TRANSFERTS NF1
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Patou
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Re: TRANSFERTS NF1
Tous les clubs de NF1 et NF2 soumettent chaque année leurs comptes au contrôle de la CCG (la DNCG c'est pour le foot).
Modifié en dernier par Patou le mer. 14 mai 2025 19:58, modifié 1 fois.
"L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer par ses secondes pensées de la justesse des premières et acquérir, à l'instar de la nature, la maturité de ses productions !"
Henri François d'Aguesseau (1668-1751).
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drazenmirabelle
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Re: TRANSFERTS NF1
1ère recrue pour Monaco : Maud Stervinou (Landerneau).
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basketbreton
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Re: TRANSFERTS NF1
Recrutement boucle à la Glacerie, 4 recrues dont Fanta Bamba d'Alençon
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basketbreton
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Re: TRANSFERTS NF1
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Basket. L’USLG Cherbourg sera-t-elle maintenue en N1F ?
L’USLG Cherbourg passait, lundi 26 mai 2025, devant la commission de gestion de la Fédération Française de basket pour connaître son avenir sportif, après ses déboires financiers.
L’avenir de l’USLG Cherbourg en N1F se joue cette semaine.
Newsletter Basket
Chaque semaine, retrouvez l'actualité du basket à travers ses acteurs et ses plus belles histoires
Après avoir vu sa proposition de plan de continuation, pour éponger ses dettes sur dix ans, acceptée par le tribunal judiciaire de Cherbourg, le 12 mai dernier, l’USLG passait hier devant la commission de gestion de la Fédération Française de basket pour connaître son avenir sportif. Pour rappel, le club de basket féminin du Cotentin avait été placé en redressement judiciaire le 30 septembre dernier en raison d’une dette avoisinant les 100 000 €, mais ne l’est plus depuis deux semaines.
Une réponse mercredi ?
Cette audition est-elle une formalité pour le club manchois où risque-t-il un avis défavorable de la fédération ? « Ce qui peut mal se passer c’est que la fédération française reste accrochée à son règlement, car le fait d’être en redressement judiciaire en cours de saison entraîne une relégation, sauf qu’après c’est un point juridique sur lequel on n’est pas d’accord et qu’ils n’ont pas de jurisprudence par rapport à ça, explique Sylvain Jean, président du club du Cotentin. Ils n’ont jamais vu, auparavant un club qui rentre et qui ressort du redressement judiciaire au cours de saison. »
La réponse de la commission ne devrait être connue que mercredi soir, mais le président Cherbourgeois reste optimiste. « Sur la solution finale, on reste optimiste, mais ça ne fait pas la décision. Sinon, ça serait trop facile, souligne Sylvain Jean. On a travaillé pour et on a fait ce qu’il fallait auprès du tribunal. Je pense que la Fédération française aurait des grosses difficultés à aller finalement contre la décision du tribunal. Mais ça reste deux instances complètement différentes. »
Basket. L’USLG Cherbourg sera-t-elle maintenue en N1F ?
L’USLG Cherbourg passait, lundi 26 mai 2025, devant la commission de gestion de la Fédération Française de basket pour connaître son avenir sportif, après ses déboires financiers.
L’avenir de l’USLG Cherbourg en N1F se joue cette semaine.
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Après avoir vu sa proposition de plan de continuation, pour éponger ses dettes sur dix ans, acceptée par le tribunal judiciaire de Cherbourg, le 12 mai dernier, l’USLG passait hier devant la commission de gestion de la Fédération Française de basket pour connaître son avenir sportif. Pour rappel, le club de basket féminin du Cotentin avait été placé en redressement judiciaire le 30 septembre dernier en raison d’une dette avoisinant les 100 000 €, mais ne l’est plus depuis deux semaines.
Une réponse mercredi ?
