenu comme d'habitude au SQBB où le linge sale se lave souvent en famille et tant mieux.
Et surtout venant de la part de Boucaud un joueur que j'apprécie beaucoup tout le monde le sait ici qui en interview est lisse comme un galet.

Match important à Paris demain.
Pas pour le résultat mais pour voir ce que peut donner contre une grosse adversité ce SQBB new look.
Changement de coach entrée de Boucaud et Dally qui jouera certainement plus que contre Cholet.
Et que vaut vraiment Cat Barber très discret lors de son entrée en lice ?
Premiers éléments de réponse demain.

[Spalding02]

Maintenant, il y a un nouveau coach. Il nous montre sa façon de voir le basket, et je trouve que ça nous correspond, à moi comme à l’équipe. On va prendre plus de plaisir à jouer ensemble. »

Intéressant !

Après il ne va pas dire non plus ouais le nouveau coach j'apprécie pas trop
Discours convenu comme d'habitude au SQBB où le linge sale se lave souvent en famille et tant mieux.
Et surtout venant de la part de Boucaud un joueur que j'apprécie beaucoup tout le monde le sait ici qui en interview est lisse comme un galet.

Match important à Paris demain.
Pas pour le résultat mais pour voir ce que peut donner contre une grosse adversité ce SQBB new look.
Changement de coach entrée de Boucaud et Dally qui jouera certainement plus que contre Cholet.
Et que vaut vraiment Cat Barber très discret lors de son entrée en lice ?
Premiers éléments de réponse demain.

Sur ce que j'ai souligné, il n'était pas obligé de l'ajouter

[gerco]

Eric Bartecheky lance son chantier et veut poser une première pierre à Paris

Aux côtés de Nick Johnson et Cat Barber, Bartecheky prend déjà les premières mesures de son équipe. Photo G.H.

