NF1 - Saison 2008 - 2009
Modérateur : Modérateurs LFB
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Pleyber-Christ - Cavigal de Nice, ce soir (20 h)
Il n'y a plus de joker
Laura Désert et les Pleybériennes doivent gagner devant Nice. C'est à nouveau impératif. Plus que jamais même.
En s'inclinant samedi dernier à Paris devant le Centre fédéral, l'équipe première féminine du Pleyber-Christ s'est mise dans une situation extrêmement délicate et a compromis son maintien direct en Nationale 1.
En effet, à quatre étapes du terme, elle est avant-dernière en compagnie d'Ifs et de Colomiers mais a surtout perdu une nouvelle longueur sur Laveyron qui s'est imposé à Strasbourg. Pour espérer repasser devant, le PCBC devra, dans un premier temps, gagner tous les matchs qui lui reste à disputer à la maison. Une mission qui ne paraît pas impossible car les filles de Franck Simon vont jouer chez elles à trois reprises contre Nice, Graffenstaden et Colomiers, avec un seul déplacement à Charleville. Si l'on prend en référence la position de ces équipes, la mission qui échoit aux Pleybériennes ne semble pas démesurée. Certes il y a Graffenstaden qui occupe la troisième place et qui, a priori du moins, viendra à Pleyber-Christ avec le statut de favori, mais un exploit des locales ne paraît pas impossible compte tenu du contexte. D'ailleurs, il ne saurait en être autrement. En effet, le droit à l'erreur des filles du PCBC n'existe plus. Elles ont brûlé leur dernier jocker à Paris et doivent, non seulement s'imposer mais aussi compter sur des défaites de Laveyron. Ce qui fait tout de même beaucoup de choses.
Ne pas se fier à la rumeur
Ce soir, c'est le Cavigal de Nice qui sera l'hôte des protégées de Gurvan Morvan. Actuellement classées huitièmes, les Azuréennes n'ont plus aucune crainte en ce qui concerne leur maintien. Du moins sur le plan sportif. Il se murmure, en effet, que le club serait en grande difficulté financière depuis quelque temps et que cela s'est ressenti sur ses prestations, les Niçoises n'ayant plus gagné depuis pas mal de temps. Pourtant, pour Franck Simon, cette donnée ne doit absolument pas entrer en ligne de compte: «C'est la rumeur qui dit cela. Mais elle ne doit pas nous faire penser que, ce soir, c'est une équipe niçoise sans conviction qui va se présenter devant nous. Nous la connaissons, nous savons à quoi nous en tenir. Cette victoire c'est à nous qu'il incombe d'aller la chercher. Et cela ne va pas être facile. Mais nous n'avons pas d'autre alternative que la victoire. Il va falloir retrouver toutes les valeurs qui nous ont permis de nous imposer chez nous. C'est à cette seule condition que nous pourrons remplir notre mission».
R.B. - www.letelegramme.com
Coup d'envoi, ce soir, salle Jean-Coulon à 20h.
Il n'y a plus de joker
Laura Désert et les Pleybériennes doivent gagner devant Nice. C'est à nouveau impératif. Plus que jamais même.
En s'inclinant samedi dernier à Paris devant le Centre fédéral, l'équipe première féminine du Pleyber-Christ s'est mise dans une situation extrêmement délicate et a compromis son maintien direct en Nationale 1.
En effet, à quatre étapes du terme, elle est avant-dernière en compagnie d'Ifs et de Colomiers mais a surtout perdu une nouvelle longueur sur Laveyron qui s'est imposé à Strasbourg. Pour espérer repasser devant, le PCBC devra, dans un premier temps, gagner tous les matchs qui lui reste à disputer à la maison. Une mission qui ne paraît pas impossible car les filles de Franck Simon vont jouer chez elles à trois reprises contre Nice, Graffenstaden et Colomiers, avec un seul déplacement à Charleville. Si l'on prend en référence la position de ces équipes, la mission qui échoit aux Pleybériennes ne semble pas démesurée. Certes il y a Graffenstaden qui occupe la troisième place et qui, a priori du moins, viendra à Pleyber-Christ avec le statut de favori, mais un exploit des locales ne paraît pas impossible compte tenu du contexte. D'ailleurs, il ne saurait en être autrement. En effet, le droit à l'erreur des filles du PCBC n'existe plus. Elles ont brûlé leur dernier jocker à Paris et doivent, non seulement s'imposer mais aussi compter sur des défaites de Laveyron. Ce qui fait tout de même beaucoup de choses.
Ne pas se fier à la rumeur
Ce soir, c'est le Cavigal de Nice qui sera l'hôte des protégées de Gurvan Morvan. Actuellement classées huitièmes, les Azuréennes n'ont plus aucune crainte en ce qui concerne leur maintien. Du moins sur le plan sportif. Il se murmure, en effet, que le club serait en grande difficulté financière depuis quelque temps et que cela s'est ressenti sur ses prestations, les Niçoises n'ayant plus gagné depuis pas mal de temps. Pourtant, pour Franck Simon, cette donnée ne doit absolument pas entrer en ligne de compte: «C'est la rumeur qui dit cela. Mais elle ne doit pas nous faire penser que, ce soir, c'est une équipe niçoise sans conviction qui va se présenter devant nous. Nous la connaissons, nous savons à quoi nous en tenir. Cette victoire c'est à nous qu'il incombe d'aller la chercher. Et cela ne va pas être facile. Mais nous n'avons pas d'autre alternative que la victoire. Il va falloir retrouver toutes les valeurs qui nous ont permis de nous imposer chez nous. C'est à cette seule condition que nous pourrons remplir notre mission».
R.B. - www.letelegramme.com
Coup d'envoi, ce soir, salle Jean-Coulon à 20h.
Modifié en dernier par la zone le dim. 26 avr. 2009 12:15, modifié 1 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
SIG - Héloïse Boissinot
Héloïse et la saison exquise
Le plus souvent remplaçante, Héloïse Boissinot ne boude pas son plaisir de faire partie de l'aventure illkirchoise cette année. Et croque dans ses rares minutes de jeu avec un évident bonheur.
Cinq apparitions avec la « une », pour 12 minutes de jeu cumulées, dont 10 lors de la seule réception du Centre fédéral, et quatre points : Héloïse Boissinot n'est pas en première ligne. La pétillante Vendéenne ne s'en offusque pas. « On aimerait toujours jouer davantage, mais je suis très contente d'être ici, raconte l'arrière-ailière illkirchoise. C'est super enrichissant humainement. On est quand même en train de réaliser un truc de fou... ». Entre l'ex-joueuse de Nantes et La Roche (NF2), débarquée en Alsace pour y boucler ses études, et son coach Philippe Breitenbucher, les choses étaient au demeurant très claires dès le début de la saison ...
R. Sch. - www.dna.fr
Héloïse et la saison exquise
Le plus souvent remplaçante, Héloïse Boissinot ne boude pas son plaisir de faire partie de l'aventure illkirchoise cette année. Et croque dans ses rares minutes de jeu avec un évident bonheur.
Cinq apparitions avec la « une », pour 12 minutes de jeu cumulées, dont 10 lors de la seule réception du Centre fédéral, et quatre points : Héloïse Boissinot n'est pas en première ligne. La pétillante Vendéenne ne s'en offusque pas. « On aimerait toujours jouer davantage, mais je suis très contente d'être ici, raconte l'arrière-ailière illkirchoise. C'est super enrichissant humainement. On est quand même en train de réaliser un truc de fou... ». Entre l'ex-joueuse de Nantes et La Roche (NF2), débarquée en Alsace pour y boucler ses études, et son coach Philippe Breitenbucher, les choses étaient au demeurant très claires dès le début de la saison ...
R. Sch. - www.dna.fr
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
CHARLEVILLE-MÉZIÈRES - Rennes
Boonen : « Ne rien calculer »
Dana Boonen et les « Flammes » restent tournées vers l'accueil des Bretonnes...
L'intérieure belge prône l'union sacrée avant la réception de Rennes, son ancienne équipe, ce soir.
Les Carolomacériennes ont grillé leur dernier joker la semaine dernière à Dunkerque. Il leur reste quatre journée pour renverser la vapeur.
Dana Boonen, qui retrouvera son ancien club, et ses coéquipères n'ont, effectivement, d'autre choix que de battre Rennes ce soir sur le parquet de Bayard.
« Collectives et intelligentes »
Dana, comment a été digérée la défaite à Dunkerque ?
« Nous n'avons pas trop le temps d'attendre et de se prendre la tête. Nous devons continuer à regarder devant.
Dès lundi, nous nous sommes penchés sur la réception de Rennes. Le revers dans le Nord, je n'ai plus envie d'en parler. »
Il rend votre situation encore plus fragile. Vous n'avez plus votre destin en main.
