
[topic unique] LIVRE
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Re: [topic unique] LIVRE
donc tu l'as lu 2 fois. T'avais pas tout compris la 1° fois ? 

La soumission est autant que le fanatisme à l'origine des pires abominations du XX°s. La démocratie est plus menacée par l'obéissance servile que la désobéissance civile.
Qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égards ni patience.
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Re: [topic unique] LIVRE
on ne comprend pas toujours, même la deuxième fois… 
le pire, c’est quand on comprend autre chose la deuxième fois, ou qu’on ne comprend plus rien…

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••• US GoGo MadMax …
avant j’étais homme d’affaires maintenant je suis homme à tout faire…I’m too fair…
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Re: [topic unique] LIVRE
"La rose dans le bus jaune" (Eugène Ebodé).
L'histoire de Rosa Parks et de la ségrégation raciale aux Etats Unis
dans les années 50 et 60.
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Re: [topic unique] LIVRE
La Fuite de M.Monde de Georges SImenon
Madame Monde se rend au Commissariat 3 jours après la disparition de son mari... Rien ne laissait présager que quoi que ce soit allait se passer dans la vie sans histoire du couple Monde....
Pourtant, 3 jours auparavant, M.Monde, à l'issue d'une histoire impliquant son fils dans l'honorable entreprise qu'il dirige depuis qu'il est jeune homme après l'avoir reprise en main, quitte son travail un peu plus tôt que d'habitude, se rend à la banque d'où il retire une forte somme d'argent et se dirige gare de Lyon d'où il prend le premier train de nuit en partance pour Marseille...
C'est une nouvelle fois un texte remarquable... Qui n'a pas rêvé de tout plaquer, tout quitter, dans une vie trop installée, trop confortable, pour tenter sans se retourner de vivre quelque chose de différent où il n'apparaîtrait plus dans le rôle qui est le sien et lui a quasiment donné une peau qu'on aimerait bien perdre pour retrouver quelque chose qui soit plus proche de ce que l'on aimerait être et vivre pleinement...
Mais il est difficile de tout quitter, de tout oublier, ce que l'on a construit, bâtit, ne finit pas nécessairement par vous retrouver, mais fait aussi partie de ce qui est devenu votre nature à laquelle il est bien difficile d'échapper et rend, en quelque sorte la fugue illusoire, l'essentiel étant de boire l'illusion pendant un temps qui n'est pas perdu....
Madame Monde se rend au Commissariat 3 jours après la disparition de son mari... Rien ne laissait présager que quoi que ce soit allait se passer dans la vie sans histoire du couple Monde....
Pourtant, 3 jours auparavant, M.Monde, à l'issue d'une histoire impliquant son fils dans l'honorable entreprise qu'il dirige depuis qu'il est jeune homme après l'avoir reprise en main, quitte son travail un peu plus tôt que d'habitude, se rend à la banque d'où il retire une forte somme d'argent et se dirige gare de Lyon d'où il prend le premier train de nuit en partance pour Marseille...
C'est une nouvelle fois un texte remarquable... Qui n'a pas rêvé de tout plaquer, tout quitter, dans une vie trop installée, trop confortable, pour tenter sans se retourner de vivre quelque chose de différent où il n'apparaîtrait plus dans le rôle qui est le sien et lui a quasiment donné une peau qu'on aimerait bien perdre pour retrouver quelque chose qui soit plus proche de ce que l'on aimerait être et vivre pleinement...
Mais il est difficile de tout quitter, de tout oublier, ce que l'on a construit, bâtit, ne finit pas nécessairement par vous retrouver, mais fait aussi partie de ce qui est devenu votre nature à laquelle il est bien difficile d'échapper et rend, en quelque sorte la fugue illusoire, l'essentiel étant de boire l'illusion pendant un temps qui n'est pas perdu....
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Re: [topic unique] LIVRE
"Il n'est pas celui que vous croyez". (Valérie Benaïm)
Une enquête sur ces femmes amoureuses de tueurs et violeurs en série (Nordhal Lelandais, Guy
Georges, Patrice Alègre, etc...).
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Re: [topic unique] LIVRE
Independance de Richard Ford
Je suis rentré dans l'oeuvre de Richard Ford par Canada publié au début des années 10, récompensé par le Fémina Etranger que j'avais trouvé de très bonne facture, le genre de bouquin dont on se souvient longtemps...
