NF3 POULE E 2024-2025

[joolvm]

Très bonne analyse du week-end. Le mano a mano continué entre les leaders désignés du championnat. Impossible de dore qui pourra monter. Laval, Rennes CPB et St Rogatien ont déjà acté un budget pour la N2. Est ce que Carquefou acceptera une seconde montée consécutive et ferait changer le club de dimension.
Du côté du Rennes PA, après plus de 20ans en Nationale, l'équipe semble promise à un retour en Région accompagné de Lorient qui devrait récupérer ses intérieures notamment Tonnerre.
La lutte continuera entre Crossac, Brest et La Seguiniere pour les 2 dernières places

Entre 2013 et 2019 je ne crois pas qu’elles aient joué en Nationale mais je peux me tromper

[basketbreton]

OF
N3F. À Vertou, Marie Toé a vite pris ses marques

La joueuse. C’est l’une des cinq recrues vertaviennes. Arrivée au club en septembre, Marie Toé performe et s’y sent bien. Son engagement et son état d’esprit sont appréciés.
A Vertou, Marie Toé a trouvé un club «qui vit bien».

Une semaine après son match « un peu catastrophique » réalisé sur le parquet de Rennes Cercle Paul Bert (52-71), Marie Toé a remis les pendules à l’heure, dimanche. 16 points, des rebonds, des ballons arrachés… la joueuse du Vertou Basket (NF3) était au four et au moulin lors du précieux succès obtenu, à domicile, contre Le Mans Saint-Pavin (60-55). « Je suis contente d’avoir réagi, surtout que c’était un match très important pour nous », confiait l’une des cinq recrues du club vertavien.
Convaincue par l’une de ses meilleures amies

C’est sur les conseils de sa partenaire Pauline Godefroy, qui est aussi l’une de ses meilleures amies, que Marie Toé, joueuse du BCSP Rezé les années précédentes, a rejoint la structure dirigée par Stéphane Jarnoux. « Je voulais un club en Nationale sur Nantes, il n’en restait pas beaucoup, et Pauline m’a alors dit de venir jouer avec elle au moins pour une saison », raconte la jeune femme de 25 ans.

Et à l’entendre, elle ne regrette pas son choix. « Je suis super contente d’être là, l’ambiance est bonne. C’est un club qui vit bien par rapport à ce que j’ai connu dans mes clubs précédents ».

À Vertou, on est également heureux des débuts de Marie Toé, qui s’est vite imposée comme l’une des joueuses très importantes de l’équipe fanion. « On joue clairement autour d’elle, c’est une fille qui pèse sur le jeu. Elle est très basket. À côté de cela, elle a un gros impact sur ses coéquipières de par son engagement physique. C’est une vraie guerrière, elle répond présent dès qu’il faut gagner », dit d’elle son entraîneur Alexy Frigot-Cochais.
Avez-vous compris la fin de match entre le HBC Nantes et le FC Barcelone en Ligue des champions ?

Leader par l’exemple plutôt que par la parole, Marie Toé va clairement avoir un grand rôle à jouer dans la mission maintien de Vertou, huitième de son groupe après 10 journées, et donc première équipe non-relégable.

[basketbreton]

OF
Basket-ball. N3F : Saint-Pavin devra resserrer sa garde

Les Mancelles ont un bilan équilibré à la trêve. Mais il faudra combler certaines lacunes pour assurer le maintien en N3F. Entretien avec l’entraîneur manceaux Guillaume Coulbaut.

Promu la saison dernière, l’effet de surprise avait joué à fond pour le club manceau, auteur d’un brillant exercice terminé à quatrième place. Pour sa deuxième saison consécutive en NF3, Saint-Pavin ne peut plus compter sur cet effet et, dans un groupe relevé, a montré des signes de souffrance, notamment hors de ses bases et dans le jeu intérieur. Entretien avec Guillaume Coulbaut, l’entraîneur de Saint-Pavin.