« Nous n'avons plus le droit de faire de faux-pas. Mais il y a encore de l'espoir. Il faut donc se battre jusqu'à la dernière journée.
Tout le monde doit tirer dans le même sens. Il faut avancer et se servir de notre expérience. »
A quel type d'opposition vous attendez-vous avec Rennes ?
« C'est une équipe athlétique qui saute et qui court. »
Qu'il faudra donc étouffer le plus vite possible...
« Les Bretonnes sont effectivement capables de jouer vraiment vite. A nous donc de contrôler le rythme de la partie.
Nous allons devoir être collectives et intelligentes. »
Lors de cette 27e journée, il y a un Armentières - Toulouse intéressant...
« Il faudrait qu'Armentières l'emporte. Mais nous devons nous concentrer sur nous plutôt que de regarder les résultats des autres.
« Se concentrer sur nous »
Nous ne devons rien calculer. Il faut s'arracher pour conquérir chaque balle en l'air, chaque balle à terre. Se donner à fond, avoir toutes la « patate » au même moment. »
Lors de ces quatres dernières journées, vous avez la « chance » de recevoir trois fois...
« C'est effectivement mieux pour nous de finir devant notre public. C'est un atout surtout si les play-offs se jouent à ce moment-là. »
Ce soir, vous accueillez votre ancien club. Une saveur particulière pour vous ?
« Je vais revoir avec plaisir des gens sympas, qui sont des crèmes humainement. L'effectif a cependant beaucoup évolué. Mais, ça ne change rien pour moi. Ce n'est pas différent des autres rencontres. Je suis professionnelle et je les prépare tous de la même façon. »
Recueilli par Sylvain POHU - www.lunion.presse.fr
************************************************** ****
Colomiers - Centre fédéral.
L'USC doit vaincre
Le championnat de NF1 est long et épuisant... Dunkerque, largement dominé à Colomiers il y a quinze jours, a nettement battu Charleville, un prétendant au top 4, une semaine plus tard. à l'inverse, malgré une honnête prestation de Billaud et Perotto, les Columérines ont été inexistantes à Rennes où leurs adversaires ont scoré à 57% de réussite aux tirs avec un 7 sur 12 à trois points, signe que leur défense était loin de son meilleur niveau. Elles furent aussi incapables de museler la fougue et le physique des bondissantes Assilaméhou, Medenou et Minte. Devant le Centre fédéral, toujours plus dangereux en fin de saison quand son collectif est rodé, qui présente une équipe aux caractéristiques proches de celles de Rennes, l'expérience en moins, il faudra le meilleur Colomiers pour s'imposer. Celui qui reste sur trois victoires en trois matches à domicile depuis sa défaite contre le TMB le 7 février. Celui qui peut créer le danger tant sous le cercle (ce que n'a pu réaliser Hippolyte la semaine dernière avec 5 fautes en 7 minutes de jeu) que dans le jeu extérieur avec ses atouts interchangeables Donnez, Billaud, Mason, Dinga, Caussé et Perotto. Mais attention de ne pas vendre les scalps de Konteh, Akmouche, Tchatchouang, Okou Zouzouo et leurs équipières avant de les avoir en poche...
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
(ce soir, 20 heures, salle Piquemal).
Boonen : « Ne rien calculer »
Dana Boonen et les « Flammes » restent tournées vers l'accueil des Bretonnes...
L'intérieure belge prône l'union sacrée avant la réception de Rennes, son ancienne équipe, ce soir.
Les Carolomacériennes ont grillé leur dernier joker la semaine dernière à Dunkerque. Il leur reste quatre journée pour renverser la vapeur.
Dana Boonen, qui retrouvera son ancien club, et ses coéquipères n'ont, effectivement, d'autre choix que de battre Rennes ce soir sur le parquet de Bayard.
« Collectives et intelligentes »
Dana, comment a été digérée la défaite à Dunkerque ?
« Nous n'avons pas trop le temps d'attendre et de se prendre la tête. Nous devons continuer à regarder devant.
Dès lundi, nous nous sommes penchés sur la réception de Rennes. Le revers dans le Nord, je n'ai plus envie d'en parler. »
Il rend votre situation encore plus fragile. Vous n'avez plus votre destin en main.
« Nous n'avons plus le droit de faire de faux-pas. Mais il y a encore de l'espoir. Il faut donc se battre jusqu'à la dernière journée.
Tout le monde doit tirer dans le même sens. Il faut avancer et se servir de notre expérience. »
A quel type d'opposition vous attendez-vous avec Rennes ?
« C'est une équipe athlétique qui saute et qui court. »
Qu'il faudra donc étouffer le plus vite possible...
« Les Bretonnes sont effectivement capables de jouer vraiment vite. A nous donc de contrôler le rythme de la partie.
Nous allons devoir être collectives et intelligentes. »
Lors de cette 27e journée, il y a un Armentières - Toulouse intéressant...
« Il faudrait qu'Armentières l'emporte. Mais nous devons nous concentrer sur nous plutôt que de regarder les résultats des autres.
« Se concentrer sur nous »
Nous ne devons rien calculer. Il faut s'arracher pour conquérir chaque balle en l'air, chaque balle à terre. Se donner à fond, avoir toutes la « patate » au même moment. »
Lors de ces quatres dernières journées, vous avez la « chance » de recevoir trois fois...
« C'est effectivement mieux pour nous de finir devant notre public. C'est un atout surtout si les play-offs se jouent à ce moment-là. »
Ce soir, vous accueillez votre ancien club. Une saveur particulière pour vous ?
« Je vais revoir avec plaisir des gens sympas, qui sont des crèmes humainement. L'effectif a cependant beaucoup évolué. Mais, ça ne change rien pour moi. Ce n'est pas différent des autres rencontres. Je suis professionnelle et je les prépare tous de la même façon. »
Recueilli par Sylvain POHU - www.lunion.presse.fr
************************************************** ****
Colomiers - Centre fédéral.
L'USC doit vaincre
Le championnat de NF1 est long et épuisant... Dunkerque, largement dominé à Colomiers il y a quinze jours, a nettement battu Charleville, un prétendant au top 4, une semaine plus tard. à l'inverse, malgré une honnête prestation de Billaud et Perotto, les Columérines ont été inexistantes à Rennes où leurs adversaires ont scoré à 57% de réussite aux tirs avec un 7 sur 12 à trois points, signe que leur défense était loin de son meilleur niveau. Elles furent aussi incapables de museler la fougue et le physique des bondissantes Assilaméhou, Medenou et Minte. Devant le Centre fédéral, toujours plus dangereux en fin de saison quand son collectif est rodé, qui présente une équipe aux caractéristiques proches de celles de Rennes, l'expérience en moins, il faudra le meilleur Colomiers pour s'imposer. Celui qui reste sur trois victoires en trois matches à domicile depuis sa défaite contre le TMB le 7 février. Celui qui peut créer le danger tant sous le cercle (ce que n'a pu réaliser Hippolyte la semaine dernière avec 5 fautes en 7 minutes de jeu) que dans le jeu extérieur avec ses atouts interchangeables Donnez, Billaud, Mason, Dinga, Caussé et Perotto. Mais attention de ne pas vendre les scalps de Konteh, Akmouche, Tchatchouang, Okou Zouzouo et leurs équipières avant de les avoir en poche...
Pierre Lacoue - www.ladepeche.fr
(ce soir, 20 heures, salle Piquemal).
Modifié en dernier par la zone le dim. 19 avr. 2009 11:07, modifié 2 fois.
-
- All Star
- Messages : 1214
- Enregistré le : jeu. 04 mai 2006 22:30
- Localisation : Saint Vallier
Match très difficile ce soir à la mariette entre le petit poucet "LAVEYRON" et les vendéennes de la ROCHE/yon.
Une victoire pour les dromoises et elles sortiraient certainement de la zone des reléguables
Il risque d'y avoir du bruit dans la mariette et les supporters vont répondre encore présent pour aider et pousser les filles d'étienne Faye à un nouvel exploit
Il faut y croire

Une victoire pour les dromoises et elles sortiraient certainement de la zone des reléguables
Il risque d'y avoir du bruit dans la mariette et les supporters vont répondre encore présent pour aider et pousser les filles d'étienne Faye à un nouvel exploit







-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
27ème journée
Les résultats des rencontres du 18/04/2009
S.I. GRAFFENSTADEN - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 90 - 75
ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES - RENNES AVENIR: 95 - 68
U.S. COLOMIERS BASKET - CENTRE FEDERAL BB: 82 - 62
PLEYBER CHRIST BASKET CLUB - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 55 - 66
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - ETOILE DE VOIRON FEMININ: 99 - 88
CLUB BASKET D'IFS - STRASBOURG ALSACE BC: 58 - 57
US LAVEYRON - ROCHE VENDEE BC: 56 - 50
ARMENTIERES SO - TOULOUSE METROPOLE BASKET: 58 - 66
S.I. GRAFFENSTADEN - DUNKERQUE MALO BASKET CLUB: 90 - 75
ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES - RENNES AVENIR: 95 - 68
U.S. COLOMIERS BASKET - CENTRE FEDERAL BB: 82 - 62
PLEYBER CHRIST BASKET CLUB - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 55 - 66
LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - ETOILE DE VOIRON FEMININ: 99 - 88
CLUB BASKET D'IFS - STRASBOURG ALSACE BC: 58 - 57
US LAVEYRON - ROCHE VENDEE BC: 56 - 50
ARMENTIERES SO - TOULOUSE METROPOLE BASKET: 58 - 66
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Colomiers 82 - Centre Fédéral 62
Colomiers intraitable sur son terrain
Peruch et les Toulousaines ont réalisé une sacrée performance dans le Nord.
