NF2 POULE C 2019-2020

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CEST : LA VICTOIRE.....POUR CÔTOYER LES TENORS !
il y a 2 jours

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CEST : LA VICTOIRE.....POUR CÔTOYER LES TENORS !

Nous allons assister à un évènement samedi soir à Monconseil, une vraie fête du basket féminin avec la venue du leader, l'Avenir de Rennes, qui vraisemblablement participera aux playoffs.

Une équipe solide de NF2 qui n'a pas cessé de progresser depuis 3 ans:

8 ème en 2016 2017 4 ème en 2017 2018 et 3 ème en 2018 2019 .

Avec en moyenne, 72 pts marqués et 56 pts encaissés les Bretonnes réalisent une saison remarquable (10v - 2d), elles ont été défaites à domicile uniquement par Trégueux et........le CEST en début de championnat, mais depuis, elles font parler la poudre avec 7 victoires consécutives !

Les Rennaises viendront donc samedi avec un esprit revenchard, mais aussi avec un statut différent pour défendre le fauteuil de leader.

Complètes dans toutes les lignes, l'effectif est de qualité. Les Febrissy,Perrin, Soulard, Frammery, Toni, Tireau, Messager, Lemetayer et les intérieures Lerouge et Touré qui culminent respectivement à 1,87 et à 1,92, forment une équipe performante, certainement l'effectif, le plus riche de la poule.

Etre leader en Février, ce n'est pas, le fait du hasard !

Quant aux Tourangelles, on note le retour, à la satisfaction générale de Claire Longomba de nouveau opérationnelle. Les filles attendent ce match avec une pointe d'adrénaline, synonyme de grand rdv, elles sont impatientes de se mesurer au leader et de garder Monconseil imprenable, il faut remonter loin, pour relever une défaite des Red Girls sur leur parquet, précisément le 8 avril 2018 !

Après le coup de frein de Décembre, les Filles ont entamé 2020 par 2 succès, qui ont donné un coup de pouce au classement avec une belle 4ème place à 2pts ........de Rennes,

Les données de ce match sont claires, une victoire nous ferait côtoyer les ténors !

Laura Loembet et Julien Haton ont profité de ces 15 jours d'entraînement pour corriger les points sur lesquels nous devions progresser, notamment après la dernière prestation.

Les filles aiment ces matchs à enjeu, la motivation est là, pas besoin de grands discours !

Le public sera présent, à cette rencontre de haut de tableau qui pourrait s'avérer importante pour la suite et cette opposition entre équipes invaincues; à domicile pour le CEST, à l'extérieur pour l'Avenir de Rennes, ne manque pas d'intérêt !

A cela, il faut ajouter une journée de championnat atypique qui verra une confrontation directe entre les 6 premiers, il faut s'attendre à quelques modifications au classement !

Une belle soirée sportive et festive en perspective !

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Cest Rennes

Ce samedi, le Cest reçoit Rennes, l’actuel leader. Le premier acte d’une trilogie qui va opposer les Tourangelles à leurs principaux concurrentes aux play-offs. Trois rencontres dont les résultats influenceront sans aucun doute leur avenir.
À l’aller, le Cest avait créé la surprise en s’imposant face à des Rennaises qui, par la suite, n’ont cédé qu’une seule fois face à Trégueux. « Il faut s’attendre à recevoir une équipe revancharde et qui a sérieusement évolué depuis ce match », ne cache pas Laura Loembet. Mais c’est surtout la qualité de l’effectif breton que cible la coach tourangelle. « C’est sûrement l’équipe la plus complète qu’on ait rencontrée, avec des joueuses qui ont toutes un cursus dans le niveau. »
Pour autant, il n’est pas question pour les Tourangelles, qui vont de nouveau pouvoir compter sur Claire Longomba, de se présenter en victime. « On doit rentrer plus vite dans le match qu’à l’aller. Et surtout se remettre à bien défendre, mieux qu’à Orvault, si on veut rester invaincus à Monconseil. De toute façon, il ne s’agit pas de se mettre une pression inutile car il reste encore beaucoup de matchs avant le dénouement. »
Dès ce week-end, par un hasard du calendrier, les six premiers du championnat vont se rencontrer. Il risque donc d’y avoir samedi soir quelques bouleversements en tête du classement. Nul doute que le Cest va tout faire pour en profiter favorablement !
Cest : C. Hilaire, E. Girard, E. Heron, G. Donnadieu, S. Abid, L. Ndiaye, M. Ichelmann, C. Longomba, R. Barot, L. Chedozeau. Ent. : L. Loembet. Rennes : C. Febrissy, D. Lerouge, J. Soulard, C. Frammery, A. Le Métayer, M. Messager, C. Perrin, A. Tireau, L. Tony, S. Touré. Ent. : A. Febrissy. Ce samedi à 20 h à la halle Monconseil.