Quel bilan tirez-vous de la première phase de votre équipe (sixième, cinq victoires pour cinq défaites) ?
C’est un bilan tout juste à l’équilibre, dans une poule malgré tout assez relevée. Un top 5 qui se tient en un seul match d’écart et trois équipes en bas de classement à deux matches gagnés. Pour l’instant, nous maintenons un écart avec le bas du tableau. Si, lors de nos matches à domicile, nous avons réussi plusieurs fois à renverser le cours du jeu à notre avantage, nous avons plus de difficultés à l’extérieur (une seule victoire).

Quels ont été pour vous les bons points et les mauvais points du début de saison ?
La blessure d’Assa Kanouté (après trois matches) nous a fragilisés dans le secteur intérieur. Cela engendre un manque d’alternance dans notre jeu où nous sommes un peu trop dépendants de notre adresse extérieure. Nous ne sommes que la neuvième défense de la poule (sur douze). On doit et on peut encore progresser dans ce domaine. Nous avons su, en revanche, gagner des matches importants.

Vous allez avoir une grande coupure avant la reprise du championnat, le 12 janvier. Comment allez-vous combler cette période ?
Nous allons reprendre un rythme d’entraînement classique, après une coupure de dix jours.

Quels seront les pièges qui vont se dresser devant vous pour la suite ?
Plus la saison avance, plus les enjeux deviennent importants, pour les équipes qui joueront la première place comme le maintien. Chaque rencontre sera engagée, il n’y aura aucune victoire facile. À nous de répondre présent sur le terrain.

[basketbreton]

OF
N3F. Avenir de Rennes, Cercle Paul-Bert, Rennes PA : quel avenir pour le basket féminin rennais ?

Avec trois clubs au niveau national cette saison, mais tous en Nationale 3, le basket féminin rennais souffre de l’absence de haut niveau. Ce qui pose la question d’un rapprochement à terme.

Le sujet est sur la table depuis plusieurs années dans le petit monde du basket féminin rennais. Avec la multitude de clubs évoluant au niveau national, mais l’absence d’une locomotive au haut niveau, les structures n’auraient-elles pas intérêt à unir leurs forces ? Le redressement judiciaire dont a fait l’objet l’Avenir de Rennes depuis 2023, et sa descente sportive en Nationale 3, fait que Rennes n’est représenté qu’à partir du cinquième échelon français, cette saison. Loin de la Ligue 2, où l’Avenir se trouvait encore en 2011.

Et même si le Cercle Paul-Bert et l’Avenir sont actuellement à la lutte pour monter en N2, la situation du basket féminin rappelle forcément celle des masculins, avant la création en 2009 de l’Union Rennes, associant l’Avenir et le Rennes Pôle association. Le projet peut-il être imité chez les filles ? C’est, en tout cas, l’idée générale de la Ville de Rennes, qui prône un rapprochement à terme entre les clubs rennais.
Une réunion entre quatre clubs la saison dernière

Une ambition appuyée par la Ligue de Bretagne de basket, qui avait réuni la saison dernière les quatre clubs rennais de niveau national autour d’une même table : l’Avenir, le CPB, le RPA et l’ASPTT (descendu depuis en Prénationale). « La Ligue de Bretagne a l’idée que le basket féminin unisse ses forces dans la région rennaise pour faire briller les filles », confirme Charline Lareure, responsable de la section basket de l’Avenir. Mais son aboutissement n’est pas (encore) à l’ordre du jour.


Le basket féminin est d’abord soumis à des blocages d’ordre réglementaires, au moins en l’état. « Ce n’est pas que l’on ne veut pas, c’est que l’on ne peut pas », clame Patrice Lebatteux, président du RPA. Ainsi, l’union de l’Avenir et du RPA au sein de l’URB empêche les deux clubs concernés de s’associer avec d’autres voisins chez les filles, « ce qui est interdit par les règlements généraux de la Fédération française », rappelle Patrice Lebatteux. Sauf à repenser, à terme, le modèle de l’URB, et les clubs impliqués dans l’union masculine.

