Khasix a écrit : ↑mer. 12 nov. 2025 17:10
Da Silva est un gars sympa reelement mais niveau coaching je sais meme pas sur si il a le niveau se Seb Lambert ( quand il a start en NM1)
Voilà. Humainement, il a vraiment l'air d'être une très bonne personne. Là-dessus, on est d'accord.
Après, professionnellement, peut-être est-il juste un très bon assistant ou un coach de niveau inférieur aux championnats Elite. C'est dit sans aucune méchanceté, parfois la marche est trop haute, ou les personnes pas prêtes à ce moment-là.
Il pourrait décider également, sans amélioration notable sur les 3 prochains matchs, de se regarde dans une glace et de se dire que oui, peut-être, il n'y a pas de déshonneur à partir de soi même et de retourner à poste d'assistant où il serait plus en phase.
Il dit aimer le club et ne pas vouloir le mettre en danger, ça passera également par un départ volontaire si il pense vraiment ce qu'il dit.
J'ai dit qu'il faudrait regarder la situation au 1er décembre avant de trancher. A 1 victoire pour 9 défaites, il faudra agir et, si c'était le cas, j'espère qu'il serait conscient qu'un licenciement avec un contrat de deux ans tuerait le club.
Je ne saurais pas dire si PDS est un bon entraîneur ou non. S’il a été nommé à la tête du club de Nanterre, c’est qu’on lui reconnaissait au moyen le potentiel pour le devenir. Je le vois comme un très bon manager, bienveillant et à l’écoute de ses hommes. Mais comme pour tout bon manager au sens d’aujourd’hui (mélange de qualités humaines et techniques), il n’est pas évident d’obtenir des résultats. À mes yeux il est responsable d’erreurs de recrutement et du niveau de jeu actuel, sur courant alternatif. Je pense qu’il peut nous sauver, mais il faut l’aider avec un ou deux ajustements de l’effectif. Ce qui me rend optimiste c’est la montée en puissance de quelques joueurs : Oniangue, Schwartz et Difuidi notamment.
Basket-ball (Betclic Élite) : comprendre les maux du SQBB pour espérer le réveil
Le SQBB n’a pas rassuré à Mulhouse. Pourtant, au cœur de cette torpeur, quelques signaux positifs se dessinent : plus de simplicité, un jeu un peu plus fluide, et la promesse — encore fragile — d’un renouveau à confirmer dès samedi face à Nancy.
Philippe Da Silva cherche encore la bonne formule. Seul le temps dira si les ajustements entrepris suffiront à remettre le SQBB sur le bon chemin.
Philippe Da Silva cherche encore la bonne formule. Seul le temps dira si les ajustements entrepris suffiront à remettre le SQBB sur le bon chemin. - G.H
Par Anthony OTTOU
Publié: 12 Novembre 2025 à 19h00
2 min
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Ce mardi soir, le SQBB a frôlé la correction en Coupe de France. Une soirée à l’image de son début de saison : un collectif en quête de repères, une attaque prévisible, une défense parfois dépassée. Mais entre les doutes, quelques éclairs laissent entrevoir une vérité plus nuancée – celle d’une équipe encore fragile, certes, mais loin d’être résignée.
1 – Une attaque en berne
Avec 75,9 points inscrits par match, le SQBB possède la deuxième plus faible attaque du championnat, juste devant Le Portel. Un chiffre qui fait mal, surtout quand la moyenne de Betclic Élite atteint 85,1 points.
Comment expliquer une telle panne ? D’abord, cette équipe n’a pas été construite pour briller sur les exploits individuels. À part Nick Johnson, peu de joueurs sont capables de créer leur tir ou de faire la différence sur le talent pur. Le projet repose sur le collectif : la circulation de balle, le mouvement, la lecture du jeu.
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Et c’est bien là que le problème se répète. Dès que la pression monte, tout se bloque — et cela arrive beaucoup trop souvent. La balle ne circule plus, les initiatives disparaissent, et les tirs à trois points se multiplient, souvent forcés ou pris au mauvais moment. On l’a déjà constaté : le rythme du SQBB reste trop lent, et le manque d’alternance entre jeu intérieur et extérieur saute aux yeux. Au lieu d’imposer sa cadence et de créer du mouvement, l’équipe s’enferme dans un basket prévisible, figé, où l’inspiration s’éteint.
L’offensif rating en dit long sur ces difficultés : seulement 102 points marqués pour 100 possessions, loin de la moyenne du championnat fixée à 114. Trop de tirs précipités, trop de ballons perdus, et une confiance qui s’érode au fil des minutes et des matches.
À Mulhouse, on l’a encore vu : incapable de se créer des tirs ouverts après la pause, Saint-Quentin a souvent tourné en rond, faute de solutions.
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Pourtant, tout n’est pas à jeter. Le SQBB reste la cinquième équipe la plus efficace du championnat sur le jeu en pick and roll, preuve qu’il existe des bases solides lorsque le collectif tourne à plein régime.
