jo60M a écrit : ↑mar. 05 août 2025 13:41
Composition de la poule A : 11 équipes
Limoges ABC
Pôle France
CSL Dijonnais
Geispolsheim CJS
St Delphin
BC Nord Alsace
US Colomiers
AS Montferrand
Martigues Sports
US Le Poinçonnet
Chauray BC
5 nouvelles équipes par rapport à 2024/2025 :
Pôle France
Dijon
Nord Alsace
Montferrand
Chauray
Nos joueuses reprennent le chemin de l’entraînement ce mercredi dans leur salle rénovée du Complexe Sportif de La Forêt !
Premières infos des matchs amicaux à venir :
. Mercredi 20 août : Le Poinçonnet - Limoges
. Mercredi 27 août : Limoges - Le Poinçonnet
. Vendredi 29 août : Le Poinçonnet - Stade Clermontois
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Ce Poinçonnet Basket qui a trouvé Grâce au yeux de Mbaikoua.
L’ailière de 34 ans était apparue quelques fois la saison dernière. Ce sera à temps plein cette saison dans un groupe qu’elle apprécie.
Retraitée des parquets l’an dernier, l’ancienne capitaine du Poinçonnet, séduite par les valeurs du groupe, a choisi de rempiler pour une année de plus. Retrouvailles prévues pour ce mercredi 6 août avec le reprise de l'entraînement.
Il y a un an, Grace Mbaïkoua était catégorique : "le basket, c’est terminé". Elle avait ainsi reçu les honneurs après huit saisons au Poinçonnet, portant notamment la flamme olympique à Valençay. Mais sa propre flamme ne s’est jamais vraiment éteinte : "Cela me titillait encore".
Alors, l’ancienne capitaine a accompagné l’équipe en de nombreuses occasions, ne coupant pas les ponts avec ses anciennes coéquipières. "Je fais partie des murs au club", résume-t-elle dans un sourire. "J’ai retrouvé dans le basket les valeurs humaines et sportives que j’aime". Jusqu’à remettre ses chaussures au mois de janvier afin de venir en aide à l'équipe alors décimée par les blessures.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
jo60M a écrit : ↑mar. 05 août 2025 13:41
Composition de la poule A : 11 équipes
Limoges ABC
Pôle France
CSL Dijonnais
Geispolsheim CJS
St Delphin
BC Nord Alsace
US Colomiers
AS Montferrand
Martigues Sports
US Le Poinçonnet
Chauray BC
5 nouvelles équipes par rapport à 2024/2025 :
Pôle France
Dijon
Nord Alsace
Montferrand
Chauray
Bizarre que Saumur ne soit pas dans cette poule.
Pas vraiment, Saumur est avec Lamboisières, Nantes,..IDF et le Nord. Ça fait moins de déplacements que la poule A avec l'Est et Martigues..
Promu en NF1 cette saison, après son titre NF2 décroché en mai dernier, l'AS Montferrand Basket a retrouvé le parquet, ce lundi à 19h, pour une préparation de sept semaines, avant le début du championnat face à Dijon, à La Gauthière le 20 septembre prochain. Pour réussir son entrée ainsi que les matchs suivants, l’ASM a donc entamé une longue préparation avec un groupe motivé et stable (aucun départ et une seule arrivée : celle de la meneuse Léa Martin (Espoirs de Lattes-Montpellier) en attendant le retour de Sokhna Ndiaye de l'Afrobasket Féminin 2025, sous la houlette de Jennifer Vignola et Jean Thouin son nouvel assistant.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Hâte de vous retrouver, les samedis soirs à partir de 20h, au Gymnase du Complexe Sportif de La Forêt !
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Chers partenaires et supporters, le TGB, en collaboration avec la FFBB, s’engage pleinement pour l’avenir du club. Avec votre soutien indéfectible, nous préparons une intégration en NF1 et un plan solide pour revenir en Ligue Elite d’ici deux saisons. Ensemble, nous protégeons nos emplois et nos structures.
Merci de croire en nous !
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Le TGB est prêt à repartir en 3ème division afin d'éviter sa relégation au niveau régional.
Le TGB Basket, menacé de rétrogradation au niveau régional après n'avoir pas rempli les conditions exigées par la Fédération pour être maintenu en élite, travaille finalement pour repartir en NF1, la 3ème division, et viser un retour au plus haut niveau d'ici deux ans.
