NF1 - Saison 2008 - 2009
Modérateur : Modérateurs LFB
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LIMOGES ABC EN LIMOUSIN - ROCHE VENDEE BC: 84 - 65
Les Limougeaudes sur un nuage
LIMOGES (salle municipale).
(19-23, 18-16, 29-14, 18-12).
Arbitres : MM. Kilic Huseyin et Bourette.
Limoges ABC : Kowalik 17, Cousin 13, Jomby 19, Tayeau 7, Ayissi 12, De Colo 3, Duval 13.
La Roche-sur-Yon : Vignola 4, Laskova 6, S. Grelier 11, Balat 10, Demortier 8, Fouquez 16, Libicova 4, Barreteau 6.
Rarement cette saison, la tension a semblé autant peser sur les épaules abécistes. Conscientes de l’enjeu de cette rencontre au sommet, les Limougeaudes ne tardent pas à prendre les devants.
Cousin pénètre dans la raquette vendéenne pour les deux premiers points de la partie. Kowalik ajoute deux tirs primés et le LABC mène de 6 points (8-2, 3e). Mais La Roche profite de la sortie de Cora Duval déjà à deux fautes pour revenir (16-14, 7e).
Les Vendéennes se mettent alors à jouer les terreurs à trois points. Demortier par deux fois permet à ses partenaires de virer en tête. Pire, sur une improbable tentative longue distance, Laskova donne 4 points d’avance à La Roche au terme du premier acte (19-23).
Jomby époustouflante
Sans être transcendantes, les Limougeaudes recollent rapidement dans le 2e quart-temps grâce à Jomby et Tayeau. Les deux équipes paraissent tétanisées par l’enjeu. Le LABC n’a pas encore trouvé sa bonne carburation et regagne les vestiaires avec un déficit de deux points (37-39).
Mais de retour sur le parquet, les Limougeaudes montrent un tout autre visage. Jomby se rappelle au bon souvenir de son ancien club. Intenable, l’arrière limougeaudes impose un rythme d’enfer à des Vendéennes totalement dépassées (57-45, 26e).
Le dernier acte n’est plus qu’une formalité pour les Abécistes. Jomby, Duval et Cousin se chargent de faire fructifier l’avance et le LABC décroche au final une large victoire (84-65). Les mines sont réjouies au coup de sifflet final. La fin de saison des Limougeaudes s’annonce radieuse.
Matthieu Marot - www.lepopulaire.fr
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Une seconde période catastrophique
Jennifer Vignola et les Yonnaises ont tenu une période, face au leader, avant de craquer perdant, du même coup, la 4e place, au classement.
Les Yonnaises étaient pourtant bien dans le rythme. Au retour des vestiaires, elles perdirent leur basket...
La Roche VBC, battue chez le leader, quitte à nouveau la 4e place au profit de Charleville qui possède le panier-average particulier. Toulouse pointe également à cette quatrième place partagée à trois. Une addition certainement trop salée, au goût de Mathieu Chauvet. Car les coéquipières de Mylène Balat ont d'abord récité les fondamentaux proposés par leur entraîneur : « On tient toute la première mi-temps que nous terminons avec quatre points d'avance. »
Les Vendéennes tenaient alors « les duels, le rythme, physiquement ». Le retour des vestiaires allait malheureusement réserver un scénario catastrophe que les vingt premières minutes ne laissaient nullement présager. A cet esprit « guerrier » qu'avait souhaité Mathieu Chauvet succédaient quelques « bourdes » sans autre conséquence que de voir les Limougeaudes passer devant La Roche VBC. Cette tendance allait déstabiliser les Yonnaises au-delà de toute attente.
Un troisième quart-temps cauchemardesque
Les Vendéennes ont concédé vingt-neuf points dans le troisième quart-temps. Beaucoup trop, face à l'ABC Limoges qui se voyait ainsi offrir, à mi-distance, des possibilités de tirs contre lesquelles l'entraîneur avait pourtant mis en garde. Les Yonnaises connaissent bien Anaïs Jomby. Il n'aurait jamais fallu que l'adroite meneuse ait autant de liberté d'expression. L'ex-Yonnaise en a bien profité.
Pour l'entraîneur, c'est pratiquement un ballon d'attaque sur deux qui était donné à l'adversaire. « À l'entrée du dernier quart-temps, la cause était entendue. Comment peut-on jouer une première période, en étant complètement en phase avec la stratégie arrêtée, puis sortir aussi allègrement des structures durant la seconde ? » Mathieu Chauvet est désormais sceptique sur les facultés yonnaises à finir dans les quatre premiers. Pour lui, la fin du calendrier ne prête guère à l'optimisme. Aux Vendéennes de lui prouver le contraire !
www.larochesuryon.maville.com
Ouest-France
Les Limougeaudes sur un nuage
LIMOGES (salle municipale).
(19-23, 18-16, 29-14, 18-12).
Arbitres : MM. Kilic Huseyin et Bourette.
Limoges ABC : Kowalik 17, Cousin 13, Jomby 19, Tayeau 7, Ayissi 12, De Colo 3, Duval 13.
La Roche-sur-Yon : Vignola 4, Laskova 6, S. Grelier 11, Balat 10, Demortier 8, Fouquez 16, Libicova 4, Barreteau 6.
Rarement cette saison, la tension a semblé autant peser sur les épaules abécistes. Conscientes de l’enjeu de cette rencontre au sommet, les Limougeaudes ne tardent pas à prendre les devants.
Cousin pénètre dans la raquette vendéenne pour les deux premiers points de la partie. Kowalik ajoute deux tirs primés et le LABC mène de 6 points (8-2, 3e). Mais La Roche profite de la sortie de Cora Duval déjà à deux fautes pour revenir (16-14, 7e).
Les Vendéennes se mettent alors à jouer les terreurs à trois points. Demortier par deux fois permet à ses partenaires de virer en tête. Pire, sur une improbable tentative longue distance, Laskova donne 4 points d’avance à La Roche au terme du premier acte (19-23).
Jomby époustouflante
Sans être transcendantes, les Limougeaudes recollent rapidement dans le 2e quart-temps grâce à Jomby et Tayeau. Les deux équipes paraissent tétanisées par l’enjeu. Le LABC n’a pas encore trouvé sa bonne carburation et regagne les vestiaires avec un déficit de deux points (37-39).
Mais de retour sur le parquet, les Limougeaudes montrent un tout autre visage. Jomby se rappelle au bon souvenir de son ancien club. Intenable, l’arrière limougeaudes impose un rythme d’enfer à des Vendéennes totalement dépassées (57-45, 26e).
Le dernier acte n’est plus qu’une formalité pour les Abécistes. Jomby, Duval et Cousin se chargent de faire fructifier l’avance et le LABC décroche au final une large victoire (84-65). Les mines sont réjouies au coup de sifflet final. La fin de saison des Limougeaudes s’annonce radieuse.
Matthieu Marot - www.lepopulaire.fr
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Une seconde période catastrophique
Jennifer Vignola et les Yonnaises ont tenu une période, face au leader, avant de craquer perdant, du même coup, la 4e place, au classement.
Les Yonnaises étaient pourtant bien dans le rythme. Au retour des vestiaires, elles perdirent leur basket...
