FT87 a écrit : ↑dim. 20 juil. 2025 18:55
Plus je lis d'articles sur Alençon plus je trouve cette situation complètement irrationnelle. Comment lancer un recrutement (une pensée pour Aida Sow) et une campagne d'abonnement avec un tel déficit. Aujourd'hui les supporters qui ont pris un abonnement sont également floués (pour 20K€ au total) avec des salariés non payés à priori. Pour espérer un sauvetage, il aurait fallu que la ville, le département demandent une démission du Comité d'Administration et bien entendu du Président avant d'accorder une subvention supplémentaire et mettre en place une nouvelle équipe.
Ils ne veulent pas ! Sans doute trop peur que l'on découvre des loups...
Et là le président demande à la ville de payer les 80 000 € avant d'aller devant la commission du CNOSF...
Le président est totalement déconnecté !!!
Malheureusement, les dirigeants ont sacrifié une grosse partie du club déjà avec les jeunes.
Il faudra la création d'un nouveau club pour permettre aux jeunes d'Alençon de pouvoir jouer... et il faut savoir qu'il y a très peu de club déjà dans l'Orne qui est un désert total
La FFBB ferait bien de sortir les poules à tous les niveaux, et tant pis si des clubs seront relégués par la suite. Bon nombre de clubs préparent leur saison et vont reprendre le chemin des parquets au mois d’août. Comment anticiper les déplacements ? Réduire les coûts si le calendrier sort moins de deux mois avant le début de saison.
Et si ces clubs ne reçoivent pas l’aval de la FFBB ou du CNOSF, êtes-vous toujours en accord avec le fait que la ligue 2 ne passera pas à 14 l’année prochaine ?
carotte a écrit : ↑dim. 20 juil. 2025 21:26
(...)
Et si ces clubs ne reçoivent pas l’aval de la FFBB ou du CNOSF, êtes-vous toujours en accord avec le fait que la ligue 2 ne passera pas à 14 l’année prochaine ?
Comme indiqué dans le post du 15 juillet de ce forum (voir lien ici), post qui contient le lien vers le compte-rendu du Bureau Fédéral de la FFBB du 22 juin, le Bureau Fédéral a proposé de "sursoir à la composition d’une poule à 14 clubs" pour la LF2, tout en attendant les décisions concernant la LFB.
carotte a écrit : ↑dim. 20 juil. 2025 21:26
La FFBB ferait bien de sortir les poules à tous les niveaux, et tant pis si des clubs seront relégués par la suite. Bon nombre de clubs préparent leur saison et vont reprendre le chemin des parquets au mois d’août. Comment anticiper les déplacements ? Réduire les coûts si le calendrier sort moins de deux mois avant le début de saison.
Et si ces clubs ne reçoivent pas l’aval de la FFBB ou du CNOSF, êtes-vous toujours en accord avec le fait que la ligue 2 ne passera pas à 14 l’année prochaine ?
Certainement pas!!! Des clubs relégués par la suite après 6-7 ou 8 journées ? Cela fausserait entièrement le championnat et en plus de cela laisserait des joueuses sur le carreau! Villeurbanne en a fait les frais cette saison!
Non allons il faut pas dire n’importe quoi!
La Fede va bien se prendre la tête cet été pour remédier à ce problème, qui n’est pas le seul d’ailleurs ( La Glacerie, Tarbes, Asvel,…) et j’espère trouvera une solution pour que les joueuses ne partent pas à l’étranger !
Siutat a laissé une belle patate bien chaude à Hunckler et ses équipes !
Après la relégation de l’USBDA, la Ville d’Alençon déçue malgré leur « soutien conséquent » apporté
La décision de rétrograder le club de basket en Régionale, tombée samedi, déçoit licenciés, fans et institutions. La Ville et la communauté urbaine d’Alençon (Orne) ont réagi par voie de communiqué dans la foulée de l’annonce, regrettant que leur « soutien conséquent », surtout financier, n’ait pas suffi à convaincre la fédération.
Les Alençonnaises avaient été promues en Ligue 2 à la rentrée 2024. À celle de 2025, elles devront peut-être retourner en Régionale malgré un bon exercice achevé en demi-finale de playoffs.