Dans un communiqué, publié ce mercredi 6 août 2025, le TGB Basket explique travailler à une intégration en NF1 (3ème division) pour la reprise des championnats prévue ces prochaines semaines. Le club, rétrogradé par la CCG en division régionale le 27 mai dernier, décision confirmée en appel le 5 juin, avait déposé une demande de conciliation infructueuse auprès du CNOSF. Pour éviter une descente au niveau amateur, le club "sur proposition de la FFBB, étudie donc la possibilité d’être intégré dans le championnat de NF1". Une décision "afin d’éviter la relégation en ligue régionale et les conséquences catastrophiques sur les emplois, le centre de formation, le secteur amateur et l’école de basket ainsi que sur la section sport adapté, les dirigeants du TGB se sont mobilisés afin de sauver le club."
. Objectif : la remontée en élite en deux ans.
Le club explique dans ce même communiqué avoir bouclé le budget de la dernière saison "avec un déficit de 195 000 euros qui s’explique par les dépenses liées à la participation à l’Eurocup et par les primes de résultat occasionnées par le titre de vice-champion de France." Ces dernières semaines, l'état-major du TGB regrettait que de nouveaux éléments budgétaires n'aient pas été pris en compte par la Fédération au moment des appels. "Nous travaillons à l’élaboration d’un plan pluriannuel ayant pour objectif de réintégrer la Ligue Elite à l’issue des deux prochaines saisons, poursuit la communication du club, la première étape est l’engagement en NF1 dès la saison prochaine avec une équipe compétitive, un budget en rapport avec cette ambition et le soutien total de nos partenaires institutionnels et privés, seuls gages de réussite de notre objectif."
Le calendrier de la NF1, qui doit reprendre le 20 septembre prochain, ne fait pour l'heure pas mention du TGB Basket.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Le BC Chauray, club de basket féminin des Deux-Sèvres, atteint la NF1 (3ème division nationale) pour la première fois de son histoire, grâce aux désistements d'autres clubs de NF2.
"C'est extraordinaire, incroyable, énorme, c'est une nouvelle page de l'histoire pour le club !", réagit Frédéric Duflos, le Président du club de basket féminin de Chauray (Deux-Sèvres) qui ne sait plus quel superlatif utiliser pour qualifier la montée de son équipe en NF1.
Le BC Chauray, pourtant classé seulement troisième de sa poule de NF2 à la fin de la saison 2024-2025, atteint la troisième division du basket féminin français grâce aux désistements d'autres clubs mieux classés que lui : Douvres et Nancy, notamment, ont décliné leur montée faute de moyens financiers suffisants, pour le plus grand bonheur des basketteuses de Chauray.
"Après un titre de champion de France de NF3 la saison dernière, une nouvelle montée cette saison. C'est une très belle histoire, une récompense extraordinaire pour nos "Panthères (nos joueuses), pour nos bénévoles et pour nos supporters", ajoute Frédéric Duflos.
Le président du BC Chauray a tout de suite accepté la proposition de la FFBB qu'il avait anticipée en préparant un budget différent pour évoluer en NF1. Le patron du club avait réussi à trouver de nouveaux partenaires pour collecter 60.000€ de budget supplémentaire. Le BC Chauray évoluera donc avec 400.000€ de budget , en NF1 cette saison.
Le Président est "confiant" pour la saison de son équipe en NF1, "parce qu'on a des très bonnes joueuses. On a recruté trois filles de qualité", explique-t-il. Le BC Chauray va en recruter une quatrième. Le club passera cette saison de sept joueuses en contrat professionnel à huit sur un effectif de dix. "Ça nous permettra de jouer le maintien, de bien se positionner au milieu du classement. Cinquième, sixième ou septième", ambitionne Frédéric Duflos.
L'équipe n'a pas encore célébré cette montée "parce que ce sont les vacances". Mais le président a prévu d'organiser une fête à la rentrée. "Ça se fête, évidemment ! La NF1, c'est le troisième niveau français. En basket masculin, les deux clubs phares du Poitou-Charente, c'est La Rochelle et Poitiers, eh bien, chez les filles, c'est la petite commune et le petit club de Chauray".
