
L 'AVENIR D'ALAIN JARDEL
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kway a écrit :Jardel mis à la retraite contre sa volonté![]()
Commères intronisé à sa place.
Chapeau à Monsieur Jardel et bonne chance à son successeur
info ou intox

« Nous sommes conditionnés à croire que le succès est de travailler dur et d'avoir beaucoup d'argent.
La société ne croit pas que le succès est d'avoir une famille heureuse.»
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bah les deux
info parce qu'il avait dit qu'il arretait
et intox car maintenant il voudrait bien rester mais les autres non ...
info parce qu'il avait dit qu'il arretait
et intox car maintenant il voudrait bien rester mais les autres non ...

Vous prenez une poule. au hasard et sans vous faire remarquer vous achetez une cocotte.
vous mettez la poule dans la cocotte , et bien grâce au progrès la poule dans la cocotte ne pond plus. Elle cuit.
vous mettez la poule dans la cocotte , et bien grâce au progrès la poule dans la cocotte ne pond plus. Elle cuit.
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Source : www.sport24.com
La Fédération française de basketball a nommé ce lundi Jacques Commères à la tête de l’équipe de France en remplacement d’Alain Jardel. Le nouveau sélectionneur avait été l’assistant d’Alain Jardel pendant 12 années à Mirande (1984-1996) avant de le suivre chez les Bleues entre 1998 et 2001. Il aura pour assistants Pierre Vincent et Anna Kotocova.
La Fédération française de basketball a nommé ce lundi Jacques Commères à la tête de l’équipe de France en remplacement d’Alain Jardel. Le nouveau sélectionneur avait été l’assistant d’Alain Jardel pendant 12 années à Mirande (1984-1996) avant de le suivre chez les Bleues entre 1998 et 2001. Il aura pour assistants Pierre Vincent et Anna Kotocova.
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Franchement, même si Jardel n'est certes pas un mec facile à gérer, les arguments de Mainini sont toujours aussi pourris. Il n'a même pas pris la peine, depuis sa sortie dans l'Equipe ya quelqques temps d'en trouver d'autres.
"arréter jardel avant qu'il ne desserve l'équipe de france"...sans déconner...et même si'il y a réellement incompatibilité d'humeur, ce qui semble être la raison majeure du limogeage, il aurait pu fair ca plus humainement, au lieu de blesser un mec qui a bcp donné au basket.
C'est pas un ange non plus Jardel, on est bien d'accord, mais quand meme...ya qques service rendus la non?
"arréter jardel avant qu'il ne desserve l'équipe de france"...sans déconner...et même si'il y a réellement incompatibilité d'humeur, ce qui semble être la raison majeure du limogeage, il aurait pu fair ca plus humainement, au lieu de blesser un mec qui a bcp donné au basket.
C'est pas un ange non plus Jardel, on est bien d'accord, mais quand meme...ya qques service rendus la non?
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JiBé a écrit :Franchement, même si Jardel n'est certes pas un mec facile à gérer, les arguments de Mainini sont toujours aussi pourris. Il n'a même pas pris la peine, depuis sa sortie dans l'Equipe ya quelqques temps d'en trouver d'autres.
"arréter jardel avant qu'il ne desserve l'équipe de france"...sans déconner...et même si'il y a réellement incompatibilité d'humeur, ce qui semble être la raison majeure du limogeage, il aurait pu fair ca plus humainement, au lieu de blesser un mec qui a bcp donné au basket.
C'est pas un ange non plus Jardel, on est bien d'accord, mais quand meme...ya qques service rendus la non?
Tout à fait d'accord avec toi... mais le savoir-vivre et le savoir-faire ne sont pas les qualités premières des membres de la Fédé...
Il aura une médaille...
Marif
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L'avenir d'Alain Jardel, son présent et... son passé
La fabuleuse aventure du BAC Mirande
ALAIN JARDEL.
