NF2 POULE B 2022/2023
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
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Basket. Nationale féminine 2. Avrillé dans une autre dimension ?
Grimper de N3 à N2 n’est jamais anodin et à partir de ce samedi, l’AS Avrillé va expérimenter la chose. Au point de tout chambouler dans la vie de l’équipe ? Pas sûr…
EFFECTIF QUASI INCHANGÉ
Logiquement, les automatismes ne devraient pas manquer à l’ASA. Pour la première de son histoire en Nationale 2, le club a pris le parti de conserver le groupe qui l’a mené à cet échelon. En tout cas dans les grandes largeurs. "On a eu deux arrêts avec Léa Emériau et Romane Sourisseau", concède l’entraîneur Frédéric Cosset. Dans le sens inverse, le technicien a enregistré une seule véritable arrivée. Celle de la meneuse Valentine Gautier (ex-Belgique et Saumur), Avrillaise entre 2013 et 2015. "On pourrait ajouter les retours de Marie Cailleau, notre capitaine, et Inès Ruda à la mène »," indique Cosset. Toutes deux blessées de longue durée, la saison dernière. "On va avoir une belle plus-value sur le poste 1", reprend le coach. "Valentine va nous amener son expérience de la N2 mais aussi son talent et son état d’esprit. Et Marie va nous renforcer avec sa polyvalence. Elle a la tête sur les épaules, ça nous sera utile."
Cosset : « Avec Lamboisières, on est un peu jumeaux »
GAIN DE CONFORT
Qui dit accession en N2 signifie déplacements plus longs. Sur le plan géographique, le découpage de la poule B enverra souvent Avrillé dans le sud-ouest. En réponse, le club s’est doté de quelques moyens supplémentaires "pour que tout se passe au mieux pour les filles »," plaide Sylvie Bernicot, co-présidente de l’ASA en compagnie de Julien Pulice. "On voyagera plus confortablement pour éviter d’être trop fatigué en rentrant sur le terrain »," précise Frédéric Cosset. "On fera deux déplacements en partant tôt le matin avec sieste à l’hôtel et trois autres probablement, avec départ le vendredi et hôtel pour la nuit. Ca coûte un peu au club mais c’est chouette." La capitaine Marie Cailleau voit même plus loin : "Humainement, ça peut amener de la cohésion au groupe."
DERBIES TRÈS ATTENDUS
Si l’ASA risque de cumuler pas mal de kilomètres, la composition de la poule s’est avérée plus clémente au niveau local. En effet, les Avrillaises devront aussi en découdre avec les voisines de Saumur, de l’UF Angers et de Lamboisières. "On aurait eu les boules de ne pas avoir de derby »," admet Frédéric Cosset qui a surtout coché celui contre Lamboisières. "Avec LMB, on est un peu jumeaux. Ils se sont inspirés d’Avrillé et c’est tant mieux. Pour les soirs de match, c’est nous qui nous inspirons d’eux. En termes d’organisation, ils sont un exemple." L’UFAB ne laisse pas non plus de marbre Marie Cailleau : "On a été impressionné par Angers. On n’a pas le même niveau. Elles s’entraînent tous les jours, nous on travaille à côté. Certaines sont en équipe de France U18. C’est fort."
MAINTIEN POUR FEUILLE DE ROUTE
Avrillé ne compte pas brûler les étapes. Surtout, les joueuses de Frédéric Cosset vont devoir réapprendre… à perdre, au sortir d’un exercice proche de la perfection en N3 (21 victoires pour une seule défaite en saison régulière plus deux revers en playoffs). Elles qui visent un maintien le plus serein possible en N2, dans une division où "il y a plus de qualité technique sur les postes extérieurs et une plus grande densité physique à l’intérieur »," note l’entraîneur de l’ASA."On devra être impeccable dans l’état d’esprit et être prêt dès le début." Car chaque point devrait compter."En N2, une perte de balle, c’est +2, +3… »," insiste Marie Cailleau. "L’année dernière, on gagnait en moyenne de +17. Il n’y aura pas autant de différence, cette saison, mais c’est intéressant." Une adversité plus relevée qui n’effraie pas non plus la direction du club. "On sent qu’on est à un virage mais les filles n’ont pas volé leur place »," certifie Sylvie Bernicot. "On sera sûrement parmi les plus petits budgets de N2 mais on est prêt à relever le défi."
Basket. Nationale féminine 2. Avrillé dans une autre dimension ?