Cette audition est-elle une formalité pour le club manchois où risque-t-il un avis défavorable de la fédération ? « Ce qui peut mal se passer c’est que la fédération française reste accrochée à son règlement, car le fait d’être en redressement judiciaire en cours de saison entraîne une relégation, sauf qu’après c’est un point juridique sur lequel on n’est pas d’accord et qu’ils n’ont pas de jurisprudence par rapport à ça, explique Sylvain Jean, président du club du Cotentin. Ils n’ont jamais vu, auparavant un club qui rentre et qui ressort du redressement judiciaire au cours de saison. »
La réponse de la commission ne devrait être connue que mercredi soir, mais le président Cherbourgeois reste optimiste. « Sur la solution finale, on reste optimiste, mais ça ne fait pas la décision. Sinon, ça serait trop facile, souligne Sylvain Jean. On a travaillé pour et on a fait ce qu’il fallait auprès du tribunal. Je pense que la Fédération française aurait des grosses difficultés à aller finalement contre la décision du tribunal. Mais ça reste deux instances complètement différentes. »
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Re: TRANSFERTS NF1
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« On fait comme si on y était déjà » : Saumur Loire Basket met le cap sur la Nationale 1
À l’issue d’une saison 2024-2025 conclue par une deuxième place frustrante en Nationale 2, le Saumur Loire Basket 49 se prépare néanmoins à se voir proposer une accession à l’échelon supérieur. Une première dans l’histoire du club.
Nadir Naïdji, entraîneur des seniors féminines de Saumur Loire Basket 49.
Samedi 12 avril 2025, palais des sports de Tarbes, Hautes-Pyrénées. Au terme d’un match sans envie ni orgueil, Saumur Loire Basket 49 s’incline 64-62 sur le parquet de l’avant-dernier du championnat. Au même moment, 475 kilomètres plus au nord, Lamboisières-Martin Basket signe une performance majuscule dans son antre de la Coudre face à Gimont (81-64) et prend la tête de la Nationale 2, au nez et à la barbe de Saumur. À deux journées de la fin, Nadir Naïdji, entraîneur du SLB49, ne se fait plus d’illusion : " Je pense que l’on a perdu le championnat aujourd’hui. On ne peut s’en vouloir qu’à nous-même. " La fin de saison lui donnera raison.
Un heureux concours de circonstances
Un peu plus d’un mois après cette déconvenue, l’ambiance a radicalement changé dans les rangs du SLB49. D’une défaite censée sceller les espoirs de promotion en Nationale 1 (seul le champion accède à l’échelon supérieur), le club prépare aujourd’hui… sa montée ! En effet, un heureux concours de circonstances devrait permettre aux Saumuroises d’évoluer au troisième échelon du basket français féminin la saison prochaine, une première dans l’histoire du club. Une opportunité due au passage à 14 clubs de la Ligue Féminine 2 (au lieu de 12) et aux difficultés financières de certains clubs de Nationale 1 : l’AS Villeurbanne (dépôt de bilan), Roanne et l’USLG Cherbourg-en-Cotentin (redressements judiciaires).
[Cette saison, Saumur présente un bilan de 18 victoires pour seulement quatre défaites en championnat.]
L’article 704.4.1 du règlement de la FFBB indique que " tout club faisant l’objet de l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire sera au minimum rétrogradé dans la division inférieure pour la saison sportive suivante »." " La Fédération n’a, à ma connaissance, jamais dérogé à cette règle ", indique Nadir Naïdji. Une situation qui devrait libérer au moins une place pour le meilleur deuxième des quatre poules de Nationale 2, à savoir le SLB49. " Pour être honnête, je le savais depuis très longtemps, même si je n’en parlais pas aux joueuses. "
« Pas l’impression de voler cette montée »
La FFBB devrait rendre sa décision officielle le 15 juillet. Mais officieusement, Saumur a déjà commencé à préparer sa montée en Nationale 1. Si le président Michel Expert assure que le club " ne fera pas de folie ", il a déjà commencé à démarcher des partenaires supplémentaires. L’effectif ne devrait pas énormément bouger non plus. " Nous ne devrions perdre que deux joueuses cet été, dont une cadre ", prévoit le Nadir Naïdji. " Côté arrivées, nous en prévoyons cinq. On fait comme si on y était déjà et, même si on devait rester en N2 pour une raison quelconque, nous aurions un club taillé pour jouer la montée. "
[Michel Expert, président du Saumur Loire Basket 49.]
Avant tout, Saumur souhaite capitaliser sur les valeurs d’un club " familial et humain ", d’une équipe unie qui a longtemps dominé le championnat cette année (une seule défaite entre le 23 novembre et le 3 mai) et qui n’a " pas l’impression de voler cette montée ". L’an prochain, la mission sera clairement celle du maintien dans un championnat très différent de la N2, plus exigeant sportivement, mais avec la possibilité de s’y installer quelques années en raison des repêchages fréquents. " On jouera tous les matchs pour les gagner, on ne se met aucune pression ", conclu le coach, qui assure prendre toujours autant de plaisir au sein d’un club dont il est très attaché.