MT : 44-31 (22-21 ; 22-10 ; 24-14 ; 14-17).
Arbitrage de MM. Chalus et Guede.
COLOMIERS : Causse (6), Mandiang (6), Billaud (10), Perotto (6), Dinga (5), Mason (6), Donnez (18 ), N'Diaye (6), Hippolyte (7), Cesnaviciute (12).
CENTRE FEDERAL : Akmouche (6), Basque (6), Eustache (4), Grossemy (10), Konteh (17), Okou Zouzou (11), Strunc, Tchatchouang, Watrelot (8 ), Westelynck.
Les Columérines entament parfaitement la rencontre. Emmenées notamment par Joëlle Hippolyte et Flore Perotto, les Haut-Garonnaises imposent leur jeu. Les visiteuses, de leur côté, font preuve de maladresse. Colomiers en profite et se détache rapidement au score (19-10). Mais, les filles de Stefan Pettersson connaissent un léger passage à vide. Le Centre Fédéral revient alors dans la partie (19-15). Et, au terme du premier quart-temps, Colomiers ne compte qu'un point d'avance (22-21).
Par la suite, les Parisiennes, réussissent à prendre l'avantage (23-22). Cependant, les Columérines se ressaisissent. Delphine Donnez (meilleure marqueuse du match) réalise un festival offensif. Kristina Cesnaviciute, quant à elle, retrouve son efficacité sous le panier. Ainsi, à la mi-temps, Colomiers domine largement les débats (44-31).
Au retour des vestiaires, les Haut-Garonnaises continuent sur leur lancée. Les tirs à trois points s'enchaînent côté columérin. Les visiteuses ne parviennent pas à rivaliser. Malgré tout, bien que dominé, le Centre Fédéral s'accroche tant bien que mal. Konteh, entre autres, fait étalage de toute sa maîtrise technique. Mais, à dix minutes de la fin, Colomiers gère tranquillement son avance (68-45).
Au cours du dernier quart-temps, les locales ne se relâchent pas. Et finalement, comme au match aller, Colomiers s'impose sans difficultés. Avec cette victoire, les filles de Stefan Pettersson alignent leur quatrième succès consécutif à domicile. La semaine prochaine, elles viseront la passe de cinq contre Charleville-Mézières.
Ch.-H. Oriol - www.ladepeche.fr
Colomiers intraitable sur son terrain
Peruch et les Toulousaines ont réalisé une sacrée performance dans le Nord.
MT : 44-31 (22-21 ; 22-10 ; 24-14 ; 14-17).
Arbitrage de MM. Chalus et Guede.
COLOMIERS : Causse (6), Mandiang (6), Billaud (10), Perotto (6), Dinga (5), Mason (6), Donnez (18 ), N'Diaye (6), Hippolyte (7), Cesnaviciute (12).
CENTRE FEDERAL : Akmouche (6), Basque (6), Eustache (4), Grossemy (10), Konteh (17), Okou Zouzou (11), Strunc, Tchatchouang, Watrelot (8 ), Westelynck.
Les Columérines entament parfaitement la rencontre. Emmenées notamment par Joëlle Hippolyte et Flore Perotto, les Haut-Garonnaises imposent leur jeu. Les visiteuses, de leur côté, font preuve de maladresse. Colomiers en profite et se détache rapidement au score (19-10). Mais, les filles de Stefan Pettersson connaissent un léger passage à vide. Le Centre Fédéral revient alors dans la partie (19-15). Et, au terme du premier quart-temps, Colomiers ne compte qu'un point d'avance (22-21).
Par la suite, les Parisiennes, réussissent à prendre l'avantage (23-22). Cependant, les Columérines se ressaisissent. Delphine Donnez (meilleure marqueuse du match) réalise un festival offensif. Kristina Cesnaviciute, quant à elle, retrouve son efficacité sous le panier. Ainsi, à la mi-temps, Colomiers domine largement les débats (44-31).
Au retour des vestiaires, les Haut-Garonnaises continuent sur leur lancée. Les tirs à trois points s'enchaînent côté columérin. Les visiteuses ne parviennent pas à rivaliser. Malgré tout, bien que dominé, le Centre Fédéral s'accroche tant bien que mal. Konteh, entre autres, fait étalage de toute sa maîtrise technique. Mais, à dix minutes de la fin, Colomiers gère tranquillement son avance (68-45).
Au cours du dernier quart-temps, les locales ne se relâchent pas. Et finalement, comme au match aller, Colomiers s'impose sans difficultés. Avec cette victoire, les filles de Stefan Pettersson alignent leur quatrième succès consécutif à domicile. La semaine prochaine, elles viseront la passe de cinq contre Charleville-Mézières.
Ch.-H. Oriol - www.ladepeche.fr
Modifié en dernier par la zone le jeu. 23 avr. 2009 9:18, modifié 1 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Pleyber-Christ - Cavigal de Nice : 55-66
La fin des espérances
Score final 55-66.
Arbitres : MM. Burnel et Kérisit.
Evolution du score : 16-20; 12-17; 16-12; 11-17.
PLEYBER-CHRIST BC: 55 points (mi-temps 28 ), 6 lancers francs tentés, 1 réussi. La marque: Kernévez (14); M.Chemineau (0); Lix-Boubala (2); Le Fé (6); Venier (8 ); Thos (0); Désert (12); Puc (4) Solstisova (7); A.Chemineau (2).
CAVIGAL DE NICE: 66 points (mi-temps 37). 11 lancers francs tentés, 8 réussis. La marque: Micaleto (13); Moua (13); Gomis (7); Mirvic (12); Gérard (0); Slabecka (20); Guerra (2).
A l'image de Laura Désert, impuissante face à la défense niçoise, les Pleybériennes ont toujours couru après le score, sans parvenir à trouver des solutions pour imposer leur jeu.
En s'inclinant à domicile, Pleyber-Christ a très fortement compromis ses chances de renouveler son bail dans cette division. Les Finistériennes n'ont en effet pas réussi à trouver les ressources morales pour vaincre.
Le début de match était plutôt hésitant de part et d'autre notamment à la finition côté local sans que les Niçoises en tirent véritablement profit (5-6). Les Pleybériennes tentaient de forcer la cadence et prenaient un léger avantage (12-9), mais la réplique niçoise était instantanée (12-12).
Les locales manquent de solutions
Les filles du PCBC n'arrivaient pas à trouver la solution en dessous et se faisaient contrer par des Azuréennes en réussite (14-20). Un écart que Mélanie Venier réduisait d'ailleurs à quatre unités au terme du premier quart-temps (16-20). Incapables d'élever leur niveau de jeu, les locales ne parvenaient pas à prendre l'initiative. Les partenaires de Désert et de Solstivova parvenaient pourtant à rester à distance respectable (22-26, 14e). Elles multipliaient les tentatives, tant intérieures qu'extérieures mais avec un taux de réussite insuffisant face à une équipe niçoise particulièrement vive en contre. Les Niçoises gardaient donc le contrôle de la marque grâce notamment à Slabecka, la pointeuse azuréenne. Tentant de trouver des solutions, Franck Simon multipliait les rotations mais cela n'avait pas d'incidence sur le rendement de sa formation, même face à un ensemble visiteur réduit à cinq filles après la blessure de Gomis. A tel point que les Niçoises atteignaient le repos avec un avantage mérité de 9 points (28-37). L'entame de la seconde période ne changeait pas grand-chose à l'affaire: deux nouveaux paniers niçois aggravaient le déficit d'une équipe locale désireuse de sortir de l'ornière. Caroline Le Fé y allait de son panier bonus mais il manquait aux locales la clairvoyance pour refaire un handicap qui reprenait de l'ampleur (42-49). Un dernier assaut au panier réduisait à quatre points le handicap des Pleybériennes avant un dernier acte qui s'annonçait chaud.