Les Alençonnaises avaient été promues en Ligue 2 à la rentrée 2024. À celle de 2025, elles devront peut-être retourner en Régionale malgré un bon exercice achevé en demi-finale de playoffs.
Après avoir mis la main à la poche, la Ville et la Communauté urbaine d’Alençon (Orne) croisent désormais les doigts. Samedi, tout comme les licenciés et fans des basketteurs et basketteuses de l’union de Damigny-Alençon, la municipalité a « appris avec regret » la confirmation par la Commission de contrôle de gestion de la Fédération française de basket de la relégation de l’USBDA en Régionale 1.
Dans un communiqué de presse daté de la veille de l’annonce officielle, les deux maisons tenues par le socialiste Joaquim Pueyo regrettent que « leur soutien conséquent » n’ait pas permis au club de prouver ses garanties financières, fragilisées par un déficit de 260 000 €. Et pour cause, la municipalité n’a eu de cesse ces derniers temps de rallonger l’enveloppe dédiée, à commencer par l’augmentation de la subvention après son accession en Ligue 2, passée de 100 000 € à 160 000 € pour l’exercice 2024-2025.
Des aides conditionnées au maintien
Quand, à la mi-juin, le couperet de la relégation de l’USBDA est tombé en première instance, la Ville et la Communauté urbaine d’Alençon ont rapidement réagi en annonçant une aide exceptionnelle de 40 000 € chacune. L’idée ? Aider à maintenir le club en Ligue 2 qui « est un véritable projet de territoire », argue alors l’édile. Car, au-delà des 400 licenciés passionnés, une pensée se dirige surtout envers les « beaux résultats sportifs qui ont eu un réel impact sur l’attractivité du territoire de la CUA » se souvient-on dans le communiqué : rappelons que les six matchs de la saison à Anova ont réuni 14 000 personnes.
Pourtant, cela ne suffit pas pour faire survivre le club et obtenir ce coup de pouce supplémentaire : les deux institutions ont posé des conditions, dont la première est que le club se maintienne en Ligue 2 la saison prochaine. Pour ce faire, une seule solution : que le Comité national olympique et sportif français accepte le recours que la direction a promis de formuler. À ce sujet, la ville et la CUA « espèrent qu’il pourra aboutir favorablement » écrivent-elles dans leur communiqué joint.
Si les instances politiques de
L’Orne cautionnent l’incompétence de son président de club c’est qu’elles sont bien naïves.
La meilleure solution est de demander un compromis a la FFBB via le cnosf pour repartir en nat 1 ou 2 ,de changer de président et de repartir sur un nouveau projet sain et pérenne.
""Les Alençonnaises avaient été promues en Ligue 2 à la rentrée 2024. À celle de 2025, elles devront peut-être retourner en Régionale malgré un bon exercice achevé en demi-finale de playoffs.""
C'est un peu facile d'arriver en demi-finale de playoffs, quand tu te permets de signer 15 contrats pro effectivement tu arrives en fin de saison beaucoup plus 'frais' que certains adversaires qui se serrent la ceinture toute la saison pour rester dans les clous de leur budget prévisionnel, désolé je veux bien accepter qu'on puisse avoir un petit déficit en fin de saison mais creuser un trou de 220000€ sur une saison pour moi c'est tout simplement tricher !
En fait sur les 15 contrats il y a des joueuses qui n'ont jamais joué.
Et certaines quasiment jamais.
En fait on se demande surtout pourquoi il y a eu tant de contrats alors que les filles ne jouent pas. C'est complètement loufoque et aberrant.
"On est dans l'attente" : une joueuse de l'USBD Alençon témoigne alors que le club de basket risque d'être rétrogradé administrativement en RF1.
Alors que la Commission de Contrôle de Gestion, puis la Chambre d'Appel de la FFBB, ont décidé de rétrograder l'USBD Alençon au niveau régional, seulement un an après l'accession du club en Ligue 2, les basketteuses s'inquiètent pour leur avenir.
Que va devenir l'USBD Alençon ? Le club de basket est au bord de la disparition après la décision, en juin dernier, de la Commission de Contrôle de Gestion de le rétrograder en Régional 1.