Enfin, il y a surtout la volonté et l’intérêt des clubs : « Ce sont des projets assez importants, ça dépend de chaque structure, et ce n’est pas évident de s’engager dans une entente comme l’a fait l’URB, estime Charline Lareure. Il y a des discussions très informelles mais qui ne datent pas d’aujourd’hui, c’est depuis longtemps dans les tuyaux. S’engager dans un tel projet, c’est unir ses forces mais aussi ses moyens, et je ne crois pas que l’on soit encore prêt à sauter le pas. Pour le cas de l’Avenir, après notre redressement judiciaire, il faut d’abord que l’on assure notre futur avec une structure qui tienne la route avant de s’engager dans des ententes, unions ou CTC (coopération territoriale de clubs) aussi grandes. »

[basketbreton]

OF
Un déplacement aussi périlleux pour le Pays de Laval

Jean-François Guilleux, l’entraîneur du Pays de Laval (N3F), est aussi satisfait de la trêve. « Ça fait du bien de se ressourcer mentalement en famille, de prendre du temps. On est content de se retrouver. » Il espère juste qu’après quatre semaines sans compétitions, ses joueuses n’auront pas perdu le rythme.

Pour ce premier match de 2025, dimanche 12 janvier (15 h 30), elles se déplacent chez le voisin sarthois du Mans. Une formation qui avait battu les Lavalloises à deux reprises lors de la préparation. Des résultats qui ne l’inquiètent pas. « C’était en début de saison, on n’était pas au complet. » D’autant que son équipe est toujours invaincue à l’extérieur pour l’instant.

Le technicien mayennais se veut malgré tout méfiant. D’abord parce que lors de cette seconde phase toutes les équipes vont avoir besoin de points : « soit pour se sauver, soit parce qu’elles jouent la montée ». C’est le cas des Mancelles, actuellement 6es, avec un bilan équilibré (5 victoires et 5 défaites). Ensuite parce que l’adversaire est de qualité. « Ça ne va pas être une partie facile, parce que c’est une bonne équipe de basket qui met beaucoup d’intensité défensive. Quand elles sont adroites, elles peuvent faire très mal. » Enfin, Diakhité et Deschamps pour blessure, seront suppléées par deux jeunes des U18.



Effectif : Dumont, Coulange, Rouseau, Dreux, Choisy, Bruneau, Coquereau, Tubanza, Diaby.

[Basketfiba44]

Bonne année a tout le monde

fin des matchs aller
et un championnat a 2 vitesses pour la poule N3
5 équipes pour la montée en N2
7 pour le maintien

en tout cas tous les matchs seront importants jusqu'a la fin de saison

[basketbreton]

Basket-ball. N3F : la Saint-Rogatien affirme un peu plus ses ambitions

En remportant le duel de haut de tableau contre Carquefou (65-54) dimanche 12 janvier 2025, la Saint-Rogatien reste plus que jamais dans les clous pour la montée.

Claire-Lise Fricaud et la Saint-Rogatien ambitionnent de monter en Nationale 2.

On es t à la place où on devait être. On veut monter, on ne se cache pas. Steven Trouillet et les joueuses de la Saint-Rogatien, à mi-parcours, sont au niveau de leurs ambitions. Coleaders (à trois) de la poule E de Nationale 3, ils ont parfaitement conclu la phase aller dans le derby contre Carquefou dimanche aux Agenêts (65-54).
Avec un bilan de 9 victoires et 2 défaites, les Nantaises ont relégué leurs adversaires, quatrièmes, à une victoire. Un résultat logique alors que les locales ont mené toute la rencontre, profitant de leur densité physique et d’une des meilleures raquettes de N3 , souligne l’entraîneur.

Steven Trouillet : « Si on fait 3 sur 3, on a de grandes chances de monter »

Avec les apports de Coumba Sow et Alexia Ivala à l’intérieur, un groupe de 12 éléments et un staff qui se complète , souligne Steven Trouillet, arrivé cet été, son équipe est donc lancée dans la lutte à l’unique ticket d’accession.

Ça ferait plaisir au club de découvrir la N2. Les filles sont investies et il faut continuer à être assidu et, surtout, maîtriser ce qu’on sait faire , développe-t-il.
Pour cela, ce mois de janvier s’annonce déterminant . Car après Carquefou, la Saint-Rogatien va se frotter à Rennes CPB et Laval lors des deux prochaines journées. Rien de moins que les deux autres coleaders.
Si on fait 3 sur 3, on a de grandes chances de monter, si on fait 2 sur 3, on sera dans les clous. Le technicien nantais admet d’ailleurs, qu’en cas de succès dimanche en Ille-et-Vilaine, cumulée à la victoire au match aller (52-51), ce serait une quasi montée directe.