Grimper de N3 à N2 n’est jamais anodin et à partir de ce samedi, l’AS Avrillé va expérimenter la chose. Au point de tout chambouler dans la vie de l’équipe ? Pas sûr…
EFFECTIF QUASI INCHANGÉ
Logiquement, les automatismes ne devraient pas manquer à l’ASA. Pour la première de son histoire en Nationale 2, le club a pris le parti de conserver le groupe qui l’a mené à cet échelon. En tout cas dans les grandes largeurs. "On a eu deux arrêts avec Léa Emériau et Romane Sourisseau", concède l’entraîneur Frédéric Cosset. Dans le sens inverse, le technicien a enregistré une seule véritable arrivée. Celle de la meneuse Valentine Gautier (ex-Belgique et Saumur), Avrillaise entre 2013 et 2015. "On pourrait ajouter les retours de Marie Cailleau, notre capitaine, et Inès Ruda à la mène »," indique Cosset. Toutes deux blessées de longue durée, la saison dernière. "On va avoir une belle plus-value sur le poste 1", reprend le coach. "Valentine va nous amener son expérience de la N2 mais aussi son talent et son état d’esprit. Et Marie va nous renforcer avec sa polyvalence. Elle a la tête sur les épaules, ça nous sera utile."
Cosset : « Avec Lamboisières, on est un peu jumeaux »
GAIN DE CONFORT
Qui dit accession en N2 signifie déplacements plus longs. Sur le plan géographique, le découpage de la poule B enverra souvent Avrillé dans le sud-ouest. En réponse, le club s’est doté de quelques moyens supplémentaires "pour que tout se passe au mieux pour les filles »," plaide Sylvie Bernicot, co-présidente de l’ASA en compagnie de Julien Pulice. "On voyagera plus confortablement pour éviter d’être trop fatigué en rentrant sur le terrain »," précise Frédéric Cosset. "On fera deux déplacements en partant tôt le matin avec sieste à l’hôtel et trois autres probablement, avec départ le vendredi et hôtel pour la nuit. Ca coûte un peu au club mais c’est chouette." La capitaine Marie Cailleau voit même plus loin : "Humainement, ça peut amener de la cohésion au groupe."
DERBIES TRÈS ATTENDUS
Si l’ASA risque de cumuler pas mal de kilomètres, la composition de la poule s’est avérée plus clémente au niveau local. En effet, les Avrillaises devront aussi en découdre avec les voisines de Saumur, de l’UF Angers et de Lamboisières. "On aurait eu les boules de ne pas avoir de derby »," admet Frédéric Cosset qui a surtout coché celui contre Lamboisières. "Avec LMB, on est un peu jumeaux. Ils se sont inspirés d’Avrillé et c’est tant mieux. Pour les soirs de match, c’est nous qui nous inspirons d’eux. En termes d’organisation, ils sont un exemple." L’UFAB ne laisse pas non plus de marbre Marie Cailleau : "On a été impressionné par Angers. On n’a pas le même niveau. Elles s’entraînent tous les jours, nous on travaille à côté. Certaines sont en équipe de France U18. C’est fort."
MAINTIEN POUR FEUILLE DE ROUTE
Avrillé ne compte pas brûler les étapes. Surtout, les joueuses de Frédéric Cosset vont devoir réapprendre… à perdre, au sortir d’un exercice proche de la perfection en N3 (21 victoires pour une seule défaite en saison régulière plus deux revers en playoffs). Elles qui visent un maintien le plus serein possible en N2, dans une division où "il y a plus de qualité technique sur les postes extérieurs et une plus grande densité physique à l’intérieur »," note l’entraîneur de l’ASA."On devra être impeccable dans l’état d’esprit et être prêt dès le début." Car chaque point devrait compter."En N2, une perte de balle, c’est +2, +3… »," insiste Marie Cailleau. "L’année dernière, on gagnait en moyenne de +17. Il n’y aura pas autant de différence, cette saison, mais c’est intéressant." Une adversité plus relevée qui n’effraie pas non plus la direction du club. "On sent qu’on est à un virage mais les filles n’ont pas volé leur place »," certifie Sylvie Bernicot. "On sera sûrement parmi les plus petits budgets de N2 mais on est prêt à relever le défi."
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
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Basket. Promu en NF2, Avrillé devra confirmer à l’étage supérieur
Quasi invaincues en NF3 la saison dernière, les Avrillaises se présentent à l’étage supérieur avec quelques garanties. Pour une première de son histoire à ce niveau, le groupe de Frédéric Cosset s’avance avec prudence. «On ne sera pas aussi dominant...»
Marie Cailleau, la capitaine d’Avrillé, est de retour de blessure.
Dans son histoire, le club d’Avrillé n’avait encore jamais connu la Nationale 2, lui qui évoluait en 5e division française (NF3) depuis 2014. Et pourtant, Le Marrec et sa troupe ont tout simplement survolé leur championnat la saison dernière avec une seule petite défaite au compteur.