La Roche VBC, battue chez le leader, quitte à nouveau la 4e place au profit de Charleville qui possède le panier-average particulier. Toulouse pointe également à cette quatrième place partagée à trois. Une addition certainement trop salée, au goût de Mathieu Chauvet. Car les coéquipières de Mylène Balat ont d'abord récité les fondamentaux proposés par leur entraîneur : « On tient toute la première mi-temps que nous terminons avec quatre points d'avance. »
Les Vendéennes tenaient alors « les duels, le rythme, physiquement ». Le retour des vestiaires allait malheureusement réserver un scénario catastrophe que les vingt premières minutes ne laissaient nullement présager. A cet esprit « guerrier » qu'avait souhaité Mathieu Chauvet succédaient quelques « bourdes » sans autre conséquence que de voir les Limougeaudes passer devant La Roche VBC. Cette tendance allait déstabiliser les Yonnaises au-delà de toute attente.
Un troisième quart-temps cauchemardesque
Les Vendéennes ont concédé vingt-neuf points dans le troisième quart-temps. Beaucoup trop, face à l'ABC Limoges qui se voyait ainsi offrir, à mi-distance, des possibilités de tirs contre lesquelles l'entraîneur avait pourtant mis en garde. Les Yonnaises connaissent bien Anaïs Jomby. Il n'aurait jamais fallu que l'adroite meneuse ait autant de liberté d'expression. L'ex-Yonnaise en a bien profité.
Pour l'entraîneur, c'est pratiquement un ballon d'attaque sur deux qui était donné à l'adversaire. « À l'entrée du dernier quart-temps, la cause était entendue. Comment peut-on jouer une première période, en étant complètement en phase avec la stratégie arrêtée, puis sortir aussi allègrement des structures durant la seconde ? » Mathieu Chauvet est désormais sceptique sur les facultés yonnaises à finir dans les quatre premiers. Pour lui, la fin du calendrier ne prête guère à l'optimisme. Aux Vendéennes de lui prouver le contraire !
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Modifié en dernier par la zone le lun. 06 avr. 2009 21:32, modifié 1 fois.
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ARMENTIÈRES - STRASBOURG: 61-58
(6-10, 16-13, 18-16, 20-19)
ARMENTIÈRES• Coumba 7, Bremont 13, Quicque, Lalart 9, Demets 13, Pilyashenko 4, Catrix 3, Merlot 12, Megoeuil.
STRASBOURG• Chapays, Cayot 13, Ratzel 6, M'Boma 14, Vanhoutrève 2, Diawara 12, Washington 11, Bichet.
Et Virginie Bremont est arrivée...
Les Armentiéroises ont eu chaud hier soir face à Strasbourg mais ont assuré l'essentiel: la victoire!
On n'a pas l'habitude de sortir une joueuse armentiéroise du lot. Il faut dire que, bien souvent, la force des SOA réside dans le collectif. Mais, hier soir, Virginie Bremont a littéralement sauvé son équipe de prolongations à l'issue incertaine. Alors qu'il ne restait que deux secondes à jouer et que la marque affichait 58 partout, la jeune meneuse n'a pas tremblé et a rentré un dernier « trois points » salvateur en shootant pratiquement de la ligne médiane. Avec cette victoire, Armentières tient maintenant sa place en Final Four.
C'est sans ses meneuses titulaires, Servage et Gandega, que Strasbourg s'est présenté, hier soir, sur le parquet de Léo-Lagrange. Stéphane Lalart ne s'attendait pas à un match facile (« il n'y en a pas dans cette division ») mais le coach armentiérois avait toutefois bon espoir. Le premier quart allait le voir déchanter ! D'un côté comme de l'autre, ce n'était que festival de maladresses et d'approximations. C'est bien simple, après plus de cinq minutes de jeu, seuls six petits points avaient été marqués... Et 16 à l'issue du premier acte (6-10). Une certaine qualité de défense et les nombreuses maladresses strasbourgeoises permettant aux « Noires et Blanches » de limiter la casse.
Il fallut attendre encore cinq longues minutes dans le deuxième quart pour qu'Armentières ne prenne, pour la première fois de la partie, les commandes de la marque. Coumba, Merlot et Demets résistaient comme elles pouvaient à Ratzel, Diawara et Washington.
Brouillonne et hachée (parfois de la faute d'arbitres un peu trop tatillons), la suite de la rencontre fut du même acabit : personne aux rebonds, des transmissions approximatives et toujours cette fichue maladresse à l'approche des paniers. À l'intérieur, c'est bien simple : la défense de zone alsacienne parvenait à contrer tous, ou presque, les efforts armentiérois. La solution devait forcément passer par des shoots extérieurs : Bremont (deux fois), Lalart et Catrix s'y attelèrent pour permettre aux leurs de virer d'un petit point en tête à l'entame du dernier quart (40-39).
Bien malin celui qui pouvait alors se lancer dans un pronostic. Hier soir, ce n'était pas le meilleur qui pouvait gagner c'était surtout le moins mauvais ! Et sans le panier miraculeux de Virginie Bremont dans les dernières secondes, Armentières n'en serait peut-être pas à fêter sa qualification en play-offs. En tout cas, pour espérer faire plus que de la figuration au Final Four, il faudra montrer un autre visage. •
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdunord.fr (dimanche 05.04.2009)
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Par la petite porte
Le SABC battu sur le fil
Virginie Bremont, héroïne d'un soir!
Les Armentiéroises peuvent remercier Virginie Bremont. Sans la jeune meneuse et son « panier miraculeux » à deux secondes de la fin du match, elles se dirigeaient tout droit vers la prolongation dont l'issue n'aurait peut-être pas été aussi favorable.
Toujours est-il qu'Armentières a, une fois encore, assuré l'essentiel samedi face à Strasbourg et, cerise sur le gâteau, décroché son billet pour les play-off. Mais que la rencontre fut triste !
Face à une équipe alsacienne qui évoluait sans ses meneuses titulaires, ce ne furent que pertes de balles, passes ratées, approximations et surtout une incroyable maladresse. À cet égard, le premier quart temps allait être à l'image des prestations strasbourgeoises autant qu'armentiéroises : 6-10 après dix minutes de jeu, on a rarement vu score aussi bas à ce niveau ! Heureusement, en deuxième période, plus habiles aux tirs extérieurs, les SOA parvenaient à rester à hauteur de leurs adversaires sans pour autant que le niveau de jeu ne grimpe d'un cran. Il fallut donc se résoudre à attendre les toutes dernières secondes pour que la rencontre choisisse son vainqueur. Ce fut finalement Armentières mais, sans le dernier trois points de derrière les fagots de Bremont, qui sait ce qui aurait pu arriver ? •
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdessports.com
(6-10, 16-13, 18-16, 20-19)
ARMENTIÈRES• Coumba 7, Bremont 13, Quicque, Lalart 9, Demets 13, Pilyashenko 4, Catrix 3, Merlot 12, Megoeuil.
STRASBOURG• Chapays, Cayot 13, Ratzel 6, M'Boma 14, Vanhoutrève 2, Diawara 12, Washington 11, Bichet.
Et Virginie Bremont est arrivée...
Les Armentiéroises ont eu chaud hier soir face à Strasbourg mais ont assuré l'essentiel: la victoire!
On n'a pas l'habitude de sortir une joueuse armentiéroise du lot. Il faut dire que, bien souvent, la force des SOA réside dans le collectif. Mais, hier soir, Virginie Bremont a littéralement sauvé son équipe de prolongations à l'issue incertaine. Alors qu'il ne restait que deux secondes à jouer et que la marque affichait 58 partout, la jeune meneuse n'a pas tremblé et a rentré un dernier « trois points » salvateur en shootant pratiquement de la ligne médiane. Avec cette victoire, Armentières tient maintenant sa place en Final Four.
