basketbreton a écrit : ↑ven. 21 févr. 2020 11:17
Oui avec croisement pour la poule C avec les deux premières de la POULE D, donc pour le moment Rennes et Calais/Trégueux avec Escaudain et BC Nord Alsace.
Il n'est pas écrit que la poule C croise avec la poule D (ni donc A avec B) mais : "Chaque poule de la phase 2 est ensuite déterminée géographiquement et selon le choix de la Commission Fédérale des Compétitions". Même si on imagine que "géographiquement" cela revient au même (on sait que la FFBB a parfois des notions confuses de la géographie).
_Jacques_ a écrit : ↑dim. 08 mars 2020 13:14
(toujours sur le même sujet)
Combien d'équipes peuvent monter à l'issue de la saison ?
Combien d'équipes descendent ?
Merci.
"Les équipes Fédérales ayant disputé la Finale à Quatre (phase 3) accèdent à la NF1 pour la saison suivante."
Donc 4 montées.
"Les équipes Fédérales classées aux deux dernières places dans chacune des poules à l’issue de la phase 1 sont reléguées en NF3 pour la saison suivante."
Donc 8 descentes.
Le différentiel est compensé par 4 équipes montantes de NF3.
basketbreton a écrit : ↑ven. 21 févr. 2020 11:17
Oui avec croisement pour la poule C avec les deux premières de la POULE D, donc pour le moment Rennes et Calais/Trégueux avec Escaudain et BC Nord Alsace.
Il n'est pas écrit que la poule C croise avec la poule D (ni donc A avec B) mais : "Chaque poule de la phase 2 est ensuite déterminée géographiquement et selon le choix de la Commission Fédérale des Compétitions". Même si on imagine que "géographiquement" cela revient au même (on sait que la FFBB a parfois des notions confuses de la géographie).
_Jacques_ a écrit : ↑dim. 08 mars 2020 13:14
(toujours sur le même sujet)
Combien d'équipes peuvent monter à l'issue de la saison ?
Combien d'équipes descendent ?
Merci.
"Les équipes Fédérales ayant disputé la Finale à Quatre (phase 3) accèdent à la NF1 pour la saison suivante."
Donc 4 montées.
"Les équipes Fédérales classées aux deux dernières places dans chacune des poules à l’issue de la phase 1 sont reléguées en NF3 pour la saison suivante."
Donc 8 descentes.
Le différentiel est compensé par 4 équipes montantes de NF3.
Les croisements ont été communiqués aux clubs depuis quelques jours...c'est bien A et B qui croisent d'un côté, C et D de l'autre
OK. on a donc pu juger de ce qui était géographiquement équitable sans attendre de tout savoir. Je suppose qu'Annemasse par exemple aurait préféré Nord/Sud que Est/Ouest mais c'est sans doute une exception (???)
Sinon il faut effacer ma dernière phrase. On a 8 montées/descentes de et vers NF3 et 4 montées/descentes vers et de NF1.
Basket-ball. Fin de saison : pour l’Avenir de Rennes, leader de son groupe en N2F, "tout est à refaire"
La Fédération française de basket-ball a officialisé, ce dimanche, la fin de saison pour les compétitions dont elle a la charge. Les championnats nationaux en font partie. L’option retenue ? Une saison blanche, sans montée, ni descente. Une décision qui place l’Avenir de Rennes dans une position indélicate. Premières de leur groupe de N2F, les joueuses d’Agnès Febrissy ont vraisemblablement dit au revoir à leur objectif de monter.
En quête d'une montée en N1 depuis trois ans, les joueurs de l'Avenir de Rennes, qui occupaient la tête de leur groupe en N2F, ont été stoppé en plein
Dix-sept matches, quinze victoires, deux défaites. Le bilan est celui d’une équipe qui joue la montée, qui occupe la tête de son championnat et qui tient la concurrence à bonne distance. Le bilan est celui des filles de l’Avenir de Rennes, amer quand il faut tirer un trait sur ce qui a été fait alors que la Fédération française vient d’acter la fin de la saison, sans montée, ni descente…
« Ce que le pays vit actuellement est une tragédie. Nous, ce que nous vivons n’en est pas une, mesure Agnès Febrissy, la coach de l’Avenir. On est obligé d’accepter la décision mais on accuse le coup. Cela fait trois ans que l’on court après cette montée et on sait à quel point il est difficile de le faire. Parce qu’une saison, parfois, se joue à si peu de chose… »
"Une décision prise de manière à ce qu’il n’y ait pas de polémique"
Les Rennaises n’avaient jusque-là rien laissé au hasard et avaient même renforcé l’idée d’un costume taillé sur-mesure en étrillant l’un de ses concurrents directs, Trégueux, chez lui (57-80). « On voit que dans les autres poules, les équipes ont quatre, cinq défaites. Nous, nous n’en avions que deux, constate la technicienne rennaise. Est-ce qu’on sera capable de le refaire la saison prochaine ? Est-ce qu’on aura la même équipe ? Non, je ne pense pas. Tout est à refaire. » Injuste ?