Du côté des voisines carquefoliennes, après cette troisième défaite de la saison, il n’y a pas de regrets. Même si, pour leur entraîneur Rodolphe Manhe, c’est un peu frustrant car on sentait qu’on pouvait faire mieux , son équipe a payé un manque d’expérience, une trêve d’un mois compliquée et a souffert à l’intérieur .

A Carquefou, on est « au maximum de nos espérances »

Car, au contraire de ses hôtes, le Carquefou Basket, lui, déplore deux longues absences dans le secteur intérieur (Croisés pour Bansard et santé pour Avanzi). Pour autant, dans ces conditions et en tant que promu dans la division, se retrouver dans le top 5 de la poule, c’est plutôt bien, très bien même , abonde l’ancien coach du BCSP Rezé.
Avoir trois défaites seulement (pour huit victoires) et hormis celle au Mans un peu frustrante (67-58, le 13 octobre), on est au maximum de nos espérances.
Alors que l’objectif maintien, historiquement à 11 succès, semble une affaire de semaines désormais, les joueuses du Nord-Loire vont tenter de rester dans le top 5 . Avec déjà trois points d’avance sur le 6e, Le Mans, l’ambition est tout à fait mesurée.
Dans une poule homogène où tu ne peux pas te reposer sur tes lauriers , Rodolphe Manhe, toutefois, se méfie de la décompression une fois le maintien acquis. À ses joueuses alors de le faire mentir en temps et en heure.

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Basket-ball. N3F : le Pays de Laval se fait surprendre par La Séguinière

Les Lavalloises se sont inclinées pour la troisième fois, à domicile, face à La Seguinière ce dimanche 19 janvier (54-62). Les Mayennaises ont notamment cédé en toute fin de rencontre.

Marlène Dreux et les siennes se sont inclinées en fin de match.

Le temps de trouver un arbitre remplaçant, le match débutait avec quinze minutes de retard et beaucoup de maladresse de part et d’autre.

Les deux équipes restaient au coude à coude, chacune ayant sa série (9-8, 6'). Malgré le changement défensif des visiteuses, le Pays de Laval faisait un petit écart en fin de quart-temps pour mener 18-13. Toujours devant, les Lavalloises restaient sous la menace de La Séguinière. Un bon passage de Juret leur donnait même l’avantage (23-25, 14'). Guilleux était obligé de prendre un temps mort pour essayer d’enrayer l’hémorragie. Mais ses joueuses se montraient trop maladroites face à la défense visiteuse. Résultat, à la pause, les joueuses du Maine-et-Loire possédaient un léger avantage (29-35).
Laval cède en fin de match

La deuxième mi-temps débutait avec toujours beaucoup de maladresse. Bruneau (7 pts consécutifs) sonnait la révolte et ramenait ses partenaires à un petit point des visiteuses (40-41, 27').

À l’entame du dernier acte, les deux équipes étaient au coude à coude, (43-44). La Séguinière prenait le meilleur départ avec un 0-4. Dreux ramenait aussitôt son équipe en inscrivant trois paniers consécutifs. À 3 minutes du terme, tout restait à faire (54-54). La fin de match était irrespirable jusqu’à ce que Gladys Joufflineau ne donne six points d’avance à ses partenaires, qui s’imposaient finalement à la surprise générale (54-62).

PAYS DE LAVAL – LA SÉGUINIÈRE : 54-62 (18-13, 11-22, 14-9, 11-18).
Arbitres M. Boivin et Faucheux.
PAYS DE LAVAL : Dumont 12, Coulange 6, Rousseau 2, Dreux 13, Choisy 10, Tubanza, Bruneau 7, Guilleux, Diaby 4.
LA SÉGUINIÈRE : Chauvet 16, Sourisseau E. 9, Sourisseau R. 7, Masson 7, Joufflineau M. 5, Herisse 2, Juret 5, Barreau

[basketbreton]

Basket. N3 féminine : Saint-Pavin a fini par céder

Les joueuses de Saint-Pavin, malgré leur détermination, s’inclinent ce dimanche 19 janvier 2025 face à une équipe rennaise combative au terme d’un match intense et disputé (66-71).
Les joueuses de Saint-Pavin, malgré une bonne première partie de match, ont cédé sur la fin.