Le club veut faire venir encore plus de spectateurs dans la salle omnisports de la ville. "C'est un chaudron. Quand je le dis, les gens rigolent et quand ils viennent, ils sont ébahis. Evidemment, cette montée va démultiplier les choses. La salle est trop petite, donc la mairie est en train de voir ce qu'elle peut faire, mais ce n'est pas grave, il vaut mieux qu'elle soit petite et que l'ambiance soit très chaude !", lance Frédéric Duflos.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Pour Tarbes :
D’un côté je comprends le souhait d’essayer de ne pas couler un club qui a une histoire et qui a un rôle local important.
De l’autre, cela rend encore plus illisibles les exigences financières de la fédé pour le niveau NF1.
Hervé Corrigou, ancien président d'Alençon et trésorier du comité de basket de l'Orne, assure que le club n'a pas versé l'argent dû aux différentes instances, ce qui le met en grand danger. Il indique "qu'il faut mettre les chaloupes à la mer et qu'il y a urgence à créer une nouvelle association sportive car l'hypothèse d'un dépôt de bilan de l'USBDA 61 est bien réelle".
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
Quand on sait dans quelles conditions est monté Chauray (3ème de sa poule puis
refus de monter d'équipes classées devant au ranking), le président du club serait
bien inspiré de faire preuve d'un peu de modestie...
drazenmirabelle a écrit : ↑mer. 06 août 2025 22:05
Quand on sait dans quelles conditions est monté Chauray (3ème de sa poule puis
refus de monter d'équipes classées devant au ranking), le président du club serait
bien inspiré de faire preuve d'un peu de modestie...
Saumur et Chauray savaient avant même la fin de la saison que les probabilités d'être promus au ranking étaient bien réelles. Les infos sur la santé financière des clubs du dessus circulaient déjà depuis un moment grâce aux agents des joueuses qui avaient déjà commencé à chercher de nouveaux points de chute.
On peut comprendre le soulagement et l'excitation du président de Chauray devant cette décision, je n'ai pas lu ou entendu un président de club faire la tronche à l'idée de jouer en NF1... D'ailleurs, annoncer le maintien comme objectif, je trouve ça justement très modeste et plutôt "raisonnable".
"Il faut mettre les chaloupes à la mer" : il appelle à créer un nouveau club de basket à Alençon.
Ancien Président du club de basket d'Alençon, Hervé Corrigou est aussi trésorier du Comité de l'Orne et assure que l'USBDA 61 n'a pas versé l'argent dû aux différentes instances.
Pour lui, "il y a urgence à créer une nouvelle association sportive, car l’hypothèse d’un dépôt de bilan de l’USBDA est bien réelle !".
Ancien joueur, entraîneur et dirigeant, il a été l’un des fondateurs du club de Damigny, avant d’être le premier président de l’UBCUA, ancêtre de l’USBDA 61 et fruit de l’union entre les clubs d’Alençon et de Damigny.
Pour toutes ces raisons, quand on parle basket à Alençon et dans l’Orne, sa parole compte. Et lorsque l’USBDA "est en grande difficulté financière et sportive", il estime "pouvoir avoir voix au chapitre", et ce d'autant plus qu'en tant que chef d’entreprises, il a toujours des responsabilités dans le basket ornais. Il est le trésorier du Comité de l’Orne et "c’est à ce titre, et seulement en mon nom", précise-t-il, qu’il souhaite s’exprimer sur la situation du club.
Rétrogradé par la Commission de Contrôle de Gestion (CCG) de la FFBB, en championnat régional en raison d’un important déficit (environ 260 000 €), l’USBDA est passé, en quelques semaines, du rêve au cauchemar.
"De très belles choses ont été faites au club depuis plusieurs années et il faut féliciter tout le monde pour cela, notamment la direction", commence-t-il. "Le président actuel a des qualités indéniables, il bosse, donne beaucoup de sa personne, et il a largement contribué à rendre le basket alençonnais aussi populaire, notamment grâce à une organisation des matchs très pointue. Pour cela, je dis bravo ! Mais je suis très surpris par la gestion financière du club".