Une course-poursuite
Jouant leur va-tout, les locales se lançaient dans une course-poursuite effrénée et revenaient à deux unités (49-51). Les Niçoises se donnaient pourtant à nouveau un peu d'air (49-55). Les filles de Franck Simon donnaient enfin tout ce qu'elles avaient et revenaient à une longueur (55-56). Mais la fin de match était à nouveau à l'avantage d'une équipe visiteuse plus mature qui a su tirer profit du désarroi quasiment permanent des Pleybériennes durant cette rencontre. Une rencontre qui, au-delà de la défaite, a bel et bien sonné le glas des espérances pleybériennes.
R.B. - www.letelegramme.com
La fin des espérances
Score final 55-66.
Arbitres : MM. Burnel et Kérisit.
Evolution du score : 16-20; 12-17; 16-12; 11-17.
PLEYBER-CHRIST BC: 55 points (mi-temps 28 ), 6 lancers francs tentés, 1 réussi. La marque: Kernévez (14); M.Chemineau (0); Lix-Boubala (2); Le Fé (6); Venier (8 ); Thos (0); Désert (12); Puc (4) Solstisova (7); A.Chemineau (2).
CAVIGAL DE NICE: 66 points (mi-temps 37). 11 lancers francs tentés, 8 réussis. La marque: Micaleto (13); Moua (13); Gomis (7); Mirvic (12); Gérard (0); Slabecka (20); Guerra (2).
A l'image de Laura Désert, impuissante face à la défense niçoise, les Pleybériennes ont toujours couru après le score, sans parvenir à trouver des solutions pour imposer leur jeu.
En s'inclinant à domicile, Pleyber-Christ a très fortement compromis ses chances de renouveler son bail dans cette division. Les Finistériennes n'ont en effet pas réussi à trouver les ressources morales pour vaincre.
Le début de match était plutôt hésitant de part et d'autre notamment à la finition côté local sans que les Niçoises en tirent véritablement profit (5-6). Les Pleybériennes tentaient de forcer la cadence et prenaient un léger avantage (12-9), mais la réplique niçoise était instantanée (12-12).
Les locales manquent de solutions
Les filles du PCBC n'arrivaient pas à trouver la solution en dessous et se faisaient contrer par des Azuréennes en réussite (14-20). Un écart que Mélanie Venier réduisait d'ailleurs à quatre unités au terme du premier quart-temps (16-20). Incapables d'élever leur niveau de jeu, les locales ne parvenaient pas à prendre l'initiative. Les partenaires de Désert et de Solstivova parvenaient pourtant à rester à distance respectable (22-26, 14e). Elles multipliaient les tentatives, tant intérieures qu'extérieures mais avec un taux de réussite insuffisant face à une équipe niçoise particulièrement vive en contre. Les Niçoises gardaient donc le contrôle de la marque grâce notamment à Slabecka, la pointeuse azuréenne. Tentant de trouver des solutions, Franck Simon multipliait les rotations mais cela n'avait pas d'incidence sur le rendement de sa formation, même face à un ensemble visiteur réduit à cinq filles après la blessure de Gomis. A tel point que les Niçoises atteignaient le repos avec un avantage mérité de 9 points (28-37). L'entame de la seconde période ne changeait pas grand-chose à l'affaire: deux nouveaux paniers niçois aggravaient le déficit d'une équipe locale désireuse de sortir de l'ornière. Caroline Le Fé y allait de son panier bonus mais il manquait aux locales la clairvoyance pour refaire un handicap qui reprenait de l'ampleur (42-49). Un dernier assaut au panier réduisait à quatre points le handicap des Pleybériennes avant un dernier acte qui s'annonçait chaud.
Une course-poursuite
Jouant leur va-tout, les locales se lançaient dans une course-poursuite effrénée et revenaient à deux unités (49-51). Les Niçoises se donnaient pourtant à nouveau un peu d'air (49-55). Les filles de Franck Simon donnaient enfin tout ce qu'elles avaient et revenaient à une longueur (55-56). Mais la fin de match était à nouveau à l'avantage d'une équipe visiteuse plus mature qui a su tirer profit du désarroi quasiment permanent des Pleybériennes durant cette rencontre. Une rencontre qui, au-delà de la défaite, a bel et bien sonné le glas des espérances pleybériennes.
R.B. - www.letelegramme.com
Modifié en dernier par la zone le dim. 26 avr. 2009 12:01, modifié 1 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
SIG — Dunkerque : 90-75.
La SIG vers le final four
Les quarts temps : 25-20, 18-18, 24-13, 23-24.
Arbitres : MM Corrado et Piot. 600 spectateurs.
SIG : Schmitt-Sendner 22, Vernerey 21, Fischbach 15, Nussbaumer 12, Konaté 9, Nsoki 8, Battaglia 3, Boissinot, Mauler, Kopp.
Dunkerque : Brumermane 23, Fresnais 14, Fombonne 11, Adler 9, Delepine 8, Duquesne 7, Zemantauskaïte 3, Bal, Carlier, Protin.
Une nouvelle fois, les protégées de Philippe Breitenbucher ont brillé sur leur parquet, en prenant une belle revanche face à Dunkerque après la défaite du match aller (100-95). Concentrées, appliquées et sereines, les filles de la SIG ont déployé leur filet tout au long de la partie, sans laisser la moindre chance à leurs adversaires, qui n’ont pas su refaire surface dans la deuxième mi-temps.
Dès les premières secondes, Vernerey prend le jeu à son compte : 4 points, un rebond et une interception. La SIG mène 8-0 après 2 minutes. Les Nordistes, à l’image de l’impressionnante Brumermane (27 d’évaluation), reprennent vite leurs esprits. Elles remontent au score et prennent la tête (12-13 à la 6e). La situation n’est pas pour plaire aux Illkirchoises. Konaté, en puissance, trouve le chemin du panier. Schmitt-Sendner score à 3 points. Les joueuses locales mènent 25-20 après dix minutes. Les Nordistes adoptent alors un jeu plus lent lors du second acte, installant un faux rythme qui déstabilise les Bas-Rhinoises. Maladresses et pertes de balle s’enchaînent et Dunkerque en profite pour recoller au score (32-32 à la 16e). Les Alsaciennes, malmenées par les visiteuses, se heurtent qui plus est à un cercle capricieux. Elles ne laissent néanmoins pas la situation s’envenimer et se reprennent en fin de période (43-38 ).
Au retour du vestiaire, les deux formations affichent un visage différent : déterminé pour les joueuses locales, dépassé pour les Nordistes. En cinq minutes, la SIG prend 14 longueurs d’avance (56-46 à la 24e, 60-46 à la 25e). Les Dunkerquoises perdent le nord et plient sous l’impulsion illkirchoise (67-51 à la 30e). Nsoki, Fischbach et leurs coéquipières se battent sur tous les ballons et prennent au passage un sérieux ascendant sur leurs adversaires, qui ne sont plus que l’ombre d’elles-mêmes. Elles déploient une défense de zone qui n’effraie pas Vernerey et manquent de sérieuses occasions (80-65 à la 36e). Les Alsaciennes gardent le rythme et assurent le spectacle. Elles s’imposent 90 à 75, signent leur cinquième victoire d’affilée et s’offrent la seconde place du classement de N1.
www.alsapresse.com
-------------------------------------------------- -----------------------
GRAFFENSTADEN - DMBC : 90 - 75
Le DMBC n'a pas su rivaliser face à Graffenstaden
Courageuses de bout en bout, les Dunkerquoises n'ont pas su résister face aux Alsaciennes de Graffenstaden.
Graffenstaden a prouvé face aux Dunkerquoises que leur ticket pour le « Final Four » n'était pas volé. Et pourtant, les filles de Christian Devos ont, jusqu'au repos, sérieusement inquiété les Alsaciennes (43-38 ). Mais la seconde période tournait à l'avantage de Graffenstaden dont les huit paniers primés enlevèrent aux Nordistes l'espoir de savourer une seconde victoire à l'extérieur (90-75).
Seules dauphines après la défaite d'Armentières, les Alsaciennes ont donc construit ce succès avec patience, car la partie s'est décantée durant le troisième quart temps (24-13). Les Maritimes, bien mal parties (10-2), rétablissaient en partie leur retard et faisaient ensuite jeu égal durant le second quart temps. Elles prenaient même l'avantage grâce à huit points inscrit par Brumermane (32-34, 15e). Malgré cela, cinq points en faveur du SIG étaient comptabilisés à la pause (43-38 ).
Pas la mer à boire certes, mais hélas les Alsaciennes élevaient leur jeu dès la reprise : DMBC constatait les dégâts. Remonter seize points durant les dix dernières minutes était pratiquement mission impossible pour des Maritimes. Elles ont eu le mérite de ne pas baisser les bras, ce qui leur a permis de réduire légèrement l'écart en fin de match (90-75). « On s'attend toujours à gagner, reconnaissait Christian Devos, mais les Alsaciennes ont démontré de très bonnes choses. On place un panier bonifié contre huit, déjà, là, la différence se fait. Et l'euphorie de jouer le « Final Four » donne des ailes à cette formation alsacienne. On se rendra à Rennes samedi en espérant obtenir un bon résultat car les positions se resserrent autour de nous. » •
A. B. - www.lavoixdunord.fr
La SIG vers le final four
Les quarts temps : 25-20, 18-18, 24-13, 23-24.