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Basket-ball (Betclic Élite). Le nouveau coach du SQBB plonge directement dans le feu, avec une mission urgente : relancer une équipe et poser les premières bases de son projet malgré un calendrier impitoyable. Tout commence ce dimanche face à Paris à 19 heures à l’Adidas Arena.
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Le 19 mai 2024, Eric Bartecheky serre la main de Guillaume Vizade. Le geste est simple, presque banal, mais il dit tout. Vichy vient de faire tomber Pau-Lacq-Orthez en quart de finale de Pro B, et avec cette poignée de main s’achève bien plus qu’un match : c’est un chapitre entier qui se referme. Pour lui, l’histoire dans le Béarn s’arrête là.
18 MOIS DE PAUSE,
UN RETOUR EN PRIME TIME
Qui aurait pu imaginer la suite ? Qui aurait deviné que, 540 jours plus tard, sa prochaine causerie dans un vestiaire se déroulerait en plein cœur de l’Adidas Arena, face au champion de France en titre ? Et pourtant, nous y voilà.
Arrivé dans l’Aisne seulement le jeudi 27 novembre, Bartecheky n’a pas eu le temps de s’installer que déjà l’attend une montagne, peut-être la plus abrupte possible pour débuter : le Paris Basketball. Une entrée en matière vertigineuse, forcément, mais aussi teintée d’excitation. Ironie du destin : il confiait encore il y a quelques semaines, dans La République des Pyrénées, qu’il était prêt à repartir même en Nationale 1. Le voilà finalement propulsé dans l’arène d’une équipe d’Euroligue. Et l’intéressé accueille ce retournement de situation avec un sourire. « C’est fou, reconnaît-il. Pour être sincère, mon souhait était de retrouver un projet en Betclic ou en Pro B ; quand j’ai parlé de la N1, c’était simplement pour montrer à quel point cela me manquait. Aujourd’hui, je suis ici à Saint-Quentin et on va faire face à un défi énorme. Et c’est exactement ce qui me motive. »
UN SQBB ESSOUFFLÉ,
UN EFFECTIF FRAGILISÉ
Derrière ce choc parisien – où personne n’attend vraiment les Saint-Quentinois – se cache un enjeu bien plus important : relancer une équipe en souffrance. Deux victoires en neuf journées, une place au fond du classement, et un groupe qui, depuis l’arrivée du nouveau coach, a été au complet que ce vendredi.
Loïc Schwartz a dû s’absenter pour les qualifications à la Coupe du monde avec la Belgique. Nick Johnson, touché par un syndrome viral, a été mis au repos plusieurs jours. Cat Barber a, lui aussi, été exempté d’entraînement jeudi à cause d’une gastro. Rien pour aider un coach qui découvre son effectif et installe de nouveaux principes défensifs comme offensifs. Mais qui s’est montré satisfait de ce qu’il a vu de son groupe au complet.
Car au-delà des absences, c’est tout un basket qu’il faut reconstruire : une identité à redéfinir, des systèmes à intégrer, une philosophie à réinstaller. En réalité, pour Bartecheky, c’est comme si une nouvelle préparation démarrait. Une nouvelle saison, presque. À ceci près qu’en août, il aurait disposé de six semaines. Cette fois, il n’en aura qu’une. « Cela prendra du temps, mais on doit se faire confiance, indique Bartecheky. Rien ne sera simple, c’est un nouveau défi pour moi. En peu de temps il faut trouver une identité et grandir en tant qu’équipe. »
PARIS ET L’ASVEL : DEUX
EVEREST POUR DÉBUTER
Et le calendrier, lui, n’a rien d’un cadeau. Après Paris, l’ASVEL se présentera mardi en Coupe de France. Deux ogres de suite, presque un laboratoire à ciel ouvert, où chaque minute servira à poser les premières pierres. Bartecheky, lui, refuse d’installer le moindre parapluie.
« Je ne me trouverais jamais d’excuses. On le sait, Paris ce n’est pas notre championnat. L’ASVEL en Coupe de France, pareil. Néanmoins, rien ne nous interdit d’être compétitifs. Car nous jouons chaque match pour gagner. Ce sera à moi de trouver les mots avant le match pour motiver les joueurs et de trouver des parades pour résoudre toutes les équations pendant le match. Maintenant, si nous sommes battus par plus forts, c’est le basket et il faudra l’accepter. » Ce premier rendez-vous à Paris ne dira sans doute rien du futur classement du SQBB. Mais il dira tout du nouvel élan recherché, de cette volonté de remettre une équipe debout après des semaines de doutes. Pour Bartecheky, l’enjeu dépasse le score : il s’agit de rallumer quelque chose, une étincelle, un sens, un fil conducteur auquel s’accrocher.
Parce que reconstruire une équipe ne se fait jamais en un claquement de doigts, encore moins en six jours. Mais on peut, en quatre quart-temps, changer une attitude et poser une première pierre. C’est ce qu’il est venu chercher. Et ce que les joueurs, eux aussi, espèrent retrouver.
Après 540 jours de silence, de recul et de respiration, Eric Bartecheky revient là où il a toujours été le plus juste : dans l’arène, face à l’inconnu, à portée de voix de ses joueurs.
Dimanche, à l’Adidas Arena, ce n’est pas seulement un coach qui reprend place sur un banc. C’est une histoire qui recommence.
«Pour être sincère, mon souhait était de retrouver un projet en Betclic ou en Pro B; quand j’ai parlé de la N1, c’était simplement pour montrer à quel point cela me manquait.»

[gerco]

Trois clés pour comprendre le défi du SQBB à Paris
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1 MONTRER DES VALEURS SAINT-QUENTINOISES
Pour sa première, Eric Bartecheky le sait : on scrutera davantage la manière dont ses joueurs aborderont la rencontre que le résultat final. Comme face à Cholet, le SQBB devra se battre sur chaque ballon, refuser de reculer, afficher fierté et combativité. Face à des Parisiens plus forts, plus costauds, plus rapides, la moindre hésitation sera payée cash.
2 LIMITER L’IMPACT
À TROIS POINTS
C’est un euphémisme : on ne peut pas vraiment empêcher les snipers parisiens de prendre feu à trois points. Et après une quatrième défaite consécutive en EuroLeague, Paris aura sans doute envie de frapper fort… et de loin. Comme toujours, le champion de France vit par son tir extérieur : 32 tentatives par match en Betclic Élite, 12,4 réussites en moyenne — personne ne fait mieux. L’enjeu pour le SQBB sera donc simple : contenir la tempête plutôt que tenter de l’éteindre.
3 TENTER, OSER…
ET FAIRE COURIR PARIS
La méthode Bartecheky c’est : une balle qui circule, des joueurs qui se déplacent, du mouvement, de la course, l’envie de créer du danger en permanence. Exactement ce qu’il faudra pour tenter de rivaliser le plus longtemps possible. Paris n’aime pas défendre longtemps. Plus le SQBB parviendra à faire vivre le jeu, plus il pourra espérer installer un doute.