Renforcé à l’intersaison 2021 par les arrivées de Carine Brossais (ex Ufab) et de l’entraîneur Frédéric Cosset, Avrillé avait parfaitement mené sa barque pour logiquement s’adjuger un strapontin pour la Nationale 2. Avec un écart moyen de 17,2 points sur ses adversaires la saison dernière, Avrillé se présente à l’étage supérieur avec déjà quelques garanties. « Mais la saison dernière, c’est du passé. On va chercher à s’appuyer sur ce qui a bien fonctionné mais le jeu sera différent, prévient tout de même le coach. L’année dernière, on a été dominant dans certains secteurs, cette saison, ce n’est pas sûr qu’on le soit aussi souvent. »
Avec comme objectif de se maintenir, les Avrillaises présenteront un groupe quelque peu remanié. En effet, Valentine Gautier (27 ans, 1,67 m) (re)pose ses valises en Anjou, elle qui avait déjà porté le maillot avrillais entre 2013 et 2015 et qui était également passée par l’Ufab ou encore Saumur. « C’est une joueuse qui revient au club et que nous connaissons bien. Et elle connaît parfaitement la Nationale 2 donc elle va nous apporter beaucoup d’expérience à la mène », se satisfait déjà son entraîneur. Qui pourra également compter sur le retour de sa capitaine Marie Cailleau, blessée au tendon d’Achille toute la saison dernière et celui d’Inès Ruda, jeune meneuse qui s’était rompue les ligaments croisés au bout cinq rencontres. « Au final, c’est comme si on ajoutait trois nouvelles joueuses »,sourit Cosset. Qui ouvrira son championnat samedi à Mont-de-Marsan face aux Espoirs de Basket Landes.
Les mouvements
Départs : Emeriau (Barjouville, R1), Sourisseau (La Séguinière, R3).
Arrivées : Gautier (D1 belge), Cailleau, Ruda (retour de blessure).
Basket. Promu en NF2, Avrillé devra confirmer à l’étage supérieur
Quasi invaincues en NF3 la saison dernière, les Avrillaises se présentent à l’étage supérieur avec quelques garanties. Pour une première de son histoire à ce niveau, le groupe de Frédéric Cosset s’avance avec prudence. «On ne sera pas aussi dominant...»
Marie Cailleau, la capitaine d’Avrillé, est de retour de blessure.
Dans son histoire, le club d’Avrillé n’avait encore jamais connu la Nationale 2, lui qui évoluait en 5e division française (NF3) depuis 2014. Et pourtant, Le Marrec et sa troupe ont tout simplement survolé leur championnat la saison dernière avec une seule petite défaite au compteur.
Renforcé à l’intersaison 2021 par les arrivées de Carine Brossais (ex Ufab) et de l’entraîneur Frédéric Cosset, Avrillé avait parfaitement mené sa barque pour logiquement s’adjuger un strapontin pour la Nationale 2. Avec un écart moyen de 17,2 points sur ses adversaires la saison dernière, Avrillé se présente à l’étage supérieur avec déjà quelques garanties. « Mais la saison dernière, c’est du passé. On va chercher à s’appuyer sur ce qui a bien fonctionné mais le jeu sera différent, prévient tout de même le coach. L’année dernière, on a été dominant dans certains secteurs, cette saison, ce n’est pas sûr qu’on le soit aussi souvent. »
Avec comme objectif de se maintenir, les Avrillaises présenteront un groupe quelque peu remanié. En effet, Valentine Gautier (27 ans, 1,67 m) (re)pose ses valises en Anjou, elle qui avait déjà porté le maillot avrillais entre 2013 et 2015 et qui était également passée par l’Ufab ou encore Saumur. « C’est une joueuse qui revient au club et que nous connaissons bien. Et elle connaît parfaitement la Nationale 2 donc elle va nous apporter beaucoup d’expérience à la mène », se satisfait déjà son entraîneur. Qui pourra également compter sur le retour de sa capitaine Marie Cailleau, blessée au tendon d’Achille toute la saison dernière et celui d’Inès Ruda, jeune meneuse qui s’était rompue les ligaments croisés au bout cinq rencontres. « Au final, c’est comme si on ajoutait trois nouvelles joueuses »,sourit Cosset. Qui ouvrira son championnat samedi à Mont-de-Marsan face aux Espoirs de Basket Landes.
Les mouvements
Départs : Emeriau (Barjouville, R1), Sourisseau (La Séguinière, R3).
Arrivées : Gautier (D1 belge), Cailleau, Ruda (retour de blessure).