J'ai poursuivi par cet ouvrage publié au milieu des années 90 et qui fut lui récompensé par le Pullitzer... Roman à la fois très différent du précédent (ou plutôt du suivant si l'on suit l'ordre chronologique...) et semblable...
Semblable parce qu'il y'est une nouvelle fois question de la génération de Ford celle qu'on pourrait presque caractérisé du qualificatif de boomers même si née un peu avant la seconde guerre mondiale mais ayant vécu sur le continent américain et ne l'aura jamais connu, que de loin...
Différent parce que le roman se passe lorsque les personnages sont en pleine force de l'âge à savoir dans la quarantaine alors que Canada faisait en quelque sorte le bilan d'une existence à travers la remémorisation de l'enfance....
Mais la principale différence tient au style... Sans doute d'ailleurs pour cela que le roman a été primé, parce que j'ai trouvé qu'il y'avait beaucoup de l'exercice de style ce qui a quelque chose à la fois d'artificiel et d'original...
Independance est en fait le week-end d'un jeune divorcé qui doit passer son week-end du 4 juillet avec son fils dont sa mère qui vit avec un autre homme à la garde... On y suit presque heure par heure ce long week-end quasi en temps réel car il faut presque autant de temps pour lire ce roman qu"il en faut pour vivre ce qui est écrit, hors temps de sommeil des personnages...
C'est donc très très détaillé et c'est surprenant au début car contrairement à ce dont on a l'habitude dans un roman où l'on va à l'essentiel des faits et gestes des personnages.. Là, non... On les suit quasi en temps réel, rentrant dans le moindre détail... Au début, j'ai trouvé ça pénible, puis, m'accrochant à la lecture, j'ai trouvé cela pertinent, on en ressort véritablement avec le sentiment d'être rentré de l'intérieur de tout ce qui fait la vacuité d'une société qui est décrite au microscope....
Beaucoup de thèmes sont évidemment abordés, la frustration et l'envie de l'autre, de celui qui vous a remplacé, plus brillant, qui a mieux réussi, la difficulté des rapports avec les enfants, la vacuité des week end américains où tout le monde se presse aux mêmes endroits aux mêmes moments, la difficulté à refaire sa vie avec quelqu'un d'autre, la tentative de se faire une place au soleil ce à quoi tout le monde semble à aspirer et qui semble le seul défi existentiel à relever....
Si j'ai préféré Canada, de facture plus classique, plus romanesque aussi avec son côté tragique, Independance reste quand même un ouvrage de fort belle facture, très lucide, très complet, un portrait sans aménité des USA de la fin du 20ème siècle qui a tout son intérêt...
Je suis rentré dans l'oeuvre de Richard Ford par Canada publié au début des années 10, récompensé par le Fémina Etranger que j'avais trouvé de très bonne facture, le genre de bouquin dont on se souvient longtemps...
J'ai poursuivi par cet ouvrage publié au milieu des années 90 et qui fut lui récompensé par le Pullitzer... Roman à la fois très différent du précédent (ou plutôt du suivant si l'on suit l'ordre chronologique...) et semblable...
Semblable parce qu'il y'est une nouvelle fois question de la génération de Ford celle qu'on pourrait presque caractérisé du qualificatif de boomers même si née un peu avant la seconde guerre mondiale mais ayant vécu sur le continent américain et ne l'aura jamais connu, que de loin...
Différent parce que le roman se passe lorsque les personnages sont en pleine force de l'âge à savoir dans la quarantaine alors que Canada faisait en quelque sorte le bilan d'une existence à travers la remémorisation de l'enfance....
Mais la principale différence tient au style... Sans doute d'ailleurs pour cela que le roman a été primé, parce que j'ai trouvé qu'il y'avait beaucoup de l'exercice de style ce qui a quelque chose à la fois d'artificiel et d'original...
Independance est en fait le week-end d'un jeune divorcé qui doit passer son week-end du 4 juillet avec son fils dont sa mère qui vit avec un autre homme à la garde... On y suit presque heure par heure ce long week-end quasi en temps réel car il faut presque autant de temps pour lire ce roman qu"il en faut pour vivre ce qui est écrit, hors temps de sommeil des personnages...
C'est donc très très détaillé et c'est surprenant au début car contrairement à ce dont on a l'habitude dans un roman où l'on va à l'essentiel des faits et gestes des personnages.. Là, non... On les suit quasi en temps réel, rentrant dans le moindre détail... Au début, j'ai trouvé ça pénible, puis, m'accrochant à la lecture, j'ai trouvé cela pertinent, on en ressort véritablement avec le sentiment d'être rentré de l'intérieur de tout ce qui fait la vacuité d'une société qui est décrite au microscope....