En 1988, les filles du BAC Mirande décrochaient le premier d'une série de trois titres de championnes de France à la Poudrière. Vingt ans plus tard, leur coach emblématique se souvient
« L'histoire d'une vie »
Les partenaires de Martine Campi et Yannick Souvré ont décroché le premier titre il y a tout juste vingt ans à la Poudrière.
Un « bébé » né en 1975
« J'étais professeur d'éducation physique à Lille et j'ai été nommé à Mirande en 1973. J'avais 27 ans, il n'y avait pas d'équipe de basket, alors je suis allé jouer à Séméac. Ma mission à la direction départementale des sports était de faire une passerelle entre le sport scolaire et civil. J'ai ainsi été amené à enseigner le basket et je me suis rendu compte qu'il y avait une demande extraordinaire, en particulier des jeunes filles qui n'avaient rien à faire, à part du judo. Avec Jacques Barbé, un joueur du FCAG, on a donc eu l'idée de créer un club qui a vu le jour le 7 janvier 1975 dans la liesse générale. Il a même fallu ouvrir la salle du conseil municipal pour prendre une bonne centaine d'inscriptions tout de suite ! »
Une ascension fulgurante
« On a créé le club de toutes pièces pour s'aligner dans toutes les catégories dès septembre 1975 et je suis revenu jouer à Mirande. L'aventure a démarré pour le Basket Astarac Mirande. On a bâti la Poudrière en 1976 parce qu'il n'y avait pas de gymnase scolaire dans la seule sous-préfecture de France à ne pas avoir d'équipe de football. On a fait le choix de s'orienter vers les féminines. Et l'équipe a tout de suite bien marché avec des jeunes filles du village, puis elle s'est départementalisée. On montait tous les ans d'une division. On a accédé à la Nationale 3 en 1980 et on est monté de suite en N2. Après trois saisons, on a accédé à la 1re Division - le plus haut niveau - en 1984, neuf ans après la création du club. »
La montée en puissance
« Le développement du club s'est fait de manière exponentielle, notamment grâce à l'adhésion du public. Nous avons posé le parquet en 1985, puis il a fallu penser à l'agrandissement de la salle. Il n'y avait pas de professionnels au club, on partageait tout. Dès 1985, le recrutement a franchi un cap avec la première joueuse étrangère. Dans la foulée, on perd notre première finale de Coupe de France contre Nice à Nancy. Mais les Niçois ont connu des soucis financiers et cela nous a permis de jouer la Coupe Ronchetti. On a disputé notre premier match européen contre les Grecques du Panathinaïkos avant de se faire éliminer par Lubiana. Lors de la saison 1986-87, on finit déjà 4e du championnat de France et puis on décroche le titre suprême la saison suivante en 1988. »
La consécration en 1988
« C'était de la folie à la Poudrière après notre victoire lors de la finale aller à Versailles, le tenant du titre. La salle s'est embrasée ce 9 avril. Il y avait 1 500 personnes entassées sur les étagères et autant devant un écran géant installé dans la salle André-Beaudran. J'ai le souvenir d'un match très dur, gagné de 5 ou 6 points. Mais l'image qui me reste vraiment, c'est la photo du tour d'honneur où je suis sur les épaules de Laëtitia Moussard. C'était très symbolique du BAC Mirande de voir cette gamine du centre de formation devenir championne de France à 17 ans après avoir remplacé au poste de pivot en janvier la seule étrangère de l'équipe. »
Trois saisons au sommet
« Les deux titres suivants me laissent autant de souvenirs. Mais la plus belle équipe est celle du second titre en 1989. Le groupe était magnifique. On ne perd que deux matches de championnat. C'était une période formidable parce qu'on pratiquait un basket de rêve avec des joueuses françaises - beaucoup formées à Mirande - qui étaient renforcées par de vraies stars mondiales comme Olga Soukharnova, une Russe plusieurs fois championne olympique. à cette époque, les gens venaient de toute la France pour nous voir. Nos matches de Coupe d'Europe étaient télévisés et on a même rempli le Palais des Sports de Toulouse. »