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Line Chédozeau (18 ans 1,77 m), arrivée à l’intersaison comme 4e mutée, a profité du départ de Cyrielle Guindo pour définitivement intégrer l’effectif tourangeau.
Avant le duel face au leader rennais, elle se confie. « Après mes 3 années passées à Angers où j’ai joué en N2 et N3, je ne voulais plus jouer à haut niveau à cause de mes études (IUT Génie Biologique). Mais les entraînements, le coaching et la bonne ambiance qui règne dans l’équipe m’ont redonné l’envie de repartir ».
Sa lecture du jeu et son engagement sont ses qualités majeures. « Je dirais que je suis énergique en défense (rires). En revanche, je ne suis pas une joueuse avec une adresse régulière. Tout dépend des circonstances ».
Quand on évoque le match contre Rennes, la jeune arrière est claire : « Il faut tout faire pour revivre le plaisir du succès contre Mondeville. J’y crois car ce groupe a un état d’esprit incroyable. »

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N2F : des regrets pour le Cest, défait à domicile face à Rennes

Le Cest recevait, samedi à Monconseil, une équipe rennaise leader du groupe et pas venue pour faire de la figuration. « On a pris une leçon de basket », regrette la coach de Tours, Laura Loembet. Les locales ont subi la supériorité rennaise et se sont inclinées 61-80.
« On voit la différence entre les premières qui ont l’ambition de jouer les play-offs et nous, qui sommes encore en apprentissage de cette division », enchaîne la coach. En effet l’intensité, l’engagement et l’envie sont les trois points clés d’un collectif breton solidement installé en première place du groupe.
« On les a laissé faire tout ce qu’elles voulaient » Laura Loembet revient ensuite sur le match : « Elles ne nous ont pas laissés le temps de réagir. On a joué les cinq premières minutes en mettant de la dureté. Mais après, on les a laissés faire à peu près tout ce qu’elles voulaient. Dans le dernier quart-temps, on a commencé à se réveiller. On gagnait des ballons et on mettait quelques contre-attaques. »
Il faut dire que les Rennaises n’ont laissé que des miettes aux Tourangelles, avec une agilité imposante et ce, même sur la ligne des trois points. La réaction du Cest était trop tardive. La coach terminait sur un constat amer : « C’était une belle équipe en face, qui va sûrement jouer la montée. Mais nous, on n’a pas joué notre meilleur basket aujourd’hui. »
De l’amertume, il y en avait également dans les mots de Charlène Hilaire, joueuse du Cest : « On a mal joué, c’est tout, lançait-elle. On avait la pression de bien faire et de ne pas perdre chez nous. ». Pourtant, cet objectif, Charlène l’avait bien en tête, elle qui termine meilleure marqueuse de l’équipe avec 13 points au compteur. « Mais j’ai fait trop de fautes offensivement, je ne suis pas vraiment satisfaite de ma performance », réagit-elle.
En somme, beaucoup de regrets à Monconseil. Mais la saison n’est pas finie et le Cest doit apprendre de ses erreurs.