Beaucoup de thèmes sont évidemment abordés, la frustration et l'envie de l'autre, de celui qui vous a remplacé, plus brillant, qui a mieux réussi, la difficulté des rapports avec les enfants, la vacuité des week end américains où tout le monde se presse aux mêmes endroits aux mêmes moments, la difficulté à refaire sa vie avec quelqu'un d'autre, la tentative de se faire une place au soleil ce à quoi tout le monde semble à aspirer et qui semble le seul défi existentiel à relever....
Si j'ai préféré Canada, de facture plus classique, plus romanesque aussi avec son côté tragique, Independance reste quand même un ouvrage de fort belle facture, très lucide, très complet, un portrait sans aménité des USA de la fin du 20ème siècle qui a tout son intérêt...
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Re: [topic unique] LIVRE
" Le grêlé. Le tueur était un flic." Patricia Tourancheau.
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Re: [topic unique] LIVRE
Les Térébinthe de Marcel Jouhandeau
Poursuite de la lecture de l'écrivain creusois, c'est un texte relativement court, qui a le mérite cette fois de se situer hors de Creuse et de parler en partie de l'empire colonial français de façon très humoristique, totalement non réaliste, mais ayant toutefois sa part de lucidité....
On retrouve le caractère sarcastique du monde jouhandesque, les petitesses du monde rural, son étroitesse d'esprit, ses convenances surranées, un sens de l'observation très détaillé, des personnages assez typés dans une histoire somme toute anecdotique mais suffisamment courte pour ne pas être ennuyeuse....
Poursuite de la lecture de l'écrivain creusois, c'est un texte relativement court, qui a le mérite cette fois de se situer hors de Creuse et de parler en partie de l'empire colonial français de façon très humoristique, totalement non réaliste, mais ayant toutefois sa part de lucidité....
On retrouve le caractère sarcastique du monde jouhandesque, les petitesses du monde rural, son étroitesse d'esprit, ses convenances surranées, un sens de l'observation très détaillé, des personnages assez typés dans une histoire somme toute anecdotique mais suffisamment courte pour ne pas être ennuyeuse....
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Re: [topic unique] LIVRE
La mort de Virgile d'Hermann Broch
Un très beau texte, difficile d'accès, à la fois sur un thème d'initiés (l'Antiquité romaine) mais sur des problématiques intemporelles.
Auguste a souhaité que Virgile l'accompagne à Brindisi lors d'un de ses déplacement dans l'Empire. Virgile sait qu'il n'a plus que quelques jours ou semaines à vivre mais répond favorablement à l'Empereur ce qui finira de l'épuiser. Il en est à rédiger et à parfaire l'Enéide et se trouve découragé et souhaite détruire son texte.
Le texte se déroule en plusieurs parties jusqu'à mener au clou du texte qui est le dialogue entre Auguste et Virgile. Mais avant cela, la description de l'arrivée de la flotte romaine dans le port de Brindisi est somptueuse, le soin que met l'auteur à retranscrire les rapports entre le poète et son jeune esclave très réalistes, fleurtant parfois avec l'onirisme, le défilé des amis du poète sur la couche du quasi mourant, ciselés et donc, l'affrontement entre le temporel et le spirituel, le pouvoir et l'esthétique....
Il n'y a rien d'autre à dire que c'est brillant, un texte majeur du siècle dernier, difficile d'accès car très érudit et pour le lecteur inculte que je suis, un peu du mal à tout suivre et tout capter, mais il n'empêche que sur le fond de ce qui est relaté on ne peut qu'être admiratif de la pertinence de ce qui est développé et plus encore de sa permanence à 20 siècles de distance...
Un très beau texte, difficile d'accès, à la fois sur un thème d'initiés (l'Antiquité romaine) mais sur des problématiques intemporelles.
Auguste a souhaité que Virgile l'accompagne à Brindisi lors d'un de ses déplacement dans l'Empire. Virgile sait qu'il n'a plus que quelques jours ou semaines à vivre mais répond favorablement à l'Empereur ce qui finira de l'épuiser. Il en est à rédiger et à parfaire l'Enéide et se trouve découragé et souhaite détruire son texte.