Arbitres : MM Corrado et Piot. 600 spectateurs.
SIG : Schmitt-Sendner 22, Vernerey 21, Fischbach 15, Nussbaumer 12, Konaté 9, Nsoki 8, Battaglia 3, Boissinot, Mauler, Kopp.
Dunkerque : Brumermane 23, Fresnais 14, Fombonne 11, Adler 9, Delepine 8, Duquesne 7, Zemantauskaïte 3, Bal, Carlier, Protin.
Une nouvelle fois, les protégées de Philippe Breitenbucher ont brillé sur leur parquet, en prenant une belle revanche face à Dunkerque après la défaite du match aller (100-95). Concentrées, appliquées et sereines, les filles de la SIG ont déployé leur filet tout au long de la partie, sans laisser la moindre chance à leurs adversaires, qui n’ont pas su refaire surface dans la deuxième mi-temps.
Dès les premières secondes, Vernerey prend le jeu à son compte : 4 points, un rebond et une interception. La SIG mène 8-0 après 2 minutes. Les Nordistes, à l’image de l’impressionnante Brumermane (27 d’évaluation), reprennent vite leurs esprits. Elles remontent au score et prennent la tête (12-13 à la 6e). La situation n’est pas pour plaire aux Illkirchoises. Konaté, en puissance, trouve le chemin du panier. Schmitt-Sendner score à 3 points. Les joueuses locales mènent 25-20 après dix minutes. Les Nordistes adoptent alors un jeu plus lent lors du second acte, installant un faux rythme qui déstabilise les Bas-Rhinoises. Maladresses et pertes de balle s’enchaînent et Dunkerque en profite pour recoller au score (32-32 à la 16e). Les Alsaciennes, malmenées par les visiteuses, se heurtent qui plus est à un cercle capricieux. Elles ne laissent néanmoins pas la situation s’envenimer et se reprennent en fin de période (43-38 ).
Au retour du vestiaire, les deux formations affichent un visage différent : déterminé pour les joueuses locales, dépassé pour les Nordistes. En cinq minutes, la SIG prend 14 longueurs d’avance (56-46 à la 24e, 60-46 à la 25e). Les Dunkerquoises perdent le nord et plient sous l’impulsion illkirchoise (67-51 à la 30e). Nsoki, Fischbach et leurs coéquipières se battent sur tous les ballons et prennent au passage un sérieux ascendant sur leurs adversaires, qui ne sont plus que l’ombre d’elles-mêmes. Elles déploient une défense de zone qui n’effraie pas Vernerey et manquent de sérieuses occasions (80-65 à la 36e). Les Alsaciennes gardent le rythme et assurent le spectacle. Elles s’imposent 90 à 75, signent leur cinquième victoire d’affilée et s’offrent la seconde place du classement de N1.
www.alsapresse.com
-------------------------------------------------- -----------------------
GRAFFENSTADEN - DMBC : 90 - 75
Le DMBC n'a pas su rivaliser face à Graffenstaden
Courageuses de bout en bout, les Dunkerquoises n'ont pas su résister face aux Alsaciennes de Graffenstaden.
Graffenstaden a prouvé face aux Dunkerquoises que leur ticket pour le « Final Four » n'était pas volé. Et pourtant, les filles de Christian Devos ont, jusqu'au repos, sérieusement inquiété les Alsaciennes (43-38 ). Mais la seconde période tournait à l'avantage de Graffenstaden dont les huit paniers primés enlevèrent aux Nordistes l'espoir de savourer une seconde victoire à l'extérieur (90-75).
Seules dauphines après la défaite d'Armentières, les Alsaciennes ont donc construit ce succès avec patience, car la partie s'est décantée durant le troisième quart temps (24-13). Les Maritimes, bien mal parties (10-2), rétablissaient en partie leur retard et faisaient ensuite jeu égal durant le second quart temps. Elles prenaient même l'avantage grâce à huit points inscrit par Brumermane (32-34, 15e). Malgré cela, cinq points en faveur du SIG étaient comptabilisés à la pause (43-38 ).
Pas la mer à boire certes, mais hélas les Alsaciennes élevaient leur jeu dès la reprise : DMBC constatait les dégâts. Remonter seize points durant les dix dernières minutes était pratiquement mission impossible pour des Maritimes. Elles ont eu le mérite de ne pas baisser les bras, ce qui leur a permis de réduire légèrement l'écart en fin de match (90-75). « On s'attend toujours à gagner, reconnaissait Christian Devos, mais les Alsaciennes ont démontré de très bonnes choses. On place un panier bonifié contre huit, déjà, là, la différence se fait. Et l'euphorie de jouer le « Final Four » donne des ailes à cette formation alsacienne. On se rendra à Rennes samedi en espérant obtenir un bon résultat car les positions se resserrent autour de nous. » •
A. B. - www.lavoixdunord.fr
Modifié en dernier par la zone le mar. 21 avr. 2009 9:19, modifié 3 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Ifs — Strasbourg ABC : 58-57.
Cruel coup du sort pour le SABC
Les quarts temps : 21-14, 7-11, 22-15, 8-17.
Ifs : Seigneur, Goltze 7, Galiana 14, Attiogde 5, Villain 15, Diagne 2, Prsa 4, Chrzanowski 11.
Strasbourg ABC : Poblard, Cayot 20, Ziegler, Mboma 10, Vanhopreve, Diawara 9, Washington 12, Frauli 3, Traore 3.
Après un premier quart temps très disputé par les deux formations, l’équipe normande a pris l’avantage face à une équipe alsacienne décimée par les blessures depuis le début de l’année. Pourtant, après avoir été menées d’une quinzaine de points, les joueuses de José Ruiz réussirent à calmer l’orage et revinrent à 8 longueurs de leurs adversaires à la pause.
Au retour des vestiaires, le SABC aligna une équipe avec trois joueuses issues de son centre de formation. Ifs en profita pour imposer son physique dans la raquette et augmenter la différence au score. Mais les Alsaciennes ne s’avouèrent pas vaincues. Avec Fatim Traore aux commandes et une Mboma omniprésente des deux côtés du terrain, les Strasbourgeoises firent preuve de détermination et d’adresse grâce notamment à Cayot (20 points) et revinrent dans la partie malgré plusieurs coups de sifflet discutables. Elles prirent même l’avantage à trois secondes du coup de sifflet final, ce qui aurait pu être un parfait hold-up. Mais le sort en a décidé autrement : après une dernière touche pour les Normandes, Julie Villain s’empara du ballon et réussit à se créer un dernier tir primé au buzzer, permettant ainsi aux siennes de remporter la rencontre.
www.alsapresse.com
Cruel coup du sort pour le SABC
Les quarts temps : 21-14, 7-11, 22-15, 8-17.
Ifs : Seigneur, Goltze 7, Galiana 14, Attiogde 5, Villain 15, Diagne 2, Prsa 4, Chrzanowski 11.
Strasbourg ABC : Poblard, Cayot 20, Ziegler, Mboma 10, Vanhopreve, Diawara 9, Washington 12, Frauli 3, Traore 3.
Après un premier quart temps très disputé par les deux formations, l’équipe normande a pris l’avantage face à une équipe alsacienne décimée par les blessures depuis le début de l’année. Pourtant, après avoir été menées d’une quinzaine de points, les joueuses de José Ruiz réussirent à calmer l’orage et revinrent à 8 longueurs de leurs adversaires à la pause.
Au retour des vestiaires, le SABC aligna une équipe avec trois joueuses issues de son centre de formation. Ifs en profita pour imposer son physique dans la raquette et augmenter la différence au score. Mais les Alsaciennes ne s’avouèrent pas vaincues. Avec Fatim Traore aux commandes et une Mboma omniprésente des deux côtés du terrain, les Strasbourgeoises firent preuve de détermination et d’adresse grâce notamment à Cayot (20 points) et revinrent dans la partie malgré plusieurs coups de sifflet discutables. Elles prirent même l’avantage à trois secondes du coup de sifflet final, ce qui aurait pu être un parfait hold-up. Mais le sort en a décidé autrement : après une dernière touche pour les Normandes, Julie Villain s’empara du ballon et réussit à se créer un dernier tir primé au buzzer, permettant ainsi aux siennes de remporter la rencontre.
www.alsapresse.com
Modifié en dernier par la zone le lun. 20 avr. 2009 10:17, modifié 2 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
ARMENTIERES SO - TOULOUSE METROPOLE BASKET: 58 - 66
Toulouse met un terme à l'invincibilité armentiéroise à domicile
Hier soir, c'est Toulouse qui a mis Armentières au tapis.