La dissolution en 1997
« De 1984 à 1991, on a tout vécu de manière accélérée. On était parmi les six meilleures équipes d'Europe aux côtés de Moscou, Prague ou Madrid. En 1991, on perd le titre après prolongation en finale contre Challes-les-Eaux qui a pris le relais les trois saisons suivantes. Et puis la dissolution du BAC a été prononcée le 24 octobre 1997. Le club est mort pour des peccadilles. La gestion était difficile forcément parce qu'on était aspiré par le professionnalisme. Nos concurrents des grandes métropoles nous ont pillés, car on était le premier centre de formation de France. On travaillait de manière très professionnelle sans en avoir les moyens. »
L'impossible conte de fée
« C'était il y a vingt ans, mais c'est le siècle dernier. Ce n'est plus possible de revivre une telle histoire, même avec toute la bonne volonté du monde. Après vingt-deux ans à la tête de cette équipe, j'ai été nommé entraîneur de l'équipe de France avec qui j'ai vécu des choses formidables pendant dix ans. Mais c'est incomparable avec l'aventure humaine du BAC Mirande. C'est mon enfant qui est né le 7 janvier 1975 et mort le 24 octobre 1997. Les filles qui y sont passées sont marquées à vie par ce qu'elles ont vécu. Il y a quelque chose de très profond qui nous unit. J'ai 62 ans et je suis notamment chargé de la formation des cadres par la FFBB. Le terrain me manque. Mais j'ai été un enfant gâté et je ne suis pas prêt à repartir pour n'importe quoi. »
Propos recueillis par frédéric cormary www.sudouest.com
La fabuleuse aventure du BAC Mirande
ALAIN JARDEL.
En 1988, les filles du BAC Mirande décrochaient le premier d'une série de trois titres de championnes de France à la Poudrière. Vingt ans plus tard, leur coach emblématique se souvient
« L'histoire d'une vie »
Les partenaires de Martine Campi et Yannick Souvré ont décroché le premier titre il y a tout juste vingt ans à la Poudrière.
Un « bébé » né en 1975
« J'étais professeur d'éducation physique à Lille et j'ai été nommé à Mirande en 1973. J'avais 27 ans, il n'y avait pas d'équipe de basket, alors je suis allé jouer à Séméac. Ma mission à la direction départementale des sports était de faire une passerelle entre le sport scolaire et civil. J'ai ainsi été amené à enseigner le basket et je me suis rendu compte qu'il y avait une demande extraordinaire, en particulier des jeunes filles qui n'avaient rien à faire, à part du judo. Avec Jacques Barbé, un joueur du FCAG, on a donc eu l'idée de créer un club qui a vu le jour le 7 janvier 1975 dans la liesse générale. Il a même fallu ouvrir la salle du conseil municipal pour prendre une bonne centaine d'inscriptions tout de suite ! »
Une ascension fulgurante
« On a créé le club de toutes pièces pour s'aligner dans toutes les catégories dès septembre 1975 et je suis revenu jouer à Mirande. L'aventure a démarré pour le Basket Astarac Mirande. On a bâti la Poudrière en 1976 parce qu'il n'y avait pas de gymnase scolaire dans la seule sous-préfecture de France à ne pas avoir d'équipe de football. On a fait le choix de s'orienter vers les féminines. Et l'équipe a tout de suite bien marché avec des jeunes filles du village, puis elle s'est départementalisée. On montait tous les ans d'une division. On a accédé à la Nationale 3 en 1980 et on est monté de suite en N2. Après trois saisons, on a accédé à la 1re Division - le plus haut niveau - en 1984, neuf ans après la création du club. »
La montée en puissance