C’est une équipe pavinoise survoltée que l’on retrouvait ce dimanche sur le parquet. Bien que dominatrices lors du match aller, les Mancelles doivent faire face à une équipe de Rennes revigorée et particulièrement combative dès les premières minutes (9-11, 5’). Verneau, impériale au rebond, mène son équipe d’une main de fer, dictant le rythme du jeu (17-15, 7’).

Le suspense est à son comble : les deux équipes se rendent coup pour coup. Aucun des deux camps ne parvient à prendre l’ascendant (21-21, 10’). Après une frayeur pour Saint Pavin (24-32, 17’), les locales retrouvent leur aplomb et reprennent l’avantage juste avant la mi-temps (37-34, 20’).

Un final haletant

Le scénario reste identique à l’entame de la seconde période. Le rythme rapide et l’efficacité des deux équipes maintiennent un équilibre parfait (42-39, 25’). Dramé enchaîne les paniers mais les Rennaises recollent immédiatement. La pression monte des deux côtés, rendant le jeu brouillon et parfois imprécis (57-57, 34’). La tension atteint son paroxysme dans la dernière minute de jeu. Rennes parvient à reprendre l’ascendant (64-68) et, malgré les efforts des Pavinoises, s’impose finalement 66-71 au terme d’un rude combat.

" C’est un vrai coup sur la tête de perdre ce match à domicile. Ça faisait partie des rencontres où nous avions l’obligation de nous imposer. On termine à -5, après avoir été dans le match tout du long. On a même été dominantes par moments, avec une avance de + 9. C’est dommage qu’à ce moment-là, on n’ait pas réussi à asseoir notre domination ", expliquait le coach, Guillaume Coulbaut.

Et d’ajouter : " On a rapidement perdu cet écart, et derrière, on a été ultra-dominées par leur joueuse intérieure, qui nous a fait très mal au rebond offensif. Le manque de lucidité et la précipitation dans nos tirs nous ont rendues fébriles. Cette défaite fait vraiment mal sur le plan comptable, car c’était un adversaire direct. Il va falloir se battre jusqu’à la fin de la saison. J’espère qu’on saura réagir. On a essayé, mais ça n’a pas suffi. C’est un vrai coup dur. "
> > > La fiche

Mi-temps : 37-34

(21-21, 16-13, 13-18, 16-19)

SAINT-PAVIN : Heuzard (6 pts), Verneau (10), Portier (3), Dramé (16), Benmahmoud (3), Joyeux, Marreau (19), Gloaguen (7), Blain, Ballon (2)

RENNES : Feret, Gernigon (2 pts), Rousseau (8), Charles (4), Ravache (14), Chabrier (4), Brisson (17), Guilment (4), Ntsame Assoumou (18)

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Basket. N3 féminine : Saint-Pavin accueille Rennes ce dimanche

Ce dimanche 19 janvier 2025 (15 h 30), Saint-Pavin accueillera Rennes pour un duel attendu.
Saint-Pavin va jouer gros contre Rennes ce dimanche.


Après une défaite frustrante et large contre Laval (56-73), l’équipe mancelle s’apprête à relever un nouveau défi. Saint-Pavin doit désormais se ressaisir pour ne pas compromettre ses objectifs de la saison.

Rennes, actuel milieu de tableau, arrive en outsider mais reste une formation dangereuse souhaitant prendre sa revanche. Ce sera donc un test de caractère pour les joueuses de Saint-Pavin, qui devront montrer plus de rigueur et d’engagement dès le coup d’envoi. Comme lors de la phase aller, les Sarthoises doivent reporter cette rencontre.
Les clés du match

Pour espérer l’emporter, Saint-Pavin devra impérativement retrouver de la fluidité en attaque et surtout resserrer les rangs en défense. Le coach l’a rappelé : " C’est ce match-là qu’il faudra aller chercher. " Les performances de leurs cadres seront également cruciales.