À plusieurs reprises cette saison, les Axonais ont montré qu’ils étaient en mesure de jouer avec du rythme en attaque, mais sur de trop petites séquences. C’est sans doute là que se trouve la clé : Trouver comment jouer vite, comment créer du déséquilibre et jouer sans se poser des questions. L’addition d’un possible nouveau joueur capable d’apporter de la création ne pourra qu’aider cette équipe.
2 – Une défense encore trop intermittente
Une vérité qu’on a parfois tendance à oublier : l’attaque se nourrit de la défense, et inversement. Vouloir jouer « up tempo » passe d’abord par l’intensité défensive. C’est elle qui dicte le rythme, forge la confiance et insuffle l’énergie d’une équipe. L’exemple du Paris Basketball en est la preuve : on vante souvent sa folie offensive et son avalanche de tirs à trois points, mais c’est avant tout par sa défense que Paris impose son style. En étouffant l’adversaire, en le poussant à la faute, les Parisiens dictent le tempo et transforment chaque récupération en opportunité immédiate.
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Le SQBB, lui, peine encore à maintenir cette intensité dans la durée (84,9 points encaissés en moyenne). Il y parvient par séquences, souvent le temps d’un run, quand l’énergie et la communication défensive s’accordent enfin. Mais ces passages sont trop courts, trop sporadiques pour peser sur le match. L’équipe concède trop de secondes chances, trop de rebonds offensifs, autant de détails qui finissent par coûter cher. Néanmoins, à Monaco, l’équipe a livré de belles séquences défensives. Preuve que, malgré quelques errements et un manque de constance, le SQBB est capable de hausser le ton quand la solidarité et l’intensité s’alignent.
Quelques ajustements déjà visibles dans le jeu
Les signaux sont encore timides, mais réels. Plus de simplicité, plus de rythme, plus de clarté : le SQBB avance doucement vers la bonne direction. Reste maintenant à transformer ces intentions en victoire, dès samedi face à Nancy.
jey71 a écrit : ↑mer. 12 nov. 2025 19:46
Personne n'évoque que Stockton a été approché ?
Y’a pas que lui d’approcher mais on a que des refus quand ton plan C refuse un contrat sur l’année et il choisi 2 mois…
Que veux tu dire
Sur le terrain c'est un papa, il emmène tout le monde avec lui.
Et du coup jonhson pouvait passer en deux, c'était pas déconnant.
Après j Imagine que vous proposiez pas énormément financièrement ?
Fier d'être chalonnais
Défait parfois soumis jamais
À Mulhouse, le SQBB a fait parler l’ego sans faire taire les doutes
Avec 17 points, Loic Schwartz a brillé et montré qu’il était l’un des Axonais les plus en forme actuellement. Photo d’archives G.H.
Basket-ball (Betclic Élite). Mené de quinze points à moins de cinq minutes du terme face à une équipe de Nationale 1, le SQBB a frôlé la sortie de route en Coupe de France. Mais dans un sursaut d’orgueil, les hommes de Philippe Da Silva ont renversé Mulhouse pour s’offrir un peu d’air… et quelques motifs d’espoir.
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Que l’on soit devant la télévision ou sur le banc, supporter du SQBB ou acteur de ce match à Mulhouse, une même question a flotté dans l’air : « Comment Saint-Quentin peut-il s’en sortir ? » Mené de quinze points à moins de cinq minutes du terme (81-66 35e), le SQBB a frôlé le naufrage… avant de s’en extirper in extremis, au courage, presque par miracle.
CES DÉMONS TOUJOURS
BIEN INSTALLÉS
Après avoir quitté Monaco lundi matin pour rejoindre Mulhouse et disputer le deuxième tour de Coupe de France, les Axonais s’étaient fixé un double objectif : gagner, bien sûr, mais surtout se rassurer. Mais ce mardi soir, une fois encore, Saint-Quentin a manqué de régularité. Le contrat n’a été rempli qu’à moitié. Face à une formation évoluant deux divisions plus bas, le SQBB est retombé dans ses travers. Ces démons qui datent du mois d’août et qui semblent décidément bien ancrés.
« On a bien débuté la rencontre , analyse Philippe Da Silva. Mais derrière, on a recommencé à jouer de manière individuelle. Et on ne sait pas jouer comme ça. » Avant de nuancer, lucide mais pas abattu : « J e retiens surtout notre réaction. On n’a pas lâché, et ça, c’est important. »
MULHOUSE A PROFITÉ
DES DOUTES AXONAIS
Depuis deux ans, la Fédération française de basket a instauré un handicap de sept points par division d’écart. Quatorze points à combler, donc, pour le SQBB face à Mulhouse. Et si le premier effort, celui qui permet de revenir à hauteur, a été maîtrisé, le second – prendre réellement le contrôle du match – s’est révélé bien plus ardu. Au fil des minutes, et des fautes de concentration axonaises, les Alsaciens ont repris confiance, portés par un Marius Chambre incandescent, auteur de tirs venus d’une autre dimension. À la pause, Saint-Quentin n’avait effacé que la moitié de son retard (52-45 20e). « On n’a pas eu l’impact nécessaire pour faire le trou. Ils ont pris confiance, et leur adresse à trois points, combinée à notre incapacité à défendre dur, les a maintenus dans le match beaucoup trop longtemps . »
UN GROUPE QUI PROUVE
QU’IL A ENCORE DE L’EGO
Puis soudain, à cinq minutes du terme, il y a eu ce tir à trois points de Nick Johnson. À ce moment précis, tout le monde se demandait déjà comment le staff et les joueurs allaient tenter de justifier l’injustifiable. Un tir de patron. Dans son sillage, le SQBB a enchaîné un 16-0 express en moins de trois minutes. À l’orgueil, à l’ego. Celui d’un groupe qui a refusé de lâcher et qui a, enfin, décidé d’assumer ses responsabilités pour éviter une nouvelle désillusion.