« On fait comme si on y était déjà » : Saumur Loire Basket met le cap sur la Nationale 1
À l’issue d’une saison 2024-2025 conclue par une deuxième place frustrante en Nationale 2, le Saumur Loire Basket 49 se prépare néanmoins à se voir proposer une accession à l’échelon supérieur. Une première dans l’histoire du club.
Nadir Naïdji, entraîneur des seniors féminines de Saumur Loire Basket 49.
Samedi 12 avril 2025, palais des sports de Tarbes, Hautes-Pyrénées. Au terme d’un match sans envie ni orgueil, Saumur Loire Basket 49 s’incline 64-62 sur le parquet de l’avant-dernier du championnat. Au même moment, 475 kilomètres plus au nord, Lamboisières-Martin Basket signe une performance majuscule dans son antre de la Coudre face à Gimont (81-64) et prend la tête de la Nationale 2, au nez et à la barbe de Saumur. À deux journées de la fin, Nadir Naïdji, entraîneur du SLB49, ne se fait plus d’illusion : " Je pense que l’on a perdu le championnat aujourd’hui. On ne peut s’en vouloir qu’à nous-même. " La fin de saison lui donnera raison.
Un heureux concours de circonstances
Un peu plus d’un mois après cette déconvenue, l’ambiance a radicalement changé dans les rangs du SLB49. D’une défaite censée sceller les espoirs de promotion en Nationale 1 (seul le champion accède à l’échelon supérieur), le club prépare aujourd’hui… sa montée ! En effet, un heureux concours de circonstances devrait permettre aux Saumuroises d’évoluer au troisième échelon du basket français féminin la saison prochaine, une première dans l’histoire du club. Une opportunité due au passage à 14 clubs de la Ligue Féminine 2 (au lieu de 12) et aux difficultés financières de certains clubs de Nationale 1 : l’AS Villeurbanne (dépôt de bilan), Roanne et l’USLG Cherbourg-en-Cotentin (redressements judiciaires).
[Cette saison, Saumur présente un bilan de 18 victoires pour seulement quatre défaites en championnat.]
L’article 704.4.1 du règlement de la FFBB indique que " tout club faisant l’objet de l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire sera au minimum rétrogradé dans la division inférieure pour la saison sportive suivante »." " La Fédération n’a, à ma connaissance, jamais dérogé à cette règle ", indique Nadir Naïdji. Une situation qui devrait libérer au moins une place pour le meilleur deuxième des quatre poules de Nationale 2, à savoir le SLB49. " Pour être honnête, je le savais depuis très longtemps, même si je n’en parlais pas aux joueuses. "
« Pas l’impression de voler cette montée »
La FFBB devrait rendre sa décision officielle le 15 juillet. Mais officieusement, Saumur a déjà commencé à préparer sa montée en Nationale 1. Si le président Michel Expert assure que le club " ne fera pas de folie ", il a déjà commencé à démarcher des partenaires supplémentaires. L’effectif ne devrait pas énormément bouger non plus. " Nous ne devrions perdre que deux joueuses cet été, dont une cadre ", prévoit le Nadir Naïdji. " Côté arrivées, nous en prévoyons cinq. On fait comme si on y était déjà et, même si on devait rester en N2 pour une raison quelconque, nous aurions un club taillé pour jouer la montée. "
[Michel Expert, président du Saumur Loire Basket 49.]
Avant tout, Saumur souhaite capitaliser sur les valeurs d’un club " familial et humain ", d’une équipe unie qui a longtemps dominé le championnat cette année (une seule défaite entre le 23 novembre et le 3 mai) et qui n’a " pas l’impression de voler cette montée ". L’an prochain, la mission sera clairement celle du maintien dans un championnat très différent de la N2, plus exigeant sportivement, mais avec la possibilité de s’y installer quelques années en raison des repêchages fréquents. " On jouera tous les matchs pour les gagner, on ne se met aucune pression ", conclu le coach, qui assure prendre toujours autant de plaisir au sein d’un club dont il est très attaché.
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Re: TRANSFERTS NF1
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Basket. N1F : « Un recrutement bouclé à 90 % » pour l’USLG Cherbourg
Sylvain Jean, le président de l’USLG Cherbourg, et l’entraîneur Maxime Bureau ont dressé le bilan de l’année du club et annoncé être déjà dans une étape de finalisation du recrutement.