Quart-temps : 19-25, 10-20, 17-21, 15-14. Arbitres : Mme. Baaji et M. Querol. Cest : Hilaire 13, Barot, Girard 2, Héron 12, Chedozeau 5, Donnadieu 4, Abid 5, Ndiaye 6, Longomba 6, Ichelmann 8. Ent. : L. Loembet.

Rennes : Soulard 6, Febrissy 8, Perrin 9, Frammery 14, Tony 2, Tireau 9, Messager 5, Le Métayer 6, Touré 4, Lerouge 17. Ent. : A. Febrissy.

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NF2. Orvault - Trégueux BCA, ce samedi (20 h)

Le Trégueux BCA se déplace à Orvault, ce samedi. Au match aller, les filles de Laurent Plassart n’avaient encaissé que 31 points pour une victoire de + 50 (81-31). Mais, cette fois-ci, il faudra aller dans la banlieue nantaise où Orvault est capable du pire, mais aussi du meilleur comme, par exemple, de battre Calais en novembre dernier. « Ça sera simple, si on rend les choses simples, résume, d’un trait, l’entraîneur trégueusien. Les prochaines équipes que l’on va rencontrer sont des mal classées, elles vont jouer leur survie à chaque match ».

Or, rien de tel que la victoire obtenue, samedi dernier, contre Mondeville (66-58) pour préparer au mieux cette confrontation. « C’est une victoire qui nous permet de rester en haut du tableau. C’est le signe de la réactivité du groupe, qui n’a jamais perdu deux fois d’affilée. À chaque fois qu’on a été moins bon, on a réussi à rebondir », ajoute le coach. Pour preuve, face à Mondeville, le TBCA n’a encaissé que 31 points dans les trois derniers quart-temps.
Une attaque à travailler

Meilleure défense du championnat, le TBCA gagne ses rencontres grâce aux efforts défensifs. L’attaque, elle, n’est pas encore au point, avec un peu plus de 69 points marqués par match, soit sept unités de moins que la meilleure du championnat, en l’occurrence Mondeville. « Il faut continuer à créer notre jeu d’attaque, qui n’est pas forcément flamboyant ces temps-ci. La faculté qu’on a à stopper nos adversaires, on la connaît, mais il faut progresser sur notre jeu rapide, notre sortie de pressing et puis, surtout, notre collectif offensif ».

Le groupe : Guiet, Broudic, Faye, Calvados, Briand, Hebert, Kowalska, Rivoal, Bannier, Stoianov.

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Trégueux s’est fait peur. Après une large victoire à l’aller par 50 points, les filles du TBCA l’emportent 56-59 face à Orvault. « On est rentrés dans le match à l’envers, avec aucun respect du plan de jeu, maugréait Laurent Plassard, très mécontent de la performance de ses joueuses. On n’a jamais de constance, et l’équipe n’a pas suffisamment de talent pour se rendre le match facile si on n’est pas appliqués du début à la fin. C’est un scandale que l’on reparte d’ici avec les points de la victoire. Orvault peut avoir de quoi être frustré. » Peu importe, l’essentiel est pris avec la victoire avant la réception du leader rennais.

ORVAULT – TRÉGUEUX : 56-59(13-17, 16-14, 14-12, 13-16)Orvault : Berthelot 2, Muller 1, André 4, Hériveaux 14, Dumont 7, Pondard 5, Chiron, Jeannes 3, Prouteau 20. Entraîneur : Yoann Ory.Trégueux : Kowalska 13, Rivoal 4, Guiet 14, Hebert 2, Bannier, Broudic 2, Calvados 10, Faye 12, Stoianov. Entraîneur : Laurent Plassard.