On les savait émoussées, fatiguées, moins bien... Et, hier soir, les Armentiéroises se sont finalement effondrées après avoir fait jeu égal avec les Toulousaines lors de la première période. Avec cette défaite, elles n'ont perdu que leur invincibilité à la maison ; pour le Final Four, tout est encore possible mais il va falloir qu'elles retrouvent le fond de jeu qui, jusqu'à présent, leur avait plutôt bien réussi pour espérer figurer dans le carré final.
Les Armentiéroises avaient de nombreuses sources de motivation hier soir : prendre leur revanche du match aller, préserver leur invincibilité à la maison et, surtout, valider enfin leur billet pour le Final Four... Trop de pression diront certains. Peut-être mais, hier soir, sur le parquet de Léo-Lagrange, c'est un bien triste visage qu'ont montré les SOA. En première période, elles firent cependant jeu égal avec Toulouse. Grâce, notamment, à une belle adresse à trois points qui leur a permis d'éviter d'avoir à affronter la belle défense toulousaine. Après dix minutes, les SOA étaient devant d'un petit point (18-17) mais on sentait les Toulousaines aux aguets. Les trois premières minutes du deuxième quart firent la part belle aux défenses : aucun point de marqué ni d'un côté ni de l'autre. Armentières semblait plus à l'aise dans ses transmissions mais, déjà, commençait à perdre de son efficacité dans la finition.
Ce que le troisième quart avait laissé deviner allait malheureusement se confirmer dès la reprise. Toulouse commençait à grappiller son retard. La défense armentiéroise tenait encore le choc mais comme, à l'approche des paniers, les « Noires et Blanches » ne faisaient que rarement mouche, l'écart se réduisait. Cinq minutes après être revenues sur le parquet, les deux équipes étaient à égalité (39-39). Peruch, Nedovic et Minard sonnèrent alors la charge pour infliger à d'impuissantes SOA un 12-21 dont elles n'allaient jamais se relever. Lalart et Bremont furent les deux seules à montrer encore un peu d'efficacité dans le dernier acte. Pas assez cependant pour qu'Armentières ne puisse être rassuré quant à sa fin de saison. Il reste trois matchs à disputer et une victoire à décrocher pour s'assurer une place en Final Four... •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com
Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord
-------------------------------------------------- --------------------------
ARMENTIÈRES - TOULOUSE: 58-66
Armentières doit retrouver ses valeurs
Les Armentiéroises ont laissé passer leur chance samedi soir, face à Toulouse.
(18-17, 14-12, 12-21, 14-16)
ARMENTIÈRES• Coumba 3, Bremont 19, Quicque, Nemmouchi 2, Lalart 9, Demets 9, Pilyashenko 9, Catrix 2, Merlot 3, Megoeuil 2.
TOULOUSE• Minard 7, Tavares 2, Lebouc, Hermouet 10, Gauthier 7, Lacrabe 6, Agbatan 1, Nedovic 20, Peruch 13, Noirez.
Mais que se passe-t-il donc depuis quelques semaines du côté d'Armentières ? Une victoire quasi miraculeuse contre Strasbourg, une lourde défaite à La Roche/Yon et, samedi soir, une première défaite à domicile en championnat.
Stéphane Lalart pouvait légitimement afficher sa déception à l'issue d'une rencontre où ses protégées n'auront fait illusion qu'une période. « On a vu qu'il y avait des filles majeures qui commençaient à être émoussées et d'autres qui n'ont pas tenu leur rôle », assénait le coach armentiérois.
Effectivement, sur le parquet, on a pu voir les Armentiéroises bien à la peine. Manquant d'adresse et de jus en deuxième période, elles n'ont jamais physiquement été en mesure de soutenir la comparaison avec une équipe toulousaine appliquée et sérieuse, mais loin d'être imprenable.
Les statistiques sont d'ailleurs là pour le confirmer : une seule fille à plus de 10 points (Brémont avec 19), le collectif des SOA nous a habitués à bien mieux. Dans de pareilles conditions, difficile de dire de quoi sera fait demain... Concrètement, les filles de Stéphane Lalart pointent à la troisième place, un point derrière Graffenstaden et deux devant Charleville, Toulouse et Roche-Vendée. Elles sont toujours en bonne position pour prétendre à une place au « Final four ». Il reste trois journées à disputer et une seule petite victoire suffirait à décrocher un billet pour le carré final. « Et deux victoires permettraient d'éviter Limoges en de mi-finale », précise le technicien des SOA.
On n'ose imaginer les Armentiéroises terminer une saison exceptionnelle par une avalanche de contre-performances. Mais si, comme on l'espère et on le pense, elles finissent par se qualifier, il leur faudra absolument retrouver leur basket pour espérer faire plus que de la figuration en terre limougeaude.•
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdessports.com
Toulouse met un terme à l'invincibilité armentiéroise à domicile
Hier soir, c'est Toulouse qui a mis Armentières au tapis.
On les savait émoussées, fatiguées, moins bien... Et, hier soir, les Armentiéroises se sont finalement effondrées après avoir fait jeu égal avec les Toulousaines lors de la première période. Avec cette défaite, elles n'ont perdu que leur invincibilité à la maison ; pour le Final Four, tout est encore possible mais il va falloir qu'elles retrouvent le fond de jeu qui, jusqu'à présent, leur avait plutôt bien réussi pour espérer figurer dans le carré final.
Les Armentiéroises avaient de nombreuses sources de motivation hier soir : prendre leur revanche du match aller, préserver leur invincibilité à la maison et, surtout, valider enfin leur billet pour le Final Four... Trop de pression diront certains. Peut-être mais, hier soir, sur le parquet de Léo-Lagrange, c'est un bien triste visage qu'ont montré les SOA. En première période, elles firent cependant jeu égal avec Toulouse. Grâce, notamment, à une belle adresse à trois points qui leur a permis d'éviter d'avoir à affronter la belle défense toulousaine. Après dix minutes, les SOA étaient devant d'un petit point (18-17) mais on sentait les Toulousaines aux aguets. Les trois premières minutes du deuxième quart firent la part belle aux défenses : aucun point de marqué ni d'un côté ni de l'autre. Armentières semblait plus à l'aise dans ses transmissions mais, déjà, commençait à perdre de son efficacité dans la finition.
Ce que le troisième quart avait laissé deviner allait malheureusement se confirmer dès la reprise. Toulouse commençait à grappiller son retard. La défense armentiéroise tenait encore le choc mais comme, à l'approche des paniers, les « Noires et Blanches » ne faisaient que rarement mouche, l'écart se réduisait. Cinq minutes après être revenues sur le parquet, les deux équipes étaient à égalité (39-39). Peruch, Nedovic et Minard sonnèrent alors la charge pour infliger à d'impuissantes SOA un 12-21 dont elles n'allaient jamais se relever. Lalart et Bremont furent les deux seules à montrer encore un peu d'efficacité dans le dernier acte. Pas assez cependant pour qu'Armentières ne puisse être rassuré quant à sa fin de saison. Il reste trois matchs à disputer et une victoire à décrocher pour s'assurer une place en Final Four... •
FLORENCE PIAZZETA - www.armentieres.maville.com
Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord
-------------------------------------------------- --------------------------
ARMENTIÈRES - TOULOUSE: 58-66
Armentières doit retrouver ses valeurs
Les Armentiéroises ont laissé passer leur chance samedi soir, face à Toulouse.
(18-17, 14-12, 12-21, 14-16)
ARMENTIÈRES• Coumba 3, Bremont 19, Quicque, Nemmouchi 2, Lalart 9, Demets 9, Pilyashenko 9, Catrix 2, Merlot 3, Megoeuil 2.
TOULOUSE• Minard 7, Tavares 2, Lebouc, Hermouet 10, Gauthier 7, Lacrabe 6, Agbatan 1, Nedovic 20, Peruch 13, Noirez.
Mais que se passe-t-il donc depuis quelques semaines du côté d'Armentières ? Une victoire quasi miraculeuse contre Strasbourg, une lourde défaite à La Roche/Yon et, samedi soir, une première défaite à domicile en championnat.
Stéphane Lalart pouvait légitimement afficher sa déception à l'issue d'une rencontre où ses protégées n'auront fait illusion qu'une période. « On a vu qu'il y avait des filles majeures qui commençaient à être émoussées et d'autres qui n'ont pas tenu leur rôle », assénait le coach armentiérois.
Effectivement, sur le parquet, on a pu voir les Armentiéroises bien à la peine. Manquant d'adresse et de jus en deuxième période, elles n'ont jamais physiquement été en mesure de soutenir la comparaison avec une équipe toulousaine appliquée et sérieuse, mais loin d'être imprenable.