C'est sans ses meneuses titulaires, Servage et Gandega, que Strasbourg s'est présenté, hier soir, sur le parquet de Léo-Lagrange. Stéphane Lalart ne s'attendait pas à un match facile (« il n'y en a pas dans cette division ») mais le coach armentiérois avait toutefois bon espoir. Le premier quart allait le voir déchanter ! D'un côté comme de l'autre, ce n'était que festival de maladresses et d'approximations. C'est bien simple, après plus de cinq minutes de jeu, seuls six petits points avaient été marqués... Et 16 à l'issue du premier acte (6-10). Une certaine qualité de défense et les nombreuses maladresses strasbourgeoises permettant aux « Noires et Blanches » de limiter la casse.
Il fallut attendre encore cinq longues minutes dans le deuxième quart pour qu'Armentières ne prenne, pour la première fois de la partie, les commandes de la marque. Coumba, Merlot et Demets résistaient comme elles pouvaient à Ratzel, Diawara et Washington.
Brouillonne et hachée (parfois de la faute d'arbitres un peu trop tatillons), la suite de la rencontre fut du même acabit : personne aux rebonds, des transmissions approximatives et toujours cette fichue maladresse à l'approche des paniers. À l'intérieur, c'est bien simple : la défense de zone alsacienne parvenait à contrer tous, ou presque, les efforts armentiérois. La solution devait forcément passer par des shoots extérieurs : Bremont (deux fois), Lalart et Catrix s'y attelèrent pour permettre aux leurs de virer d'un petit point en tête à l'entame du dernier quart (40-39).
Bien malin celui qui pouvait alors se lancer dans un pronostic. Hier soir, ce n'était pas le meilleur qui pouvait gagner c'était surtout le moins mauvais ! Et sans le panier miraculeux de Virginie Bremont dans les dernières secondes, Armentières n'en serait peut-être pas à fêter sa qualification en play-offs. En tout cas, pour espérer faire plus que de la figuration au Final Four, il faudra montrer un autre visage. •
FLORENCE PIAZZETA - www.lavoixdunord.fr (dimanche 05.04.2009)
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Par la petite porte
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Virginie Bremont, héroïne d'un soir!
Les Armentiéroises peuvent remercier Virginie Bremont. Sans la jeune meneuse et son « panier miraculeux » à deux secondes de la fin du match, elles se dirigeaient tout droit vers la prolongation dont l'issue n'aurait peut-être pas été aussi favorable.
Toujours est-il qu'Armentières a, une fois encore, assuré l'essentiel samedi face à Strasbourg et, cerise sur le gâteau, décroché son billet pour les play-off. Mais que la rencontre fut triste !
Face à une équipe alsacienne qui évoluait sans ses meneuses titulaires, ce ne furent que pertes de balles, passes ratées, approximations et surtout une incroyable maladresse. À cet égard, le premier quart temps allait être à l'image des prestations strasbourgeoises autant qu'armentiéroises : 6-10 après dix minutes de jeu, on a rarement vu score aussi bas à ce niveau ! Heureusement, en deuxième période, plus habiles aux tirs extérieurs, les SOA parvenaient à rester à hauteur de leurs adversaires sans pour autant que le niveau de jeu ne grimpe d'un cran. Il fallut donc se résoudre à attendre les toutes dernières secondes pour que la rencontre choisisse son vainqueur. Ce fut finalement Armentières mais, sans le dernier trois points de derrière les fagots de Bremont, qui sait ce qui aurait pu arriver ? •
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IFS - TOULOUSE : 59-65
Les Toulousaines dans la douleur
(13-21, 16-16, 17-13, 13-15).
IFS : Seigneur 6, Goltze 9, Galiana 11, Attiogbe 8, Villain 8, Diagne 6, Prsa 4, Chrzanowski 7.
TOULOUSE : Minard 5, Lebouc 5, Hermouet 15, Gauthier 8, Lacrabe 4, Agbatan 5, Nedovic 13, Peruch 10.
Le TMB toujours dans la course au « final four » avant la réception de Limoges, le leader.
Anna Nedovic grimace, mais le TMB passe.
En disposant d'Ifs, Toulouse reste bien calé en haut du tableau et met son adversaire en difficulté.
La vie va devenir compliquée pour Ifs. L'objectif pour cette fin de saison était de remporter le reste des matches à domicile. Malheureusement face à Toulouse les Calvadosiennes ont subi et ont été étouffées physiquement. C'est d'ailleurs dans le premier quart-temps que la décision s'est jouée en faveur des visiteuses. En encaissant un 13-0, les joueuses Iffoises ont laissé filer une formation toulousaine loin d'être géniale mais indiscutablement plus forte physiquement.
Pourtant lorsqu'au milieu du troisième quart-temps, Ifs revint à égalité (40-40). On pouvait penser que cette remontée allait débloquer la formation locale. Au contraire, Toulouse repartait, reprenant rapidement douze points d'avance. Un dernier sursaut des joueuses locales laissait espérer mais l'écart était trop important, et Chloé Seigneur et ses copines échouaient à six petits points. Une défaite qui, sans remettre totalement en cause la possibilité de se maintenir, complique la situation.
Il va falloir pour Miguel Callegas et ses joueuses effectuer désormais un sans-faute. Une opération périlleuse qui commence dès samedi à Voiron et qui se poursuivra face à Strasbourg. Mais pour espérer, il faudra aux Bas Normandes retrouver une adresse qui a fait défaut samedi soir, notamment aux lancers francs avec seulement 50 % de réussite.
En revanche, pour Toulouse l'opération est intéressante puisqu'avec une 17e victoire, la formation de Valérie Garnier conforte sa position dans le haut du tableau, rejoignant Charleville et La Roche-sur-Yon à la quatrième place, et peut espérer voir plus haut, encore un peu plus haut.
Ouest-France - www.caen.maville.com et www.ladepeche.fr
Les Toulousaines dans la douleur
(13-21, 16-16, 17-13, 13-15).
IFS : Seigneur 6, Goltze 9, Galiana 11, Attiogbe 8, Villain 8, Diagne 6, Prsa 4, Chrzanowski 7.
TOULOUSE : Minard 5, Lebouc 5, Hermouet 15, Gauthier 8, Lacrabe 4, Agbatan 5, Nedovic 13, Peruch 10.
Le TMB toujours dans la course au « final four » avant la réception de Limoges, le leader.
Anna Nedovic grimace, mais le TMB passe.
En disposant d'Ifs, Toulouse reste bien calé en haut du tableau et met son adversaire en difficulté.
La vie va devenir compliquée pour Ifs. L'objectif pour cette fin de saison était de remporter le reste des matches à domicile. Malheureusement face à Toulouse les Calvadosiennes ont subi et ont été étouffées physiquement. C'est d'ailleurs dans le premier quart-temps que la décision s'est jouée en faveur des visiteuses. En encaissant un 13-0, les joueuses Iffoises ont laissé filer une formation toulousaine loin d'être géniale mais indiscutablement plus forte physiquement.
Pourtant lorsqu'au milieu du troisième quart-temps, Ifs revint à égalité (40-40). On pouvait penser que cette remontée allait débloquer la formation locale. Au contraire, Toulouse repartait, reprenant rapidement douze points d'avance. Un dernier sursaut des joueuses locales laissait espérer mais l'écart était trop important, et Chloé Seigneur et ses copines échouaient à six petits points. Une défaite qui, sans remettre totalement en cause la possibilité de se maintenir, complique la situation.
Il va falloir pour Miguel Callegas et ses joueuses effectuer désormais un sans-faute. Une opération périlleuse qui commence dès samedi à Voiron et qui se poursuivra face à Strasbourg. Mais pour espérer, il faudra aux Bas Normandes retrouver une adresse qui a fait défaut samedi soir, notamment aux lancers francs avec seulement 50 % de réussite.