« Selon moi, ce n’est pas une bonne décision. Elle a été prise de manière à ce qu’il n’y ait pas de polémique parce que les montées concernent assez peu de clubs dans les différents championnats, peste Agnès Febrissy. Plusieurs fédérations ont choisi de valider les montées mais d’empêcher les descentes. Et nous, nous sommes la seule où il n’y a pas de montée… »
Un avis tranché mais assumé. Car l’équipe réserve, dixième de son groupe de N3F et en position de relégable, sort quant à elle bénéficiaire de la situation en sauvant sa tête. « On se maintient, tant mieux, mais on méritait sans doute de descendre, ne cache pas Agnès Febrissy. Il n’est pas plus juste qu’une équipe relégable se maintienne qu’une équipe qui est première et qui ne monte pas… »
C’est en tout cas la vérité de ce dimanche, à l’annonce des décisions prises par la Fédération française, qui précise toutefois qu’en cas de poule incomplète en N1F, le ranking fédéral s’appliquera pour « faire accéder autant d’équipes de N2F que nécessaire ». Et avec quinze victoires en dix-sept rencontres, là où les autres prétendants, dans les trois autres groupes, ont disputé un à deux matches supplémentaires, l’Avenir de Rennes serait en embuscade.
Basket-ball. Saison terminée : « Une sage décision », selon Gaël Abbé, président de Trégueux
Suite à la décision de la fédération française de basket-ball d’arrêter les championnats pour cette saison, sans montée ni descente, le président de Trégueux, dont l’équipe féminine évolue en Nationale 2 féminine, a réagi. Il note " une sage décision pour l’équité ".
C’était dans les tuyaux. L’annonce est tombée officiellement ce dimanche matin. La fédération française de basket-ball (FFBB) a décidé d’une saison blanche. Les championnats nationaux sont arrêtés (sauf la Ligue féminine et la LF2, dont le sort sera connu le 10 avril). "Au regard des enjeux sportifs et économiques, la fédération estime nécessaire de tout mettre en œuvre pour terminer ce championnat ; elle travaillera sur l’ensemble des solutions possibles, liées essentiellement à l’évolution de la crise sanitaire et des mesures gouvernementales qui seront prises", dit la FFBB dans le communiqué.
Au niveau costarmoricain, cette décision impacte plusieurs clubs. Si Ploufragan, en Prénationale féminine, était premier de son groupe et avait les cartes en main pour accéder à la N3F, Trégueux, club phare du département (N2F), est également touché.
Troisième de sa poule avec un match en moins, le TBCA avait l’occasion d’aller en playoffs. Même si une montée n’était pas tellement dans la tête des dirigeants. " C’est une sage décision pour l’équité, avance Gaël Abbé, président de Trégueux. On ne peut pas décider d’une montée ou descente avant la fin des championnats, ça paraît compliqué. Même si ça fera sûrement des déçus, c’est évident. C’est donc une saison blanche. On y était préparé. Je sais que pas mal d’entraîneurs avaient demandé à faire monter les équipes qui étaient en tête mais ne pas faire descendre les derniers. Il faudra voir les dommages collatéraux plus tard, notamment avec les partenaires. Nous, on va se préparer pour garder notre effectif, l’étoffer. Généralement, mars-avril est la période où on prépare ça… "
Concernant l’effectif de Trégueux, s’il devrait se dessiner dans les prochaines semaines, on peut déjà noter l’arrêt de carrière d’Awa Broudic, l’intérieure bien connue dans le basket costarmoricain. " Elle a 40 ans, c’est un choix compréhensible. "
Basket : le Cest attendait la décision fédérale d'arrêter les championnats
Le Cest se range à la décision, officialisée ce dimanche 29 mars par la Fédération française de basket, de mettre un terme aux championnats amateurs. La N2F, promue, aura donc fini 6e de son championnat.