Sylvain Jean, président de l’USLG Cherbourg (Manche, N1F) pour la saison 2024-2025.
Fanta Bamba (1,61 m, poste 1-2), voilà le nom de la première recrue cherbourgeoise. Une jeune joueuse de 19 ans qui a fait ses classes dans le centre de formation de Landerneau avant de rejoindre, en novembre 2024, le club d’Alençon en Ligue 2 avec un temps de jeu compté mais suffisant pour convaincre l’entraîneur de l’USLG Cherbourg, Maxime Bureau, de la recruter. Aucune information supplémentaire ne filtrera sur le recrutement « qui est bouclé à 90 %, quatre recrues, on attend juste une dernière signature », précisent en chœur Sylvain Jean, le président, et Maxime Bureau lors d’un point presse fixé avant le départ en vacances ce mercredi 28 mai 2025.
Pas d’équipe réserve en N3 ?
Une réunion bilan « à l’issue d’une saison sportive réussie. On aurait pu être barragiste pour une montée en ligue 2 qui reste notre objectif à moyen terme » précise le président cherbourgeois. « La situation du club n’a pas parasité la saison, les joueuses sont restées concentrées, on a toujours communiqué avec le groupe sur les problèmes financiers. »
Des problèmes qui ont des impacts sur le club et l’ensemble de sa structure. « À ce jour, nous ne sommes pas sûrs de monter une réserve en N3, on y réfléchit. On va vraiment se focaliser sur la N1. Bien évidemment, un centre de formation et une équipe nationale constituaient un excellent tremplin pour la N1, mais financièrement, cela a un impact, nous n’avons pas vocation à indemniser des joueuses qui viennent de l’extérieur et qui jouent en N2. Ce n’est plus la politique du club. » Maxime Bureau ne fait pourtant pas l’impasse sur la formation. « On va insister sur les jeunes du club qui vont être associées aux entraînements, repartir sur une formation en interne et qu’elles profitent à fond de la structure. »
Concernant la situation du club, Sylvain Jean attend avec impatience la décision de la fédération ce lundi 26 mai. « Rien de nouveau pour nous, on est convoqué, on va défendre notre dossier, comme tous les ans. J’espère une réponse pour le mercredi 28 mai. Je suis très optimiste, le plan de continuation a été validé par le tribunal administratif. Le seul hic, c’est que l’on a été en redressement judiciaire donc on doit être rétrogradé. C’est le règlement. Mais juridiquement, ça ne tient pas si on va plus loin car nous sommes sortis du redressement judiciaire. C’est ce point juridique qui fera la différence. »
Des interrogations qui ne parasitent pas la préparation de la saison. Pour Sylvain Jean, « le club continue à attirer de bonnes joueuses qui sont séduites par le projet de jeu et qui se plaisent ici. On n’a pas de mal à attirer du monde ici. »
n
Le groupe 25/26 : Féret, Cossais, Effa M’Fegue, Marquet, Ouita, Brosset, Bamba.
Basket. N1F : « Un recrutement bouclé à 90 % » pour l’USLG Cherbourg
Sylvain Jean, le président de l’USLG Cherbourg, et l’entraîneur Maxime Bureau ont dressé le bilan de l’année du club et annoncé être déjà dans une étape de finalisation du recrutement.
Sylvain Jean, président de l’USLG Cherbourg (Manche, N1F) pour la saison 2024-2025.
Fanta Bamba (1,61 m, poste 1-2), voilà le nom de la première recrue cherbourgeoise. Une jeune joueuse de 19 ans qui a fait ses classes dans le centre de formation de Landerneau avant de rejoindre, en novembre 2024, le club d’Alençon en Ligue 2 avec un temps de jeu compté mais suffisant pour convaincre l’entraîneur de l’USLG Cherbourg, Maxime Bureau, de la recruter. Aucune information supplémentaire ne filtrera sur le recrutement « qui est bouclé à 90 %, quatre recrues, on attend juste une dernière signature », précisent en chœur Sylvain Jean, le président, et Maxime Bureau lors d’un point presse fixé avant le départ en vacances ce mercredi 28 mai 2025.
Pas d’équipe réserve en N3 ?