En revanche, pour Toulouse l'opération est intéressante puisqu'avec une 17e victoire, la formation de Valérie Garnier conforte sa position dans le haut du tableau, rejoignant Charleville et La Roche-sur-Yon à la quatrième place, et peut espérer voir plus haut, encore un peu plus haut.
Ouest-France - www.caen.maville.com et www.ladepeche.fr
Modifié en dernier par la zone le lun. 06 avr. 2009 16:08, modifié 1 fois.
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Match très tendu et difficile à la mariette.
Les voironnaises sont rentrées de suite dans le match et ont pris le commandement pendant une très grande partie du match puis se sont faites rejoindre avant de s'incliner en prolongation.
Les dromoises étaient crispées au début du match puis le collectif s'est mis en place et par la suite, toutes les filles ont bien tenu leur rôle et elles ont arraché la prolongation durant laquelle elles ont pris la tête pour ne plus la lacher. Bravo les vertes
pour cette victoire très importante.
Du côté isérois, il faut noter les grosses perf du week-end avec 27 points pour Clémentine Elong-Epee et les 18 rebonds de Patricia Da Silva.
Les voironnaises sont rentrées de suite dans le match et ont pris le commandement pendant une très grande partie du match puis se sont faites rejoindre avant de s'incliner en prolongation.
Les dromoises étaient crispées au début du match puis le collectif s'est mis en place et par la suite, toutes les filles ont bien tenu leur rôle et elles ont arraché la prolongation durant laquelle elles ont pris la tête pour ne plus la lacher. Bravo les vertes






Du côté isérois, il faut noter les grosses perf du week-end avec 27 points pour Clémentine Elong-Epee et les 18 rebonds de Patricia Da Silva.
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Pleyber-Christ - Avenir de Rennes (77-57)
L'art et la manière
Évolution des quarts temps: 19-19; 19-11; 19-13; 20-13.
Arbitres: MM. Deterville et Kirimat.
PLEYBER-CHRIST BC: 77 points (mi-temps 38 ). 11 tirs à 3 points tentés, 2 réussis (18%); 51 tirs à deux points tentés, 27réussis (51%); 25 lancers francs tentés, 17 réussis (65%). La marque: Kernévez (18 ); M.Chemineau (0); Lix-Boubala (24); Le Fé (6); Venier (6); Thos (7); Désert (0); Puc (6) Solstisova (10); A.Chemineau (0).
AVENIR DE RENNES: 57 points (mi-temps 31). 17 tirs à 3 points tentés, 4 réussis (23%); 47 tirs à deux points tentés, 15 réussis (34%); 18 lancers francs tentés, 13 réussis (72%). La marque: Gorgeu (8 ); Prodhomme (6); Assilaméhou (4); Kervorkian (8 ); Leclair (0); Medenou (4); Minte (6); Morgan (15); Lokoka (6).
Céline Lix-Boubala et les joueuses de Pleyber-Christ se sont imposées à domicile, hier soir, face à Rennes.
L'équipe de Pleyber-Christ savait qu'il lui fallait battre l'Avenir de Rennes et vaincre aussi le signe indien, puisque jamais les locales n'ont réussi cette performance depuis que les deux équipes se rencontrent à ce niveau.
La partie démarrait sur un rythme très soutenu et une certaine adresse à percer la zone des deux côtés (8-6, 2e). Particulièrement mobiles, les Rennaises mettaient la pression sur une équipe pleybérienne qui laissait du champ aux filles d'Ille-et-Vilaine pour en tirer profit (9-16, 6e). La rencontre devenait de plus en plus physique. Les Pleybériennes répliquaient par leur vitesse d'exécution, ce qui leur permettait de gommer complètement leur handicap au terme du premier quart-temps (19-19).
Pleyber gère calmement
Elise entamait le second quart par un panier bonus, mais Margo Puc rétablissait l'équilibre. Les cadeaux n'étaient pas de mise entre les dux formations bien décidées à prendre l'ascendant avec un petit avantage pour le PCBC (25-23, 14e). Les Pleybériennes profitaient d'une baisse de régime des Rennaises pour s'octroyer un avantage plus substantiel qui laissait les visiteuses à 10 unités (33-23, 17e). Les Rennaises serraient leur défense et retrouvaient des couleurs à la finition, avec notamment une faute intentionnelle de la capitaine locale Aude Kernévez qui permettaient aux visiteuses de faire un petit rapproché avant le repos (38-31). Morgan ouvrait le compteur rennais mais Céline Boubala répliquait par deux tirs à deux points et un autre primé. Les Pleybériennes rendaient coup pour coup et augmentaient même leur marge de manoeuvre (49-37, 23e). Les Rennaises ne trouvaient plus de solutions pour endiguer les assauts d'une phalange locale qui s'accrochait à son avance et qui possédait 13 points d'avance avant le dernier acte (57-44). Le dernier quart partait sur des bases physiques très élevées avec une ouverture de la marque de Céline Boubala. Les filles du PCBC restaient calmes et faisaient l'essentiel pour préserver leur acquis malgré une certaine fébrilité dans le dernier geste. Les Rennaises ne renonçaient pas mais se heurtaient toujours à la rage de vaincre des locales qui ne laissaient que très peu d'espaces à une équipe rennaise. Elles tentaient de forcer le blocus installé dans sa zone défensive par un ensemble pleybérien collectif à souhait et qui gérait avec une très grande lucidité un quatrième acte. Les Pleybériennes méritaient sans conteste la victoire et pouvaient croire en leur maintien en Nationale 1.
R.B. - www.letelegramme.com - 5 avril 2009
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Le match référence
Alexandra Thos et les Pleybériennes ont réalisé un gros match, samedi.
Tout vient à point à qui sait attendre. Cet adage, l'équipre première féminine du Pleyber-Christ BC a pu le vérifier. Après trois essais infructueux, depuis que les deux équipes sont en Nationale 1, elle a enfin vaincu l'Avenir de Rennes. Et de fort belle manière.
Si pour les Rennaises, le maintien était quasiment assuré avant de venir à Pleyber-Christ, pour le PCBC, il n'en allait pas de même. En effet, pour espérer s'en sortir, ce dernier doit impérativement gagner sur son parquet car, à l'extérieur, il n'a pas encore glané le moindre point. Cette mission, les filles de Franck Simon l'ont parfaitement remplie en réalisant un match référence comme le reconnaissait le coach local: «19 points lors des trois premiers quarts temps, 20 dans le quatrième, notre victoire pourrait s'expliquer par ce constat. En effet, les filles ont été présentes sur l'ensemble de la rencontre. Elles n'ont jamais faibli. Elles ont su non seulement répondre au défi physique que l'Avenir de Rennes leur a proposé durant pratiquement tout le match mais également faire prévaloir les qualités qui sont les leurs, à savoir la vitesse d'exécution. Les Rennaises n'ont jamais été en mesure de trouver la parade au schémas tactiques que mes joueuses appliquaient. On peut aussi citer la renaissance de certaines individualités qui ont su se fondre dans le collectif. Quant à la maîtrise techique, elle a été présente tout au long du match. Certes ont peur considérer que, parfois, nous avons bénéficié sur certains paniers d'une certaine chance mais les filles ont su marquer à des moments cruciaux pour empêcher les visiteuses de revenir sur nous. Le dernier quart temps aura également été révélateur du savoir-faire de ces filles qu'elles oublient parfois. Cette fois, ce ne fut pas le cas. Le résultat est en conséquence. Ce que je veux dire aussi, c'est que cette victoire est celle d'un groupe. Il y a des filles qui jouent moins, mais elles sont indispensables pour le bon équilibre de ce groupe. Samedi, il n'y a pas eu de décalage entre ce qui a été travaillé à l'entraînement et ce qui a été proposé sur le terrain. C'est en cela que cette victoire est aussi très intéressante. »
Gagner à Paris
Cette victoire est salvatrice dans l'optique du maintien. Mais elle n'est pas suffisante pour relâcher l'effort car Colomier, Laveyron ont également gagné, à l'inverse de Ifs et Voiron qui ont perdu. La lutte reste plus que jamais d'actualité et les points vont valoir très chers dans les semaines à venir. D'où l'obligation pour les Pleybériennes d'aller, samedi, arracher leurs premiers points à l'extérieur sur le parquet du Centre Fédéral, lanterne rouge mais aussi bête noire du PCBC. Franck Simon en est conscient: «Après des prestations comme celle de samedi, nous n'avons pas le droit de perdre face au Centre Fédéral. Nous avons une chance unique de gagner enfin loin de nos bases et de faire un grand pas vers le salut. Nous avons pris une grosse gifle à Dunkerque. On ne doit surtout pas tendre la deuxième joue à Paris. Je pense que tout le monde en est conscient. »
R. B. - www.letelegramme.com
L'art et la manière
Évolution des quarts temps: 19-19; 19-11; 19-13; 20-13.