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
Basket. En Nationale 2 féminine, Lamboisières fait le pari de la continuité
OF
Promu en 2021 en Nationale 2 féminine, Lamboisières-Martin a magnifiquement passé le cap de ce niveau national. Pour cette saison 2022-2023, le groupe de Thomas Belaud repart sur la même dynamique. Première sortie de l’exercice : samedi 17 septembre contre les espoirs de La Roche VBC.
Thomas Belaud et sa capitaine Alyssa Bouteiller.
Une seule arrivée et aucun départ. Une fois n’est pas coutume, le club de Lamboisières a fait le choix de la continuité. Il aurait tort de changer ses habitudes tant la méthode fonctionne depuis des années. Déjà, la saison dernière, Thomas Belaud avait pris le pari de repartir avec le même groupe qui avait brillamment décroché son accession en Nationale 2. Pour ce nouvel exercice, seule Clémentine Chauveau (1,87 m, 20 ans) est arrivée. Un visage pas totalement inconnu du basket mainoligérien puisque cette ailière de grande taille, également capable d’évoluer sur le poste 4, avait déjà effectué sa formation à Brissac puis à l’Ufab avant de s’exporter du côté de La Roche-sur-Yon et de Limoges ces deux dernières saisons en Nationale 1.
« De par sa dimension physique, elle va apporter une vraie plus value au groupe », se réjouit déjà son nouvel entraîneur qui repart donc avec la même ossature.
L’objectif sportif n’est pas complètement différent non plus puisque le club espère viser « entre la 5e et la 7e place », synonyme d’un maintien assez confortable. « La poule a quelque peu changé puisque hormis les traditionnels derbys, on va beaucoup jouer dans le sud contre des équipes avec un style de jeu différent de ce qu’on peut connaître. On est curieux de découvrir cela et de bien se situer dès le début. »
En effet, avec deux descentes à l’issue de la saison sans compter les équipes espoirs qui ne se sont pas concernées pas ces relégations, Lamboisières aurait tout intérêt à bien se placer dès les premières rencontres là où le club avait connu un léger retard à l’allumage lors du précédent exercice. Pour la première journée, Alyssa Bouteiller et sa troupe recevront les espoirs de La Roche Vendée, ce samedi, dans une salle de La Coudre qui risque de faire des étincelles cette saison encore.
Les mouvements
Départs : aucun.
Arrivées : Chauveau (Limoges, N1).
OF
Promu en 2021 en Nationale 2 féminine, Lamboisières-Martin a magnifiquement passé le cap de ce niveau national. Pour cette saison 2022-2023, le groupe de Thomas Belaud repart sur la même dynamique. Première sortie de l’exercice : samedi 17 septembre contre les espoirs de La Roche VBC.
Thomas Belaud et sa capitaine Alyssa Bouteiller.
Une seule arrivée et aucun départ. Une fois n’est pas coutume, le club de Lamboisières a fait le choix de la continuité. Il aurait tort de changer ses habitudes tant la méthode fonctionne depuis des années. Déjà, la saison dernière, Thomas Belaud avait pris le pari de repartir avec le même groupe qui avait brillamment décroché son accession en Nationale 2. Pour ce nouvel exercice, seule Clémentine Chauveau (1,87 m, 20 ans) est arrivée. Un visage pas totalement inconnu du basket mainoligérien puisque cette ailière de grande taille, également capable d’évoluer sur le poste 4, avait déjà effectué sa formation à Brissac puis à l’Ufab avant de s’exporter du côté de La Roche-sur-Yon et de Limoges ces deux dernières saisons en Nationale 1.
« De par sa dimension physique, elle va apporter une vraie plus value au groupe », se réjouit déjà son nouvel entraîneur qui repart donc avec la même ossature.
L’objectif sportif n’est pas complètement différent non plus puisque le club espère viser « entre la 5e et la 7e place », synonyme d’un maintien assez confortable. « La poule a quelque peu changé puisque hormis les traditionnels derbys, on va beaucoup jouer dans le sud contre des équipes avec un style de jeu différent de ce qu’on peut connaître. On est curieux de découvrir cela et de bien se situer dès le début. »
En effet, avec deux descentes à l’issue de la saison sans compter les équipes espoirs qui ne se sont pas concernées pas ces relégations, Lamboisières aurait tout intérêt à bien se placer dès les premières rencontres là où le club avait connu un léger retard à l’allumage lors du précédent exercice. Pour la première journée, Alyssa Bouteiller et sa troupe recevront les espoirs de La Roche Vendée, ce samedi, dans une salle de La Coudre qui risque de faire des étincelles cette saison encore.