« Le développement du club s'est fait de manière exponentielle, notamment grâce à l'adhésion du public. Nous avons posé le parquet en 1985, puis il a fallu penser à l'agrandissement de la salle. Il n'y avait pas de professionnels au club, on partageait tout. Dès 1985, le recrutement a franchi un cap avec la première joueuse étrangère. Dans la foulée, on perd notre première finale de Coupe de France contre Nice à Nancy. Mais les Niçois ont connu des soucis financiers et cela nous a permis de jouer la Coupe Ronchetti. On a disputé notre premier match européen contre les Grecques du Panathinaïkos avant de se faire éliminer par Lubiana. Lors de la saison 1986-87, on finit déjà 4e du championnat de France et puis on décroche le titre suprême la saison suivante en 1988. »
La consécration en 1988
« C'était de la folie à la Poudrière après notre victoire lors de la finale aller à Versailles, le tenant du titre. La salle s'est embrasée ce 9 avril. Il y avait 1 500 personnes entassées sur les étagères et autant devant un écran géant installé dans la salle André-Beaudran. J'ai le souvenir d'un match très dur, gagné de 5 ou 6 points. Mais l'image qui me reste vraiment, c'est la photo du tour d'honneur où je suis sur les épaules de Laëtitia Moussard. C'était très symbolique du BAC Mirande de voir cette gamine du centre de formation devenir championne de France à 17 ans après avoir remplacé au poste de pivot en janvier la seule étrangère de l'équipe. »
Trois saisons au sommet
« Les deux titres suivants me laissent autant de souvenirs. Mais la plus belle équipe est celle du second titre en 1989. Le groupe était magnifique. On ne perd que deux matches de championnat. C'était une période formidable parce qu'on pratiquait un basket de rêve avec des joueuses françaises - beaucoup formées à Mirande - qui étaient renforcées par de vraies stars mondiales comme Olga Soukharnova, une Russe plusieurs fois championne olympique. à cette époque, les gens venaient de toute la France pour nous voir. Nos matches de Coupe d'Europe étaient télévisés et on a même rempli le Palais des Sports de Toulouse. »
La dissolution en 1997
« De 1984 à 1991, on a tout vécu de manière accélérée. On était parmi les six meilleures équipes d'Europe aux côtés de Moscou, Prague ou Madrid. En 1991, on perd le titre après prolongation en finale contre Challes-les-Eaux qui a pris le relais les trois saisons suivantes. Et puis la dissolution du BAC a été prononcée le 24 octobre 1997. Le club est mort pour des peccadilles. La gestion était difficile forcément parce qu'on était aspiré par le professionnalisme. Nos concurrents des grandes métropoles nous ont pillés, car on était le premier centre de formation de France. On travaillait de manière très professionnelle sans en avoir les moyens. »
L'impossible conte de fée
« C'était il y a vingt ans, mais c'est le siècle dernier. Ce n'est plus possible de revivre une telle histoire, même avec toute la bonne volonté du monde. Après vingt-deux ans à la tête de cette équipe, j'ai été nommé entraîneur de l'équipe de France avec qui j'ai vécu des choses formidables pendant dix ans. Mais c'est incomparable avec l'aventure humaine du BAC Mirande. C'est mon enfant qui est né le 7 janvier 1975 et mort le 24 octobre 1997. Les filles qui y sont passées sont marquées à vie par ce qu'elles ont vécu. Il y a quelque chose de très profond qui nous unit. J'ai 62 ans et je suis notamment chargé de la formation des cadres par la FFBB. Le terrain me manque. Mais j'ai été un enfant gâté et je ne suis pas prêt à repartir pour n'importe quoi. »
Propos recueillis par frédéric cormary www.sudouest.com
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- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Alain Jardel de retour en Bleues -
Jardel à la tête des Espoirs (Équipe de France féminine 20 ans et moins)
Le Directeur Technique National, Jean-Pierre De Vincenzi a décidé de confier la direction de l’Équipe de France des 20 ans et moins féminines (U20) à Alain Jardel. Il succède à Abdou N’Diaye dans cette mission, qui avait manifesté son désir de marquer une pause à l’intersaison. L’ancien entraîneur de l’Équipe de France, championne d’Europe en 2001, sera assisté dans cette fonction d’Ivano Ballarini et Christophe Allardi.