Le soutien du public fidèle pourrait aussi jouer un rôle déterminant. Dans un championnat où chaque victoire compte, ce duel face à Rennes s’annonce comme un véritable tournant pour les Mancelles.

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Basket-ball. Carquefou – Vertou : un derby aux antipodes

N3F. Tandis que les Carquefoliennes veulent confirmer leur place sur le podium, les Vertaviennes, 10es, espèrent sortir victorieuses de ce derby.

Les Carquefoliennes, promues et 3es, entendent confirmer leur statut au sein du trio de tête.

Carquefou – Vertou où deux équipes aux dynamiques diamétralement opposées.
D’un côté, Carquefou, promue et 3e de cette poule ultra-serrée de Nationale 3, de l’autre, Vertou, 10e et relégable.

On a vécu une reprise compliquée, déclare Alexy Frigot-Cochais, l’entraîneur vertavien, on a pris un petit coup sur la tête en perdant contre Crossac (7e) qu’on aurait dû accrocher.
Avec une deuxième partie de saison plus abordable où Vertou souhaite ne pas reproduire les mêmes bêtises que lors des matches aller, le déplacement chez le voisin carquefolien s’annonce compliqué : « On veut montrer une bonne image. Il va falloir se mettre dans l’intensité si on veut rivaliser », poursuit-il.
Dans une poule où tout le monde peut battre tout le monde, son adversaire, Carquefou, voudra continuer son début de saison idéal.
On veut confirmer pour rester dans le trio de tête. En début de saison, on visait le top 5, désormais, un podium serait super bien , affirme Rodolphe Manhe, le coach carquefolien.

Avancée au samedi 1er février (20 h 30), la rencontre risque de faire venir du monde. Un derby, ça fait venir beaucoup de spectateurs, les bons résultats aussi , apprécie l’entraîneur de Carquefou. Ce dernier devra faire, comme depuis plusieurs mois, sans ses intérieures Bansard et Avanzi pour passer l’obstacle vertavien et rester sur le podium.

Le programme

N2M (14e j.) Samedi 1er février 20 h : Hermine de Nantes 2 - Grand Dax, ESMS Basket 40 - Rezé
N3M (14e j.) Samedi 1er février 20 h : Saint-Rogatien Nantes – Similienne Nantes, Pornic Saint-Michel – Rezé
N2F (13e j.) Samedi 1er février 18 h : ALPCM Nantes – Trégueux Langueux ; 20 h : GH Bouaye – Le Chesnay/Versailles
N3F (13e j.) Samedi 1er février 20 h 30 : Carquefou – Vertou ; Dimanche 15 h 30 : Rennes Avenir – Crossac, Saint-Rogatien Nantes – Laval Saint-Berthevin

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OF
Basket. Trophée Coupe de France : Lamboisières a dominé les débats face à Rennes
Les Angevines ont rapidement pris les commandes de la rencontre, ce samedi 25 janvier, face à l’avenir de Rennes en s’imposant sèchement 47-88.

En l’absence de trois joueuses majeures à Rennes (Djapo, Jean et Raveleau), Lamboisières a imposé sa domination dans cette rencontre.

C’est avec sept points d’avance que les Rennaises entamaient le match. Malgré cet avantage, c’est Lamboisières qui s’imposait dans le premier quart de la rencontre (18-25, 10’). Pour autant, Inès Wattez et ses coéquipières montraient de bonnes intentions avec un pressing haut. Rapidement, l’écart se creusait dans le deuxième quart-temps. Les Angevines ont rapidement dicté leur loi sur le match, en faisant preuve d’une belle réussite offensive (25-57, 20’).
Emmenées par Clémentine Chauveau, meilleure marqueuse de la partie, avec 24 points, les joueuses de Thomas Belaud enchaînaient. Les Ligériennes prenaient l’ascendant physiquement sur des Rennaises dépassées par la vitesse du jeu dans le troisième quart (34-82, 30’).
« Satisfait de l’engagement de mes joueuses »