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N2F : les basketteuses du Cest s'enfoncent dans le doute

Le succès récent face à Mondeville était finalement trompeur : les joueuses du Cest, dominées à Landerneau (81-72) traversent bien une période de crise depuis plusieurs semaines.
Évoquer le long déplacement ou penser que la sévère défaite subie face à Rennes était encore dans les têtes ne sont sûrement pas des explications suffisantes, alors que les Tourangelles ont cruellement manqué de ressources et d’envie face à des Bretonnes bien plus enthousiastes et surtout impressionnantes d’adresse, samedi soir.
Le match en digest Le début du match donnait le ton de la rencontre (9-2, 2e). Nonchalantes et sans véritable volonté défensive, les Tourangelles accusaient déjà un retard significatif à la fin de la 1re période (25-18). Un peu plus présentes dans la peinture avec Ndiaye et Longomba en leader, les joueuses du Cest revenait à hauteur (28-29, 15e). Mais ce n’était qu’illusion car de nouveau les Bretonnes profitaient des largesses défensives pour virer en tête à la pause (43-38).
Au retour des vestiaires, l’incroyable adresse à 3 points de Landerneau désarçonnait les Tourangelles, sans inspiration collective (64-49, 30e). Le Cest, un peu plus appliqué défensivement, remportait le dernier acte (17-23) mais le réveil était bien trop tardif.
Le match en chiffres > 10 : c’est le nombre de tirs primés (dont 3 sur le buzzer des 24 secondes) réussis par Landerneau. Une réussite qui illustre bien la confiance des Bretonnes favorisée par le manque d’engagement des Tourangelles dans les duels. « Il y a eu trop de trous d’air. J’ai eu beau modifier les défenses, on a été trop laxiste pour que ça change quelque chose. On les a laissées prendre confiance avec une entame de match catastrophique… »
> 21 : c’est le nombre de ballons rendus (dont 7 dans le 1er quart) par le Cest, des balles perdues principalement lors des transferts entre partenaires. ''On a manqué de rigueur et de liant. On était toujours en retard dans les déplacements offensifs. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’on joue contre une défense agressive tout terrain mais on a oublié les fondamentaux''.
Laura Loembet : « Il y a urgence » À la fin de la rencontre, la coach tourangelle était particulièrement abattue et surtout dubitative. « Je suis désemparée. L’équipe n’a plus d’âme. Les joueuses doutent et cette nouvelle défaite ne va pas arranger les choses. Malgré la victoire contre Mondeville, on perd pied depuis le match à Douvres en décembre. J’avais déjà tiré la sonnette d’alarme, mais là, il y a urgence. Il faut que je trouve les raisons à ce manque de réaction d’orgueil. Je vais reprendre les vidéos pour essayer de ressortir les points communs à ces défaites. Peut-être de mauvaises rotations ou d’association de joueuses. Je vais trouver ! »
Le Cest reste 5e mais voit un peu plus s’éloigner les deux premières places synonymes de playoffs. Une victoire contre Calais, l’actuel second, la semaine prochaine à Monconseil, sera, cette fois, impérative pour continuer d’espérer.

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Basket. Contre Rennes, l’avenir est en jeu

NF2. Trégueux BCA - Rennes Avenir, ce samedi (20 h)

« Si on fait le même match, c’est simple, on prendra une fessée comme celle de Douvres ». Pour le coach trégueusien, Laurent Plassard, les choses sont claires. Son équipe a battu difficilement d’Orvault, le week-end dernier, mais c’est le contenu qui ne lui a pas plu. « On a défendu moyennement et on se fait bouffer au rebond. Par conséquent, notre attaque a été famélique avec un jeu collectif très approximatif et, en plus, peu d’adresse ».

Après la démonstration du match aller, gagné 81-31, tout le monde s’attendait un match tranquille sauf que « ça n’était pas la même équipe qu’au match aller car Orvault avait récupéré les trois joueuses qui lui manquaient ». Et puis, il ne faut pas oublier que cette formation avait pris la quatrième place de la poule la saison dernière.