Les mouvements
Départs : aucun.
Arrivées : Chauveau (Limoges, N1).
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
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Basket. Le nouveau défi des espoirs de l’UF Angers en NF2
Les jeunes angevines repartent sur un nouveau cycle avec l’arrivée de Johanna Cortinovis au poste d’entraîneur. En NF2, l’équipe réserve de celle de Ligue féminine garde son axe majeur de formation.
Elsie Nelhomme.
À l’image de l’équipe professionnelle de l’Ufab, qui a changé de coach avec l’arrivée cet été d’Aurélie Bonnan à la place de David Gautier, les espoirs ont aussi connu leurs lots de changements.
Johanna Cortinovis, ancienne joueuse de l’UF Angers de 2010 à 2014, remplace Julien Hérault au poste d’entraîneur. Elle occupera également la fonction de responsable du centre de formation à la place de John Delay, au club depuis onze ans et nommé second assistant de l’Étoile Angers (Pro B).
« L’idée n’est pas d’être en opposition avec ce qui a été fait »
C’est une page qui se tourne pour le club, dont le souhait était aussi de féminiser les entraîneurs de sa structure. "Le travail qui a été fait avant moi est remarquable et l’idée n’est pas d’être en opposition avec ce qui a été fait par le passé, rappelle la nouvelle coach des espoirs, ex-capitaine de l’Ufab . J’ai bien sûr ma vision de formatrice. Je souhaite davantage me consacrer au travail individuel des joueuses sur l’aspect physique et technique afin de les préparer au mieux au niveau professionnel."
L’équipe reste sur une année historiquement réussie avec une première place en saison régulière et une qualification pour le Final Four.
Cindy Perdriau, Pauline Magron et Margot Ounounou, qui comptent déjà quelques sélections en jeunes avec l’équipe de France, ont d’ailleurs été désignées partenaires d’entraînements officiels de l’Ufab cette saison. "On a envie de montrer et d’exporter les couleurs d’Angers sur le territoire, avance Johanna Cortinovis , qui dirigera son premier match samedi à Brive. Je veux que les joueuses soient en accord avec nos cinq premières semaines de travail. Qu’elles soient déjà fières d’elles en fait."
Basket. Le nouveau défi des espoirs de l’UF Angers en NF2
Les jeunes angevines repartent sur un nouveau cycle avec l’arrivée de Johanna Cortinovis au poste d’entraîneur. En NF2, l’équipe réserve de celle de Ligue féminine garde son axe majeur de formation.
Elsie Nelhomme.
À l’image de l’équipe professionnelle de l’Ufab, qui a changé de coach avec l’arrivée cet été d’Aurélie Bonnan à la place de David Gautier, les espoirs ont aussi connu leurs lots de changements.
Johanna Cortinovis, ancienne joueuse de l’UF Angers de 2010 à 2014, remplace Julien Hérault au poste d’entraîneur. Elle occupera également la fonction de responsable du centre de formation à la place de John Delay, au club depuis onze ans et nommé second assistant de l’Étoile Angers (Pro B).
« L’idée n’est pas d’être en opposition avec ce qui a été fait »
C’est une page qui se tourne pour le club, dont le souhait était aussi de féminiser les entraîneurs de sa structure. "Le travail qui a été fait avant moi est remarquable et l’idée n’est pas d’être en opposition avec ce qui a été fait par le passé, rappelle la nouvelle coach des espoirs, ex-capitaine de l’Ufab . J’ai bien sûr ma vision de formatrice. Je souhaite davantage me consacrer au travail individuel des joueuses sur l’aspect physique et technique afin de les préparer au mieux au niveau professionnel."
L’équipe reste sur une année historiquement réussie avec une première place en saison régulière et une qualification pour le Final Four.
Cindy Perdriau, Pauline Magron et Margot Ounounou, qui comptent déjà quelques sélections en jeunes avec l’équipe de France, ont d’ailleurs été désignées partenaires d’entraînements officiels de l’Ufab cette saison. "On a envie de montrer et d’exporter les couleurs d’Angers sur le territoire, avance Johanna Cortinovis , qui dirigera son premier match samedi à Brive. Je veux que les joueuses soient en accord avec nos cinq premières semaines de travail. Qu’elles soient déjà fières d’elles en fait."
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
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Basket. La tête et les jambes, c’est la dualité de Saumur en NF2
Pour ce nouvel exercice de Nationale 2 féminine, Nadir Naïdji a axé le recrutement de son équipe de Saumur sur des joueuses aussi douées sur le terrain qu’irréprochables dans l’état d’esprit. Lancées dans un double projet basket et travail.