Les Bretonnes ne lâchaient rien et retrouvaient même des couleurs en fin de match. Elles tentaient de faire bonne figure devant leur public (47-88).
« En première mi-temps, on est clairement dominé dans tous les secteurs de jeu, puis après, c’était beaucoup mieux. Ensuite, on a montré notre vrai état d’esprit et de la révolte. C’est ce que j’attendais d’elles », analyse Pierrick Le Corre.
De son côté, Thomas Belaud, le coach du LMB soulignait la bonne prestation de son équipe. « Je suis très satisfait de l’engagement de mes joueuses. On a un peu trop regardé le score en deuxième période, et on n’a pas eu de blessées, c’est ça le plus important. Tous les voyants sont au vert pour nous pour la suite. »

AVENIR RENNES – LAMBOISIÈRES BASKET : 47-88 (18-25, 7-32, 9-25, 13-6).
RENNES : Gaudin, Lépine 7, Wattez 8, Roels, Lebrun 7, Verges 6, Georges 6, Battais 4, Barthelemy 2.
Entraîneur : P. Le Corre.
LAMBOISIÈRES : Cady 10, Brossais 14, Chauveau 24, Magron 2, Plana 6, Manceau 8, Paquin 11, Dembele 9, Barré 4.
Entraîneur : T. Belaud.

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Basket - N3F. Premier revers à l’extérieur pour Pays de Laval à Saint-Rogatien, prétendant à la N2.

Les Lavalloises ont dû s’avouer vaincu face à l’adresse et aux gabarits de Saint-Rogatien, ce dimanche 2 février, en N3F.

Les Lavalloises ont résisté pendant trois quart-temps avant de s’avouer vaincu, usées par les rotations et l’impact physique des Nantaises. Tout avait pourtant bien commencé pour les filles de Jeff Guilleux, bien en place dans le premier quart-temps : « On contrôle, on arrive à bien défendre, à récupérer des ballons. »

Après dix minutes, les deux équipes étaient au coude-à-coude, 13-11. La deuxième période était plus compliquée pour les Lavalloises qui rataient quelques paniers faciles et lancers francs. « On aurait pu rentrer à égalité », regrettait le technicien du Pays de Laval.

« On n’est pas loin »

Le troisième quart-temps était toujours aussi accroché, mais les partenaires de Dreux concédaient deux nouveaux points (18-16). « On n’est pas loin, mais on n’arrive pas à passer au-dessus par manque de réussite sur les tirs extérieurs, analysait le coach. Pour gagner contre cette équipe qui est au-dessus athlétiquement, il fallait faire le match parfait. »

La dernière période était anecdotique. Le coach lavallois tentait le tout pour le tout en faisant des choix tactiques qui malheureusement n’allaient pas payer. Au final, les Lavalloises s’inclinaient de neuf points.

« On n’a pas à rougir de notre défaite. Il faut se servir de ça pour rebondir la semaine prochaine face à Rennes », tenait à souligner Jeff Guilleux.
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La fiche technique

SAINT-ROGATIEN – PAYS DE LAVAL : 72-63
(13-11, 22-19, 18-16, 19-17).
Arbitres : MM. Lecourt et Charron. SAINT-ROGATIEN : Fricaud 12, Tanguy 6, Trichereau 12, Chemineau 2, Trehet 3, Ivala-Mendome 16, Djiadjel 2, Anger 2, Guillotin 17.
PAYS DE LAVAL : Dumont 13, Coulange 16, Deschamps 6, Rousseau 6, Dreux 11, Choisy 5, Bruneau 4, Coquereau 2.

[basketbreton]

OF
Basket. N3F : « Tout le monde est plus détendu » à Saint-Pavin. Le groupe manceau avancera confiant contre Rennes dimanche.

Le succès acquis le dimanche 2 février à Lorient a fait du bien aux joueuses du Mans Saint-Pavin, en plein doute jusque-là. Désormais, les Mancelles entendent confirmer leur regain de forme, ce dimanche 9 février contre l’Avenir de Rennes (15 h 30).
Hajer Benmahmoud et les joueuses du Mans Saint-Pavin reçoivent l’Avenir de Rennes, ce dimanche 9 février.