Une réunion bilan « à l’issue d’une saison sportive réussie. On aurait pu être barragiste pour une montée en ligue 2 qui reste notre objectif à moyen terme » précise le président cherbourgeois. « La situation du club n’a pas parasité la saison, les joueuses sont restées concentrées, on a toujours communiqué avec le groupe sur les problèmes financiers. »
Des problèmes qui ont des impacts sur le club et l’ensemble de sa structure. « À ce jour, nous ne sommes pas sûrs de monter une réserve en N3, on y réfléchit. On va vraiment se focaliser sur la N1. Bien évidemment, un centre de formation et une équipe nationale constituaient un excellent tremplin pour la N1, mais financièrement, cela a un impact, nous n’avons pas vocation à indemniser des joueuses qui viennent de l’extérieur et qui jouent en N2. Ce n’est plus la politique du club. » Maxime Bureau ne fait pourtant pas l’impasse sur la formation. « On va insister sur les jeunes du club qui vont être associées aux entraînements, repartir sur une formation en interne et qu’elles profitent à fond de la structure. »
Concernant la situation du club, Sylvain Jean attend avec impatience la décision de la fédération ce lundi 26 mai. « Rien de nouveau pour nous, on est convoqué, on va défendre notre dossier, comme tous les ans. J’espère une réponse pour le mercredi 28 mai. Je suis très optimiste, le plan de continuation a été validé par le tribunal administratif. Le seul hic, c’est que l’on a été en redressement judiciaire donc on doit être rétrogradé. C’est le règlement. Mais juridiquement, ça ne tient pas si on va plus loin car nous sommes sortis du redressement judiciaire. C’est ce point juridique qui fera la différence. »
Des interrogations qui ne parasitent pas la préparation de la saison. Pour Sylvain Jean, « le club continue à attirer de bonnes joueuses qui sont séduites par le projet de jeu et qui se plaisent ici. On n’a pas de mal à attirer du monde ici. »
n
Le groupe 25/26 : Féret, Cossais, Effa M’Fegue, Marquet, Ouita, Brosset, Bamba.
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Ezhno
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Re: TRANSFERTS NF1
Au moins, c'est honnête même s'il y a un peu de langue de bois pour le côté politique.
La formation n'est plus une priorité pour La Glacerie et plusieurs clubs ont aussi fait ce choix sans l'annoncé.
Il y aura toujours la possibilité pour les jeunes d'évoluer à la Hague (NF3) ou Cherbourg qui a pour projet la montée en NF3 rapidement
La formation n'est plus une priorité pour La Glacerie et plusieurs clubs ont aussi fait ce choix sans l'annoncé.
Il y aura toujours la possibilité pour les jeunes d'évoluer à la Hague (NF3) ou Cherbourg qui a pour projet la montée en NF3 rapidement
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Syllau
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Re: TRANSFERTS NF1
A Cherbourg il y a déjà les garçons qui montent en N2 financièrement ça va certainement suffir ...
Pas sur que l effectif actuel (qui perdent qd mm un élément majeur : leur intérieure) ait le niveau pour viser la montée.
Pas sur que l effectif actuel (qui perdent qd mm un élément majeur : leur intérieure) ait le niveau pour viser la montée.
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Syllau
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Re: TRANSFERTS NF1
Quelle a été la décision prise par la fédération concernant le maintien ou non de l USLG en N1 ?
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basketbreton
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Re: TRANSFERTS NF1
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CHAURAY SOLLICITE EN N1?
Basket-ball - N2 féminine. Nouvel entraîneur, trois recrues : Chauray a la N1 dans le viseur
Alors que la troisième place décrochée début mai en Nationale 2 n’a pas complètement satisfait le promu chauraisien, le staff et l’effectif du BC Chauray sont déjà bouclés pour la saison 2025-2026. Avec l’ambition de rejoindre, à court terme, l’échelon supérieur.
Jean-Baptiste Dieulangard, entraîneur, et Fred Duflos, président, encadrent Marion Hamel et Clarisse Sahun.
Jean-Baptiste Dieulangard, entraîneur, et Fred Duflos, président, encadrent Marion Hamel et Clarisse Sahun. | CO - JÉRÔME JARNOUX
maine, retrouvez l'actualité du basket à travers ses acteurs et ses plus belles histoires
Chauray basket a tourné la page d’une saison 2024-2025 achevée à la troisième place de la poule B de Nationale 2 féminine, au début du mois de mai, avec un petit goût d’inachevé. " On aurait pu finir en tête, cela s’est joué sur trois défaites à domicile, d’un, deux et trois points (contre Garonne, Saumur et Orthez, NDLR) ", estime Fred Duflos.