Un premier recours, devant la Chambre d'Appel, a été rejeté la semaine dernière. La direction du club ornais va déposer un dernier recours devant le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF).
Ultime espoir de rester au niveau national.
En attendant, les joueuses professionnelles de l'USBD, toujours sous contrat, ne savent pas si elles pourront rester à Alençon et leur sort est suspendu à la décision du CNOSF . . .
"Les vacances font du bien mais on avait hâte de reprendre à la rentrée. Là, on ne peut pas dire que ce soit un été très tranquille. Cela fait plus d'un mois qu'on est dans l'attente. Donc c'est long. Le club fait de nouveau appel. Si nous, dans 15 jours on apprend que le club est relégué en RF1, on n'a plus de métier. Et le mois d'août, cela fait tard pour retrouver un autre club", confie Jade Gaillard, l'une des recrues de l'été dernier.
Une dizaine de joueuses sont plongées dans l'incertitude. Pour le moment, tant qu'elles sont sous contrat et que le club n'a pas épuisé tous les recours possibles, leur situation reste en suspens. "Pour l'instant, il n'y a pas encore de vraies discussions, en ce qui me concerne en tout cas. On ne commence pas à parler à d'autres clubs. Le mieux pour nous, ce serait qu'Alençon se maintienne après la superbe saisin qu'on avait réalisée".
La direction du club travaille d'arrache-pied pour trouver des fonds auprès des collectivités afin de combler un déficit de 260.000 euros. Des discussions ont aussi lieu en ce moment avec la fédération afin de trouver une solution pour que le club reste au plus haut niveau.
Selon nos informations, les salaires des joueuses ne sont plus versés depuis au moins deux mois et les loyers de certaines, pris en charge par le club comme convenu dans leurs contrats, ne sont plus payés depuis trois mois.
Des associations, pour qui le club s’était engagé à apporter un soutien financier, n’ont également jamais reçu les chèques promis.
Le club est actuellement en cessation de paiements et le spectre d’une liquidation judiciaire pèse sur sa tête. Si tel était le cas, le club devrait alors procéder au licenciement de l’ensemble de ses salariés et l’association disparaîtra, condamnant ainsi toutes les équipes à repartir de zéro, au sein d’une association nouvellement créée.
Le président de l'USBD Christophe Gandini, assure que le club n'est pas en cessation de paiement : "Que ce risque soit là, oui. Mais avant de penser à cela, je préfère rester concentré sur le travail que l'on mène. C'est un travail en commun de toutes les parties, que ce soit le club, la région, le département, les partenaires et la fédération, pour que ce club continue dans son ensemble. Je pense aux familles, aux éducateurs. Ils sont tout aussi importants que l'équipe professionnelle" . . .
L'USBDA compte au total 350 licenciés. Une dizaine d'éducateurs sont salariés du club, en plus du staff qui travaille pour l'équipe première.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !" Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
cousteau a écrit : ↑mer. 23 juil. 2025 15:56
Recours de l’usbda étudié par le cnosf le 2 août.
Max 10 jours pour rendre la décision donc sortie des calendriers vers le 8/10 août
Maximum 10 jours pour rendre la décision, je ne sais pas où vous avez lu cela, @cousteau, mais Tarbes a déposé son recours le vendredi 27 juin 2025 au CNOSF, et à ce jour, aucune décision n'est sortie, et les 10 jours sont déjà passés depuis longtemps.... Comme indiqué dans un post dans le forum [LFB 2025 - 2026], (voir lien ici) dans ses règlements et statuts, le CNOSF a un mois pour proposer une décision de conciliation. Donc selon moi, il ne faut pas s'attendre à une décision dans 10 jours.
Dans le même post cité ci-dessus, après le 15 juillet, la FFBB peut prendre une décision concernant la composition des poules ou groupes. Ensuite c'est au Bureau Fédéral de prendre une décision de remplacement d'un club.
Donc, selon moi, avant que le CNOSF rende une décision concernant Alençon, le Bureau Fédéral aura déjà pris la décision de remplacement par la SIG. On verra....