Gagner pour rester en vie

Était-ce un bon match pour préparer la réception du leader rennais ? Le staff est vite passé à autre chose, conscient des choses à mettre en place. « Si on fait un début de match comme on a l’habitude de les faire, alors ça risque d’être rédhibitoire. Surtout, face à une équipe en pleine confiance, la plus talentueuse et la plus intelligente de ce championnat ». Commencer comme face à Mondeville ou encore Calais serait fatal. « Il va falloir faire un début digne d’une équipe qui prétend être dans les deux premiers. Sinon on descendra dans le classement et ça sera logique ». Pour espérer l’emporter, il s’agira aussi de museler la seconde meilleure attaque du championnat et de faire la même performance qu’au match aller, en laissant Rennes sous les dix points dans le dernier quart-temps.
Le groupe

Guiet, Broudic, Faye, Calvados, Briand, Hebert, Kowalska, Rivoal, Bannier, Stoianov

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N2F : le Cest doit retrouver une âme de vainqueur

Cest (5e) Calais (2e) Ce samedi, face à Calais, le Cest va tenter de rendre une copie un peu plus digne que celle écrite, la semaine dernière, en Bretagne. Une façon d’effacer aussi le doute qui a commencé à envahir les têtes. Le Cest traverse en effet actuellement une période de turbulence après sa surprenante défaite contre Landerneau, ou celle beaucoup plus logique face à Rennes.
Pour autant, il ne serait pas raisonnable de subitement « jeter tout aux orties ».
N’oublions pas qu’en septembre, le président Rougeaux souhaitait, pour cette première année en N2, un maintien tranquille avec la 7e place comme objectif minimal.
Les Tourangelles sont donc actuellement tout à fait dans les clous, puisqu’elles pointent à la 6e place. Il est vrai qu’après la victoire contre Mondeville, de nouvelles ambitions avaient gagné certains esprits. En deux semaines, ils viennent d’être sévèrement rappelés à la réalité. Cette fois, c’est Calais, bien accroché à sa seconde place, qui risque de faire perdurer la mauvaise série. Même si, à l’aller, dans les Hauts-de-France, le Cest n’avait lâché prise que dans le money time (69-64).
« Avant tout une histoire de volonté » Laura Loembet tient cependant à tempérer. « Calais n’est plus tout à fait la même équipe et a retrouvé son niveau de N1. Elles ont récupéré une shooteuse qui avait peu jouér à l’aller, et ont rajouté une intérieure. Déjà que c’était costaud sous les cercles, il va falloir être prête au combat. Lolly (Ndiaye) devra être plus constante que contre Landerneau, et surtout que notre solidarité défensive soit plus efficace. » La défense et le mental qui ont fait défaut en Bretagne, seront indéniablement une partie des clés du match. Mais les Tourangelles devront, également, être plus dans l’action que dans la réaction des deux côtés du terrain. « Il faut qu’on arrête de se trouver des excuses. A travers les vidéos, j’espère que les filles ont pris conscience de leur attitude. Il faut se remettre le cerveau à l’endroit. C’est avant tout une histoire de volonté plus que de technique », affirme la coach qui pourra compter sur son groupe au complet, avec un petit doute pour Hilaire, blessée au genou à Landerneau.
Le Cest était invaincu depuis un an à Monconseil ; Rennes a mis fin à la série mais pourquoi ne pas en démarrer une nouvelle ?
Cest : C. Hilaire, E. Girard, E. Heron, G. Donnadieu, S. Abid, L. Ndiaye, M. Ichelmann, C. Longomba, R. Barot (?), L. Chedozeau, C. Danes (?). Ent. : L. Loembet. Ce samedi à 20 h, halle Monconseil.

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Basket. N2F : Trégueux dominé par le leader rennais

L’Avenir de Rennes est sorti vainqueur du choc face au deuxième, Trégueux, en l’emportant 57-80, ce samedi 15 février, en championnat de Nationale 2 féminine.

Après un premier quart-temps équilibré, Rennes a dominé les Trégueusiennes pour s’imposer 57-80. " Je suis vraiment satisfaite de mes joueuses, qui ont su rester concentrées et sérieuses ", lâchait, après le coup de sifflet final, la coach Agnès Fébrissy. Abattu, le clan trégueusien se montrait fataliste. " On a été battu par plus fort tout simplement. Rennes va sûrement finir la saison leader, nous n’avons pas de regrets sur notre prestation ", analysait, à chaud, le manager trégueusien, Laurent Plassard.