Pour " essayer de faire mieux ", le président chauraisien et les dirigeants ont décidé de ne pas renouveler leur confiance à Sullivan Cazalon, arrivé seulement un an auparavant. Jean-Baptiste Dieulangard lui succédera sur le banc. " C’est presque une suite logique ", remarque Fred Duflos. " On était déjà en contact avec JB la saison dernière et je l’ai naturellement rappelé au printemps. " Le technicien n’est pas un inconnu en Deux-Sèvres, puisqu’il a entraîné Thouars basket en Nationale 1 féminine de 2017 à 2019, avant de rejoindre Pornic, où il a entraîné l’équipe masculine, avant de basculer au poste de manager général en 2023. " Je ne cherchais pas forcément, mais le discours de Fred Duflos m’a motivé. J’ai senti quelque chose de structuré et d’ambitieux ", appuie Jean-Baptiste Dieulangard.
« Deux profils qui manquaient à l’équipe »
La signature de l’entraîneur s’accompagne du recrutement de trois joueuses au sein d’un effectif stable. Alors que l’intérieure Laura Dimithé et l’ailière Joanny Martingoulet quittent le club, ces départs sont largement compensés par les signatures de la meneuse Clarisse Sahun, de l’ailière Marion Hamel et de l’intérieure Zénabou Sieza. Les deux premières, qui arrivent de Douvres (Nationale 2), ont livré leurs premières impressions ce lundi 2 juin. " Chauray est un club ambitieux, déjà bien structuré, même s’il n’évolue en N2 que depuis un an ", apprécie Clarisse Sahun, 25 ans, qui apportera son " agressivité des deux côtés du terrain ". " Il y a le challenge sportif, mais aussi le côté humain qui a fait que c’était assez facile de se décider ", relaie Marion Hamel, 25 ans également, dont la polyvalence est appréciée par son nouvel entraîneur. " Ce sont deux profils qui manquaient à l’équipe ", observe aussi Jean-Baptiste Dieulangard.
Zénabou Sieza apportera, elle, de la taille dans le secteur intérieur. L’Ivoirienne (1,90 m, 28 ans) évoluait cette saison à Lima Horta, en Ligue B espagnole, après avoir porté les couleurs d’Escaudain (Nord) en N1, et prépare actuellement la prochaine Coupe d’Afrique des nations, qui se déroulera à la fin du mois de juillet à Abidjan. " C’était l’option numéro 1 pour remplacer Laura (Dimithé, NDLR) ", appuie Fred Duflos, qui compte sur Minata Fofana pour faciliter son intégration.
" On a la chance d’avoir déjà des joueuses de qualité dans l’effectif. Les recrues n’arrivent pas en terrain conquis, mais pour apporter un plus, être complémentaires. " " On a une équipe ultra-compétitive pour la N2 " , conclut Jean-Baptiste Dieulangard. Et plus si affinités…
À SAVOIR. Vers un repêchage en Nationale 1 féminine ?
Resté à la porte de la N1 sur le plan sportif, Chauray basket pourrait néanmoins intégrer ce niveau par le biais d’un repêchage. " On va peut-être nous solliciter en raison des problèmes financiers de clubs de NF1 ", dévoile Fred Duflos. " On en saura plus d’ici quinze jours. En tout cas, on s’est mis en ordre de marche pour apporter une réponse positive. Le plus compliqué, c’est le budget, avec une augmentation de 60 000 €, mais les partenaires nous suivent. On saisira notre chance car l’objectif du club, à court terme, est de monter en N1. " L’opportunité pourrait arriver plus vite que prévu. En cas de repêchage, une quatrième joueuse serait recrutée.
CHAURAY SOLLICITE EN N1?
Basket-ball - N2 féminine. Nouvel entraîneur, trois recrues : Chauray a la N1 dans le viseur
Alors que la troisième place décrochée début mai en Nationale 2 n’a pas complètement satisfait le promu chauraisien, le staff et l’effectif du BC Chauray sont déjà bouclés pour la saison 2025-2026. Avec l’ambition de rejoindre, à court terme, l’échelon supérieur.
Jean-Baptiste Dieulangard, entraîneur, et Fred Duflos, président, encadrent Marion Hamel et Clarisse Sahun.