Chloé Ferreira reste Saumuroise pour la saison 2022-2023.
Après sa 3e place de la saison dernière, Saumur repart pour un nouvel exercice en NF2. Avec, toujours, Nadir Naïdji sur le banc de coach, sept saisons au compteur. Et le technicien, fort de son expérience, a quelque peu modifié son recrutement. « J’ai pris des filles qui ont une densité physique et une dimension athlétique importantes. Mais, cette fois, j’ai vraiment fait un gros boulot sur l’humain. Je voulais savoir si les filles allaient vraiment s’accorder. »
Alors le technicien a multiplié les coups de téléphone. « J’ai appelé les anciens coaches de nos recrues, en seniors et en U18, des coéquipières et des adversaires. J’avais besoin d’être sûr. La part basket dans une recrue, c’est 10 %. Le reste, l’état d’esprit dans une équipe, l’éthique de travail, ce sont 90 %. Celle qui va faire le petit effort en plus, tout le travail invisible pour l’équipe. Et qui va se remettre en question. »
Naïdji : « Une recrue m’a scotché »
Nadir Naïdji a ainsi trouvé en Siga Camara et Shauna Beaubrun des exemples parfaits de ces joueuses qui allient la tête et les jambes. Qui souhaitent se retrouver dans un double projet basket – école ou travail. Chacune travaille après avoir connu des statuts de joueuses semi-professionnelles : la première continue son BTS tourisme et occupe un poste dans un collège. La seconde est ingénieure en cosmétiques et chef de projet dans une entreprise à Saumur. « Après un entraînement, elle m’a demandé un entretien. Pour s’excuser d’une attitude – que j’avais trouvée minime, en tout cas j’ai connu bien pire – qu’elle avait eue. Elle a estimé que ça pouvait nuire à l’équipe. Autant dire que ça m’a scotché. Et j’ai vite compris que je ne m’étais pas trompé. »
Reste, désormais, à appliquer la méthode sur le terrain. « On veut tout donner pour viser le plus haut possible, espère le technicien. Mais aussi prendre du plaisir : c’est aussi ce que viennent chercher nos joueuses qui ne se retrouvaient pas dans l’environnement basket qu’elles fréquentaient en N1. On a eu bien du mal à mettre les choses en place, mais on progresse. »
Saumur ouvrira sa saison samedi à domicile face à Gimont. « On ne veut rien annoncer en termes d’objectif. C’est dangereux. La saison dernière, on était à 12 victoires – 1 défaite en janvier et on s’est effondré (7 sur défaites sur les 11 derniers matches). Donc on fera les comptes en avril. »
Les mouvements
Départs : Leguiset (Saran, N3), Bonet (Juigné-sur-Loire, Prénationale), Filliodeau (arrêt).
Arrivées : Plana (Basket Landes, N2), Camara (Le Havre, N1), Beaubrun (Sainte-Savine, N1), Bernard (Mûrs-Erigné, N3), Duvigneau (Coulaines, N3), Huron (U15 du club).
Basket. La tête et les jambes, c’est la dualité de Saumur en NF2
Pour ce nouvel exercice de Nationale 2 féminine, Nadir Naïdji a axé le recrutement de son équipe de Saumur sur des joueuses aussi douées sur le terrain qu’irréprochables dans l’état d’esprit. Lancées dans un double projet basket et travail.
Chloé Ferreira reste Saumuroise pour la saison 2022-2023.