Les joueuses du Mans Saint-Pavin abordent la réception de l’Avenir de Rennes, ce dimanche 9 février (15 h 30) avec un regain de confiance. Après trois défaites consécutives, les partenaires de la capitaine Hajer Benmahmoud ont renoué avec le succès sur le parquet de Lorient, lors de la dernière journée.

Une victoire qui leur permet, en plus, de commencer à envisager de plus en plus sérieusement leur maintien en N3F.
« On avait un perdu confiance »

La victoire à Lorient vous a-t-elle soulagé ?

Oui, cette victoire nous a vraiment fait du bien. Tout le monde s’est bien battu et nous avons été la chercher toutes ensemble. On avait un peu perdu confiance ces derniers temps. On a envie de donner une bonne image de nous jusqu’à la fin de la saison.
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Elle vous a permis de faire un pas de plus vers le maintien. Sentez-vous le groupe plus serein ?

Oui, forcément. La semaine a été moins stressante et tout le monde était plus détendu. Aux entraînements, on a joué avec confiance pour préparer le match contre Rennes.

« On est capable de faire mieux »

Quel a été le mot d’ordre de la semaine ?

Guillaume (Coulbaut, l’entraîneur) a réajusté certains détails, surtout sur notre défense. C’est d’ailleurs ce qui fait notre force. En attaque, comme nous sommes toutes en confiance et avons très envie de jouer, on s’est lâchés. On a vraiment hâte d’être à dimanche.

À neuf journées de la fin, vous êtes-vous fixés un objectif précis ?

On n’a pas forcément d’objectif, mis à part de jouer avec nos qualités et de prendre du plaisir. Si on se donne toutes à fond les unes pour les autres, on sera capable d’aller chercher plusieurs victoires.

Au match aller, vous aviez souffert contre Rennes (76-47). Avez-vous un sentiment de revanche ?

Oui, car on n’a pas donné une bonne image de nous au match aller. On n’avait pas joué à notre niveau. On a donc à cœur de montrer à notre public qu’on est capable de faire mieux. On avait eu aussi pas mal de blessures à ce moment-là. À part Assa (Kanouté), on sera toutes là, et en forme, pour cette confrontation.

Le groupe : Heuzard, Verneau (cap), Dramé, Joyeux, Marreau, Portier, Blain, Gloaguen, Benmahmoud. Entraîneur : Guillaume Coulbaut

[joolvm]

https://www.letelegramme.fr/sports/bask ... ium=Social

e 07 février 2025 à 08h00

Revenue dans l’effectif de l’Étoile Saint-Laurent Brest en ce début d’année 2025, Aline Février compte monter en puissance pour aider les Nord-Finistériennes à décrocher leur maintien en Nationale 3.
En 2022, Aline Février a remporté le titre NCAA 2 avant de retrouver Saint-Laurent cette saison

NF3. ESL Brest - Saint-Rogatien Nantes, ce samedi (20 h 30)

Difficile de dire quelle mouche a piqué les Brestoises dimanche dernier à La Séguinière quand elles menaient 19 points à rien à l’entame d’un match et qu’elles l’ont finalement perdu 61-49. « On était super adroites, nos tirs rentraient et notre jeu fonctionnait parfaitement. Et malheureusement, on a arrêté de faire ce qui marchait bien, regrette l’intérieure Aline Février, revenue aux affaires début janvier après une longue convalescence consécutive à une rupture des ligaments croisés du genou. En cumulé, je suis presque sur deux ans d’arrêt de basket. Il me faut donc monter en condition physique afin de retrouver mon niveau de jeu. »
Une expérience américaine

Recrue du mercato d’hiver en quelque sorte pour l’équipe entraînée par Christophe Bodénès qui n’a pas hésité à confier les clés de la maison à la grande Aline (1,84 m) qui a retrouvé son club formateur après cinq ans aux États-Unis.

« J’y suis allée pour suivre des études de marketing. Et pour jouer au basket ! Nous avons même remporté le titre national NCAA (championnat universitaire) 2e division en 2022 et les titres régionaux et de conférence (Mountain East) l’année suivante. J’en garde des souvenirs incroyables », conclut celle qui veut, désormais, sortir l’ESL de sa mauvaise passe.