Les statistiques sont d'ailleurs là pour le confirmer : une seule fille à plus de 10 points (Brémont avec 19), le collectif des SOA nous a habitués à bien mieux. Dans de pareilles conditions, difficile de dire de quoi sera fait demain... Concrètement, les filles de Stéphane Lalart pointent à la troisième place, un point derrière Graffenstaden et deux devant Charleville, Toulouse et Roche-Vendée. Elles sont toujours en bonne position pour prétendre à une place au « Final four ». Il reste trois journées à disputer et une seule petite victoire suffirait à décrocher un billet pour le carré final. « Et deux victoires permettraient d'éviter Limoges en de mi-finale », précise le technicien des SOA.
On n'ose imaginer les Armentiéroises terminer une saison exceptionnelle par une avalanche de contre-performances. Mais si, comme on l'espère et on le pense, elles finissent par se qualifier, il leur faudra absolument retrouver leur basket pour espérer faire plus que de la figuration en terre limougeaude.•
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdessports.com
Modifié en dernier par la zone le jeu. 23 avr. 2009 9:18, modifié 1 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Pleyber-Christ - Cavigal de Nice (55-66)
Mais où était la motivation?
Les Pleybériennes n'ont jamais paru en mesure de prendre le dessus sur les Niçoises, samedi soir.
Terrible déception, samedi soir à Pleyber-Christ. L'équipe première féminine a sans doute abandonné une très grande partie de ses illusions quant à un maintien direct en Nationale 1 en s'inclinant (55-66) devant le Cavigal de Nice au terme d'une rencontre dans laquelle jamais, hormis peut-être le dernier quart-temps, on a senti les filles de Franck Simon capables d'inverser la tendance.
Autant lors des matchs précédents à domicile, on avait vu une formation locale motivée, pugnace, vaillante au possible, autant samedi soir, on a vu un ensemble pleybérien désemparé, incapable de passer à la vitesse supérieure pour faire la différence.
Et pourtant, Nice est en liquidation judiciaire...
Franck Simon déplorait aussi un manque d'adresse incroyable durant la première période: «Pour gagner un match, il faut être un minimum adroit. Ce minimum, on ne l'a jamais eu durant la première mi-temps. Et combien de ballons avons-nous abandonné à l'adversaire? Il est incontestable que durant cette période initiale, mes joueuses ont fait preuve d'une léthargie coupable. Certes, en fin de match, elles se sont reprises, mais sans jamais pouvoir passer devant les Niçoises.» Les Niçoises, parlons-en. Le Cavigal est en liquidation judiciaire. Ce qui veut dire que les pros qui y jouent ne sont plus payées. Et pourtant, à Pleyber, on aurait dit que c'étaient elles qui jouaient leur maintien. «Mes filles ont trouvé face à elles six joueuses de niveau de Nationale 1. Elles préparent d'ores et déjà leur avenir. C'est pourquoi, le fait de n'avoir eu face à nous que six filles n'a pas été un avantage, loin s'en faut. Elles ont, au contraire, fait bloc durant toute la rencontre, ce que nous n'avons pas su réaliser, notamment en défense.»
Les séquelles parisiennes
Pour Franck Simon, une autre cause explique la faillite collective de son équipe. «Il est clair que la défaite face au Centre fédéral nous a fait mal. En échouant à Paris, nous avons cassé la dynamique qui nous avait valu nos victoires chez nous. Cela s'est ressenti sur le terrain ce soir (samedi), mais aussi dans la semaine où des dissensions sont apparues entre les filles. Face à Nice, hormis Aude Kernévez et Laura Désert, on n'a pas senti cette envie d'aller de l'avant sans laquelle on n'aboutit à rien.»
Ne surtout pas finir dernier
Cette nouvelle défaite a tiré un trait sur les espoirs de maintien de Pleyber-Christ. Ifs et Colomiers ayant gagné, il faudrait que les Finistériennes gagnent leurs trois derniers matchs et que leurs adversaires directs les perdent pour espérer passer devant. Et encore, elles ne parviendraient pas à doubler Laveyron et Voiron, qui sont désormais hors de portée. Le temps des illusions est donc passé. L'objectif sera maintenant de ne pas terminer dernier (ou avant-dernier, le Centre fédéral ne pouvant pas être relégué), car cette place est synonyme d'une descente irrémédiable en Nationale 2. Et ce n'est pas gagné. Surtout lorsque l'on sait que samedi prochain, c'est Graffenstaden, le troisième du championnat, qui sera l'hôte des Pleybériennes. Elles devront pourtant réaliser un exploit pour que les deux derniers matches de la saison conservent de l'intérêt.
R.B. - www.letelegramme.com
Mais où était la motivation?
Les Pleybériennes n'ont jamais paru en mesure de prendre le dessus sur les Niçoises, samedi soir.
Terrible déception, samedi soir à Pleyber-Christ. L'équipe première féminine a sans doute abandonné une très grande partie de ses illusions quant à un maintien direct en Nationale 1 en s'inclinant (55-66) devant le Cavigal de Nice au terme d'une rencontre dans laquelle jamais, hormis peut-être le dernier quart-temps, on a senti les filles de Franck Simon capables d'inverser la tendance.
Autant lors des matchs précédents à domicile, on avait vu une formation locale motivée, pugnace, vaillante au possible, autant samedi soir, on a vu un ensemble pleybérien désemparé, incapable de passer à la vitesse supérieure pour faire la différence.
Et pourtant, Nice est en liquidation judiciaire...
Franck Simon déplorait aussi un manque d'adresse incroyable durant la première période: «Pour gagner un match, il faut être un minimum adroit. Ce minimum, on ne l'a jamais eu durant la première mi-temps. Et combien de ballons avons-nous abandonné à l'adversaire? Il est incontestable que durant cette période initiale, mes joueuses ont fait preuve d'une léthargie coupable. Certes, en fin de match, elles se sont reprises, mais sans jamais pouvoir passer devant les Niçoises.» Les Niçoises, parlons-en. Le Cavigal est en liquidation judiciaire. Ce qui veut dire que les pros qui y jouent ne sont plus payées. Et pourtant, à Pleyber, on aurait dit que c'étaient elles qui jouaient leur maintien. «Mes filles ont trouvé face à elles six joueuses de niveau de Nationale 1. Elles préparent d'ores et déjà leur avenir. C'est pourquoi, le fait de n'avoir eu face à nous que six filles n'a pas été un avantage, loin s'en faut. Elles ont, au contraire, fait bloc durant toute la rencontre, ce que nous n'avons pas su réaliser, notamment en défense.»
Les séquelles parisiennes
Pour Franck Simon, une autre cause explique la faillite collective de son équipe. «Il est clair que la défaite face au Centre fédéral nous a fait mal. En échouant à Paris, nous avons cassé la dynamique qui nous avait valu nos victoires chez nous. Cela s'est ressenti sur le terrain ce soir (samedi), mais aussi dans la semaine où des dissensions sont apparues entre les filles. Face à Nice, hormis Aude Kernévez et Laura Désert, on n'a pas senti cette envie d'aller de l'avant sans laquelle on n'aboutit à rien.»
Ne surtout pas finir dernier
Cette nouvelle défaite a tiré un trait sur les espoirs de maintien de Pleyber-Christ. Ifs et Colomiers ayant gagné, il faudrait que les Finistériennes gagnent leurs trois derniers matchs et que leurs adversaires directs les perdent pour espérer passer devant. Et encore, elles ne parviendraient pas à doubler Laveyron et Voiron, qui sont désormais hors de portée. Le temps des illusions est donc passé. L'objectif sera maintenant de ne pas terminer dernier (ou avant-dernier, le Centre fédéral ne pouvant pas être relégué), car cette place est synonyme d'une descente irrémédiable en Nationale 2. Et ce n'est pas gagné. Surtout lorsque l'on sait que samedi prochain, c'est Graffenstaden, le troisième du championnat, qui sera l'hôte des Pleybériennes. Elles devront pourtant réaliser un exploit pour que les deux derniers matches de la saison conservent de l'intérêt.
R.B. - www.letelegramme.com
Modifié en dernier par la zone le lun. 11 mai 2009 9:56, modifié 1 fois.
-
- Hall Of Famer
- Messages : 6643
- Enregistré le : dim. 03 sept. 2006 21:26
Charleville bat Rennes 95-68
Le FCBA se relance
CHARLEVILLE-MEZIERES. -
(32-12, 26-25, 17-16, 20-15).
Arbitres : MM. Rabiaa et Becavin. 500 spectateurs.
CHARLEVILLE : Kusion 19, Contessi 17, Boonen 13, Bouderra 10, Herrscher 10, Cailleux 10, Fromholz 8, Constantin 4, Herradas 4.
RENNES : Lokoka 17, Assilamehou 16, Morgan 9, Medenou 9, Minte 7, Prodhomme 5, Gorjeu 4, Montout 1.
Dans un grand soir, Alexia Kusion a mis les siennes sur la voie du succès dès le premier quart.