Après sa 3e place de la saison dernière, Saumur repart pour un nouvel exercice en NF2. Avec, toujours, Nadir Naïdji sur le banc de coach, sept saisons au compteur. Et le technicien, fort de son expérience, a quelque peu modifié son recrutement. « J’ai pris des filles qui ont une densité physique et une dimension athlétique importantes. Mais, cette fois, j’ai vraiment fait un gros boulot sur l’humain. Je voulais savoir si les filles allaient vraiment s’accorder. »
Alors le technicien a multiplié les coups de téléphone. « J’ai appelé les anciens coaches de nos recrues, en seniors et en U18, des coéquipières et des adversaires. J’avais besoin d’être sûr. La part basket dans une recrue, c’est 10 %. Le reste, l’état d’esprit dans une équipe, l’éthique de travail, ce sont 90 %. Celle qui va faire le petit effort en plus, tout le travail invisible pour l’équipe. Et qui va se remettre en question. »
Naïdji : « Une recrue m’a scotché »
Nadir Naïdji a ainsi trouvé en Siga Camara et Shauna Beaubrun des exemples parfaits de ces joueuses qui allient la tête et les jambes. Qui souhaitent se retrouver dans un double projet basket – école ou travail. Chacune travaille après avoir connu des statuts de joueuses semi-professionnelles : la première continue son BTS tourisme et occupe un poste dans un collège. La seconde est ingénieure en cosmétiques et chef de projet dans une entreprise à Saumur. « Après un entraînement, elle m’a demandé un entretien. Pour s’excuser d’une attitude – que j’avais trouvée minime, en tout cas j’ai connu bien pire – qu’elle avait eue. Elle a estimé que ça pouvait nuire à l’équipe. Autant dire que ça m’a scotché. Et j’ai vite compris que je ne m’étais pas trompé. »
Reste, désormais, à appliquer la méthode sur le terrain. « On veut tout donner pour viser le plus haut possible, espère le technicien. Mais aussi prendre du plaisir : c’est aussi ce que viennent chercher nos joueuses qui ne se retrouvaient pas dans l’environnement basket qu’elles fréquentaient en N1. On a eu bien du mal à mettre les choses en place, mais on progresse. »
Saumur ouvrira sa saison samedi à domicile face à Gimont. « On ne veut rien annoncer en termes d’objectif. C’est dangereux. La saison dernière, on était à 12 victoires – 1 défaite en janvier et on s’est effondré (7 sur défaites sur les 11 derniers matches). Donc on fera les comptes en avril. »
Les mouvements
Départs : Leguiset (Saran, N3), Bonet (Juigné-sur-Loire, Prénationale), Filliodeau (arrêt).
Arrivées : Plana (Basket Landes, N2), Camara (Le Havre, N1), Beaubrun (Sainte-Savine, N1), Bernard (Mûrs-Erigné, N3), Duvigneau (Coulaines, N3), Huron (U15 du club).
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
OPEN FEMININ BBM MARMANDE (47)
AU COLINEUM PASCAL LAPERCHE À BEAUPUY
SAMEDI 1 OCTOBRE
14H30 ROCHE VENDÉE - FLAMMES CAROLO
17 H BASKET LANDES - TARBES
20H BBM - REZE NANTES NM2
DIMANCHE 2 OCTOBRE
13H FLAMMES CAROLO - TARBES
15H30 ROCHE VENDÉE - BASKET LANDES
Réservations : bbmopenfeminin47@gmail.com
https://www.helloasso.com/associations/ ... minin-2022
AU COLINEUM PASCAL LAPERCHE À BEAUPUY
SAMEDI 1 OCTOBRE
14H30 ROCHE VENDÉE - FLAMMES CAROLO
17 H BASKET LANDES - TARBES
20H BBM - REZE NANTES NM2
DIMANCHE 2 OCTOBRE
13H FLAMMES CAROLO - TARBES
15H30 ROCHE VENDÉE - BASKET LANDES
Réservations : bbmopenfeminin47@gmail.com
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
OF
Basket. Nationaux. Les clubs du 44 reçus un sur trois
Nationaux. Bouaye chute d’entrée, Rezé explose et la Saint-Ro s’en sort bien.
Les joueuses d’Anthony Loyen ont subi une courte défaite à Orthez.
Il y avait de la déception et un brin d’amertume dans la voix d’Anthony Loyen ce matin. Le coach de Bouaye en N2F avait encore dans la tête la courte défaite (72-69) de ses filles à Orthez, déplacement pas cadeau pour ouvrir la saison. Même si face à une formation armée pour jouer la montée les Boscéennes ont su par moments faire jeu égal, notamment au cours du quatrième quart-temps, elles ont fini par lâcher prise. "On n’a pas respecté les consignes défensives en première mi-temps et on a couru au score derrière »," pestait Loyen, persuadé qu’avec plus de rigueur son équipe aurait pu l’emporter face à une formation "à notre portée." Le calendrier du début de saison est très relevé pour Bouaye et une victoire aurait permis d’affronter la suite avec plus de sérénité.
Basket. Nationaux. Les clubs du 44 reçus un sur trois
Nationaux. Bouaye chute d’entrée, Rezé explose et la Saint-Ro s’en sort bien.
Les joueuses d’Anthony Loyen ont subi une courte défaite à Orthez.
Il y avait de la déception et un brin d’amertume dans la voix d’Anthony Loyen ce matin. Le coach de Bouaye en N2F avait encore dans la tête la courte défaite (72-69) de ses filles à Orthez, déplacement pas cadeau pour ouvrir la saison. Même si face à une formation armée pour jouer la montée les Boscéennes ont su par moments faire jeu égal, notamment au cours du quatrième quart-temps, elles ont fini par lâcher prise. "On n’a pas respecté les consignes défensives en première mi-temps et on a couru au score derrière »," pestait Loyen, persuadé qu’avec plus de rigueur son équipe aurait pu l’emporter face à une formation "à notre portée." Le calendrier du début de saison est très relevé pour Bouaye et une victoire aurait permis d’affronter la suite avec plus de sérénité.