Le club n’a pas payé le comité de l’Orne et si beaucoup, dont lui, ont découvert l’ampleur des dégâts en juin dernier, lorsque le couperet de la relégation administrative est tombé, Hervé Corrigou avait tout de même quelques inquiétudes depuis le mois de février 2025, car à partir de février 2025, l’USBDA n’a pas reversé les sommes dues au comité de l'Orne pour les licences de ses adhérents. Car lorsqu’un joueur ou une joueuse signe une licence, son montant est réparti entre le club, le Comité, la Ligue régionale et la FFBB.
"En moyenne sur une licence jeune, dans l’Orne, le club doit reverser 31€ et 79€ pour une licence à partir de la catégorie cadets", indique Hervé Corrigou.
En d’autres termes, les clubs sont chargés d’encaisser ces sommes pour les instances, mais ont l’obligation de les reverser, à l’image de la TVA pour des biens et services.
"Généralement, les clubs font trois versements : un acompte en début de saison, un second en début d’année civile et le solde en juin", explique le trésorier qui ajoute : "L’USBDA 61n’a versé que la première tranche au comité de l’Orne. La somme versée représente à peine la moitié de ce que le club doit cette année !".
Hervé Corrigou assure "avoir relancé les gérants alençonnais à plusieurs reprises pour réclamer les sommes dues (environ 10 000 Euros) et ce dès le début de l’année 2025. Ils sont donc forcément au courant, mais il n’y a jamais eu davantage de communication officielle entre eux et nous. . . Si l’USBDA n’a pas reversé cet argent, c’est qu’il a fait autre chose avec… Mais un club n’est ni propriétaire, ni libre, dans l’utilisation de cette somme !".
Le Comité de l’Orne est chargé de redistribuer les tranches réservées aux instances régionale et nationale. "Tant que le Comité n’a pas cet argent, il ne sera transmis ni à la Ligue, ni à la Fédération", signale le trésorier qui "a du mal à croire au discours de la direction de l’USBDA depuis que la Chambre d’Appel de la Fédération a confirmé sa rétrogradation".
Dans un communiqué, publié samedi 26 juillet 2025, la direction et le conseil d’administration du club indiquaient "travailler en collaboration avec la FFBB" et "avoir déposé un ultime recours auprès du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) avec l’idée "d’intégrer le championnat de France NF1 cette saison.
Surtout, le communiqué indiquait que "les engagements des équipes dans les divisions départementales et régionales avaient été validés", ce qu’Hervé Corrigou a bien du mal à comprendre : "Je tiens à signaler qu’un club ne peut s’engager dans les différents championnats que s’il est à jour dans ses cotisations. Et il n’y a, à ma connaissance, aucune dérogation particulière pour l’USBDA. Alors . . . une issue favorable paraît difficile !"
Hervé Corrigou redoute une disparition pure et simple de l’USBDA : "ce n’est évidemment dans l’intérêt de personne, y compris du comité de l’Orne, puisque l’USBDA (plus important club du département avec 350 licenciés) représente un quart de nos recettes ! On espère tous que le club soit sauvé, mais sans aucun changement de bureau, avec une telle dette et sans le versement des sommes dues aux instances, une issue favorable me paraît malheureusement très difficile . . .".
C’est pourquoi, d’un point de vue personnel, l’ancien Président veut "anticiper un tel scénario catastrophe" et "appelle à former une nouvelle association et un nouveau club, pour récupérer, avec l’accord de la direction, les droits acquis sportifs acquis par l’USBDA 61. À ce jour, c’est la seule solution crédible pour permettre à toutes les équipes, notamment les jeunes, de poursuivre dans leurs championnats respectifs. Il faut le faire tout de suite, avant la reprise des championnats, car lorsque le bateau est en feu, il faut mettre les chaloupes à la mer avant son naufrage !".
Hervé Corrigou tend la main à qui voudra bien la saisir, en écartant tout intérêt personnel : "ce n’est pas à 86 ans que j’ai envie de devenir président d’un club !". »
Mais l’octogénaire ne sait que trop que la disparition d’un club est loin d’être un mirage, lui qui a inscrit ses premiers paniers sous les couleurs de l’Étendard de Brest, il y a 70 ans.
Un club professionnel disparu en 2016, après un dépôt de bilan, mais qui a su faire renaître la partie amateur, grâce à la création d’une nouvelle association.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).