TRÉGUEUX - RENNES : 57-80 (18-20 ; 11-22 ; 12-21 ; 16-17)Trégueux : Kowalska (6), Briand, Guiet (8), Faye (11), Broudic (6), Calvados (12), Hébert (10), Bannier, Rivoal (4), Stoianov.

Rennes : Soulard (23), Fébrissy (16), Perrin (10), Frammery, Tony (4), Tireau (6), Messager (2), Le Métayer (6), Touré (4), Lerouge (6).

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Cest : 60 Calais : 74

Dominées physiquement, en particulier près des cercles, les Tourangelles ont réussi, après avoir complètement explosé dans le premier quart temps, à faire jeu égal par la suite. Mais elles ont de nouveau lâché prise dans le dernier acte. La marche était trop haute !
Les Tourangelles étaient étouffées d’entrée (2-12, 3e). Sans solution face à la muraille dressée par Calais dans la raquette, il leur était impossible, face aux grands gabarits nordistes, de s’approcher du panier. Seule Abid réussissait à percuter par deux fois (5-17, 6e). Mais comme sous l’autre cercle, les Calaisiennes faisaient le plein de rebonds offensifs (9 au total sur la mi-temps), l’écart grandissait à vue d’œil (8-24, 10e). La suite n’était pas meilleure. Les Tourangelles grappillaient bien quelques ballons grâce à leur défense de zone, mais elles étaient toujours empruntées au moment de finaliser (14-36, 25e).
Ndiaye, systématiquement prise en tenaille, n’arrivait toujours pas à utiliser le peu de ballons en sa possession, et l’adresse extérieure faisait toujours cruellement défaut. Il fallait un bon passage du duo Abid-Longomba pour que le Cest retrouve un peu de couleurs juste avant la pause (23-39).
Les Tourangelles ont joué à l’envers On craignait le retour des vestiaires, mais Hilaire et Heron allaient rapidement rassurer en réussissant deux primés (30-42, 24e). Longomba avait trouvé la clé du rebond défensif, mais sous l’autre cercle, les Tourangelles étaient trop maladroites pour se rapprocher (35-47, 26e). Encore une fois, le Cest perdait ensuite les pédales.
Une seconde faute antisportive renvoyait définitivement Ichelmann aux vestiaires (29e), avant que Hilaire ne signe un nouveau tir derrière l’arc (39-54, 30e). Calais imposait à nouveau sa puissance et repassait la barre des 20 points (39-61, 33e). Le Cest avait la tête sous l’eau et se mettait à jouer à l’envers, oubliant d’alterner le jeu intérieur et extérieur (41-65, 36e). Dans un dernier sursaut d’orgueil, Danes avait beau enchaîner deux primés, Barot arracher quelques ballons, ce n’était pas suffisant pour priver Calais d’une victoire incontestable.
Quart temps : 8-24, 15-15, 16-15, 21-20. Arbitres : MM. Akoman et Renard. Cest : Hilaire 12, Danes 3, Girard 4, Heron 10, Chedozeau 2, Barot 3, Abid 9, Ndiaye 2, Longomba 15, Ichelmann. Ent. : L. Loembet. Calais : Asset, Oinitis 14, Ricart, Ballon 8, Senicourt 1, Desir 10, Dominique 20, Mutez, Fabre 21. Ent. : J.-B. Blanquart.

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Basket – Nationale 2. Douvres – Mondeville : un vainqueur, deux satisfaits

L'expérience du Douvres BCN l'a emporté sur la jeunesse de l'USO Mondeville, samedi 15 février 2020. La rencontre s'est jouée à quatre points (74-70).