Arbitres: MM. Deterville et Kirimat.
PLEYBER-CHRIST BC: 77 points (mi-temps 38 ). 11 tirs à 3 points tentés, 2 réussis (18%); 51 tirs à deux points tentés, 27réussis (51%); 25 lancers francs tentés, 17 réussis (65%). La marque: Kernévez (18 ); M.Chemineau (0); Lix-Boubala (24); Le Fé (6); Venier (6); Thos (7); Désert (0); Puc (6) Solstisova (10); A.Chemineau (0).
AVENIR DE RENNES: 57 points (mi-temps 31). 17 tirs à 3 points tentés, 4 réussis (23%); 47 tirs à deux points tentés, 15 réussis (34%); 18 lancers francs tentés, 13 réussis (72%). La marque: Gorgeu (8 ); Prodhomme (6); Assilaméhou (4); Kervorkian (8 ); Leclair (0); Medenou (4); Minte (6); Morgan (15); Lokoka (6).
Céline Lix-Boubala et les joueuses de Pleyber-Christ se sont imposées à domicile, hier soir, face à Rennes.
L'équipe de Pleyber-Christ savait qu'il lui fallait battre l'Avenir de Rennes et vaincre aussi le signe indien, puisque jamais les locales n'ont réussi cette performance depuis que les deux équipes se rencontrent à ce niveau.
La partie démarrait sur un rythme très soutenu et une certaine adresse à percer la zone des deux côtés (8-6, 2e). Particulièrement mobiles, les Rennaises mettaient la pression sur une équipe pleybérienne qui laissait du champ aux filles d'Ille-et-Vilaine pour en tirer profit (9-16, 6e). La rencontre devenait de plus en plus physique. Les Pleybériennes répliquaient par leur vitesse d'exécution, ce qui leur permettait de gommer complètement leur handicap au terme du premier quart-temps (19-19).
Pleyber gère calmement
Elise entamait le second quart par un panier bonus, mais Margo Puc rétablissait l'équilibre. Les cadeaux n'étaient pas de mise entre les dux formations bien décidées à prendre l'ascendant avec un petit avantage pour le PCBC (25-23, 14e). Les Pleybériennes profitaient d'une baisse de régime des Rennaises pour s'octroyer un avantage plus substantiel qui laissait les visiteuses à 10 unités (33-23, 17e). Les Rennaises serraient leur défense et retrouvaient des couleurs à la finition, avec notamment une faute intentionnelle de la capitaine locale Aude Kernévez qui permettaient aux visiteuses de faire un petit rapproché avant le repos (38-31). Morgan ouvrait le compteur rennais mais Céline Boubala répliquait par deux tirs à deux points et un autre primé. Les Pleybériennes rendaient coup pour coup et augmentaient même leur marge de manoeuvre (49-37, 23e). Les Rennaises ne trouvaient plus de solutions pour endiguer les assauts d'une phalange locale qui s'accrochait à son avance et qui possédait 13 points d'avance avant le dernier acte (57-44). Le dernier quart partait sur des bases physiques très élevées avec une ouverture de la marque de Céline Boubala. Les filles du PCBC restaient calmes et faisaient l'essentiel pour préserver leur acquis malgré une certaine fébrilité dans le dernier geste. Les Rennaises ne renonçaient pas mais se heurtaient toujours à la rage de vaincre des locales qui ne laissaient que très peu d'espaces à une équipe rennaise. Elles tentaient de forcer le blocus installé dans sa zone défensive par un ensemble pleybérien collectif à souhait et qui gérait avec une très grande lucidité un quatrième acte. Les Pleybériennes méritaient sans conteste la victoire et pouvaient croire en leur maintien en Nationale 1.
R.B. - www.letelegramme.com - 5 avril 2009
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Le match référence
Alexandra Thos et les Pleybériennes ont réalisé un gros match, samedi.
Tout vient à point à qui sait attendre. Cet adage, l'équipre première féminine du Pleyber-Christ BC a pu le vérifier. Après trois essais infructueux, depuis que les deux équipes sont en Nationale 1, elle a enfin vaincu l'Avenir de Rennes. Et de fort belle manière.
Si pour les Rennaises, le maintien était quasiment assuré avant de venir à Pleyber-Christ, pour le PCBC, il n'en allait pas de même. En effet, pour espérer s'en sortir, ce dernier doit impérativement gagner sur son parquet car, à l'extérieur, il n'a pas encore glané le moindre point. Cette mission, les filles de Franck Simon l'ont parfaitement remplie en réalisant un match référence comme le reconnaissait le coach local: «19 points lors des trois premiers quarts temps, 20 dans le quatrième, notre victoire pourrait s'expliquer par ce constat. En effet, les filles ont été présentes sur l'ensemble de la rencontre. Elles n'ont jamais faibli. Elles ont su non seulement répondre au défi physique que l'Avenir de Rennes leur a proposé durant pratiquement tout le match mais également faire prévaloir les qualités qui sont les leurs, à savoir la vitesse d'exécution. Les Rennaises n'ont jamais été en mesure de trouver la parade au schémas tactiques que mes joueuses appliquaient. On peut aussi citer la renaissance de certaines individualités qui ont su se fondre dans le collectif. Quant à la maîtrise techique, elle a été présente tout au long du match. Certes ont peur considérer que, parfois, nous avons bénéficié sur certains paniers d'une certaine chance mais les filles ont su marquer à des moments cruciaux pour empêcher les visiteuses de revenir sur nous. Le dernier quart temps aura également été révélateur du savoir-faire de ces filles qu'elles oublient parfois. Cette fois, ce ne fut pas le cas. Le résultat est en conséquence. Ce que je veux dire aussi, c'est que cette victoire est celle d'un groupe. Il y a des filles qui jouent moins, mais elles sont indispensables pour le bon équilibre de ce groupe. Samedi, il n'y a pas eu de décalage entre ce qui a été travaillé à l'entraînement et ce qui a été proposé sur le terrain. C'est en cela que cette victoire est aussi très intéressante. »
Gagner à Paris
Cette victoire est salvatrice dans l'optique du maintien. Mais elle n'est pas suffisante pour relâcher l'effort car Colomier, Laveyron ont également gagné, à l'inverse de Ifs et Voiron qui ont perdu. La lutte reste plus que jamais d'actualité et les points vont valoir très chers dans les semaines à venir. D'où l'obligation pour les Pleybériennes d'aller, samedi, arracher leurs premiers points à l'extérieur sur le parquet du Centre Fédéral, lanterne rouge mais aussi bête noire du PCBC. Franck Simon en est conscient: «Après des prestations comme celle de samedi, nous n'avons pas le droit de perdre face au Centre Fédéral. Nous avons une chance unique de gagner enfin loin de nos bases et de faire un grand pas vers le salut. Nous avons pris une grosse gifle à Dunkerque. On ne doit surtout pas tendre la deuxième joue à Paris. Je pense que tout le monde en est conscient. »
R. B. - www.letelegramme.com
Modifié en dernier par la zone le ven. 17 avr. 2009 17:33, modifié 2 fois.