L’Équipe de France des 20 ans et moins féminines sera dirigée cet été par une pointure du basket féminin français. En effet, Alain Jardel (62 ans) reprend la plaquette de coach après avoir passé deux années sur les terrains de l’hexagone dans le cadre d’une mission sur les contenus de formation des pôles espoirs féminins.
L’Équipe de France féminine des 20 ans et moins participera du 9 au 19 juillet prochain au Championnat d’Europe qui se déroulera à Gdansk en Pologne. Elle rassemblera les joueuses nées en 1989.
Jean-Pierre De Vincenzi (DTN) : « Abdou N’Diaye qui avait réalisé un très beau parcours avec cette catégorie la saison passée (médaille d’argent à l’Euro), a souhaité être libéré de cette fonction. Alain Jardel arrivant en fin de mission sur les contenus de formation sur les pôles espoirs féminins, j’ai décidé de lui confier cette équipe. Alain a accepté cette mission avec beaucoup d’enthousiasme et avec la volonté de travailler en collaboration avec Pierre Vincent, entraîneur de l’Équipe de France A féminine. »
Alain JARDEL
Date de naissance : 16 juin 1946
Lieu de naissance : Cahors (46)
Parcours d’entraîneur :
1975 – 1997 : Mirande (Champion de France 1988, 1989 et 1990)
1997 – 2006 : Equipe de France A féminine
Palmarès en Equipe de France A féminine :
- Champion d’Europe en 2001
- Médaillé d’argent au Championnat d’Europe en 1999
- Médaillé de bronze aux Jeux Méditerranéens en 1997
Matches: 192
Gagnés 150
Perdus 42
Service de presse FFBB - www.basketfrance.com
Jardel à la tête des Espoirs (Équipe de France féminine 20 ans et moins)
Le Directeur Technique National, Jean-Pierre De Vincenzi a décidé de confier la direction de l’Équipe de France des 20 ans et moins féminines (U20) à Alain Jardel. Il succède à Abdou N’Diaye dans cette mission, qui avait manifesté son désir de marquer une pause à l’intersaison. L’ancien entraîneur de l’Équipe de France, championne d’Europe en 2001, sera assisté dans cette fonction d’Ivano Ballarini et Christophe Allardi.
L’Équipe de France des 20 ans et moins féminines sera dirigée cet été par une pointure du basket féminin français. En effet, Alain Jardel (62 ans) reprend la plaquette de coach après avoir passé deux années sur les terrains de l’hexagone dans le cadre d’une mission sur les contenus de formation des pôles espoirs féminins.
L’Équipe de France féminine des 20 ans et moins participera du 9 au 19 juillet prochain au Championnat d’Europe qui se déroulera à Gdansk en Pologne. Elle rassemblera les joueuses nées en 1989.
Jean-Pierre De Vincenzi (DTN) : « Abdou N’Diaye qui avait réalisé un très beau parcours avec cette catégorie la saison passée (médaille d’argent à l’Euro), a souhaité être libéré de cette fonction. Alain Jardel arrivant en fin de mission sur les contenus de formation sur les pôles espoirs féminins, j’ai décidé de lui confier cette équipe. Alain a accepté cette mission avec beaucoup d’enthousiasme et avec la volonté de travailler en collaboration avec Pierre Vincent, entraîneur de l’Équipe de France A féminine. »
Alain JARDEL
Date de naissance : 16 juin 1946
Lieu de naissance : Cahors (46)
Parcours d’entraîneur :
1975 – 1997 : Mirande (Champion de France 1988, 1989 et 1990)
1997 – 2006 : Equipe de France A féminine
Palmarès en Equipe de France A féminine :
- Champion d’Europe en 2001
- Médaillé d’argent au Championnat d’Europe en 1999
- Médaillé de bronze aux Jeux Méditerranéens en 1997
Matches: 192
Gagnés 150
Perdus 42
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