Douvres n’a pas dit son dernier mot dans la course aux playoffs ! En battant le centre de formation de Mondeville, samedi 15 février 2020, le DBCN a confirmé sa place dans le haut de tableau de Nationale 2. Calais, vainqueur de Tours, et Trégueux, battu par le leader Rennes, ne sont qu’à un point des Douvraises. Ces dernières ont beau marteler que les phases finales, qui concernent les deux premières places, ne constituent pas un objectif, elles restent d’actualité.

Mondeville, en revanche, ne peut rien espérer en Nationale 2. Dessislava Anguelova avait d’ailleurs accordé sa confiance à une très jeune formation dans un gymnase Pierre Roux bondé. La classe biberon de l’USOM, dont le leadership était assuré par une adolescente de tout juste 16 ans, Maëva Fébrissy, a bien cru créer la surprise.

À la mi-temps, elle comptait 14 longueurs d’avance avec une attaque de feu emmenée par Clara Soghomonian (13 points en première mi-temps). « Notre première mi-temps a été excellente », se réjouit la coach mondevillaise Dessislava Anguelova. Sarah Goltze, entraîneure de Douvres :

En première mi-temps, on était à la ramasse sur plein de choses. Il nous a fallu tout ce temps pour retrouver nos valeurs, qui sont collectives.

Les 17 ballons perdus à la pause, conséquence de la pression défensive imposée par Mondeville, ont été exploités par les visiteuses, également dominatrices à l’intérieur. L’UOM tournait à 57 % de réussite au tir.


Après deux semaines d’entraînement perturbées par les pépins physiques, Douvres a mis 20 minutes pour trouver la bonne carburation. Mais le troisième quart a viré à la démonstration. Douvres a fait mieux que combler son retard, puisque les locales ont pris six points d’avance après un 14-0 (61-55, 30′). Sarah Goltze :

Les filles avaient envie de prouver. Cette équipe fonctionne quand elle joue collectivement. Il faut s’appuyer sans cesse là-dessus.

On pensait la dynamique totalement inversée mais les Mondevillaises n’ont rien lâché. Elles sont revenues à deux longueurs à trois minutes de la fin (68-66, 37′). Le tir primé de Pauline Bétis a alors semblé décisif (71-66), mais Itto Bounou a prouvé la force de caractère des cadettes (71-69, 39′). Finalement, Mondeville n’a pas trouvé l’adresse suffisante dans le money time et Laury Aulnette, sur une jambe et avec la planche, a rentré le dernier lancer-franc des Douvraises.

Malgré sa cinquième défaite de la saison, Mondeville garde le positif. « Je suis très fière de mes filles, souligne Dessislava Anguelova. On a fait un vrai bon match malgré un coup de mou dans le troisième quart-temps. Je peux juste les féliciter et citer Nelson Mandela : soit je gagne, soit j’apprends. On a beaucoup appris et on a moralement gagné. C’était un match très compliqué à arbitrer… » Mondeville, qui a gagné 93-71 le lendemain en championnat de France U18, souffle.

L’horizon devient plus clair après ce match. Je suis très contente. C’était beau de voir la jeunesse mondevillaise s’accrocher à l’expérience douvraise.


Douvres 74 – 70 Mondeville

21-25 / 13-23 / 27-9 / 13-13

Douvres : Gasqueres 7, Goubert (cap) 6, Guillaume 2, Françoise, Bétis 17, Hamard 9, Lefèvre, Aulnette 17, Micoud 8, Kanouté 8.

Mondeville : Busnel 9, Lemière 6, Bounou (cap) 5, Jérôme, Chanoz, Padin 8, Soghomonian 19, Fébrissy 11, Sylla 12.

[team59]

comment cela se passe t'il pour les montées ? encore des play off ?

[basketbreton]

Oui avec croisement pour la poule C avec les deux premières de la POULE D, donc pour le moment Rennes et Calais/Trégueux avec Escaudain et BC Nord Alsace.

[_Jacques_]

(toujours sur le même sujet)
Combien d'équipes peuvent monter à l'issue de la saison ?
Combien d'équipes descendent ?
Merci.