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SIG-Centre Fédéral : 76-52.
La SIG impose sa force
Allison Vernerey et les Illkirchoises n’ont pas eu trop de mal à rafler la mise samedi soir.
Hall de la SIG. Les quart-temps : 17-13, 22-21 (39-34), 16-11, 21-7.
Arbitres : M. Castera et Mlle Belhamel. 350 spectateurs.
SIG : 30 paniers sur 72 (42 %) dont 5 sur 18 à 3 points. 11 lancers réussis sur 22. 8 fautes. 47 rebonds dont 19 offensifs. 13 pertes de balle.
Konate 13, N’Soki 14, Kopp 3, Vernerey 11, Schmitt-Sendner 23 puis Battaglia 4, Nussbaumer 6, Schultz, Boissinot 2.
Centre Fédéral : 19 paniers sur 57 (33 %) dont 7 sur 19 à 3 points. 7 lancers réussis sur 8. 19 fautes. 32 rebonds dont 8 offensifs. 19 pertes de balle.
Bouzenna 7, Okou Zouzou 13, Konteh 14, Eustache, Westelynck 7 puis Grossemy, Akmouche 11, Nayo.
Malmenées samedi pendant 25 minutes, les Illkirchoises ont su accélérer au bon moment pour s’imposer largement face au Centre Fédéral (76-52).
En prenant le dessus sur le Centre Fédéral samedi au Hall de la SIG, les Illkirchoises ont fait un pas de plus vers le Final Four. Malgré les absences de Privet et De Amorim, auxquelles sont venus s’ajouter les forfaits de dernière minute d’Aline Fischbach, blessée au pied, et de Caroline Nestor, qui s’est bloquée le cartilage du genou lors de l’échauffement, la SIG a fait le métier en battant le Centre Fédéral, lanterne rouge de NF1.
« Nous avons eu du mal parce que nos adversaires ont du talent. Finalement, nous sommes parvenues à les user même, si nous avons raté trop de paniers faciles pour se faciliter la tâche plus tôt », résume Philippe Breitenbucher, le coach bas-rhinois. En effet, après 25 minutes difficiles, ses joueuses ont asséné un cinglant 33-8 aux visiteuses pour conclure le match en beauté.
Pourtant, la SIG entame plutôt bien la partie en prenant un premier avantage (17-9, 9e) grâce à 8 points de Konate. Mais les Parisiennes ne lâchent pas prise et reviennent rapidement dans le sillage illkirchois (18-18, 12e). Dominatrice dans la raquette, Céline Schmitt-Sendner permet à la SIG de créer un second écart (32-23, 14e) avant que le Centre Fédéral ne recolle une nouvelle fois en profitant des largesses défensives de son hôte (41-41, 24e).
« Entre les absences et l’horaire (ndlr, 16 h 30), on n’était peut-être pas prêtes à jouer dur dès le début. Mais on s’est dit qu’on ne voulait pas se mettre dans la galère d’une fin de match serrée. On avait aussi à cœur de montrer qu’on mérite notre classement », explique Allison Vernerey, l’intérieure illkirchoise.
Lorsque son équipe s’est enfin décidée à monter le rythme et à resserrer la défense, le Centre Fédéral n’a pas pu suivre. Après un temps mort énergique du coach illkirchois à 43-44 (25e), la réaction est immédiate : un16-1 à cheval entre les deux derniers quarts temps qui fait pencher définitivement la balance dans le camp alsacien (59-45, 33e). En gérant la fin de match, la SIG l’emporte finalement assez largement (76-52) et occupe désormais une troisième place qui lui permet de continuer à rêver au Final Four.
Olivier Arnal - www.alsapresse.com
La SIG impose sa force
Allison Vernerey et les Illkirchoises n’ont pas eu trop de mal à rafler la mise samedi soir.
Hall de la SIG. Les quart-temps : 17-13, 22-21 (39-34), 16-11, 21-7.
Arbitres : M. Castera et Mlle Belhamel. 350 spectateurs.
SIG : 30 paniers sur 72 (42 %) dont 5 sur 18 à 3 points. 11 lancers réussis sur 22. 8 fautes. 47 rebonds dont 19 offensifs. 13 pertes de balle.
Konate 13, N’Soki 14, Kopp 3, Vernerey 11, Schmitt-Sendner 23 puis Battaglia 4, Nussbaumer 6, Schultz, Boissinot 2.
Centre Fédéral : 19 paniers sur 57 (33 %) dont 7 sur 19 à 3 points. 7 lancers réussis sur 8. 19 fautes. 32 rebonds dont 8 offensifs. 19 pertes de balle.
Bouzenna 7, Okou Zouzou 13, Konteh 14, Eustache, Westelynck 7 puis Grossemy, Akmouche 11, Nayo.
Malmenées samedi pendant 25 minutes, les Illkirchoises ont su accélérer au bon moment pour s’imposer largement face au Centre Fédéral (76-52).
En prenant le dessus sur le Centre Fédéral samedi au Hall de la SIG, les Illkirchoises ont fait un pas de plus vers le Final Four. Malgré les absences de Privet et De Amorim, auxquelles sont venus s’ajouter les forfaits de dernière minute d’Aline Fischbach, blessée au pied, et de Caroline Nestor, qui s’est bloquée le cartilage du genou lors de l’échauffement, la SIG a fait le métier en battant le Centre Fédéral, lanterne rouge de NF1.
« Nous avons eu du mal parce que nos adversaires ont du talent. Finalement, nous sommes parvenues à les user même, si nous avons raté trop de paniers faciles pour se faciliter la tâche plus tôt », résume Philippe Breitenbucher, le coach bas-rhinois. En effet, après 25 minutes difficiles, ses joueuses ont asséné un cinglant 33-8 aux visiteuses pour conclure le match en beauté.
Pourtant, la SIG entame plutôt bien la partie en prenant un premier avantage (17-9, 9e) grâce à 8 points de Konate. Mais les Parisiennes ne lâchent pas prise et reviennent rapidement dans le sillage illkirchois (18-18, 12e). Dominatrice dans la raquette, Céline Schmitt-Sendner permet à la SIG de créer un second écart (32-23, 14e) avant que le Centre Fédéral ne recolle une nouvelle fois en profitant des largesses défensives de son hôte (41-41, 24e).
« Entre les absences et l’horaire (ndlr, 16 h 30), on n’était peut-être pas prêtes à jouer dur dès le début. Mais on s’est dit qu’on ne voulait pas se mettre dans la galère d’une fin de match serrée. On avait aussi à cœur de montrer qu’on mérite notre classement », explique Allison Vernerey, l’intérieure illkirchoise.