Le texte se déroule en plusieurs parties jusqu'à mener au clou du texte qui est le dialogue entre Auguste et Virgile. Mais avant cela, la description de l'arrivée de la flotte romaine dans le port de Brindisi est somptueuse, le soin que met l'auteur à retranscrire les rapports entre le poète et son jeune esclave très réalistes, fleurtant parfois avec l'onirisme, le défilé des amis du poète sur la couche du quasi mourant, ciselés et donc, l'affrontement entre le temporel et le spirituel, le pouvoir et l'esthétique....
Il n'y a rien d'autre à dire que c'est brillant, un texte majeur du siècle dernier, difficile d'accès car très érudit et pour le lecteur inculte que je suis, un peu du mal à tout suivre et tout capter, mais il n'empêche que sur le fond de ce qui est relaté on ne peut qu'être admiratif de la pertinence de ce qui est développé et plus encore de sa permanence à 20 siècles de distance...
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Re: [topic unique] LIVRE
" Mes secrets de coach " (Alain Weisz).
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Re: [topic unique] LIVRE
Dora Bruder de Patrick Modiano
Poursuite de la lecture des oeuvres de Modiano, si ce récit est visiblement un de ceux dont on parle le plus quand on feuillette sa bibliographie, ce n'est pourtant pas celui que j'ai préféré loin s'en faut...
On y retrouve pourtant tous les éléments qui font l'univers modianesque, le style, le brouillard, la progression par petites touches, mais voila, ici le charme n'a pas fonctionné pour moi...
Le récit est un type casse gueule.... Je trouve Modiano bien meilleur quand il fait oeuvre de romancier avec des personnages sortis de son imagination qu'il plonge dans un univers incertain. En essayant de retranscrire la vie d'une personne, on trouve ce que l'on connaît malheureusement de ce qui a été l'ordinaire de la communauté juive pendant les années d'occupation... Le destin de Dora Druder se confond de ce fait avec ce que l'on sait et j'ai beaucoup de mal à trouver de l'originalité dans le portrait d'une jeune adolescente des années 30.... On ne peut être que touché par son destin tragique comme par celui de milliers d'autres, mais retranscrit dans un récit littéraire, difficile d'y trouver sa place...
C'est d'ailleurs aussi toute l'ambigüité de l'oeuvre, on a bien du mal à discerner si l'on parle d'un personnage (auquel cas, l'absence d'originalité du cas laisse pantois...), ou si l'on essaye de retranscrire la vie d'une personne, ce dont il est toujours très difficile de réaliser à partir de fragments d'informations si longtemps après sa disparition...
Le charme a opéré pour beaucoup pas pour moi...
Poursuite de la lecture des oeuvres de Modiano, si ce récit est visiblement un de ceux dont on parle le plus quand on feuillette sa bibliographie, ce n'est pourtant pas celui que j'ai préféré loin s'en faut...
On y retrouve pourtant tous les éléments qui font l'univers modianesque, le style, le brouillard, la progression par petites touches, mais voila, ici le charme n'a pas fonctionné pour moi...
Le récit est un type casse gueule.... Je trouve Modiano bien meilleur quand il fait oeuvre de romancier avec des personnages sortis de son imagination qu'il plonge dans un univers incertain. En essayant de retranscrire la vie d'une personne, on trouve ce que l'on connaît malheureusement de ce qui a été l'ordinaire de la communauté juive pendant les années d'occupation... Le destin de Dora Druder se confond de ce fait avec ce que l'on sait et j'ai beaucoup de mal à trouver de l'originalité dans le portrait d'une jeune adolescente des années 30.... On ne peut être que touché par son destin tragique comme par celui de milliers d'autres, mais retranscrit dans un récit littéraire, difficile d'y trouver sa place...
C'est d'ailleurs aussi toute l'ambigüité de l'oeuvre, on a bien du mal à discerner si l'on parle d'un personnage (auquel cas, l'absence d'originalité du cas laisse pantois...), ou si l'on essaye de retranscrire la vie d'une personne, ce dont il est toujours très difficile de réaliser à partir de fragments d'informations si longtemps après sa disparition...
Le charme a opéré pour beaucoup pas pour moi...
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Re: [topic unique] LIVRE
mince alors…
••• US GoGo MadMax …
avant j’étais homme d’affaires maintenant je suis homme à tout faire…I’m too fair…
avant j’étais homme d’affaires maintenant je suis homme à tout faire…I’m too fair…
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Re: [topic unique] LIVRE
Et pour toi?...
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Re: [topic unique] LIVRE
super…
••• US GoGo MadMax …
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Re: [topic unique] LIVRE
tu peux dire pourquoi?...