Le Cest n'imaginait pas une autre décision tomber. La Fédération française de basket a annoncé, ce dimanche 29 mars, sa décision de mettre un terme à tous les championnats amateurs, nationaux, régionaux comme départementaux. "Il ne pouvait pas en être autrement, confirme Laura Loembet, l'entraîneuse de l'équipe de N2F. On se plie à la décision de la fédération qui est la plus juste parce qu'on ne sait pas jusqu'à quand nous serons confinés. La sagesse a parlé."
"Une décision logique et normale"
Jean-Claude Rougeaux, le président du Cest, se range au discours de tous les dirigeants: "La priorité va à la situation sanitaire, le basket et le sport passent en second."
Dans le cas du Cest, et notamment de son équipe fanion engagée en Nationale 2 féminine, cette décision fédérale n'a que peu d'impact sur le plan sportif. Alors qu'il leur restait quatre journées à disputer, les joueuses de Laura Loembet pointaient en effet à la 6e place de leur poule. Elles n'étaient donc ni en course pour une montée, ni à la lutte pour ne pas descendre. A ce sujet, la FFBB a choisi pour la N2F comme les autres championnats nationaux qu'il n'y aurait ni titre, ni montée, ni descente.
Des difficultés à anticipées
Sur le plan économique, en revanche, le président tourangeau s'attend à une situation plus tendue lorsque la vie et le sport reprendront leur cours normal. "Les clubs vont rencontrer des difficultés pour la suite, notamment sur le plan économique, peut-être au niveau des subventions aussi. Il y a une réflexion sur les difficultés à venir en ce qui concerne les partenaires privés pour la saison prochaine. Il y aura une répercussion d'où la difficulté des clubs à prévoir quelque chose en termes de budget. On va rentrer dans une période de reconquête", estime Jean-Claude Rougeaux qui se veut toutefois rassurant pour son club: "Sur le plan financier, le Cest avait abouti sa saison. "
La suite, ce sera aussi la reprise du basket. Avec une saison achevée tout début mars et une reprise de la compétition traditionnellement programmée en septembre, cela laisse un trou béant de six mois. Le président du Cest a donc bien entendu la volonté fédérale que les clubs mènent des opérations "Retour au jeu" dès que cela sera possible. "Il y a une réflexion qui va se mettre en place. Dans chaque catégorie, les entraîneurs essaieront de proposer des choses. On fera cela dès que l'on pourra."
Pour ce qui est du groupe de N2F, Laura Loembet reprendra les entraînements également dès que possible. "Dès que l'on aura l'autorisation de retourner au gymnase, nous le ferons. Les entraînements étaient prévus jusqu'en juin, si on peut on ira donc jusqu'à la fin juin."
"On n'a jamais tremblé"
Promu en Nationale 2 féminine, le Cest termine donc sa saison sur une 6e place. Avec à la clé un bilan de 9 victoires pour 7 défaites. "Je pense que tout le monde, et notamment les dirigeants, auraient signé de suite si on avait dit en début de saison qu'en tant que promues on finirait 6es. On n'a jamais été à la lutte pour le maintien, jamais tremblé, on a même été un temps en course pour les play-offs", se félicite Laura Loembet.
Le début de championnat, avec notamment un succès à Rennes lors de la 3e journée, avait créé une belle dynamique. La réalité d'une saison a ensuite rattrapé le Cest, avec son lot de blessures et une mauvaise série en février. Mais cela ne ternit en rien cette excellente première saison en N2. "Il ne nous manquait pas grand-chose pour être proche des meilleures, du vécu pour certaines."
A ce titre, la coach tourangelle aurait aimé voir, en d'autres circonstances évidemment, la saison aller à son terme. "Il nous manque notamment les deux matchs face à Trégueux (3e) et Douvres (5e) que nous avions perdus à l'aller mais sans être au complet. J'aurais aimé aller au bout pour savoir où nous en étions aujourd'hui. On ne pourra finalement pas s'étalonner."
Basket-ball - N2F. Cholet Basket construit déjà la saison prochaine
Après une saison 2019-2020 très compliquée, Cholet Basket souhaite aller de l’avant en N2F. Et « pourquoi pas jouer les premiers rôles sur un malentendu ? », pose l’entraîneur Franck Bonnelalbay. Ce dernier est déjà en train de plancher sur la saison à venir. Il construit notamment son effectif.