Lorsque son équipe s’est enfin décidée à monter le rythme et à resserrer la défense, le Centre Fédéral n’a pas pu suivre. Après un temps mort énergique du coach illkirchois à 43-44 (25e), la réaction est immédiate : un16-1 à cheval entre les deux derniers quarts temps qui fait pencher définitivement la balance dans le camp alsacien (59-45, 33e). En gérant la fin de match, la SIG l’emporte finalement assez largement (76-52) et occupe désormais une troisième place qui lui permet de continuer à rêver au Final Four.
Olivier Arnal - www.alsapresse.com
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ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES - NICE CAVIGAL OLYMPIC: 76 - 61
La chasse au trésor
Charleville-Mézières : Contessi 11, Fromholz 9, Kusion 8, Cailleux 4, A. Bouderra 8, Boonen 6, Herrscher 10, Herradas Martin 20.
Nice : Micaletto 9, Moua 6, J. Gomis 20, Mirvic 8, Slabecka 8, Guerra 10.
Malgré l'opposition de Mélissa Micaletto, les Flammes de Carine Contessi lorgnent toujours vers les play-offs.
A défaut de trouver sa place dans les annales, la victoire enregistrée face à Nice (76-61) permet à nouveau aux Flammes carolos d'entrevoir sérieusement la qualification en play-offs.
« Un succès à domicile s'avérait indispensable, reconnaît Floriane Herrscher. Mais la défense de zone proposée par les Azuréennes n'a pas favorisé un jeu rythmé. »
Minées par des problèmes extra-sportifs, arrivées avec seulement six joueuses, dont une Silvana Mirvic émotionnellement affectée par le décès de sa mère, les Niçoises n'avaient pas d'autre solution tactique à offrir. Les Ardennaises ont contourné le piège.
En net regain de confiance
« Même s'il se trouvait effectivement en infériorité numérique, il ne fallait surtout pas sous-estimer l'adversaire, estime l'intérieure carolomacérienne. Nous avons pourtant connu quelques périodes de déconcentration. »
Grâce à un coup d'accélérateur traduit par un sévère 21-0 de part et d'autre de la mi-temps, Charleville s'est néanmoins épargné la moindre frayeur, renouant avec la victoire à la salle Bayard après deux défaites aux incidences complètement opposées face à Limoges et Bourges, en quart de finale de la Coupe de France.
« S'incliner d'un point alors que nous en comptions quinze d'avance contre le leader est forcément rageant, mais c'est désormais oublié comme nous l'avons prouvé devant Bourges en évoluant libérées puis face au Centre Fédéral et Nice, explique-t-elle. En revanche, ces matches-là ne constituent peut-être pas la préparation idéale avant le déplacement à Dunkerque. »
Plutôt habituée à fréquenter le haut du tableau, l'équipe nordiste se démène cette saison pour assurer son maintien.
L'enjeu sera par conséquent énorme samedi prochain.
Deux sièges à pourvoir
« Le contexte et l'ambiance ne rendront pas ce déplacement facile, prévient Floriane Herrscher. Le mental s'avérera vraiment déterminant. Il faudra être concentrées à 300 %. De toute façon, il nous reste cinq rencontres à gagner. Après avoir épuisé tous nos jokers, le moindre faux pas est interdit. »
Avant le sprint final, le FCBA est revenu à égalité avec Toulouse et La Roche-sur-Yon à la quatrième place. Derrière Limoges et Armentières, confortablement installés, il reste objectivement deux sièges à pourvoir. Pour quatre candidats.
C.G. - www.lunion.presse.fr
La chasse au trésor
Charleville-Mézières : Contessi 11, Fromholz 9, Kusion 8, Cailleux 4, A. Bouderra 8, Boonen 6, Herrscher 10, Herradas Martin 20.
Nice : Micaletto 9, Moua 6, J. Gomis 20, Mirvic 8, Slabecka 8, Guerra 10.
Malgré l'opposition de Mélissa Micaletto, les Flammes de Carine Contessi lorgnent toujours vers les play-offs.
A défaut de trouver sa place dans les annales, la victoire enregistrée face à Nice (76-61) permet à nouveau aux Flammes carolos d'entrevoir sérieusement la qualification en play-offs.
« Un succès à domicile s'avérait indispensable, reconnaît Floriane Herrscher. Mais la défense de zone proposée par les Azuréennes n'a pas favorisé un jeu rythmé. »
Minées par des problèmes extra-sportifs, arrivées avec seulement six joueuses, dont une Silvana Mirvic émotionnellement affectée par le décès de sa mère, les Niçoises n'avaient pas d'autre solution tactique à offrir. Les Ardennaises ont contourné le piège.
En net regain de confiance
« Même s'il se trouvait effectivement en infériorité numérique, il ne fallait surtout pas sous-estimer l'adversaire, estime l'intérieure carolomacérienne. Nous avons pourtant connu quelques périodes de déconcentration. »
Grâce à un coup d'accélérateur traduit par un sévère 21-0 de part et d'autre de la mi-temps, Charleville s'est néanmoins épargné la moindre frayeur, renouant avec la victoire à la salle Bayard après deux défaites aux incidences complètement opposées face à Limoges et Bourges, en quart de finale de la Coupe de France.
« S'incliner d'un point alors que nous en comptions quinze d'avance contre le leader est forcément rageant, mais c'est désormais oublié comme nous l'avons prouvé devant Bourges en évoluant libérées puis face au Centre Fédéral et Nice, explique-t-elle. En revanche, ces matches-là ne constituent peut-être pas la préparation idéale avant le déplacement à Dunkerque. »
Plutôt habituée à fréquenter le haut du tableau, l'équipe nordiste se démène cette saison pour assurer son maintien.
L'enjeu sera par conséquent énorme samedi prochain.
Deux sièges à pourvoir
« Le contexte et l'ambiance ne rendront pas ce déplacement facile, prévient Floriane Herrscher. Le mental s'avérera vraiment déterminant. Il faudra être concentrées à 300 %. De toute façon, il nous reste cinq rencontres à gagner. Après avoir épuisé tous nos jokers, le moindre faux pas est interdit. »
Avant le sprint final, le FCBA est revenu à égalité avec Toulouse et La Roche-sur-Yon à la quatrième place. Derrière Limoges et Armentières, confortablement installés, il reste objectivement deux sièges à pourvoir. Pour quatre candidats.