« On a fait preuve de caractère, d’ego, tout simplement, souffle Philippe Da Silva. Pendant six minutes, plus rien ne rentrait, tout semblait bloqué… et puis, d’un coup, la lumière est revenue. Je veux retenir ça : cette fierté, cette réaction, ce refus de céder. Dans la période que nous traversons, on aurait pu s’écrouler. »
jey71 a écrit : ↑mer. 12 nov. 2025 19:46
Personne n'évoque que Stockton a été approché ?
Y’a pas que lui d’approcher mais on a que des refus quand ton plan C refuse un contrat sur l’année et il choisi 2 mois…
Que veux tu dire
Sur le terrain c'est un papa, il emmène tout le monde avec lui.
Et du coup jonhson pouvait passer en deux, c'était pas déconnant.
Après j Imagine que vous proposiez pas énormément financièrement ?
Y’a pas que lui d’approcher mais on a que des refus quand ton plan C refuse un contrat sur l’année et il choisi 2 mois…
Que veux tu dire
Sur le terrain c'est un papa, il emmène tout le monde avec lui.
Et du coup jonhson pouvait passer en deux, c'était pas déconnant.
Après j Imagine que vous proposiez pas énormément financièrement ?
Oui financièrement, c'est vraiment la merde....
-3% de budget par rapport à l’année dernière
-1% pour la masse salariale
On peut dire qu’on est au même niveau que l’année dernière.
PDS a eu une belle enveloppe quand même, on voit surtout qu’il s’est tourné vers des joueurs qui avait un nom (Nick, Caroline, Ekyor) et qui coûtent cher
On a eu une enveloppe supplémentaire pour nolan aussi normalement.
Sois cette enveloppe est sous le coude ou si elle a été bouffe pour recruter des ekyor o'reilly et Caroline y a eu erreur de casting.
A voir le joueur qui va arriver prochainement en arrière car à mon avis rien ne va changer à l intérieur pour l instant on va attendre la fin février à la date limite quand on sera au fond du trou pour le faire ce 2 ème changement.
Ça me fait chier de voir tout ce qui a été bâti en 5 ans et voir le club en déroute et voir le mur se rapprocher
Modifié en dernier par Snono24 le jeu. 13 nov. 2025 12:49, modifié 1 fois.
Snono24 a écrit : ↑jeu. 13 nov. 2025 11:24
On a eu une enveloppe supplémentaire bpour nolan aussi normalement.
Sois cette enveloppe est sous le coude ou si elle a été bouffe pour recruter des ekyor o'reilly et Caroline y a eu erreur de casting.
A voir le joueur qui va arriver prochainement en arrière car à mon avis rien ne va changer à l intérieur pour l instant on va attendre la fin février à la date limite quand on sera au fond du trou pour le faire ce 2 ème changement.
Ça me fait chier de voir tout ce qui a été bâti en 5 ans et voir le club en déroute et voir le mur se rapprocher
À mon avis, il n'y aura qu'un changement (O'Reilly).
Il n'y en aura pas d'autre !
Même si on est nombreux à ne pas comprendre ce changement.
À moins que ce soit O'Reilly qui en fait la demande....
Environnement ?
Attente et/ou entente avec PDS ?
Car franchement, comment peut-on juger un rendement insuffisant avec 3 min passées par match ?
Surtout qu'il a été recruté comme arrière shooteur sans avoir l'occasion de s'exprimer, et qu'il va probablement être remplacé par un meneur .
Et même si le remplaçant fait le job, on fait quoi au retour de Lucas ?
Ou alors un 2/1 (donc pas véritablement poste 1) qui sera décalé en 2 au retour de Lucas....... exactement la config d'aujourd'hui
Je ne comprends pas la proposition à Stockton.... à moins que Lucas soit parti pour une saison blanche ?
Ça ne sera pas non plus john roberson il a reprolonge à hyènes toulon.
C est dommage il était pas mal c était peut être le plan A ou B.
Tant que nous n arrivons pas au plan Q on n arrivera peut être à s en sortir.
quand ton plan C refuse un contrat sur l’année et il choisi 2 mois…