[gerco]

À Monaco, la semaine a été loin d’être princière pour les Parisiens
Paris Basketball traverse-t-il une petite crise ? Non, pas vraiment… Mais une chose est sûre : la semaine passée à Monaco n’a rien eu d’une promenade de santé. Arrivés lundi en principauté, les Parisiens ont enchaîné deux défaites face à la Roca Team : d’abord en Coupe de France (109-103), puis jeudi soir en EuroLigue, dans un revers bien plus lourd (125-104). Deux matches qui rappellent que, cette saison encore, Paris a conservé son style : beaucoup de tirs à trois points, un tempo déchaîné, des prises de risques permanentes… mais aussi une défense friable, comme en témoignent les 117 points encaissés en moyenne sur ces deux rencontres. Pour le commun des mortels — et pour le SQBB qui s’y frottera dimanche — Paris ressemble pourtant toujours à un ogre. Un ogre qui joue à l’opposé d’un basket patient et structuré, où chaque possession se construit au millimètre.
UN STYLE DEVENU RÉFÉRENCE
Un style qui ne date pas d’hier. Lorsque Tuomas Iisalo arrive en 2023, Paris bascule dans une autre dimension. Sous ses ordres, le club rafle presque tout mais surtout impose un jeu qui marque les esprits : basket en accéléré, rotations étouffantes, identité offensive et défensive pleinement assumée. Recruté ensuite par Memphis en NBA, il laisse un héritage solide. Thiago Splitter le prolonge sans rien bouleverser, conduit Paris jusqu’aux quarts de finale de l’EuroLeague et offre au club son premier titre de champion de France.
TABELLINI, LE NOUVEL ARCHITECTE
Cette saison, une nouvelle ère s’ouvre. Paris a changé de visages, mais pas d’âme. Le club pousse même ses principes encore plus loin. « On a un style de jeu particulier, ANTHONY OTTOU
prev
reconnaît Léo Cavalière , déjà présent l’an dernier. Il y a une hype autour de nous depuis le début de l’ère Iisalo. On a gagné beaucoup de choses. Cette cette saison, c’est une nouvelle équipe, on doit encore progresser. On joue encore plus vite, en gérant moins le tempo. La perte de TJ Shorts se ressent beaucoup dans ce domaine. »
Francesco Tabellini, l’Italien choisi pour prolonger cet héritage. Il y a dix ans, il enseignait encore à l’université de Trévise. Depuis, il a gravi les échelons jusqu’à s’imposer comme l’un des coachs européens les plus prometteurs. À Nymburk, son équipe était tout simplement celle qui jouait le plus de possessions par match en BCL la saison passée.
Un profil qui n’a pas échappé à l’ancien GM parisien James Newman, artisan discret du projet pendant six ans, et qui a façonné cette identité faite de rythme, de mouvement et d’audace. Mais si Paris impressionne, rien ne sera simple dimanche. Léo Cavalière lui-même ne s’attend pas à une rencontre facile : « Aucun match n’est simple en Betclic, ce sera un combat. Le SQBB va venir avec de l’envie, on le sait. À nous d’être prêts. »

[dreamgaiden]

Le match de coupe ASVEL-SQBB sera en direct sur Matélé.

(mais s'ils ne font que reprendre un lien youtube et le commenter comme la dernière fois, autant aller à la source vous aurez moins de lag).