Jean-Baptiste Dieulangard, entraîneur, et Fred Duflos, président, encadrent Marion Hamel et Clarisse Sahun. | CO - JÉRÔME JARNOUX
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Chauray basket a tourné la page d’une saison 2024-2025 achevée à la troisième place de la poule B de Nationale 2 féminine, au début du mois de mai, avec un petit goût d’inachevé. " On aurait pu finir en tête, cela s’est joué sur trois défaites à domicile, d’un, deux et trois points (contre Garonne, Saumur et Orthez, NDLR) ", estime Fred Duflos.
Pour " essayer de faire mieux ", le président chauraisien et les dirigeants ont décidé de ne pas renouveler leur confiance à Sullivan Cazalon, arrivé seulement un an auparavant. Jean-Baptiste Dieulangard lui succédera sur le banc. " C’est presque une suite logique ", remarque Fred Duflos. " On était déjà en contact avec JB la saison dernière et je l’ai naturellement rappelé au printemps. " Le technicien n’est pas un inconnu en Deux-Sèvres, puisqu’il a entraîné Thouars basket en Nationale 1 féminine de 2017 à 2019, avant de rejoindre Pornic, où il a entraîné l’équipe masculine, avant de basculer au poste de manager général en 2023. " Je ne cherchais pas forcément, mais le discours de Fred Duflos m’a motivé. J’ai senti quelque chose de structuré et d’ambitieux ", appuie Jean-Baptiste Dieulangard.
« Deux profils qui manquaient à l’équipe »
La signature de l’entraîneur s’accompagne du recrutement de trois joueuses au sein d’un effectif stable. Alors que l’intérieure Laura Dimithé et l’ailière Joanny Martingoulet quittent le club, ces départs sont largement compensés par les signatures de la meneuse Clarisse Sahun, de l’ailière Marion Hamel et de l’intérieure Zénabou Sieza. Les deux premières, qui arrivent de Douvres (Nationale 2), ont livré leurs premières impressions ce lundi 2 juin. " Chauray est un club ambitieux, déjà bien structuré, même s’il n’évolue en N2 que depuis un an ", apprécie Clarisse Sahun, 25 ans, qui apportera son " agressivité des deux côtés du terrain ". " Il y a le challenge sportif, mais aussi le côté humain qui a fait que c’était assez facile de se décider ", relaie Marion Hamel, 25 ans également, dont la polyvalence est appréciée par son nouvel entraîneur. " Ce sont deux profils qui manquaient à l’équipe ", observe aussi Jean-Baptiste Dieulangard.
Zénabou Sieza apportera, elle, de la taille dans le secteur intérieur. L’Ivoirienne (1,90 m, 28 ans) évoluait cette saison à Lima Horta, en Ligue B espagnole, après avoir porté les couleurs d’Escaudain (Nord) en N1, et prépare actuellement la prochaine Coupe d’Afrique des nations, qui se déroulera à la fin du mois de juillet à Abidjan. " C’était l’option numéro 1 pour remplacer Laura (Dimithé, NDLR) ", appuie Fred Duflos, qui compte sur Minata Fofana pour faciliter son intégration.
" On a la chance d’avoir déjà des joueuses de qualité dans l’effectif. Les recrues n’arrivent pas en terrain conquis, mais pour apporter un plus, être complémentaires. " " On a une équipe ultra-compétitive pour la N2 " , conclut Jean-Baptiste Dieulangard. Et plus si affinités…
À SAVOIR. Vers un repêchage en Nationale 1 féminine ?
Resté à la porte de la N1 sur le plan sportif, Chauray basket pourrait néanmoins intégrer ce niveau par le biais d’un repêchage. " On va peut-être nous solliciter en raison des problèmes financiers de clubs de NF1 ", dévoile Fred Duflos. " On en saura plus d’ici quinze jours. En tout cas, on s’est mis en ordre de marche pour apporter une réponse positive. Le plus compliqué, c’est le budget, avec une augmentation de 60 000 €, mais les partenaires nous suivent. On saisira notre chance car l’objectif du club, à court terme, est de monter en N1. " L’opportunité pourrait arriver plus vite que prévu. En cas de repêchage, une quatrième joueuse serait recrutée.
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drazenmirabelle
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Re: TRANSFERTS NF1
A ce rythme là, les 10 premiers de la poule B de N2 vont monter en N1... 
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Le métis
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