Saumur a vu brutalement ses rêves de montée stoppés suite à la récente décision du bureau fédéral d’arrêter sur le champ l’ensemble des compétitions de la L2F aux championnats départementaux. Or, ce coup du sort a fait le bonheur de l’autre formation de N2F du département. Cholet Basket est a fortiori assuré du maintien alors que le club des Mauges – seul dernier de la poule C – semblait filer vers la relégation en N3F.
« Oui, ça reste un soulagement de se maintenir », souffle l’entraîneur Franck Bonnelalbay. Mais ce qui est grave, c’est ce qui se passe en ce moment. » Et en coulisses, Cholet en profite pour « commencer la construction de la nouvelle équipe pour la saison prochaine ». Cette fois-ci, Cholet n’aura plus le droit à l’erreur.
« Repartir d’une page blanche »
Pour la saison 2020-2021, le technicien veut avant toute chose s’éviter des frayeurs. « L’an prochain, on souhaite avoir un maintien plus confortable », avance-t-il. La saison passée a été semée d’embûches entre des départs en cours d’exercice comme celui de Lindsay John pour raisons personnelles et les blessures d’Armance Robineau, d’Emma Bourcier et de Romane Sourisseau au point de mettre CB en grande difficulté. « Quand on enlève trois joueuses importantes du groupe, c’est très compliqué même si les filles de Pré-Nationale, qui sont venues dépanner, ont très bien relevé le défi. »
Cholet qui « va repartir d’une page blanche » est ambitieux. « On souhaite avoir un groupe compétitif et pourquoi pas jouer les premiers rôles en N2F sur un malentendu. » Avec une base de six, sept joueuses qui restent au club (Armance Robineau, Marine Airault, Alexiane Martin, Lisa Le Jean, Lola Breheret, Justine Keo et Justine Pina), l’espoir est permis. Mais ce sera loin d’être une tâche facile.
Un secteur intérieur à reconstruire
Pour relever le défi, Cholet pourra compter sur une Armance Robineau « opérationnelle dès la reprise » mais le secteur intérieur sera lui à reconstruire partiellement avec le départ de Mathilda Meignan pour Calais, une équipe de haut de tableau en Nationale 2.
D’autres départs sont d’ores et déjà actés. « Jessica Horrault arrête pour se lancer dans des projets personnels alors que Romane Sourisseau va tenter de se relancer dans un niveau inférieur après deux saisons compliquées sur le plan physique. » S’agissant des arrivées, Lindsay John – qui a quitté le navire choletais en pleine tempête – pourrait de nouveau venir gonfler les rangs « mais elle attend une réponse pour une école de commerce internationale en région parisienne », précise le coach Franck Bonnelalbay.
1er enseignement de l'intersaison :
- Mathilda Meignen signe à l' ACLPAB Calais,
- Awa Broudic stoppe à Trégueux,
- Cholet reconstruit afin de jouer les premiers roles l'année prochaine,
- en attente d'informations concernant Rennes qui selon la coach aura beaucoup de mal à refaire la meme saison et viser la montée, sans doute peut être s'attendre à beaucoup de départs.
- Tours repart avec quasiment la totalité de ses joueuses dans son ensemble.
il faudrait des SI...sachant que Escaudain serait solliciter en premier, et pour le moment il n'y a pas de clubs qui a annoncé son intention de ne pas repartir en N1
Je n'imagine pas que des responsables de clubs dans cette situation n'envisagent pas l'hypothèse et ne la préparent pas (s'ils y peuvent quelque chose), sauf s'ils s'en fichent parce qu'ils refuseraient la montée de toute façon. Dans tes informations la coach n'évoquait pas cette hypothèse et comme tu semblais bien informé je t'ai posé la question. Je retiens qu'on ne sait pas pour l'instant.
voici les paroles de la coach rennaise : " Les Rennaises n’avaient jusque-là rien laissé au hasard et avaient même renforcé l’idée d’un costume taillé sur-mesure en étrillant l’un de ses concurrents directs, Trégueux, chez lui (57-80). « On voit que dans les autres poules, les équipes ont quatre, cinq défaites. Nous, nous n’en avions que deux, constate la technicienne rennaise. Est-ce qu’on sera capable de le refaire la saison prochaine ? Est-ce qu’on aura la même équipe ? Non, je ne pense pas. Tout est à refaire. » Injuste ? "