Les Carolos ont fait exploser samedi soir un bien pâle collectif breton. Bonne affaire dans la course aux play-offs.
Trouvant rapidement les clés de la raquette rennaise, les intérieures, notamment Boonen, mettaient les Flammes sur la bonne voie (10-3, 4e).
Cueillies à froid, les visiteuses réagissaient timidement, à coups de lancers francs (10-6, 5e).
Le 9e du championnat revenait bien à 14-11 mais Contessi rallumait vite la flamme en percussion (16-11, 6e).
Profitant des maladresses adverses au panier, le FCBA haussait considérablement le ton dans les cinq dernières minutes de ce premier quart où Rennes encaissait un 13-0 sans rémission (27-11).
Si bien que Charleville assurait un écart énorme de 20 points au bout du premier mini repos (32-12).
Bouderra répliquait à Gorjeu au-delà des 6,25 m, trouvant une belle dextérité dès la reprise (37-17). A partir d'un basket limpide, les Flammes poursuivaient sur leur lancée via l'entreprenante Kusion (39-17, 13e).
La zone bretonne, pas au top, prenait l'eau de toute part, Boonen amplifiant encore l'écart (41-17). Seules les Rennaises Morgan et Lokoka faisaient étalage de leur talent mais trop sporadiquement (47-23, 14e).
Dans un grand soir, Kusion (14 points en première période) doublait le capital ardennais au quart d'heure (50-25). L'entrée de Herradas donnait encore du peps dans la peinture et l'écart connaissait son apogée à la 16e (56-25).
Malgré la domination carolo, les Bretonnes avaient mieux résisté lors de ce deuxième quart qu'elles laissaient échapper d'un point (26-25). Avec une Contessi virevoltante, le FCBA semblait véritablement à l'abri d'un mauvais scénario à la pause en menant 58-37.
Avance confortable
Les locales relâchaient un peu la pression à l'entame du troisième quart. Seulement 4 petits points marqués en 4 minutes sans toutefois que les visiteuses ne profitent vraiment de la situation (62-41).
Le bras relâché de Fromholz trouvait la mire derrière l'arc de cercle (67-43, 25e). Un peu plus haché et moins enjoué, l'acte 3 restait l'apanage des Carolos enfonçant le clou par Kusion (67-49).
Et comme les shooteuses rennaises montraient beaucoup de fébrilité, notamment aux lancers francs, la marge oscillait à plus de 20 unités. Le troisième emporté comme le précédent d'1 point s'achevait sur un bonus de Cailleux (75-53, 30e).
A la manière, les Carolos ajoutaient la forme sur ce nouveau primé de Contessi à la 33e (83-55).
Cailleux l'imitait dans la foulée, répondant à une infiltration de la physique Lokoka (85-57, 34e). Mais le match était plié depuis longtemps car Rennes avait été plombé par un premier quart catastrophique. Les cinq dernières minutes ne changeaient aucunement l'issue. Les protégées de Yernaux pouvaient soigner le scoring (88-61, 36e).
Du coup, les partenaires de Bouderra terminaient en roue libre pour signer un succès aisé, réalisant une bonne affaire dans la course aux play-offs après sa claque à Dunkerque.
www.lunion.presse.fr
Le FCBA se relance
CHARLEVILLE-MEZIERES. -
(32-12, 26-25, 17-16, 20-15).
Arbitres : MM. Rabiaa et Becavin. 500 spectateurs.
CHARLEVILLE : Kusion 19, Contessi 17, Boonen 13, Bouderra 10, Herrscher 10, Cailleux 10, Fromholz 8, Constantin 4, Herradas 4.
RENNES : Lokoka 17, Assilamehou 16, Morgan 9, Medenou 9, Minte 7, Prodhomme 5, Gorjeu 4, Montout 1.
Dans un grand soir, Alexia Kusion a mis les siennes sur la voie du succès dès le premier quart.
Les Carolos ont fait exploser samedi soir un bien pâle collectif breton. Bonne affaire dans la course aux play-offs.
Trouvant rapidement les clés de la raquette rennaise, les intérieures, notamment Boonen, mettaient les Flammes sur la bonne voie (10-3, 4e).
Cueillies à froid, les visiteuses réagissaient timidement, à coups de lancers francs (10-6, 5e).
Le 9e du championnat revenait bien à 14-11 mais Contessi rallumait vite la flamme en percussion (16-11, 6e).
Profitant des maladresses adverses au panier, le FCBA haussait considérablement le ton dans les cinq dernières minutes de ce premier quart où Rennes encaissait un 13-0 sans rémission (27-11).
Si bien que Charleville assurait un écart énorme de 20 points au bout du premier mini repos (32-12).
Bouderra répliquait à Gorjeu au-delà des 6,25 m, trouvant une belle dextérité dès la reprise (37-17). A partir d'un basket limpide, les Flammes poursuivaient sur leur lancée via l'entreprenante Kusion (39-17, 13e).
La zone bretonne, pas au top, prenait l'eau de toute part, Boonen amplifiant encore l'écart (41-17). Seules les Rennaises Morgan et Lokoka faisaient étalage de leur talent mais trop sporadiquement (47-23, 14e).
Dans un grand soir, Kusion (14 points en première période) doublait le capital ardennais au quart d'heure (50-25). L'entrée de Herradas donnait encore du peps dans la peinture et l'écart connaissait son apogée à la 16e (56-25).
Malgré la domination carolo, les Bretonnes avaient mieux résisté lors de ce deuxième quart qu'elles laissaient échapper d'un point (26-25). Avec une Contessi virevoltante, le FCBA semblait véritablement à l'abri d'un mauvais scénario à la pause en menant 58-37.
Avance confortable
Les locales relâchaient un peu la pression à l'entame du troisième quart. Seulement 4 petits points marqués en 4 minutes sans toutefois que les visiteuses ne profitent vraiment de la situation (62-41).
Le bras relâché de Fromholz trouvait la mire derrière l'arc de cercle (67-43, 25e). Un peu plus haché et moins enjoué, l'acte 3 restait l'apanage des Carolos enfonçant le clou par Kusion (67-49).
Et comme les shooteuses rennaises montraient beaucoup de fébrilité, notamment aux lancers francs, la marge oscillait à plus de 20 unités. Le troisième emporté comme le précédent d'1 point s'achevait sur un bonus de Cailleux (75-53, 30e).
A la manière, les Carolos ajoutaient la forme sur ce nouveau primé de Contessi à la 33e (83-55).
Cailleux l'imitait dans la foulée, répondant à une infiltration de la physique Lokoka (85-57, 34e). Mais le match était plié depuis longtemps car Rennes avait été plombé par un premier quart catastrophique. Les cinq dernières minutes ne changeaient aucunement l'issue. Les protégées de Yernaux pouvaient soigner le scoring (88-61, 36e).
Du coup, les partenaires de Bouderra terminaient en roue libre pour signer un succès aisé, réalisant une bonne affaire dans la course aux play-offs après sa claque à Dunkerque.
www.lunion.presse.fr
-
- All Star
- Messages : 1214
- Enregistré le : jeu. 04 mai 2006 22:30
- Localisation : Saint Vallier
-
- Rookie
- Messages : 1
- Enregistré le : jeu. 08 mai 2008 1:46
J'appelle pas vraiment çà de la DEFENSE du côté de Laveyron...KOP 26 a écrit :Très belle victoire des dromoises de Laveyron face aux vendéennes de la Roche sur Yon.
Le match fut hyper défensif. Les filles d'Etienne Faye ont encore réussit un super coup puisqu'elles sortent de la zone des reléguables.
Bravo et félicitations à toutes les filles![]()
![]()
-
- Rookie
- Messages : 50
- Enregistré le : lun. 21 avr. 2008 13:24
ben CoachZen , 15 fautes a 12 et 37% de reussite aux lancers pour la roche ? et 32 % de reussite aux tirs , avec des perfs pareilles , y peu y avoir que défaite .CoachZen a écrit :J'appelle pas vraiment çà de la DEFENSE du côté de Laveyron...KOP 26 a écrit :Très belle victoire des dromoises de Laveyron face aux vendéennes de la Roche sur Yon.
Le match fut hyper défensif. Les filles d'Etienne Faye ont encore réussit un super coup puisqu'elles sortent de la zone des reléguables.
Bravo et félicitations à toutes les filles![]()
![]()
sans compter que la meilleur attaque du championat n'a marqué que 50 pions !!!!
Je confirme , Laveyron a gagné en défense .
Les voyages ca fatigue, et La Roche Vendée avec 1 seule victoire sur 8 déplacements n'a aucun argument pour critiquer la qualité défensive de Laveyron
Sans compter que l'US Laveyron avec 8 victoires sur 12 matchs démontres sur le terrain sa remonté et sa valeur .
Il faut savoir perdre !!