Fanchon a écrit :Il fallait surtout que Tarbes gagne ce final four'( et il l'a fait de belle maniere rien a dire ) ce titre aura pour elles le mérite de rester en LF2 et de ne pas descendre en NF1 .....................a suivre
Pour l'arbitrage ......on ne fera pas de commentaires mais je crois que pour Aurore Mignot qui a déclaré "Je suis mi-figue mi-raisin........ce qui s'est passé m'a frustrée ..." ne va pas pas marquer de pts sur ce coup là !!!!
Ce n'est pas tant la faute technique qui est sifflée ............mais les 12 secondes de possession de balle par une vendéenne .. non sifflée ..qui a fait reagir le coach a ce moment !! le public connaisseur de Tarbes a d'ailleurs reagi en sifflant copieusement cette décision !!
A la vue de video, l'arbitre ne peut pas siffler violation des 5 secondes. La règle est claire : joueur étroitement marqué (- de 1 m), défenseur en position légale de défense et défense active. Or sur cette situation, à l'exception de deux mouvements de bras, la joueuse d'Aulnoye pose juste un bras pour contrôler la distance donc pas de défense active. L'action peut bien durer 5 sec, 14 sec ou 20 sec, il n'y a pas violation.
Après pour savoir si cela a entrainé une réaction du coach d'Aulnoye qui méritait une technique, seules les personnes présentes pourront le dire car on ne voit rien sur la vidéo. Perso, je pense que la fin de match doit appartenir au terrain et aux joueuses. Il faut quelque chose de vraiment caractérisé pour prendre une telle décision à 13 secondes du terme alors que le score est aussi serré. Même si le coach n'a pas le droit de rentrer sur le terrain ou de gesticuler de manière trop véhémente pour signifier son désaccord, c'est le rôle des arbitres de savoir où placer le curseur en fonction de ce se passse sur le terrain et aussi de ce qui s'est déjà passé avec ce coach.
Bref, on peut toujours échanger sur le fait que les arbitres devaient siffler ou pas cette technique (seules les personnes peuvent le faire), mais une chose est sûre : on ne peut pas reprocher aux arbitres d'avoir oublier une violation qui n'existait pas sur cette situation