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26ème journée
Les rencontres du 11/04/2009
20:00 NICE CAVIGAL OLYMPIC / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 DUNKERQUE MALO BASKET CLUB / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 RENNES AVENIR / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 CENTRE FEDERAL BB / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / LIMOGES ABC EN LIMOUSIN
20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / CLUB BASKET D'IFS
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / US LAVEYRON
20:30 ROCHE VENDEE BC / ARMENTIERES SO
20:00 NICE CAVIGAL OLYMPIC / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 DUNKERQUE MALO BASKET CLUB / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 RENNES AVENIR / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 CENTRE FEDERAL BB / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / LIMOGES ABC EN LIMOUSIN
20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / CLUB BASKET D'IFS
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / US LAVEYRON
20:30 ROCHE VENDEE BC / ARMENTIERES SO
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Mes pronos pour le 11/04/2009
SIG car Nice est dans le flou
Charleville pour la conquête aux play offs
Rennes pour s'écarter définitivement des reléguables
Pleyber dans la course au maintien
Toulouse également pour la conquête aux play offs
Voiron n'a pas le droit à l'erreur à domicile pour le maintien face à un concurent direct
Laveyron allez allez allez pour continuer à croire au maintien
Roche Vendée pour la conquête aux play offs
Bonne chance
SIG car Nice est dans le flou
Charleville pour la conquête aux play offs
Rennes pour s'écarter définitivement des reléguables
Pleyber dans la course au maintien
Toulouse également pour la conquête aux play offs
Voiron n'a pas le droit à l'erreur à domicile pour le maintien face à un concurent direct
Laveyron allez allez allez pour continuer à croire au maintien
Roche Vendée pour la conquête aux play offs
Bonne chance
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Le SABC sous contrôle
Le journal d’annonces légales « Les affiches moniteur » en faisait état dans son édition du vendredi 3 avril : le Strasbourg ABC, 7e de N 1 féminine, est en redressement judiciaire. Après avoir quitté le giron du Racing omnisport l’été dernier, le SABC, que les dirigeants de l’omnisport avaient poussé dehors pour ne plus avoir à combler les déficits récurrents qu’il creusait (155 000 euros en 2007-2008 ), réfute pourtant cette dénomination. Le président Marc Bouté, à l’origine de la démarche, préfère parler de « contrôle administratif. Au jour d’aujourd’hui, nous ne sommes pas dans le rouge et notre compte en banque est légèrement créditeur. Mais au rythme où allaient les choses, nous aurions eu du mal à honorer les salaires. Nous sommes donc allés voir un juge, au tribunal d’instance, et travaillons depuis avec un administrateur judiciaire. Notre objectif est d’obtenir une exonération de l’URSSAF, afin d’honorer nos engagements jusqu’au bout. »
Le SABC, qui avait annoncé un budget prévisionnel de 470 000 euros, l’a revu à la baisse à 350 000. « La Ville et la CUS ont tenu leurs engagements (125 000 euros, assortis, même, d’un bonus de 3000 pour une action menée auprès des jeunes) », indique le président, « Mais par rapport à ce que nous attendions de la Région et du Département, il manque 70 000 euros, même si le Conseil régional vient de nous octroyer une rallonge de 15 000. Par ailleurs, nous espérions 100 000 euros de sponsoring privé. Nous n’en avons récolté que 20 000. D’où notre action pour garantir le salaire des filles et du staff. Nous voulons aller au bout de la saison sans léser nos salariés.»
Cette mise sous tutelle pose la question de l’avenir du SABC à terme. Ce dont ne disconvient pas Marc Bouté. « Nous attendons pour 2009-2010 l’engagement d’un gros sponsor pour plus de 100 000 euros. Mais s’il renonce, nous n’avons pas envie de repartir pour ramer comme cette saison. »
S.G. - www.alsapresse.com
Le journal d’annonces légales « Les affiches moniteur » en faisait état dans son édition du vendredi 3 avril : le Strasbourg ABC, 7e de N 1 féminine, est en redressement judiciaire. Après avoir quitté le giron du Racing omnisport l’été dernier, le SABC, que les dirigeants de l’omnisport avaient poussé dehors pour ne plus avoir à combler les déficits récurrents qu’il creusait (155 000 euros en 2007-2008 ), réfute pourtant cette dénomination. Le président Marc Bouté, à l’origine de la démarche, préfère parler de « contrôle administratif. Au jour d’aujourd’hui, nous ne sommes pas dans le rouge et notre compte en banque est légèrement créditeur. Mais au rythme où allaient les choses, nous aurions eu du mal à honorer les salaires. Nous sommes donc allés voir un juge, au tribunal d’instance, et travaillons depuis avec un administrateur judiciaire. Notre objectif est d’obtenir une exonération de l’URSSAF, afin d’honorer nos engagements jusqu’au bout. »
Le SABC, qui avait annoncé un budget prévisionnel de 470 000 euros, l’a revu à la baisse à 350 000. « La Ville et la CUS ont tenu leurs engagements (125 000 euros, assortis, même, d’un bonus de 3000 pour une action menée auprès des jeunes) », indique le président, « Mais par rapport à ce que nous attendions de la Région et du Département, il manque 70 000 euros, même si le Conseil régional vient de nous octroyer une rallonge de 15 000. Par ailleurs, nous espérions 100 000 euros de sponsoring privé. Nous n’en avons récolté que 20 000. D’où notre action pour garantir le salaire des filles et du staff. Nous voulons aller au bout de la saison sans léser nos salariés.»
Cette mise sous tutelle pose la question de l’avenir du SABC à terme. Ce dont ne disconvient pas Marc Bouté. « Nous attendons pour 2009-2010 l’engagement d’un gros sponsor pour plus de 100 000 euros. Mais s’il renonce, nous n’avons pas envie de repartir pour ramer comme cette saison. »
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- Enregistré le : mar. 12 sept. 2006 11:12
- 550000 € de dettes cumulées depuis 5 ans dans le cadre du RC Strasbourg
- 120000 € "d'erreurs" cette année encore dans le cadre du SABC
Je ne comprends pas que les collectivités financent encore ce tonneau des danaides...
Sans parler de la FFBB qui a permis un engagement encore une fois sans vérifier un budget fantaisiste. C'est
Mais que fait la police ?
- 120000 € "d'erreurs" cette année encore dans le cadre du SABC
Je ne comprends pas que les collectivités financent encore ce tonneau des danaides...
Sans parler de la FFBB qui a permis un engagement encore une fois sans vérifier un budget fantaisiste. C'est
Mais que fait la police ?
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20:00 NICE CAVIGAL OLYMPIC / S.I. GRAFFENSTADEN
20:00 DUNKERQUE MALO BASKET CLUB / ASPTT CHARLEVILLE MEZIERES
20:00 RENNES AVENIR / U.S. COLOMIERS BASKET
20:00 CENTRE FEDERAL BB / PLEYBER CHRIST BASKET CLUB
20:00 TOULOUSE METROPOLE BASKET / LIMOGES ABC EN LIMOUSIN
20:00 ETOILE DE VOIRON FEMININ / CLUB BASKET D'IFS
20:00 STRASBOURG ALSACE BC / US LAVEYRON
20:30 ROCHE VENDEE BC / ARMENTIERES SO
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Corsaire
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Et qu'en est il de NICE?...buzzard a écrit :- 550000 € de dettes cumulées depuis 5 ans dans le cadre du RC Strasbourg
- 120000 € "d'erreurs" cette année encore dans le cadre du SABC
Je ne comprends pas que les collectivités financent encore ce tonneau des danaides...
Sans parler de la FFBB qui a permis un engagement encore une fois sans vérifier un budget fantaisiste. C'est
Mais que fait la police ?
Le passif semble encore plus élévé, les joueuses sont elles encore motivées?
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Y en a plusieurs, je crois que la crise en a frappé quelques uns.
En ce qui concerne le déplacement de Laveyron a Strasbourg, je pense que si Khadi,Kerline et Aurélie réussissent à maintenir Diawara et Washington, elles peuvent faire un bon coup avant de recevoir deux fois de suite. Allez les vertes, on compte sur vous !!!
En ce qui concerne le déplacement de Laveyron a Strasbourg, je pense que si Khadi,Kerline et Aurélie réussissent à maintenir Diawara et Washington, elles peuvent faire un bon coup avant de recevoir deux fois de suite. Allez les vertes, on compte sur vous !!!
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réponse aux questions de "buzzard" à propos en autre de strasbourg.
certains petits club doivent galérer pour présenter un budget sain et la fédé ne leur fera aucun passe droit. et puis il y a des club qui ont peut être des faveurs de la fédé(observez certains noms de personnes du club et vous trouverez le même au niveau de certains responsables de la fédé) c'est peut être une réponse!!!!!!
certains petits club doivent galérer pour présenter un budget sain et la fédé ne leur fera aucun passe droit. et puis il y a des club qui ont peut être des faveurs de la fédé(observez certains noms de personnes du club et vous trouverez le même au niveau de certains responsables de la fédé) c'est peut être une réponse!!!!!!