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Re: NF2 POULE B 2022/2023
OF
Basket. N2F : Lamboisières réussit sa rentrée contre La Roche Vendée
N2F. Lamboisières – La Roche Vendée : 79-53. Les locales n’ont pas tremblé samedi 17 septembre 2022 face aux Vendéennes et débutent bien leur saison.
S’inscrire dans la continuité de l’année passée, tels seront les mots d’ordre pour Lamboisières pour cette nouvelle saison. Premier objectif hier avec la réception de l’équipe Espoirs de la Roche Vendée. Ce sont d’ailleurs les jeunes pousses vendéennes qui prenaient un meilleur départ, grâce à Mouberi à deux reprises. Au bout du compte, avec une défense plus intense et d’avantage de danger sur les secondes chances, Lamboisières prenait les devants à la fin des dix premières minutes (19-9).
La pression locale continuait à s’exercer dès le début du second quart-temps. Et Lamboisières de profiter des fautes vendéennes pour se retrouver sur la ligne des lancers francs très rapidement et de creuser un bel écart à la pause (38-21). Écart qui allait grandir encore grâce à Guyot et Brossais qui, coup sur coup, donnaient un coup de massue aux Yonnaises. Les filles de Belaud enfonçaient le clou à la fin de l’avant dernier épisode (60-36). En asphyxiant son adversaire, Lamboisières commence sa saison sur la lancée de la fin d’année dernière : avec maîtrise et panache. Avec une touche de satisfaction pour Thomas Belaud : « C’est une belle entrée. On s’attendait à ce score. Et l’investissement des filles a été fort et je les félicite pour ça. Tout le monde marque en plus ».
LAMBOISIÈRES – LA ROCHE VENDÉE : 79-53
(19-9, 19-12, 22-15, 19-19).
LAMBOISIÈRES. Gohier 4, Peltier 6, Chauveau 18, Huchon 8, Guyot 12 puis Ouvrard 1, Charrier 3, Cady 9, Brossais 8, Barre 10. Ent : T.Belaud.
LA ROCHE VENDÉE. Dako, Mouberi 11, Vincent 7, Zonzon N. 3, Ouita 6 puis Bessonnet 15, Savoy 6, Zonzon T., Chauvire 7. Ent : R.Garde.
Basket. N2F : Lamboisières réussit sa rentrée contre La Roche Vendée
N2F. Lamboisières – La Roche Vendée : 79-53. Les locales n’ont pas tremblé samedi 17 septembre 2022 face aux Vendéennes et débutent bien leur saison.
S’inscrire dans la continuité de l’année passée, tels seront les mots d’ordre pour Lamboisières pour cette nouvelle saison. Premier objectif hier avec la réception de l’équipe Espoirs de la Roche Vendée. Ce sont d’ailleurs les jeunes pousses vendéennes qui prenaient un meilleur départ, grâce à Mouberi à deux reprises. Au bout du compte, avec une défense plus intense et d’avantage de danger sur les secondes chances, Lamboisières prenait les devants à la fin des dix premières minutes (19-9).
La pression locale continuait à s’exercer dès le début du second quart-temps. Et Lamboisières de profiter des fautes vendéennes pour se retrouver sur la ligne des lancers francs très rapidement et de creuser un bel écart à la pause (38-21). Écart qui allait grandir encore grâce à Guyot et Brossais qui, coup sur coup, donnaient un coup de massue aux Yonnaises. Les filles de Belaud enfonçaient le clou à la fin de l’avant dernier épisode (60-36). En asphyxiant son adversaire, Lamboisières commence sa saison sur la lancée de la fin d’année dernière : avec maîtrise et panache. Avec une touche de satisfaction pour Thomas Belaud : « C’est une belle entrée. On s’attendait à ce score. Et l’investissement des filles a été fort et je les félicite pour ça. Tout le monde marque en plus ».
LAMBOISIÈRES – LA ROCHE VENDÉE : 79-53
(19-9, 19-12, 22-15, 19-19).
LAMBOISIÈRES. Gohier 4, Peltier 6, Chauveau 18, Huchon 8, Guyot 12 puis Ouvrard 1, Charrier 3, Cady 9, Brossais 8, Barre 10. Ent : T.Belaud.
LA ROCHE VENDÉE. Dako, Mouberi 11, Vincent 7, Zonzon N. 3, Ouita 6 puis Bessonnet 15, Savoy 6, Zonzon T., Chauvire 7. Ent : R.Garde.